• SI ELLE SAVAIT ! ! !


    EN PREAMBULE
    Le nom des acteurs de cette histoire ont été changés pour respecter l'anonymat. Toute ressemblance à un personnage existant ou ayant existé serait un pur hasard.

    .........................(O!O) ..................................


    Aquarelle, la très sympathique et célèbre artiste de la vidéo sur FR3 a répondu sans le savoir au pire des manipulateurs. Sans même sans douter, elle s'est jetée dans une aventure érotique dont elle ne maîtrise pas l'issue. Pour plaisanter, elle a adapté une vidéo sur un homme qui se fait piéger chez une Maîtresse. Après avoir réécouté plusieurs fois ce clip et la si jolie voix, le diabolique pervers pas pépère s'est mis en tête de lui donner une leçon particulière, très particulière....

    Le samedi vers 12 heures, l'insouciante arrive en train à la gare de Lunel où elle vient pour tourner un clip musical orienté sur la fessée avec des séquences humoristiques et si affinités quelques jeux de fessée. Par la fenêtre du wagon elle aperçoit l'homme à la pipe, c'est le descriptif lui permettant de le reconnaître dans la foule. Il tient sa femme tendrement dans ses bras et lui chuchote quelque chose à l'oreille sur le quai. Cet homme a l'air de n'être qu'un tendre coquin et voir leur complicité la rassure. Si elle savait ! ! !

    Tout le long du trajet les conduisant à la maison située en pleine campagne, ils échangent des banalités sur un ton bon enfant. L'ambiance est cordial, sympathique, il n'y a aucune tension ni vulgarité, même lorsqu'ils parlent du forum « oserais-jeux » un lieu d'échange fort sympathique sur la fessée. Il fait un temps magnifique, une table dressée sur la terrasse leur tend les bras, la fumée du four à pain diffuse des senteurs provençales, les rosiers et le bougainvillier apportent une touche colorée à ce qu'elle appelle un « havre de paix » si elle savait ! ! !

    Pendant le déjeuner, le soleil et le champagne font cause commune pour la rendre très réceptive aux provocations sensuelles du couple. Autant par goût de la provocation que par jeux, Marc s'amuse à claquer les délicieuses fesses de sa douce moitié, siège naturel de toutes les convoitises d'Aquarelle qui se laisserait bien volontiers aller à en rajouter, l'épouse complice ne s'offusquant point de ces tapes taquines affectueuses.

    L'alcool la rendant très réceptive, provoquée et poussée dans ses retranchements, l'insouciante joue l'arrogante sans savoir qu'elle se jette tête baissée dans un piège. L'épouse joueuse à cet instant n'est plus une copine de jeux mais la complice du pervers pas pépère. Son naturel joueur et son goût pour les jeux entre filles se cumulent à merveille avec la pointe de jalousie qui a effleurée Madame un instant lorsque son mari lui a parlé d'Aquarelle.

    L'invitée ayant du savoir vivre, elle aide à débarrasser pendant que Marc installe prépare le matériel pour filmer et faire des photos. Dans la cuisine les filles s'amusent, se claquent les fesses puis conspirent sur ce qu'elles pourraient faire comme surprise à Marc après le tournage. Si elle savait ! ! !

    Sous le noyer, pendent des chaînes accrochées à une grosse branche, il est prévu dans le scénario qu'Aquarelle va passer son BEP de Maîtresse et doit se soumettre à quelques pratiques pour connaître les sensations qu'il y a des deux côtés du martinet. Ce qu'elle ne peut imaginer lorsqu'elle passe elle-même les menottes accrochées aux chaînes en jouant l'élève espiègle, c'est que c'est un CAP de soumise que ses hôtes si cool et si cordiaux ont décidé de lui faire passer !

