• L'île de la tentation chapitre 4

    Par TSM


    Le premier ministre se connecte sur sa messagerie privée en ce vendredi matin du joli mois de mai et frémit aussitôt en voyant « Message aux adhérents du Ynop » !

    D'un rapide clic nerveux, il ouvre la page qui contient l'habituel «  Téléchergez le fichié » avec les fautes d'orthographes volontaires. Il télécharge donc le fichier joint en souriant et le décode avec le petit programme donné par le club. Le Pentium dernière génération mouline quelques secondes avant de délivrer le message.

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    Nouveau au club

    Arrivée d'une jeune et nouvelle recrue, un véritable cadeau de la mère nature. Alinéa a un corps superbe épanoui mais sans kilo superflu, son très joli visage légèrement félin transpire la gentillesse. D'un caractère docile, cette jeune pouliche ne demande qu'à être attelée pour que vous la conduisiez pour sa première sortie en forêt. 

    La mise à prix pour la sortie de samedi est à 2000 euros.

    Comme cette exceptionnelle beauté est jeune et encore fragile, la direction se réserve le droit de ne pas la faire courir dimanche.

    Les enchères sont ouvertes jusqu'à demain 10 heures.

    Au plaisir de vous lire,

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    Les mots « jeune et fragile » du le message prometteur de Richard qui est particulièrement correct dans ses annonces, le font frémir. Il est 10 heures et peut sans aucun problème déléguer ses rendez-vous du jour et de lundi. Son gros doigt boudiné appuie aussitôt sur l'interphone de sa secrétaire. 

    - Lisa, trouvez-moi une place prioritaire sur l'avion de Ceylan, pardon du Sri Lanka et téléphonez à mon épouse pour l'informer que je suis contraint de partir de toute urgence pour une mission diplomatique secrète.

    Combien peut valoir une telle pouliche ? Cher c'est sûr, car si Bernard la décrit ainsi, c'est que..... Il relit à nouveau le mail puis se décide à y répondre après avoir regardé ce dont il dispose dans la caisse noire.

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    L'oiseau qui aime les longs voyages émigrera avec 10000 euros. Merci de prévoir son accueil ce week-end et de le prévenir sur son portable si les frais d'hébergement étaient supérieurs pour cause d'affluence.

    J.


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    C'est dans un 4X4 Land Discovery Td5 climatisé que le ministre effectue incognito le trajet entre l'aéroport de Colombo et le club. Ce véhicule est le plus confortable des 4X4 et sur le trajet il apprécie le coucher de soleil en  jubilant. Si Bernard ne la pas contacté sur son mobile à communication par satellite, c'est qu'il a de fortes chances de croquer une jeunette après avoir apprécié ses formes en se faisant promener dans un chariot.


    Certes, au club, la nourriture et les chambres ne sont pas n'est pas celles d'un quatre étoiles, mais les vins et les alcools sont toujours exceptionnels tout comme les filles et les activités. A cela, se rajoute qu'ici, la discrétion est de rigueur.

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    22 heures le vendredi

    Aline, bâillonnée et couchée en chien de fusil sommeillait dans la paille. Réveillée par la lumière, elle a pu observer des évènements pour elle totalement illogiques.

    Dans les box, un homme et une femme nus ont été parqués comme des bêtes, mais ils ne semblaient pas inquiets, bien au contraire ! Ils sont entrés sans aucune menace ni contrainte physique. Par-dessus les planches du box, Aline a observé sans comprendre l'homme qui s'est laissé harnacher, bâillonner et attacher en affichant son excitation sans aucune gêne ni pudeur. 

    Complètement horrifiée par cette vision, la pauvre Aline n'a trouvé le sommeil que tard dans la nuit.

    9 heures le samedi matin

    Ce que vient de voir Aline dépasse son entendement et toute logique ! L'homme et la femme, n'ont pas supplié quand Alan les a débarrassés de leur bâillon. Après son départ, ils ont bu et mangé dans leur mangeoire et abreuvoir comme si cette façon de faire était naturelle ! Des fous, pense-t-elle, je suis chez des fous avec des malades.

    Une demi-heure plus tard, Alan est revenu puis les a harnaché avec des harnais et des clous de tête à plumes. Le comble de la folie, est qu'il leur a placé dans le derrière un gros truc terminé par une queue de cheval et qu'aucun des deux n'a manifesté la moindre rébellion ! ! ! !

    Il leur a demandé de sortir puis a rajouté des biscuits et de l'eau dans son box d'Aline. En retirant son bâillon lui a ordonné de manger et boire sans attendre. 

    9 heures 30

    La femme dont elle ne connaît toujours pas le nom vient d'entrer dans le box avec un harnachement complet et une cravache.

    - Tu n'as rien mangé, ce n'est pas bien ! Je te nourrirai tout à l'heure, mais pour l'instant il faut que je te prépare. Je suis en retard, alors ne résiste pas et ne m'ennuie pas et je ne te battrai pas ! Compris ?

    Que peut répondre Aline à cela ? Rien ! Elle pleure toutes les larmes de son corps quand cette femme démoniaque lui passe le harnais de corps et de tête avec un clou à plumes bleues. Elle se demande sans cesse en pleurant toutes les larmes de son corps comment une femme peut lui infliger une telle humiliation.

    - Met-toi à quatre patte, je dois mettre ta queue avant de fermer ton harnais !

    Aline se met à genoux, joint ses mains comme à la prière et supplie. Son derrière est vierge de tout contact ou caresse qu'elle trouve sale. L'objet qu'elle a vu placer entre les fesses de ces voisins précédents la terrorise. Cela doit faire horriblement mal et puis c'est dégoûtant.

    - Ecoute petite gourde, cela ne fait pas mal et je suis à la bourre, alors tu te mets à quatre pattes ou je te dérouille !

    Aline reste immobile, comme choquée. Impuissante et vaincue, elle ne réagit plus quand la femme la courbe en la forçant à s'agenouiller. Elle voudrait mourir pour échapper à cet enfer. Submergée par l'horreur, morte de peur et de honte elle subit l'effet dégradant d'être lubrifiée en cette partie de son anatomie par un doigt féminin.

    L'humiliation est à son comble et la douleur insupportable quand l'objet froid force ses reins. Son petit anneau de chair semble le refuser, mais cette femme sans pitié s'archarne et hurle que si elle n'y met pas du sien cela va être sa fête.

    La partie échancrée du plug finit par passer le petit anneau délicatement plissé pour s'enfoncer dans les reins d'Aline qui pousse un long « non » de désespoir en se sentant profondément pénétrée par l'ignoble chose froide. Sans tarder, la femme ajuste les couroies du harnais interdisant tout rejet intempestif, volontaire ou naturel.


    La tête dans la paille et les fesses en l'air, d'où dépasse maintenant une queue de cheval, Aline pleure de honte et geint de cette horible sensation d'être comblée, distandue, enfin les mots ne viennent pas à ses pensées pas mais c'est ignoble ! Comment peut-on ?

    La furie  lui passe les bottes sans talon et l'oblige à se lever pour les lacer. Elle la force à croquer quelques biscuits, place le mord et ajuste les courroies du harnais de tête.

    Elle la guide ensuite doucement vers la sortie, puis chose étrange, essuie son visage larmoyant et tente de lui redonner figure humaine avec un peu de maquillage sur le visage et aux yeux en passant du far bleu. Pourquoi essayer de me faire belle dans une telle tenue se demande Aline ? 

