• Histoire de bien finir l'année, pour ceux qui aiment lire avec ce texte qui m'est venu en regardant des BD adressées par un ami.

    Pour vous changer un peu des textes et des photos de nos soirées et stage SM, je vous ai pondu une petite histoire en m’appuyant sur la BD ci-dessous. Le texte n’est pas très travaillé mais ce n'était qu'une petite envie d'écrire que j'ai assouvie.

    Bonne lecture et bon week-end.

    TSM

    1-copie-2

    L’étudiante piégée

    Par TSM

     

    Parce qu’elle est jolie et que tous les étudiants lui tournent autour, Laurie s’est faites des ennemies à la fac. Au fil du temps, cette gourmande des plaisirs de la vie, a cédé à quelques prétendants sauf que l’un deux n’était ni plus ni moins le chérie de la diabolique Sarah. Pour se venger, elle a monté une cabale particulièrement odieuse pour sa rivale trop gourmande de sexe.

    Il est 20 heures, son piège est prêt. Depuis quelques temps, elle communique par email avec Laurie et construit son piège. Le contenu des emails qu’elle a transformé est sans équivoque, cette fille maso particulièrement salope rêve de viol et de ganband. Les mecs les plus pervers attendent avec impatience cette soirée à laquelle une fille maso inconnue veut s’offrir corps et âme pour se faire défoncer et jouir toute la nuit.

    Pour parachever son œuvre diabolique, Sarah a dirigé les pensées et folies de Laurie très attirée par le BDSM. Elle l’a même aidé à monter un blog agrémenté de photos SM qu’elles ont faites toutes les deux dans une chambre puis dans la chaufferie de la fac. Laurie visage masqué y apparaît en soumise entravée et offerte. La plus grosse des difficultés pour Sarah a été de ne pas étriper sa rivale lors des séances photos puis des discussions coquines entre filles lorsqu’elles construisaient le blog. Les textes de Laurie sont sans équivoques possibles tout comme les photos, elle aime l’amour vache, les rapports musclés et se plait à se jouir attacher quand on lui fait l’amour.

    Hier, Sarah a changé le code d’accès au blog et les photos pour publier celles sans le masque exposant le visage de sa rivale en train de crier « baisez-moi » ou « je veux qu’on me baise en série » puis des phrases toutes aussi provocatrices du style, « les mecs de la fac bandent trop mou pour me faire jouir ». Dans sa folie, elle a préparé une annonce sur le ganband de ce soir où Laurie dans sa soif de sexe et de BDSM se livrerait à tous ceux qui seraient capables de la baiser correctement.

    Depuis le midi, elle diffuse des messages annonçant le ganband où une maso s’offrirait. Vers 18 heures, sous prétexte de fêter son ticket gagnant du loto, Sarah débouche dans sa chambre une bouteille de champagne avec sa copine et l’incite à boire plus que de raison. Sous prétexte d’aller voir ses messages, elle met en évidence une image de fille entravée offerte à des hommes montée comme des étalons. Laurie s’enflamme aussitôt et part dans des délires impudiques.

    Sa rivale la pousse dans ses retranchements en lui faisant de fausses confidences, le mot « pudeur » n’a plus de sens ce soir dans cette chambre où en principe elles devraient se concentrer sur leurs études. Elle lui offre un collant résille ouvert à l’entrejambe, un cadeau « comme ça » entre filles. Laurie impudique et en confiance l’enfile, s’excite plus encore puis achève la bouteille de champagne avant de se laisser lier les mains dans le dos pour une séance de photos. Vers 20 heures, après une centaine de photos, elles sortent sans changer de dessous pour aller faire la fête en ville et passent un grand manteau par-dessus leurs tenues.

    Sous prétexte d’aller récupérer une fiche de cours, Sarah fait un détour par la fac puis lui propose de passer par la chaufferie pour faire d’autres photos coquines. Dans son innocence, Laurie cède à la tentation comme elle cédera à la tentation de s’allonger sur la vieille table transformée en établi pour mimer la pauvre victime qui va être offerte aux étalons. Sarah l’entrave plus que d’habitude, lui rempli la bouche d’une culotte avant d’enrouler du scotch autour de la tête de Laurie pour réellement maintenir le bâillon. L’étudiante manifeste son mécontentement mais il est trop tard pour réagir, ses « hummm » et « onnnnn » restent sans effet. Hormis tirer sur les entraves elle ne peut rien faire. Sarah rajoute des cotons démaquillants sur les yeux de sa victime puis un autre tour de scotch pour les maintenir en place privant sa rivale de tout moyen de communication.

     

    - Même tes larmes ne se verront pas salope !  