    Ses poignets entravés ne l'empêchent pas de s'amuser ni de donner des coups de pied à ses hôtes, comme si elle se rebellait quand ils entreprennent de baisser sa jupe. Soi-disant pour créer une ambiance propice à l'étude, ils lui posent un bandeau sur les yeux, elle ne réfute pas, complètement prise par le jeu. La surprise est un bâillon boule non prévu, surmonté d'une large bande de cuir et de sangles, il lui coupe réellement toute possibilité de s'exprimer. Une inquiétude la submerge soudain, Auqarelle se demande à cet instant si elle n'a pas été folle de s'offrir ainsi. Quand Marc tire soudain le devant de son panty pour y plonger les mains et quelque chose qu'elle ne connaît pas, Aquarelle prend peur et se demande s'il ne va pas la violer puisqu'il était convenu qu'il n'y aurait pas de sexe lors de leur rencontre.

    D'un coup de genou, il force l'ouverture de ses jambes, place brusquement une boulle contre son sexe et remonte aussitôt son panty avec insistance. A l'aide d'une corde, il commence à ligoter sa taille puis à lui faire un string. Elle crie et râle mais rien n'y fait, ils ne l'écoutent pas et ne comprennent pas que le jeu ne lui convient pas, ne lui convient plus, qu'elle veut être libérée. Elle se débat un peu mais en même temps, il lui revient en mémoire que la violence attire la violence. Elle se hait, se déteste, se traite de débile. Si elle savait ! ! !

    On touche au manche de la boule, quand celle-ci se met à vibrer, Aquarelle comprend que c'est un vibro, mais elle n'en a jamais connu un qui ait cette puissance. Un truc de pro pense-t-elle, « je me suis offerte à des pros du sadisme ». On caresse ses fesses avec douceur, les mains qui la touchent sont féminines, cela la rassure un peu. Si elle savait ! ! !

    Ces mains tendres et douces vont la faire chanter une mélodie qu'elle ne connaît pas, celle qui conduit les masos au subespace.

    - Alors coquine, comme ça on veut passer un BEP de Maîtresse, je crois que Marc a d'autres projets pour toi, mais si tu es sages, tu devrais aimer. Mais tu as vraiment intérêt à être sage car tout à l'heure mon fouet pourra te faire pleurer de plaisir ou de douleur, tout va dépendre de toi.

    - Hummmmmm ooonnnnnnn ! Sont les seul propos compréhensibles d'Aquarelle qui se souvient maintenant que Marc lui a parlé du fouet.


    Les mains féminines passent sous le tee-shirt d'Aquarelle et viennent titiller avec malice la pointe de ses seins. Au bout de quelques instants, ces attouchements et les intenses vibrations dans son panty commencent à lui faire tourner la tête, totalement dépassée par les évènements, elle se sent objet, soumise, sa peur commence à fondre comme neige au soleil. Elle se sent piégée certes, mais ils ne semblent pas fous ou violents. On fixe quelque chose à ses chevilles, ce sont des entraves mais pourquoi faire se demande-t-elle, je ne peux déjà plus leur échapper. Si elle savait ! ! !

    Les jambes maintenues écartées par une barre, les poignets liés au dessus de sa tête, aveuglée et bâillonnée elle ne s'est jamais autant sentie offerte. L'inconnu lui fait peur mais en même temps elle sent monter en elle une sourde excitation jamais connue auparavant. Est-ce le fait d'être attachée ainsi, ce truc diabolique sur mon clito, ou d'être à la merci d'un couple dominant qui me met dans un état pareil se demande Aquarelle ?

    Son panty transformé en string, lui annonce que le jeu va changer. La captive a peur et bave lamentablement sans même s'en rendre compte, ses neurones se sont concentrés sur les éléments extérieurs qu'elle ne peut voir. Les lanières d'un martinet s'abattent sur ses fesses avec douceur, puis, dans un subtil roulement heurtent son épiderme sans violence. La fessée vient de commencer.