    ....................................

    Dans la cour du club, tout est prêt pour la parade qui précède le poneyplay. Il ne manque plus que la jeune recrue qui se fait attendre. Quatre sulkies sont attelés à trois ponygirls et à ponyboy. Les tenues des conducteurs comme celles des poneys sont choisies.

    Devant un chariot, le ministre attend à côté de Bernard que la superbe ponygirl annoncée apparaîsse. Comme une jeune pouliche ancore hésitante, Aline sort du bâtiment morte de honte d'apparaître ainsi accoutré avec ce truc dans les fesses devant ces hommes et cette femme qui n'ont d'yeux que pour elle.

    Son exeptionnelle beauté soulignée par sa tenue déclenche les applaudissements surprennants pour Aline qui ne comprend pas ce qui lui arrive et encore moins que l'on puisse applaudir. Elle roule des yeux appeurée et tremble de la tête aux pieds. 

    - Mon cher Henri, je vous la confie. Prennez-en soin car il serait dommage qu'elle se blesse pour sa première sortie. Lance Bernard à cet homme aux cheveux grisonnants qui tend la main pour saisir les rênes.  

    Son harnais de gala ne cache pas grand-chose de son anatomie et expose à la vue de tous, sa beauté radieuse impudiquement étalée sous les rayons du soleil de plus en plus cuisants. Aline a l'immense privilège d'ouvrir le TREC.

    En véritables bêtes de somme, les poneys humains ornés de clou pourpre, jaune et bleu se mettent en route derrière-elle. Aline est particulièrement perturbée par cette vision d'horreur diront certains, mais ce n'est pas le sentiment de l'homme, assis derrière-elle.


    Dès la sortie du club, les attelages les dépassent. Aline fait ce qu'elle peut, mais ce chemin montant et rocailleux est si difficile, qu'elle butte presque à chaque pas et peine. Son souffle siffle presque entre ses dents et le mord. 

    Henri est ému de voir cette merveille ainsi peiner. De sa cravache, il claque sans aucune violence les charmantes rondeurs qui se balancent sous son regard gourmand en lui disant de faire un petit effort et que la côte est bientôt terminée. Les poils de la queue frottent ses mollets. Son anus martyrisé commence à se détendre pendant la marche et pousse comme si elle avait envie de déféquer. Oh non ! Mon dieu pas ça ! Pense la pauvre Aline.

    Le harnais joue son rôle en empêchant le plug à queue de bouger et l'attelage continu son chemin loin derrière les autres mais le ministre, particulièrement charmé par la jouvencelle ne la force pas à accélérer.


    Tourmentée par l'humiliation, la soif, les crampes qui montent dans les muscles de ses jambes et par la honte de baver lamentablement sous la chaleur à cause du mord qui lui distant les mâchoires, Aline épuisée, s'arrête un instant et balance légèrement la tête pour faire comprendre à l'homme qu'elle n'en peut plus.

    Le ministre descend du chariot et s'approche d'elle. Son visage est mouillé de larmes se confondant avec la transpiration mais malgré cela, l'époustouflante beauté l'émeut. Il sort un mouchoir de sa poche pour éponger le visage de la belle.

    - Mademoiselle, je me délecte à la vue de vos courbes et de vos cuisses musclées. J'espère ne pas être trop lourd pour vous, d'ailleurs, je vais faire quelques pas à vos côtés pour vous soulager un peu.

    Avec douceur, il couvre sa main serrée sur la poigné et l'aide à tirer le chariot. Pour Henri, cette fille est véritablement un cadeau du ciel. Il en est tombé amoureux dès que leurs regards se sont croisés. Son corps de rêve aux courbes épanouies, son magnifique visage et ses beaux yeux bleus qui transpirent l'intelligence perturbent totalement l'homme pourtant connu pour être sans cœur.

    - Ma chère Alinéa, je serai particulièrement honoré si vous acceptiez de dîner à ma table ce soir. 

    - Hummmm ! Humm ! Hummmmmmmmmm ! Fait désespérément Aline en mordant le mord puis en faisant des clins d'oeil.

    - Normalement, je n'ai pas le droit de vous le retirer, mais avançons dans ces bois, je vous en libèrerai un instant.

    Lorsqu'ils se sont suffisamment retirés du chemin, Henri ne peut contenir son impétueuse envie de la toucher et de caresser ses formes qui sont un véritable appel à l'amour et à la tendresse.

    - Laissez-moi replacer votre sein qui s'échappe de ce vilain harnais qui doit vous faire souffrir ! Dit le ministre en posant ses mains moites sur l'orgueilleuse poitrine ornées de pinces.

    Les seins réajustés dans les anneaux, il laisse courir ses doigts sur l'épaule, les hanches et les cuisses frémissantes.

    - Ma chère Alinéa, je ne trouve pas les mots pour vous dire combien vous êtes belle. J'ai une gourde d'eau fraîche. Souhaitez-vous vous désaltérer un peu ?

    - Ou-i ! Ou- i ! Ou-i ! Fait Aline en bougeant la tête pour asseoir l'affirmation malgré la torture qu'elle inflige à ses tétons en feu.

    - Vous ne le direz pas, je compte sur votre discrétion ? L'interroge soudain le ministre.

    - On ! On ! Fait Aline en se demandant s'il fait exprès de la faire attendre.

    Le ministre, de ses gros doigts boudinés décrochent le mord en lui adressant un sourire charmeur.

    - J'ai été enlevée. Je suis séquestrée ici et on me force à faire les pires choses, aidez-moi je vous en supplie.

    - Mademoiselle, ce que vous dites est très grave !

    - Mais c'est vrai monsieur. Je m'appelle Aline Marchand et non pas Alinéa. Je ne suis pas là de mon plein gré. Je suis française et j'ai été enlevée. Monsieur pitié, il faut m'aider à fuir ! 

    Les jambes coupées par l'émotion, le ministre la regarde un instant sans réagir. Non pas qu'il n'ait pas compris ce qu'elle vient de dire, mais parce qu'un cruel dilemme se pose à lui. Si il parle et fait intervenir la police, ses passions pour le ponyplay risquent d'être découvertes et de le plonger dans un scandale dont il ne pourra sortir indemne. Sa carrière sera définitivement terminée. En même temps, il est ému par cette jeune et jolie fille. Que faire ?

    A suivre

    TSM

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  • L'île de la tentation chapitre 3

    Par TSM


    Le ventre noué d'angoisse, Aline n'a pas faim et il est hors de question qu'elle mange dans une mangeoire comme une bête. Seule la soif a raison de ses principes. Elle essaye de tirer sur la chaînette, mais hormis martyriser ses oreilles et sa nuque elle n'arrive à rien. 

    16 heures

    Assise en tailleur dans la paille qui lui pique les fesses, elle médite sur sa condition et son avenir qui s'annonce particulièrement difficile. Elle est piégée au bout du monde par des fous et ses chances de survie ne peuvent être que limitées. Pour sûr, ils vont l'humilier, la martyriser, la tuer ou la vendre à un autre fou. S'ils ne la tuent pas, elle finira dans un bordel où elle sera réduite à l'esclavage ou comme de la simple marchandise à satisfaire les hommes.