     

    La diabolique rivale jubile en sortant de son sac à main une affiche où il est écrit, je suis maso, claquez mes fesses et surtout baisez-moi comme des sauvages même si je crie. Sur les fesses de Laurie, Sarah dessine ensuite deux flèches désignant les orifices offerts. Son piège terminé, il ne lui reste plus qu’à couper la ficelle du string puis à envoyer les textos du téléphone portable de Laurie.

    Les étudiants n’y croyaient pas vraiment, pour eux c’était un canular mais ils se rendent sur le le blog de Laurie qu’ils connaissent pour l’avoir croisée dans les amphithéâtres et sont particulièrement surpris. Pendant que l’incendie court dans les neurones des étudiants manipulés, Sarah efface ses empreintes, abandonne le téléphone portable et va se faire un alibi en béton en allant ennuyer le proviseur pour une histoire d’horaires. Elle se fait rabrouer mais n’en a que faire et insiste avant de se faire jeter purement et simplement. C’est presque au pas de course qu’elle retourne à la chaufferie, accroche un étudiant qu’elle connaît puis lui demande si sa copine a vraiment osé réaliser ses délires ici. La réponse qu’il lui fait est éloquente : « oui, elle est venue se faire tringler par qui le désire ».

    Jubilant, Sarah rajoute aux bavardages et à qui veut l’entendre que ce n’est pas la première fois que Laurie fait ça, mais qu’oser le faire à la fac est une sacrée folie.

    Plusieurs étudiants sont arrivés, ils n’osent pas toucher Laurie fesses à l’air sous son collant ouvert mais ils se laissent aller à des commentaires graveleux. Comme bien souvent dans les groupes, il y en a un qui cherche à se faire mousser, il sait des choses. Questionné, il indique être au courant des délires de Laurie. Elle l’aurait même fait à la fac de Montpellier. Les plus courageux s’approchent mais personne n’ose toucher. La diabolique rivale se doutait de leurs hésitations, mais elle a anticipé.

    - Pour savoir si une fille est excitée, tu sais où il faut mettre le doigt ! Murmure Sarah à l’oreille d’un des plus entreprenants.

    Laurie vit les pires secondes de sa vie, à être ainsi entravée et exposée ventre et fesses nus, totalement offerte devant ces homme abjecte qui viennent voir sa déchéance comme au spectacle mais c’est bien pire encore lorsque l’un d’eux s’approche, touche l’entrejambe offert et constate d’un doigt inquisiteur que l’excitation est là. L’excitation n’est pas, c’est simplement le contenu du tube de lubrifiant que Sarah a vidé dans son vagin avant de s’enfuir et qui s’écoule lentement.

    - Putain les mecs, elle est trempée comme une salope !

    - Cette salope a écrit sur son blog que les étudiants d’ici bandent trop mou pour la faire jouir. Crie l’un deux. Si ça ce n’est pas de la provoc c’est quoi ?

    Deux autres s’approchent, touchent sans aucune gêne et constater que Laurie est vraiment mouillée. La seule chose qui mouille chez la victime sont ses yeux. Murée dans son silence elle pleure toutes les larmes de son corps. Submergée de honte et de rage, elle a pris l’ampleur du piège dans lequel elle est tombée.

    - Cette garce nous allume, on va lui faire voir si on bande mou. S’écrie l’un des étudiants en sortant sa verge gorgée de désir. 

    Ce qu’elle entend lui arrache le cœur, comment peuvent-ils penser qu’elle désire se faire violer ?

    - Ouai, on va la ramoner cette salope et lui faire regretter d’oser écrire ça sur son blog ! Clame un autre en défaisant sa braguette.

    Tirant sur ses liens comme une perdue, Laurie essaie de se soustraire à l’inévitable. Au plus elle bouge, au plus ses fesses deviennent le centre d’intérêt des mâles en rut. Le plus courageux monte sur la table, sous les encouragements des étudiants. Laurie agite sa tête dans tous les sens pour dire « non » mais ses gémissements ne sont pas perçus. La verge tendue fait son chemin entre les cuisses maintenues ouvertes par les cordes, rien ne peut plus l’arrêter. 

    Prostrée et en pleurs elle est prise sur cette table devant tout le monde et ne peut rien faire pour se dérober à l’intrusion de la bite profanant son intimité aux chairs délicates. Elle s’agite sous l'infernal va et vient comme pour se soustraire mais en vain, ou même pire, ses mouvements sont pris comme de l’excitation ou du plaisir et largement commentés. Complètement rompue par le désespoir elle se laisse aller au rythme du ballottement de son corps sur la table en pleurant silencieusement.