    Au fil des minutes, l'intensité et la rapidité des coups montent en puissance, la légère douleur ressentie s'oublie, se sublime, au profit d'une sensation de plénitude incroyable. Elle est si bien qu'elle sent à peine que l'on remonte son tee-shirt pour exposer sa poitrine à la surprise de Marc. Le soutien-gorge et le vêtement léger sont accrochés sur ses épaules par des pinces à linge, exposant aux pinces digitales la plénitude de ses jeunes seins généreux à la courbe parfaite. Saisissant l'une après l'autre les délicates fraises des bois s'exposant dans leur plénitude, il y pose des pinces à seins réglables. Avec douceur il affine le serrage des branches métalliques, un tintement inexpliqué trouble Aquarelle.

    Un coup de martinet plus appuyé la fait bondir, les clochettes accrochées aux pinces à sein se mettent à tinter. Les diaboliques complices l'appellent la « fée clochette » et s'amusent avec son devant et son derrière. Submergée par cette délicieuse dictature et la boulle vibrante diabolique contre son clitoris exacerbé, s'il lui était donné à cet instant la possibilité de tout arrêter, poussée par le plaisir et la curiosité Aquarelle hésiterait à demander sa libération.

    La main de Madame remplace le martinet, les claques montent encore en intensité mais l'alternance coups / caresses coquines dispensées la trouble au plus au point. L'excitation masochiste effrite son inquiétude, tenaille son esprit, accapare ses chairs, progresse en elle à une vitesse si surprenante qu'elle lui fait tourner la tête et l'incite à tendre les fesses en arrière pour en avoir plus. Au bout de quelques minutes de ce traitement ne visant qu'à lui donner du plaisir, Marc lui retire le bondage et la boule magique. A cet instant Aquarelle le déteste au sens propre du terme. Si elle savait ! ! !

    On écarte son panty, elle s'attend maintenant à être prise mais il n'en sera rien, ici une parole est une parole, mais elle ne peut le savoir.


    Madame les a laissé seuls quelques instants, Marc joue avec les clochettes accrochées aux seins qui aimeraient maintenant une étreinte plus virile. Elle revient avec un fouet et un objet redoutable dans les mains, c'est un rasoir électrique sans fil dont la grille a été retirée. Les lames sont recouvertes d'un préservatif pour en adoucir les arrêtes et assurer un minimum d'hygiène. Le bloc de mini-lames ne coupent pas mais l'intensité des vibrations est telle qu'appliquée sur un clitoris, les effets sont titanesques et très rares sont les filles qui résistent au plaisir qu'il génère s'il est bien manié.

    Le fouet claque doucement sur les fesses et le dos offerts, Marc s'assoie entre les jambes d'Aquarelle puis écarte le panty mettant ainsi à nu le jardin secret de sa captive du plaisir. Lorsque le bloc de lames du rasoir mis en vibration entre en contact avec la partie la plus sensible de l'anatomie d'Aquarelle, celle-ci affolée commence par pousser un cri puis fait des « non, non » très appuyés bien réels dans son bâillon et de la tête. Faisant la sourde oreille à ses suppliques, le bourreau du plaisir approche lentement et sans appuyer le rasoir vers clitoris maintenu accessible par la barre d'écartement et ses doigts.

    Aquarelle hurle en essayant de se soustraire en vain puis s'agite dans tous les sens. Ses tortionnaires ne l'écoutent pas et poursuivent leur ouvrage. Moins d'une minute plus tard, les cris féminins ne sont plus que de longues plaintes de plaisir puis une succession de gémissements. Le nombre de cris et gémissements rempliraient des pages. Elle atteint un degré et un nombre de jouissances qu'elle n'aurait jamais imaginé possible. Une demi-heure plus tard, entre les jouissances dues au rasoir et au fouet, lorsqu'ils la décrochent avec précautions de la chaîne l'obligeant à rester debout, elle est épuisée et repue de jouissance. S'ils ne la tenaient pas, elle s'écroulerait.