    Le maître la surprend dans ses sombres réflexions en pénétrant dans le box avec d'autres liens et accessoires à la main dont elle ne comprend pas l'utilité.  

    - Levez-vous s'il vous plait ! Vous devez prendre l'habitude de vous levez lorsque quelqu'un entre dans votre box. Vous êtes-vous bien reposée ?

    - S'il vous plait, laissez-moi partir, je ne dirai rien et puis, de toutes les façons, je ne sais même pas où nous sommes. Supplie Aline.

    - Mademoiselle, nous allons passer deux bonnes heures ensemble. Sachez qu'il ne tient qu'à vous qu'elles se déroulent bien. Je n'ai que faire de vos jérémiades ou requêtes et vous conseille vivement de coopérer, si vous ne souhaitez pas que j'use de la cravache pour vous en convaincre. 

    Sur ces mots, il s'agenouille avec de drôles de bottes noires sans talon, qu'il entreprend d'enfiler à ses pieds nus. Lorsqu'il a terminé de les lier, Aline sur la pointe des pieds n'ose plus bouger de peur de tomber.


    Elle est comme perchée sur des hauts talons mais sans les talons ! ! Son dos est particulièrement cambré et ses charmantes rondeurs fessières extrêmement mises en valeurs. Richard sort de sa poche un bâton de caoutchouc qu'il presse aussitôt contre les lèvres d'Aline qui ne réagit pas.

    - Ouvrez la bouche s'il vous plait !

    Non, elle ne rêve pas ! C'est bien un mors qu'il vient de lui placer entre les mâchoires et qu'il fixe aux anneaux plaqués contre ses joues. Il rajoute même une « gourmette » sous son menton, comme elle l'a fait au club d'équitation dans le passé, avec un « entier » rebelle. Même si elle avait compris le sens des mots « pony et girl » elle espérait encore et pleure maintenant à chaudes larmes.

    Après avoir accroché des rênes aux anneaux de sa tête, il détache la chaînette la maintenant dans le box et la guide doucement à l'extérieur. Sur la pointe des pieds et dans un équilibre instable, Aline franchit avec difficulté le pas de la porte.

    Lui se veut particulièrement rassurant et la congratule d'une voix posée pendant qu'elle pleure sur sa nouvelle condition.

    Autour de sa jolie taille de guêpe, il enroule et boucle une large ceinture de gros cuir noir avec des anneaux. Lorsqu'il ouvre les menottes qui ne l'ont pas quittée depuis 24 heures pour les remplacer par des bracelets, Aline vaincue ne réagit plus. Ses poignets sont cerclés de bandes de cuir et immobilisés sur ses hanches par des mousquetons à la ceinture qui la ceint.

    - Je vais accrocher de petites pinces à vos seins et un joli « clou » à votre harnais de tête. Rassurez-vous, les pinces ne sont pas très douloureuses, et le « clou » en question n'est pas un clou comme ceux que l'on enfonce dans le bois. Mon objectif est simplement de vous apprendre à avoir un port fier et noble. Vous êtes magnifique et cet accessoire vous ira à merveille. Sur ces mots qui se voulaient rassurant, Aline terrorisé, se met à pleurnicher en geignant par petits « Ah, ah, on, on »

    Aline, outrée de ses propos, regarde Bernard titiller ses tétons du bout des doigts. Il les embrasse même un instant puis referme la première pince à sein munie d'un anneau, en lui indiquant d'une voix suave qu'elle peut être fière de sa poitrine. Les mâchoires écrasant le téton sont sévères et douloureuses.

    Si Aline aime bien que son petit copain les lui grignote amoureusement, elle n'en éprouve présentement aucun plaisir et pousse un long gémissement. Cette plainte ne contrarie en rien le maître des lieux, qui fait aussitôt la même chose avec le deuxième sein.

    Tout en la félicitant sur son exceptionnelle beauté, il relie par une chaînette les anneaux des pinces à seins au mors qui encombre sa bouche et commence à la faire baver. Aline se rend rapidement compte que si elle lève la tête comme pour cabrer, ses pauvres tétons sont aussitôt et douloureusement étirés.

    Sur le harnais de tête, il donc fixe le « clou ». Elle ne voit pas l'effet produit mais cela l'oblige par une bride à garder la tête droite. Si l'ensemble des accessoires expose son corps dans toute sa splendeur, ils lui interdisent également de lever ou de baisser la tête tout comme de la tourner sur le côté sous peine de souffrances non érotiques pour elle.

    (Le clou est un complément décoratif du harnais de tête. Il en existe de très jolis avec des plumes de couleur ou de faux ou vrais cheveux comme de faux ou vrais longs poils de chevaux).

    - Je suis pour l'éducation en douceur et non pas le dressage qui est particulièrement cruel et irrespectueux. Vous semblez intelligente, je vais donc vous expliquer ce que nous allons faire et pourquoi nous allons le faire en vous guidant sur le chemin du manège.

    La pauvre Aline se déplace à petits pas dans un équilibre des plus précaire. Lorsque dans un mouvement elle lève la tête, ses tétons sont martyrisés par les pinces. Si elle souhaite se pencher en avant, le « clou » l'oblige à rester droite comme un « i » par un lien rajouté au harnais dans son dos.

    - Dans mon club de milliardaires, des hommes d'Etat mais aussi des hommes et femmes triés sur le volet se côtoient. Ils ont une passion commune : le ponygirl ou le ponyboy. Ce week-end, vous serez attelée à un petit chariot pour une ballade sur nos chemins et si vos capacités physiques vous le permettent, vous ferez une course sur l'anneau de gazon. Comme un véritable poney vous ne devrez pas parler. De toutes les façons, vous n'en serez pas capable avec le mors qui rendra vos propos inaudibles. Si vous essayez malgré mes consignes, vous serez lamentable et le conducteur sera vexé car vous aurez truqué son jeu. Il y a de forte chance qu'il vous punisse pour ne pas avoir respecté le règlement ou l'avoir ridiculisé !

    Droite comme un « i » elle vacille puis perd l'équilibre.

    - Hummm ! Gémit Aline rattrapée de justesse par Richard.

    - Les personnalités qui seront là ce week-end auront seulement le droit de vous conduire ou de vous punir si vous le méritez. Ils n'ont pas le droit d'abuser de vous et encore moins de vous violer. Si quelqu'un essaye, envoyez de violents coups de pieds, cabrez-vous, hennissez et faites beaucoup de bruit. Si vous souhaitez communiquer avec votre conducteur, nous suggérons le langage du corps. Par exemple, pour uriner pendant le TREC, vous pouvez marcher jambes écartées, en règle générale, le conducteur comprend et comme il ne veut pas être éclaboussé, il s'arrête. Savez-vous ce qu'est le TREC ?

    - Hummm ! Fait Aline qui regrette immédiatement d'avoir assuré la négation d'un geste réflexe de la tête en se tirant sur les seins.

    - Le TREC, n'est pas une version française du mot anglais TREK, qui signifie la randonnée, mais l'abréviation des mots : Technique de Randonnée Equestre de Compétition. Ne bougez plus s'il vous plait, je vous lâche un instant.

    Bernard tire un petit chariot à deux roues par deux longs bras de bois, munis de crochets qu'il fixe à la ceinture d'Aline et guide les petites mains féminines sur les poignets. 