    Sur l'épaule de Marc, elle se laisse transporter sans aucune résistance jusqu'à leur chambre et coucher sur le lit. Assis prés d'elle, ils la couvrent et lui caresse le visage comme pour accompagner un enfant à la sortie d'un cauchemar. Son épiderme est à peine rouge, les coquins complices ont été très tendres avec la jeune artiste de la vidéo.

    - Ca va, tu te remets ?

    - Vous êtes des fous, j'ai faillit mourir de plaisir,.

    - Tant que c'est de plaisir, .... ! Lui répondent en cœur les complices.

    - J'ai jouis combien de fois ?

    - Un certain nombre, mais le principal est que tu ais aimé ! Cela t'a plus ?

    - mmmmmmmm ! Fait-elle avec un mine réjouie.

    EPILOGUE

    Bien que les effets décrits en termes de jouissance soient totalement réalistes, cette histoire est le fruit de mon imagination. N'allez pas penser qu'Aquarelle 83 est venue en notre logis cela serait une erreur, ce n'est pas d'elle dont parle cette histoire.

    Entre-nous, il y a pire comme vengeance non ?

    TSM

    Amateur de jolies choses, vous devriez suivre les deux liens ci-dessous......

    BEP de Maîtresse

    http://www.youtube.com/watch?v=9DZvo8DgN5Y&feature=channel_page

    UNE CHAINE à suivre

    http://www.youtube.com/Aquarelle8337

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  • Centre de formation TSM and co 

    Ou une superbe soirée


    J'ai eu l'idée folle d'organiser une soirée Ds et SM le vendredi 6 mars près de Lunel (34) avec comme thème  « Un centre de formation TSM and co ». Il est important de préciser que le centre de formation n'existe pas et que ce n'était là qu'un thème pour la soirée.

    Cette idée folle, m'est venue lorsque Maitre Pierre nous a invités à une soirée privée en son logis. Mon esprits tortueux gambadait gaiement, jeter des idées sur le papier aussi. Je me suis amusé follement jusqu'au jour J en préparant des programmes, un bulletin de note et une trame détaillée avec en prime, une liste de jeux.

    Deux heures avant la soirée, mon estomac se nouait ! Le sac, pardon la valise d'accessoires et la luge étaient prêts. Sacherm est arrivé comme à son habitude, à l'heure et avec une attention pour Madame TSM. Une écharpe, une fleur, il a toujours un geste de courtoisie et de gentillesse lorsqu'il vient à la maison. C'est chose rare, je me devais donc de le dire.

    Un deuxième soumis nous a rejoint en notre logis avec un peu de retard, moi qui devais arriver en avance pour tout préparer, dans mes veines, mon sang frisait l'ébullition.

    Lors de cette soirée, je suis parvenu à offrir un cadeau très particulier à ce que de nombreux soumis rêve d'avoir. C'était ma façon de les remercier d'être venus et de ne pas nous avoir « plantés » comme le font si souvent les fantasmeurs.

    Je leur ai fait donner la fessée, jusque là, rien de bien original me direz-vous, mais lorsque celle-ci est donnée par 4 Maîtresses en même temps, nous en conviendrons, c'est un cadeau pour les adeptes !


    Nous avons ensuite enchaîné folies après folies, sans pour autant parvenir à réaliser la totalité du programme, mais cette soirée restera pour beaucoup dans les anales sans jeux de mots.... Ci-dessous le programme de notre soirée.


    Centre de formation TSM and co

    Le programme


    20 heures

    Classe TV et tenue sous la direction de Maîtresse Yohana.

    Démarche, tenue, posture pour les TV

    Démarche, tenue, posture pour les soumis et chien

    Le plus mauvais élève portera une couche pleine de glaçons et la gardera pour l'atelier suivant. 


    20 heures 30

    Classe d'Art plastique sous la direction de Maîtresse Marie

    Bougie  

    Feutre avec écriture sur le corps

    Epingles à linge déco Marie

    Décoration sur couche

    21 heure

    La cantine

    Service assuré par les soumis(e)s  

    22 heure

     

    Classe d'éducation physique avec le directeur de centre Maître TSM

    Se mouvoir avec agilité (obstacle + accessoires aux couilles)

    Le jeu de la corde aux précieuses en traction accompagné d'encouragements

    Le jeu des poids aux précieuses et quilles accompagné d'encouragements

    Chandelle précieuse et fesses à fesses de salon

    Pony-boy

    La pyramide des soumis

    22 Heure 30

     

    Classe de philosophie sous la direction de Maître Pierre

    Ouverture de l'esprit par les points d'entrée naturels et fist

    CBT Cock Ball Torture sur chaise


    23 Heure

    Classe d'éducation sexuelle sous la direction de Maître JC et Natou

    Fellation, cunnilingus, anul

    Sodom,

    Pénétration naturelle

    Pénétration au gode ceinture par les Maîtresses (et ou Maîtres)

    Exposition

    23 Heure 30

    Infirmerie sous la direction Maître/sse.Jesaispasencore

    Purge à la pompe à vide / Rasoir / Boulle

    Uro pour les adeptes dans la salle de bain

    Minuit

    Devoirs surveillés

    Les punitions non données en cours de soirée

    Un(e) avec une couche avec écrit dessus « vilain bébé »

    Cours de rattrapage

    Nettoyage et rangement de la maison

    Shibari

    1 heure

    Le bulletin de notes.

    La prochaine soirée


    La prochaine soirée aura comme thème le droit du travail ou l'évolution de la convention collective mais ne le dites pas aux gros cochons du conseil des prud'hommes, ils seraient capables de vouloir venir jouer avec nous.

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  • Savez-vous que le cade qui se trouve dans la nature génère de GRANDS plaisirs ? :idea:

    Le genévrier cade (Juniperus oxycedrus), ou encore oxycèdre, est un petit arbre qui se trouve dans le sud. Les branches fines ne sont vraiment pas très douloureuses par contre les petites aiguilles picottent la peau et déclenchent de savoureuses démengeaisons.

    NON, on a pas le feu au "cul" mais les fesses bien chaudes qui fourmillent....
    Comme ces petites aiguilles tombent un peu comme celles des sapins de Noël, après sa "punition" la personne fessée doit faire le ménage.

    Ci-dessous une photo de cade (A couper proprement au sécateur) afin de respecter l'arbre du plaisir Bio.

    T :idea: S :idea: M

      

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  • Savez-vous que le cade qui se trouve dans la nature génère de GRANDS plaisirs ? :idea:

    Le genévrier cade (Juniperus oxycedrus), ou encore oxycèdre, est un petit arbre qui se trouve dans le sud. Les branches fines ne sont vraiment pas très douloureuses par contre les petites aiguilles picottent la peau et déclenchent de savoureuses démengeaisons.

    NON, on a pas le feu au "cul" mais les fesses bien chaudes qui fourmillent....
    Comme ces petites aiguilles tombent un peu comme celles des sapins de Noël, après sa "punition" la personne fessée doit faire le ménage.

    Ci-dessous une photo de cade (A couper proprement au sécateur) afin de respecter l'arbre du plaisir Bio.

    T :idea: S :idea: M

      

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  • Daryl « régresseuse » professionnelle 4


    Chapitre 4

    Il paie une « régresseuse » prof, il est fessé par une salariée dont il tombe amoureux


    Le retour de Daryl me réconforte, elle me change, me lave, je n'ai plus honte, je me sens bien parce qu'elle s'occupe de moi. A la cuisine, le bambin en grenouillère qui monte tout seul sur sa chaise haute c'est moi. J'ai l'impression d'être dans un état second. La journée se passe dans le calme, sans rebondissement. Repas, biberon, sieste, changes, jusqu'à la fin de l'après-midi. Quelqu'un arrive, oh mon dieu, c'est la femme d'hier, celle d'une trentaine environ, vêtue d'un tailleur strict, celle que je voyais bien en chef de service. Pourquoi est-elle là ?