    - Nous allons aborder votre formation d'obéissance. En fait, le poney, girl ou boy, doit apprendre à répondre aux ordres verbaux et physiques par les commandes de rênes. Si la commande est mal comprise, elle est corrigée par la cravache sur les flancs ou les épaules. Tenez bien les poignets, je vais m'asseoir.

    Sur ces mots, il enjambe les barres et s'installe sur la petite banquette du chariot en tendant les rênes accrochées au harnais de tête. Aline accuse la surprise, vacille, avance et recule avec des gestes désespérés. Bernard, placide, la laisse se rétablir.  

    - Sachez que les poneys apprennent à trotter, marcher et s'arrêter sur commande. Ils peuvent avoir les yeux bandés par un capuchon ou des lunettes noires pour que le poney se concentre sur les commandes du conducteur et les rênes. Nous allons faire nos premiers pas sans vous bander les yeux, mais soyez sans crainte, je suis un conducteur très doux. 

    Les rênes s'agitent mais Aline écœurée, n'avance pas. La cravache cingle doucement sa cuisse droite. Avec une extrême prudence, elle se met alors à marcher en équilibre instable sur la pointe des pieds en tirant le chariot de ses petites mains tremblantes. Après quelques mètres, il déplace les rênes sur la droite. La consigne silencieuse est aisée à comprendre. La tête d'Aline est tirée sur la droite, le jeu de chaînettes tire les pinces des seins dans le même sens.

    - Levez bien haut les cuisses quand vous marchez ! De la classe voyons, de la classe !

    Aline, particulièrement douillette, est saisie d'une crainte respectueuse malgré l'infamie subie. Elle se concentre attentivement sur les consignes silencieuses et lève les jambes comme les majorettes en mordant de rage le caoutchouc dur qui la fait baver. Marcher sur la pointe des pieds et tirer un chariot est particulièrement difficile. Au bout de quelques minutes, elle perd l'équilibre et tombe durement sur le sable damé du manège. Bernard descend de son siège pour l'aider à se relever en la félicitant sur sa docilité.

    Le mot « docilité » sonne aux oreilles d'Aline blessée par ce coup de fouet dans son vernis social. Elle s'écroule à genoux et pleure toutes les larmes de son corps.

    Bernard, faisant fi de la transpiration excessive due à l'effort, la serre dans ses bras et la berce, comme le ferait un père avec son enfant. Il décroche le lien du « clou » et la laisse poser sa tête contre son épaule en la dorlotant. Au bout de quelques minutes, elle Aline dit avec insistance : « i, i, i ou, ai » !  Puis elle insiste et s'énerve « fi, fi, fi fou, fai » ! 

    En dresseur émérite, Bernard a immédiatement compris le besoin et l'extrême détresse de cette jeune fille !

    (La lettre P est impossible à prononcer avec un mors entre les dents. Essayez de prononcer la phrase suivante avec votre index entre vos mâchoires : « Pipi s'il vous plait » Vous constaterez que votre élocution devient particulièrement limitée). 

    Il l'aide à se redresser, lui explique qu'elle doit s'accroupir puis qu'il va tourner le dos pour ne pas gêner sa pudeur. Aline est au désespoir ! Sa vessie est douloureusement tendue depuis le début du dressage, elle n'en peut plus. Elle qui est si pudique, être contrainte de faire ça à côté d'un homme représente le paroxysme de l'humiliation !  

    Les jambes tremblantes légèrement écartées, elle fléchit les genoux tant bien que mal pour cause d'équilibre instable et se laisse aller les yeux fermés comme pour échapper à l'horreur.

    Sur le sable damé, le bruit de la cigale émue, affreusement crispée accompagne les larmes de la consternation qui se joignent à l'urine.

    - Si vous avez terminé mademoiselle, nous devons reprendre votre formation ! Lance le maître des lieux. Avancez vers moi s'il vous plait !

    Après avoir parcouru la petite distance qui les sépare, d'un pas maintenant plus assuré malgré le désarroi, elle avance puis découvre avec horreur de ses yeux embués qu'il tient dans sa main une cagoule noire.

    - «  A,ê ez » ! « A, ê ez » ! Hurle Aline en tapant du pied sur le sable, seul geste qu'elle puisse encore faire pour manifester sa rage et son désespoir.

    - Aller, ne faites pas de bêtise mademoiselle. Vous êtes douée et jusqu'à présent avez été parfaite. Cette cagoule a simplement deux objectifs : vous apprendre à me faire confiance et à être guidée à la voix.

    Aline, en proie à une crise de nerfs craque et tape des pieds. Bernard, placide, attend quelques instants, puis agacé donne un coup sec de sa cravache sur la cuisse droite de sa ponygirl. La douleur la remet aussitôt face à son triste destin. Bernard semble attristé mais dans ses beaux yeux bleus, la fermeté est sans équivoque possible.

    - Venez de vous-même placer votre charmant minois dans cette cagoule et je m'en tiendrai là, pour cette première rébellion !

    Elle voudrait mourir pour s'échapper de cet enfer. Comme elle tarde à se résoudre à plier, il lui assène un deuxième coup de cravache sur la cuisse. Ce geste lui fait comprendre que derrière son apparente correction sommeille une cruelle poigne.

    La haine, la peur et l'incrédulité s'affichent sur son visage aux traits défaits. Avalant ses larmes et sa douleur, Aline avance lentement puis penche la tête vers la cagoule qui finalement va l'isoler de ce monde fou.

    - C'est bien, tu es raisonnable. Dit le dresseur en masquant sa vue.  

    Le cuir est taillé de façon à laisser la bouche et le nez libre mais aveugle totalement la personne qui le porte. Il est percé au niveau des oreilles et conçu pour ne pas être incompatible au « clou » au-dessus de la tête. C'est ce que fait Bernard qui l'apprête de façon à ce qu'elle soit guidée de très près.

    Au commandement des rênes et de la voix qui fait « hue » elle se met à avancer à l'aveugle en tremblant sur ses jambes à chaque pas. Dans ses petites mains, les bras de bois commencent à peser. Particulièrement concentrée sur son équilibre par peur de chuter, elle est rapidement épuisée de tourner dans le manège.

    - Ho ! Dit le dresseur en tendant les rênes. Je suis pleinement satisfait de toi. Tu es très belle et particulièrement douée, tu as de l'avenir ici. Nous allons faire un petit tour dans la cour et ce sera terminé pour aujourd'hui. Hue !

    Lorsqu'ils franchissent la porte du bâtiment, l'air caresse sa peau moite de transpiration, un frisson parcours son échine. Le vent s'engouffre entre ses cuisses, frôle ses lèvres intimes très exposées quand elle lève les jambes dans cette folle marche forcée. Elle imagine qu'Alan, la femme cruelle et d'autres personnes la regardent dans sa déchéance, mais ils sont seuls, et elle ne peut le voir.

    Le « Ho » accompagnant les rênes qui tirent sa tête en arrière et les mouvements du chariot dans ses petites mains rougies par l'effort, lui laissent à penser que le dressage est pour aujourd'hui terminé.

    Rapidement dételée et débarrassée de la cagoule aveuglante, du clou, du mors puis du harnais de corps, elle souffle de soulagement malgré la douleur générée par le retrait des pinces à seins. Guidée par le bras elle est conduite à son box où il lui retire le harnais de tête. Dans un élan de tendresse, il la serre dans ses bras et l'embrasse tendrement sur la bouche. Sa langue force ses lèvres et ses mâchoires douloureuses mais, brisée, elle se laisse faire. Complètement dépassée par cette tendresse, elle lui rend son baiser en pleurant. Il caresse son dos et ses hanches mais n'a aucun geste déplacé. 

    Lorsqu'il lui repasse les menottes, bras dans le dos et cercle son cou d'un collier de fer froid qu'il ferme à l'aide d'un cadenas, Aline se demande pourquoi, elle ne lui a pas arraché la langue quand il l'a embrassée. 

    A suivre 

    TSM

    Mes photos persos de pony play sont sur   http://tsm-textes.over-blog.com/

     

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  • L'île de la tentation chapitre 2 / 9

    Par TSM


    Le réveil d'Aline fut difficile tout comme la nuit au demeurant, faite de larmes et de crises de peur panique. Dormir nue dans la paille qui la piquait à chaque mouvement n'arrangeait rien à sa peur des rats et des araignées qui ici doivent être monstrueuses. Les cauchemars l'ont sans cesse réveillée. La veille, quand Alan lui a porté deux écuelles en lui souhaitant bon appétit, elle l'a injurié, elle qui est si polie et si douce d'habitude.

    Ce matin, la faim et la soif qui la tenaillent, ont raison de ses principes. L'humiliation est à son comble, du moins le pense t'elle. Enchaînée et les mains liées dans le dos, elle a fait ses besoins dans la litière puis s'est résignée à boire et manger un peu telle une bête, en pleurant toutes les larmes de son corps. (Photo4)

    Alan et la femme hautaine dont elle ne connaît pas le nom, entrent avec un drôle de harnais à la main, une longue et fine cravache munie d'un lacet de cuir en son extrémité.

    - Lève-toi !

    Encore assise dans la paille Aline est terrorisée. Elle supplie en vain puis se recule pour échapper à la cravache qu'une cavalière, agite soudain devant son visage.

    - Ne me faites pas de mal ! Sanglote Aline.

    - J'ai dit debout !

    Le sifflement soudain de la cravache autant que le trait de feu sur sa cuisse font hurler Aline de douleur et de terreur. Livide, tremblante et en larmes, mains liées dans le dos elle se lève difficilement pendant qu'ils rigolent de ses difficultés.    

    La corde est déliée du mur par la femme qui s'en sert de longe pour la tirer à l'extérieur. La résistance de principe qu'elle oppose lui vaut une claque sévère sur les fesses. Résignée, nue et guidée telle une bête, elle sort du box la tête basse. Ses pieds nus foulent la terre déjà chaude du soleil des îles paradisiaques, la luminosité l'oblige à plisser les paupières.

    La femme prend un peu de recul, tend légèrement la longe attachée au cou d'Aline, puis de la pointe de sa cravache appuie sur ces fesses nues pour la guider dans un cercle, qui va devenir infernal.

    Dans sa tête l'horreur s'installe quand elle comprend ce que l'on attend d'elle. Non, jamais elle ne fera ce qu'ils désirent. Jamais elle ne s'abaissera à ...

    SSSSSSSSSCLAC

    Un trait de feu embrase son dos. Aline se vrille et se plie sur elle-même de douleur un instant puis tombe à terre. Elle bondit de peur et hurle quand deux autres coups s'abattent sur le sol en soulevant la poussière juste à côté d'elle.

    Les deux femmes se regardent un instant. Les jolis yeux bleus d'Aline sans voix, transpirent la haine. Ce semblant de révolte est aussitôt réprimé par un clac modéré mais cuisant sur sa poitrine orgueilleuse. Une sourde envie de meurtre traverse son esprit qui se refuse encore à la déchéance absolue. La sadique s'approche et domine sa victime affalée dans la terre entre ses jambes écartées et bottées. Terrorisée, Aline envoie les pieds mais la femme saisie une cheville et profite de l'ouverture des jambes pour lui asséner un coup sur le sexe exposé.

    L'humiliation et la douleur sont insupportables. Aline hurle et frotte ses cuisses l'une contre l'autre pour essayer d'appaiser son bas ventre en feu. Les arguments convaincants contraignent Aline à abdiquer rapidement pour ne plus souffrir.


    Tels les chevaux qu'elle a vu courir en rêvant de devenir dresseuse, elle tourne maintenant en rond dans la cour de cette ferme maudite en prenant son premier cours, de dressage.

    Au bout d'une demi-heure d'exercice, elle exécute la marche d'exhibition avec application en levant bien haut les genoux à chaque pas. Son corps de rêve et son visage félin sont maintenant maculés de poussière et de transpiration. De la fière et belle jeune fille, il ne reste qu'une poupée cassée et traumatisée réagissant tel un automate aux ordres donnés.

    Luisante de transpiration, les yeux dans le vague, elle se laisse guider par Alan vers le point d'eau. Il ouvre le robinet, le laisse couler un instant en lui permettant de boire au bout du tuyau puis, convaincu de sa docilité, il entreprend de la laver. Laver est un bien grand mot, de la main il frotte simplement son corps en faisant couler l'eau sur sa peau marquée.

    Aline épuisée et cassée se laisse faire sans aucune révolte voire apprécie le contact apaisant qui accompagne l'eau fraîche sur ses épaules et ses bras. La main frotte maintenant ses fesses. Elle frémit aussitôt car ses doigts suivent son sillon fessier. Irrémédiablement, il lave aussi entre ses jambes qu'elle resserre. Alan essaie de laver son intimité, elle est outrée de cet attouchement. Il insiste puis s'arrête dès qu'il aperçoit un cavalier entrer dans la cour.

    Ce dernier met pied à terre près d'eux avec une certaine classe. Il est grand, mignon, carré des épaules et sa tenue de cavalier le met en valeur. Aline, passionnée d'équitation a toujours éprouvé une attirance pour les beaux cavaliers. En d'autres temps et autres circonstances, elle trouverait cet homme attirant et se laisserait bien volontiers séduire mais sa condition actuelle fait que ses pensées ne sont point exaltées par son charme.

    - Bonjour Aline. J'espère que vous avez fait bon voyage et que vos premières heures chez nous n'ont pas été trop difficiles. Il est dans mes habitudes d'accueillir les nouvelles pensionnaires, mais j'avais à faire ce matin. Lors de mon départ je suis passé vous voir, mais vous étiez si jolie et si tendre à regarder dans votre sommeil, que je n'ai point osé vous réveiller. Alan, occupez-vous de mon cheval !

    Aline tremble de peur devant ce blond aux yeux bleus qui semble être le maître des lieux. Ses bras se couvrent de chair de poule, lorsqu'il saisit la longe près de son collier.

    - Venez ma chère, je vous accompagne, nous pourrons ainsi faire connaissance.

    Guidée avec douceur et non pas tirée comme ces brutes qui l'ont martyrisée, elle est conduite dans un bâtiment compartimenté en box surmontés de grille noires.

    - Sachez mademoiselle, que la cruauté délibérée ne fait pas partie de nos scènes ou de nos jeux, mais nous n'hésitons pas à punir chaque fois que nécessaire. Comme vous l'avez compris, pour les punitions nous utilisons la cravache ou le fouet. Je vais vous apprêter et vous installer dans un box plus confortable en espérant ne pas avoir à utiliser la force pour vous convaincre.