    Pourquoi, je ne saurai dire mais quelque chose me chagrine. Son regard fourbe, ses sourires amusés et la conversation pleine de sous-entendus avec Daryl ne laissent présager rien de bon. Je ressens comme un grand frisson lorsqu'elle s'approche de moi et m'annonce qu'elle va me changer. Le bambin tiré par la main se lève donc de son tapis de jeu pour prendre la direction de l'immense table du salon. Ma couche est changée, ma grenouillère remplacée par la longue robe en flanelle rose avec un Dingo sur le devant.

    La surprise vient d'abord du collant qu'elle m'enfile, il s'agit d'un collant noir qui n'a aucun rapport avec la régression, ouvert à l'entrejambe et avec de jolis motifs je dirai même que sur de jolies jambes, cela serait plutôt la progression de mon Popaul qu'il génèrerait. La deuxième surprise vient de Daryl, qui lui donne un magnifique panty bouffant en satin orné de froufrous sur le derrière. Je suis troublé par cette lingerie et le contact des collants sur mes jambes, bien que la tension soit palpable, il se passe quelque chose dans ma cage de chasteté. Les POIS me rappellent aussitôt qu'il m'est interdit d'avoir une érection sous peine de sanction .

    Je sens bien que cette garce de chef de « sévices » prénommée Cathy  s'amuse avec moi comme le chat et la souris. Ces caresses sur mes jambes qu'elle dit « jolies sont chargées d'hypocrisie.

    - Tu es belle comme ça en bébé travestie, franchement tu me fais bander. Il est beau mon bébé, il va bien chanter tout à l'heure le bébé à sa maman. Me lance-t-elle en me collant la sucette dans la bouche avec une force ne correspondant pas à la douceur de ses propos.

    Elle me plante sur la table avec mes interrogations et mes inquiétudes pour aller s'asseoir dans le canapé à la demande de Daryl qui vient s'occuper de moi. Sa présence me rassure un peu car cette furie en tailleur me semble terriblement dangereuse. Daryl m'invite à me lever puis me guide vers le canapé pour me donner un biberon de jus de fruits dégueulasse mais je prends sans discuter avant de me conduire au chevalet de punitions qui soudain me terrifie. Devant ma résistance physique, elle n'exerce aucune effort et se contente de m'expliquer de sa voix douce qu'elle sait que j'ai été vilain cette nuit et que l'emballage du préservatif qu'elle a trouvé par terre n'a pas du servir à contenir baballe....


    - Tu veux que je raconte à Cathy ce que vous avez fait cette nuit en plus des cinq coups de canne que je vais te donner ? André m'a tout raconté et a reçu une fessée, toi cela sera seulement cinq coup de canne, plus après avoir fait des cochonneries tu ne vas pas en me faire un caprice ?

    Même si les voyants d'alarme de mon tableau de bord de prudence clignotent tout azimut, je me laisse installer sur le chevalet de punitions. Les genoux posés sur les solides supports recouverts de cuir, je m'allonge sur la barre centrale rembourrée. Elle entrave aussitôt mes poignets, mes pieds et mes cuisses sont solidement fixés, présentement, fuir ne m'est plus possible même si j'y mettais toute mon énergie.  

    Même si je suis un adepte du bondage, dans les flux et reflux de mon masochisme mon désir secret de découvrir les effets de la canne se mêle à une sourde appréhension. Mes neurones embrumés l'attribuent à la présence de la mégère en tailleur, dans l'intimité je suis assez fou pour avoir envie de tout découvrir. Daryl baisse le panty, la couche puis se place de côté et caresse mon fessier de sa canne, sûrement pour me permettre de me préparer psychologiquement. Le premier coup tombe soudain, le sifflement de la canne ne m'a pas laissé le temps d'anticiper la douleur, ouf, sans être insupportable, cela est saisissant. La même puissance avec une cravache aurait été peut-être plus douloureux, mais là, les effets s'inscrivent sur les deux fesses en même temps en un long trait de feu. Le visage souriant de la chef service apparaît dans mon champ de vision castrant aussitôt ma concentration.