    Sur ces mots, il décroche un harnais de tête en cuir noir et l'approche du visage d'Aline qui se recule aussitôt apeurée.

    - N'ayez pas peur, je n'ai nullement l'intention de vous faire du mal, je..........

    - Qu'allez-vous faire de moi ? Le coupe Aline morte de peur et de honte d'être nue et attachée devant cet homme au langage châtier.

    - Je vais faire de vous une ponygirl, mais rassurez-vous cela ne fait pas mal. Au contraire, vous allez faire du sport en partageant nos passions. Sachez que je n'aime pas être coupé !  

    - Mais vous êtes fou ! Laissez-moi partir !

    - Mademoiselle, je n'ai que faire de vos remarques et requêtes, de grâce, ne m'obligez pas à sévir ! Je n'éprouverai aucun plaisir à vous faire souffrir ! Dit l'homme en saisissant une cravache qu'il passe avec douceur sur la cuisse frémissante d'Aline.

    - Nooon, s'il vous plait, ne me faites pas de mal !

    - Là n'est point mon intention, penchez-vous en avant et présentez votre tête que je vous enfile ce harnais ! 

    Le ventre noué et pétrifiée de peur, Aline ne réagit pas. L'homme claque légèrement sa cuisse de la pointe de la cravache. Le message est fort clair et le silence pesant.

    Aline en hurlerait de rage mais obéit cramoisie de honte en s'approchant les yeux embués de larmes. Quand il lui enfile avec douceur et méthode le harnais fait de sangles et de deux gros anneaux métalliques autour de sa tête, elle ne bouge pas d'un pouce, figée par la crainte de sa cravache.

    Un sentiment d'impuissance absolue submerge Aline quand il retire le collier qu'elle a autour du cou pour fermer derrière sa tête ce harnais infamant. Les gros anneaux de fers sont plaqués contre ses joues par les sangles qui passent sous son menton et autour de sa tête. L'emblématique de sa nouvelle condition la fait craquer.

    - Pourquoi tant de cruauté ? Demande Aline en pleurant.

    - Vous ai-je fait souffrir dans vos chairs ?

    - Non, mais vous me séquestrez et m'humiliez.

    - Que de mots pour ces plaisirs que certaines filles adorent. Savez-vous que nous avons des pensionnaires volontaires ? Hommes et femmes d'ailleurs. Nous avons même une fille qui comme vous est venue sous la contrainte. Aujourd'hui grâce à nous, elle s'est épanouie et ne partirait pour rien au monde. Tournez-vous que j'apprête votre buste au demeurant magnifique !

    - Oh ! Excusez-moi, je ne me suis point présenté. Je m'appelle Richard ! Dit l'homme en posant un ensemble de sangles et de fers froids sur ses épaules.

    Il les ajuste sur le jeune buste en guidant délicatement un sein de la paume de sa main dans un gros anneau, puis fait de même avec l'autre. L'émotion et le contact froid font se gonfler les pointes roses des seins au milieu que l'auréole brune qui contraste avec la blancheur de sa peau et les lanières noires. Des courroies sont liées dans son dos gracieux, d'autres guidées entre ses jambes fuselées pour être fixées à l'avant du harnais. Prise dans un tourbillon de sentiments de honte et de désespoir, Aline se laisse manipuler en pleurant. Les lèvres de son sexe dépassent outrageusement du harnais.

    Le harnachement terminé, il la guide dans un box, en prenant au passage un sac de biscuits secs qu'il vide dans une mangeoire angulaire en plastique. Puis il ouvre un robinet au-dessus d'un bac mural situé dans l'autre angle. Le maître des lieux fixe une longue chaînette à son harnais de tête et sort en fermant la porte.


    - Les invités seront là demain et comme vous n'êtes pas encore débourrée, je m'occuperai personnellement de votre éducation cet après-midi. Je vous conseille vivement de vous alimenter et de vous reposer car un débourrage peut être épuisant ! Lui recommande Richard en la laissant debout les pieds dans la paille, hébétée, et choquée.

    - Mais comment vais-je faire pour manger avec ces menottes ? Hurle soudain Aline.

    - Faites preuve d'imagination ! Lui répond le maître des lieux en quittant le bâtiment.

    A suivre

    TSM

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  • L'île de la tentation

    Par TSM

    Et oui, cher lecteur, ce titre est bien celui de la célèbre émission de télévision dans laquelle deux équipes constituées de jeunes filles et de garçons s'affrontent autour d'une chasse au trésor sur une île paradisiaque. Plaise à vous de continuer la lecture de ce récit, mais attention, ce n'est pas un roman à l'eau de roses.

    Diverses photos, prises au hasard sur le net agrémenteront votre lecture mais ne correspondent pas à celles que l'armée a saisie lors de son intervention  « musclée » et pour cause ! Je n'ai plus accès au dossier, mais si tel était le cas, je ne les aurai jamais diffusées pour ne pas aller me reposer dans un centre de loisirs pour adultes, centre qui ne fait jamais portes ouvertes si vous voyez ce que je veux dire.

    Je caresse donc l'espoir que vous ne me tiendrez pas rigueur des changements de décors ou de filles sur les photos. Considérez-les tout simplement comme un petit plus.

    Bonne lecture

    .........................

    Aline, une jolie blonde sportive âgée de dix-neuf printemps, a comme beaucoup d'autres, adressé sa candidature pour cette célèbre émission en rêvant de passer à la télé. Son visage pointu, ses longs cheveux soyeux et son petit nez dominé par des yeux d'un bleu profond lui donnent un petit air félin.

    Cette adorable jeune fille au visage étincelant de vitalité ne sait pas, quand elle observe le paysage à travers le hublot de l'avion qui la transporte sur l'île dont elle a tant rêvé, c'est qu'au service courrier de l'émission, un ignoble personnage surnommé le « Renard », travaille en sous-main pour un réseau.

    L'arrivée à l'aéroport de Colombo au Sri Lanka, ex Ceylan, s'est faite sans encombre. Aline a repéré immédiatement le panneau « L'île de la tentation » au milieu de ceux des Tour Operator et de la foule de touristes.

    Le transport dans un 4X4 poussif qui fume autant qu'un train à vapeur du début du siècle, n'inquiète pas Aline qui est d'un naturel joyeux et insouciant. Elle se désole dans un premier temps à la vue des bidonvilles et de ces pauvres gens pour finalement s'émerveiller de la végétation luxuriante de cette île paradisiaque dès la sortie lointaine de la ville qui s'étale. 

    Après avoir effectué des déplacements de « tuc tuc » particulièrement osé et au mépris le plus total des lignes jaunes, le véhicule tout terrain s'éloigne de la côte et des grandes routes où l'on compte le temps de déplacement en heures et non pas en kilomètres comme lui a indiqué le chauffeur.

    Sur un pont « Washing machine » lui indique Alan en lui désignant du doigt les femmes qui lavent encore le linge dans la rivière. Sur un chemin goudronné mais fort difficile, elle se met à hurler quand un iguane traverse la route devant le véhicule. Elle aime tant les animaux qu'elle a eu réellement très peur et surpris le chauffeur. Puis ils prennent un chemin épuisant qui n'en fini plus et croisent un éléphant. Aline réalise déjà sont rêve d'aventure même si elle est maintenant épuisée par le voyage sur ces chemins chaotiques loin de tout confort.  

    - Allez poupée, descend ! Dit le chauffeur d'un air moqueur lorsqu'il arrête la voiture devant le bâtiment principal d'une grande ferme perdue dans la montagne.

    Alan le chauffeur, âgé d'une quarantaine d'années, soulage Aline de son sac à dos qui le remercie d'un sourire, puis la guide vers les dépendances. Alors qu'ils s'approchent des écuries Aline s'écrie joyeusement :

    - Oh, vous avez des chevaux, c'est génial ! Lance la belle aux cheveux dans le vent. J'ai fait de l'équitation pendant des années. Pensez-vous que nous pourrons monter pendant notre séjour ?

    - Oui ma poule, ici on pratique l'équitation, mais pas celle que tu crois. Ici, notre passion, c'est le Ponygirl.

    - Qu'est-ce que c'est ? Demande Aline avec son petit air innocent.

    - Tu vas voir ! Lucie ! Approche, vient ! Rigole le chauffeur en attrapant brusquement le bras d'Aline qu'il serre fermement.

    Une fille nue, monstrueusement attachée par un collier de fer et les bras liés dans le dos apparaît à la porte d'un box. (Photo 1) Devant cette vision d'horreur Aline a l'impression que son cœur va exploser. Saisie de tremblements, elle essaie en vain de se libérer de la poigne d'acier qui broie douloureusement son bras puis de gifler le chauffeur. Il refuse de la lâcher en rigolant grassement de sa surprise. 

    Alan ceinture fermement l'angélique au corps de rêve qui hurle en se débattant bien inutilement, face à sa force herculéenne. Insensible aux coups de pieds, il la porte dans un box puis la jette dans la paille comme un vulgaire sac puis referme la porte derrière eux.

    Aline bondit aussitôt mais face à elle, le bel homme est devenu en l'espace d'un instant, un ignoble colosse les yeux injectés de sang. Le visage crispé, la gorge serrée, elle se plaque de frayeur contre le mur.

    - A poil !  

    - Non, non, s'il vous plait, non ! Ne me faites pas de mal ! Laissez-moi partir ! Pleure Aline qui se sent piégée, loin de tout et au bout du monde.

    En refusant de se soumettre, Aline ne sait pas qu'elle excite Alan, qui se délecte déjà d'un corps à corps avec cette jeune pouliche pleine de vie. Sans renouveler sa demande, il s'approche d'elle lentement avec un sourire carnassier posé sur lèvres. Ce sourire a été déclenché par le regard implorant et larmoyant d'Aline. Hummmm qu'il aime ça, la peur de ses victimes, l'expression de terreur sur un joli visage féminin le fait bander, tout comme les films d'horreur avec du sang et des victimes qui souffrent.

    La distance qui les sépare se réduit, lentement, progressivement, irrémédiablement. Avec l'énergie du désespoir, Aline essaie de fuir, mais il est trop tard, il était déjà trop tard quand elle est montée dans l'avion.

    D'une main leste, il l'attrape par les cheveux puis la serre contre lui. A l'issue d'une lutte inégale, elle est plaquée dans la paille sous cet homme brutal qui l'écrase de tout son poids puis lui broie ensuite le dos de son genou. Elle hurle à gorge déployée, convaincu qu'il va la violer, mais non, là n'est pas son objectif, il lui lie les poignets ? En quelques instants, elle se retrouve debout, les bras liés par une corde fixée à un gros anneau dans mur. Aline, sans défense, a l'impression de sombrer dans la déchéance absolue quand il se met à pétrir sa poitrine à pleines mains à travers son chemisier.

    - Pas mal les doudounes et bien fermes en plus ! Hummmm, tu es appétissante ma belle, on va bien s'éclater tous les deux !

    Aline est terrorisée et se mord les lèvres jusqu'au sang. Elle a l'impression de mourir un peu lorsqu'il manipule la ceinture de son pantalon, qu'il dégrafe et baisse sans ménagement. La main d'Alan caresse un instant son ventre plat à la peau de pêche. Le joli visage plissé d'horreur, le corps tendu comme un arc, elle supplie de sa petite voix quand les ignobles caresses deviennent plus précises.

    Il plaque soudain sa main en cuillère sur son string noir, mince rempart sous ses doigts empressés. Elle a beau serrer les cuisses, le majeur d'Alan s'enfonce déjà un peu dans son intimité à travers le tissu. Pliée en deux pour fuir l'attouchement, elle pousse de petits « non » plaintifs entre les sanglots presque enfantins. 

    Soudain, il s'écarte d'elle en lui disant : « ne bouge pas ma poule, je reviens » !

    L'attente ne dure que quelques minutes, minutes qu'elle pourrait mettre à profit pour essayer d'ouvrir les liens avec ses dents, mais son esprit embrumé par la peur et la honte, ne lui permettent pas de penser à cette éventualité. Ce temps là, elle le passe à pleurer sur son sort puis à tirer sur la corde en massacrant la peau fragile de ses poignets et de ses mains. (photo2)

    La porte qui s'ouvre augmente encore la peur panique qui la ronge. Alan entre avec un appareil photo numérique et commence à mitrailler sa victime. D'une main, il écarte la ficelle de son string et la photographie sous tous les plans, en tournant autour d'elle comme un loup qui joue un peu, avant d'égorger une brebis égarée.




    L'apparition de Lucie

    Alan fait des photos

    Il pose son appareil puis arrache, plus qu'il ne retire, les chaussures puis le jean d'Aline qui pousse maintenant des hurlements et des « non » de petite fille chaque fois qu'il la touche. Son torse est violemment dénudé à grand coup de couteau, le soutien-gorge ne résiste qu'une seconde à la lame effilée.

    Sa poitrine généreuse est aussitôt l'objet de pincements et attouchement multiples qui la font crier, cris qui amusent encore le bourreau et qui berceront ses rêves érotiques cette nuit.

    La porte du box est ouverte par une femme brune, d'une quarantaine d'années.

    - Ca suffit ! Met la en condition pour la nuit et va t'occuper des autres !

    A suivre

    TSM

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  • Témoignage d'un soumis TV venu chez les TSM

    En préambule :

    Nous sommes un couple adepte de la Ds, DD et nous pratiquons le SM. Nous recherchons un soumis attitré pour entretenir une relation suivie et de confiance. Les premières rencontres sont toujours sympas avec le plaisir de la découverte, mais les relations suivies offrent bien d'autres plaisirs avec la confiance qui s'installe.

    Nous avons rencontré en fait deux personnes en une, un homme charmant puis une très jolie TV à apprivoiser. Son approche psychologique de sa double personnalité est originale et fort sympathique en nous constatons encore une fois que les vrais adeptes du BDSM, quelque soit sa forme de pratique, ont une grande richesse intérieure.  

    Son pseudo et son prénom ont été volontairement changés pour préserver son anonymat. Ci-dessous son témoignage.

    TSM

    P.S. Notre annonce recrute soumis est toujours d'actualité, ..... 

    Cela fait longtemps que j'avais envie de faire une photo humoristique.

    Celle-ci est issue d'un des jeux que nous avons pratiqués avec la trés charmante Annabelle.