    - Le patron de la société « jeux-en-famille » qui se travesti, porte des couches et joue au gros bébé va sûrement éprouver quelques difficultés à manager son personnel si cela se sait ENFOIRE !

    Le deuxième coup n'est pas très violent mais voir cette mégère qui ME connaît et connaît le nom de MA société et se délecte de ma douleur génère en moi la honte et une rage indescriptible.   

    - Monsieur Caraco, le hasard nous a permis de nous rencontrer, quelle chance pour ma fille, quel manque de chance pour vous. Vous souvenez-vous de la secrétaire que vous avez virée parce qu'elle arrivait en retard ?

    Le troisième coup et le quatrième me font bien moins mal aux fesses que la crampe qui me vrille soudain l'estomac. J'allais hurler que l'on me détache quand le cinquième coup est tombé, une incomparable brûlure embrase mes fesses m'arrachant un cri, un grand AH que j'ai poussé en ouvrant grandement la bouche. La sucette maintenue par la sangle s'y loge, j'ai du mal à fermer mes mâchoires, de la langue j'essaye de la repousser et galère. Mégère Cathy avance la main vers mon visage, je m'attends à prendre une gifle mais il n'en est rien, elle m'aide juste à remettre ma sucette en place. De toute ma vie, je ne me suis jamais senti aussi mal.


    - Je lui ai proposé de venir cet après-midi et c'est un entretien avec la canne qu'elle va sûrement vous faire passer. Sans nul doute cela devrait vous séduire et vous aurez à cœur de méditer à vos actes. Rassurez-vous, elle ne vous fera pas de chantage, ce n'est pas le style de notre famille. Quand je vous ai reconnu, l'idée de vous obligez à la réembaucher m'a traversé l'esprit mais nous n'en ferons rien. Cela serait invivable pour vous deux. Je pense très sincèrement qu'elle va profiter de l'occasion vous faire chanter autrement !

    - fez dégeulafe che que vous faites ! (Parler avec une grosse sucette n'est pas chose aisée)

    - Mais non, c'est juste un petit règlement de compte. Elle n'arrivait pas souvent en retard, c'est faux, votre femme qui est la DRH vous ment par jalousie et vous fait faire des bêtises. Et là, vous allez être puni comme un vilain garnement mais si j'ai bien compris, ces pratiques vous amusent, alors ....amusez-vous bien.

    Quelques minutes plus tard, minutes qui m'ont semblé des heures, on sonne à la porte. Je suis blême, mort de honte, j'ai peur bleue mais je ne veux pas supplier, de toutes les façons elles ne me libèreraient pas et cela leur ferait trop plaisir. Je l'ai dans le c.. et là, cela va être le moment de régler l'addition. Je ne pense pas que la mégère Cathy me mente, elles ne me feront pas de chantage, cela ne ressemble pas à la façon d'être de cette femme mais intérieurement, je me traite de tous les noms « d'oiseau » bien plus fort « qu'imbécile ».

    Une jolie fausse blonde malgré un léger excédent pondéral s'approche. Son très charmant minois expose clairement que la situation l'amuse follement. Les femmes discutent entre-elle, leur propos me glacent le sang, c'est fou ce qu'elles peuvent être crues et limite vulgaires quand elles parlent de nous et de cul.  La mégère Cathy guide sa fille vers mes fesses qu'elle dévoile en ajoutant des commentaires graveleux sur ma virilité, la couche, le collant et le panty rose ne la mettent pas en valeur, c'est sûr !  « Salopes » est le mot qui sonne dans ma tête depuis un moment, mais présentement, ma position ne me permet pas d'exprimer mes pensées.