     

    Rencontre d'Annabelle

    L'histoire commence par un petit message éléctronique qui s'afficha un jour de décembre, sur un écran d'ordinateur. Il s'ensuivit une discussion agréable et conviviale qui déboucha sur une rencontre. Il serait possible, de relater les différentes impressions et ressentis d'un de ces acteurs, mais le but de cette lettre n'est pas ici.

    Je me permet de relater ce récit, car je pense connaître une des protagoniste. Annabelle .

    Apres son échange avec TSM, elle devait lui adresser une fiche renseignée. Sérieuse et honnète, je vis Annabelle  s'atteler à la tâche. Elle était là, réfléchissant à ce qu'elle pouvait répondre. Elle commenca méthodiquement à répondre déjà les reponses négatives, puis celles qu'elles n'apréciainent pas de trop. Pour le reste, que pouvait elle répondre? Objectivement, elle était de nature soumise, et se voyait mal dire j'aime, j'aime pas. Dire honnètement, non, ceci je ne peux pas car je ne pourrais me voir ainsi, d'accord, mais pour le reste?

    Il est bien difficile de répondre ainsi. En effet, les dominants on aussi leurs désirs, leurs envies. Nous avons aussi des fantasmes, peut être inavouables ou que l'on n'ose pas dire. Il y a tant de paramètres, son état physique, psychique.

    Mais, ce qui compte le plus, c'est avec qui l'on est. Pour Annabelle , je sais que pour elle ce qui compte c'est la confiance, la complicité, se sentir bien avec les personnes. Je sais qu'ainsi, pour elle, les limites disparaissent pour s'ouvrir sur un espace de liberté. Annabelle , n'est pas une personne qui dit non. Tout du moins, saut si pour elle cela reste insurmontable, mais elle aura l'honneteté de le dire avec gentillesse. Elle aime aussi découvrir. Mais elle aime avant tout appartenir, se savoir aimée et offrir tout ce qu'elle a de mieux.;

    Après avoir répondu à cette fiche, elle commenca sa préparation. Elle ne se posa pas la question de savoir, si cette rencontre se terminerait par un jeu ou pas. Elle se devait d'être prête à s'offrir, à s'abandonner tout simplement.

    Elle commenca par plusieurs lavements afin d'être propre au plus profond d'elle même. Elle prit sa douche, se parfuma d'un lait de toilette odorant. Puis elle enfila une paire de bas noirs à larges jarretieres. Elle mis son corset de cuir et son string noir à fleur rouge. Elle hésita à mettre sa petite cage de chasteté, mais y renonca. En effet, ce n'était pas à elle de le faire. Elle se pinca un peu les tetons afin de les faire ressortir pour mieux y accrocher les petits cables fins de son collier en chainette. Annabelle , aime se faire belle, travailler le détail afin d'être séduisante et de provoquer le désir. Elle hésita à prendre les cuissardes ou les bottes rouges. Elle mit tout de suite de coté les escarpins dont les talons étaient encore bien trop hauts pour elle. Elle se décida enfin pour les bottes rouges à talons métalliques. Elle rangea sa valise, en y glissant divers accessoires.

    Elle se sentait bien, heureuse, elle était déjà elle même. J'étais d'ailleurs très étonné de la voir ainsi, elle qui était parfois si timide ou tout du moins si réservée. Mais TSM, l'avait bien aidé. Celui ci l'avait rapidement mis en confiance durant leur échange sur le net et au téléphone. Il était très agréable, avenant et joyeux.

    Arrivée, Monsieur fit entrer Annabelle . Ces trois personnes se saluèrent puis discutèrent devant un verre. Je vis alors qu'Annabelle  se sentait tres bien et que déjà elle était prête à s'offrir. Pourquoi donc si vite? Il faut dire que ce couple était si agréable et simple. Je voyais un couple très complice, Madame semblait très douce et un peu réservée, Monsieur quant à lui était plus exubérant. Ils se complétaient à merveille. Annabelle  avait envie de défaire quelques boutons de chemise afin de faire deviner son collier et montrer son envie. Mais ceci aurait été des plus déplacés.

    Après quelques discussions, et alors que Monsieur commençait à faire chauffer le repas, Madame demanda à Annabelle  d'aller se changer. Mon dieu, qu'elle bonheur, était ce possible. Annabelle  ne se fit pas prier, elle désirait tant se montrer et le sséduire. Madame l'accompagna dans la chambre et pour ne pas lui faire trop peur, elle la laissa se préparer.

    Annabelle  quitta rapidement son pantalon et sa chemise. Elle mit ses bottes rouges, puis sa petite jupe noire. Elle prit sa perruge et sa trousse de maquillage et se dirrigea vers la salle de bain. Là, elle se poudra légèrement le visage appliqua un contour des lèvres puis le rouge à lèvres. Ensuite elle poàsa sa perruque et se coiffa. Elle se regarda une derniere fois, puis alla se présenter, tout en esperant aussi bien séduire Madame que Monsieur.

    Je me rappelle le bonheur d'Annabelle , quand Madame lui carressa les cheveux et lui dit qu 'elle était belle. Un instant magique. Puis Madame lui mis le collier.

    Le repas commenca tout en poursuivant la discussion très agréablement. Annabelle  aida à débarrasser la table avec Monsieur.

    Puis Monsieur demanda à Annabelle  de prendre appui avec ses deux mains sur le rebord de l'évier. Annabelle  s'exécuta. Il lui fixa alors une chaine reliée du robinet à son collier et lui demanda de faire la vaisselle.

    La suite de l'histoire sera racontée plus tard. Cependant, à ce stade il est bon que je dise certaines choses car qui d'autre que moi pourrait dire ce que ressent Annabelle, à part elle même, mais elle est bien trop timide pour l'exprimer.

    Cette rencontre et ce qui s'en est suivi, a été un merveilleux moment de plaisir non simulé. Le plaisir d'être soi, d'une autre façon. Le plaisir d'avoir rencontré des personnes agréables amicales conviviales mais aussi tendres. De merveilleux joueurs qui ont pris soins d'Annabelle, de lui apporter beaucoup de plaisir et je l'espère d'en d'avoir pris également.

    Mais également, le plaisir de s'abandonner, de s'offrir de vouloir appartenir. Le plaisir de se laisser aller aux envies, aux plaisirs des dominants, de leur offrir son corps mais aussi une partie de soi. Devenir ce que l'on veut bien que vous soyez.

    Donc se fut un très grand moment de bonheur entre vos mains. E t si d'aventure Annabelle  répond à votre recherche, n'hésitez pas. Elle existe et serait ravie d'être à vous.

    Annabelle


    CONCLUSIONS par TSM

    Lors de cette soirée, nous avons échangé puis joué avec son corps et son âme jusqu'à deux ou trois heures du matin et éprouvé beaucoup de plaisirs. Je lui laisse donc le plaisir de dévoiler ce qui s'est passé et ce qu'il a ressenti lorsque nous avons joué avec son corps,

    "Devenir ce que l'on veut bien que vous soyez". Cette phrase est forte de sens non ?

    OUI, nous voulons bien volontiers cela, mais n'est-ce pas ce que l'on appelle le respect ?  

    OUI il est bien possible que nous nous revoyons pour affiner cette relation Ds avec Annabelle et pourquoi pas que nous trouvions affinités amicale avec son coach masculin.


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