    - Mademoiselle, il est à vous quelques instant, mais sachez que la canne ne se donne que sur les fesses et éventuellement les cuisses mais jamais sur le dos, vous pourriez le blesser et pas seulement dans son amour propre. Lui explique Daryl.

    - Je ne sais pas si je vais pouvoir même si ce n'est pas l'envie qui m'en manque.

    - C'est le premier pas qui coûte, essayez vous verrez bien, de toutes les façons il ne mourra pas de recevoir quelques coups de canne rassurez-vous.

    Deux petits coups de canne s'abattent sur mes fesses, je sens bien qu'elle les a donnés par principe et sans aucune conviction, une claque bien plus appuyée tombe sur ma fesse droite suivie d'une autre et d'une autre encore plus forte, là, la fessée semble plus du goût de la secrétaire que la canne. J'ai vu des flashs, Daryl ou la mère a fait des photos.

    - Je préfère le fesser, j'ai trop peur avec votre turc. Je peux ? Demande timidement la secrétaire.

    - Eclate-toi, règle-lui son compte ! Lui répond sa mère.

    Ce n'est pas une fessée mais une avalanche de coups qui s'abat sur mon fessier. La belle s'y adonne avec une fougue certaine, il semblerait que cette pratique l'ait faite secrètement fantasmer et que je lui offre sans le vouloir, la possibilité de réaliser son fantasme. Au bout d'un moment je commence à avoir vraiment mal mais une chaleur, une fièvre indescriptible s'empare de mon corps, un courant continu longe ma colonne vertébrale et me fait perdre la tête. Elle s'interrompt comme elle a commencé, brusquement, pour venir s'asseoir par terre face à moi et me retirer la sucette-bâillon. 

    - Nous sommes quittes, maintenant, dit-moi que tu regrettes et que tu t'excuses !

    - Je regrette mademoiselle de ne pas avoir vérifié ce que me disait ma femme qui, pour votre gouverne a été virée de l'entreprise et de mon logis. J'ai découvert qu'elle volait la boite et me mentait d'un bout à l'autre. J'étais manipulé par une garce et depuis que je suis célibataire, tout va mieux, dans ma vie privée comme dans mon entreprise. Je suis vraiment désolé et si vous recherchez un travail, passez me voir, on regardera ensemble ce que l'on peut faire.

    Prise de pitié elle prend ma tête entre ses mains, nos visages se rapprochent, pendant un instant le dialogue muet de nos yeux me surprend, cette fille éprouve quelque chose à mon encontre malgré le fait que je l'ai virée et que je sois aujourd'hui dans une position qui ne peut pas être plus ridicule pour un patron face à une ex-salariée.

    - Ce n'est pas parce que je suis attaché que je suis désolé, je suis vraiment désolé parce que j'ai été injuste avec vous !

    - Moi aussi, on aurait du parler avant que je vous donne une fessée. 

    - Vous êtes charmante, juste, vous me semblez  être quelqu'un de bien, si vous êtes libre ce soir, j'aimerai vous inviter à dîner.

    - Heu, je ne sais pas.

    - Après avoir été injuste avec moi et m'avoir fessé, vous ne pouvez pas me refuser de me laisser essayer de me faire pardonner !

    - Cet enfoiré débile qui joue au bébé t'a viré, tu ne vas aller au resto avec lui quand même ! Aboie la mère.

    - Je crois que si maman, je lui dois bien ça.

    - Ma fille est folle !

    - Oui maman, je suis folle et je vais me laisser inviter.

    - Et moi future belle maman, je craque pour votre fille !


    Fin
    TSM


    AB/DL : (pour Adult Baby / Diaper Lover), couches amoureux

    Ds : Domination Soumission

    SM : Sado Maso


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