    L’étudiant la besogne comme un malade tandis que ses jambes engagent un combat sans espoir. Infatigable et pervers, il la possède jusqu’à sa jouissance en rallant comme un loup solitaire croquerait une brebis malgré la présence des spectateurs.

    A peine a-t-il laissé la place sous des applaudissements obscènes qu’un autre prend la place, ajuste sa verge et s’engage alors dans la fleur féminine comme un rustre. Ses poignets agités de vaines contractions rythment le martèlement violent. Il la laboure purement et simplement comme si la violence d’un coït était une démonstration de virilité.

    Subissant les assauts et coups de bélier de plusieurs hommes depuis plus d'une demi-heure, Laurie n’est plus qu’un réceptacle, un objet de plaisir, sans âme et sans désir qu’on utilise à l’envie, sans considération ni attentions simplement humaines. Le dernier, bien décidé à lui offrir un feu d’artifice bien plus fort que les autres veut s’offrir son cul.

    Laurie comprend tout de suite au doigt préparant l’étroit chemin de son anatomie qu’elle va vivre son pire cauchemar : se faire enculer devant tout le monde. Dans l’intimité, elle adore ça, mais là, présentement, la honte la submerge, son violeur ne le sait pas et s’il le savait n’en aurait que faire. Au contraire, pour « préserver » sa pudeur, il demande de l’aide, qu’on la force à cambrer les reins, qu’on lui écarte les fesses. Jamais au grand jamais, elle n’aurait imaginé vivre un jour une telle avanie.

    L’étroit orifice exposé entre les deux paires de mains devient la cible du beau Priape couvert d’un préservatif. En guise de lubrifiant, il crache sur l’étoile peureusement contractée avant de la forcer de son gland turgescent. Pendant un instant, la rosette poussée vers l'intérieur du rectum se refuse à éclore. Laurie lâche des cris de terreur et de souffrance dans son bâillon mais son violeur maintient sa pression insensible aux supplications. Sous les yeux des aides et spectateurs l'anus vient de céder et d'absorber d'un coup toute la longueur de la verge et lui arrache un grand cri étouffé.

    - Oh, les mecs, elle n’est pas neuve de ce côté-là moi je vous le dis. 

    Le jeune homme monté comme un dieu entreprend de labourer le rectum à grands coups de reins, obligeant Laurie à s'agripper à ses entraves pour se maintenir en position sous peine de se massacrer les seins sur le plateau de la table. Ils rient lorsque sous la pénétration sauvage ses petites mains s’agrippent aux entraves. Gagnée par une sorte de frénésie, ses vagissements se transforment en râles, pendant un instant, elle en oublie les spectateurs et sa condition. Son corps commence à la trahir, elle commence à éprouver un plaisir malsain, ignoble et complètement fou. Durant une seconde elle a effleuré l’extase un spasme l’a traversée, elle vit un de ses fantasmes malgré toute l’horreur de la situation. La jouissance monte en elle, gagnant son cerveau perturbé par le rut sauvage et ignoble.

    Des ondes maléfiques traversent ses reins, un plaisir odieux la submerge. L’implacable vigueur, avec laquelle il la prend use sa résistance, lui fait perdre conscience des réalités pour finir par lui offrir le plus long et le plus puissant orgasme de sa vie.

    Tout au long de son viol les téléphones portables prennent des photos et vidéos qui s’échangeront dans toute la fac et sur internet. Lorsqu’enfin ils la libèrent, elle les voit mais ferme les yeux comme pour effacer le souvenir de cette extase qui vient de la transporter et la met à présent mal à l'aise puis la fait se sentir coupable. Les viols l’ont cassée, ont brisée son vernis social mais la jouissance éprouvée bien malgré elle, ne seront pas sans un effet. 

    Libérée et débarrassée de ses entraves collantes, Laurie est portée plus qu’elle n’est raccompagnée au campus. A ses yeux rouges et son visage défait, le doute s’installe chez certains des violeurs. Préférant ne pas trop réfléchir, ils choisissent de la féliciter pour son courage mais ne s’éternisent pas. L’eau de la douche coule longtemps cette nuit là mais ne parvient pas à la laver de la honte et de la culpabilité. Plusieurs questions la minent sur son avenir, sur ce qu’elle doit faire, ce qu’elle va devenir mais la plus cruelle est : comment ai-je pu jouir en étant ainsi malmenée et violée ? 

    Suis-je maso à ce point là ?

    TSM 

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  • Stage SM de décembre chez les TSM

     

    Encore un superbe stage avec des amis et couples adorables. Reprendre le travail après autant d’amusements fut difficile !!!!!!

    Ce stage a commencé avec notre ami soumis « extrêmemaso » que nous avons récupéré à la gare le vendredi après-midi. Mis immédiatement sous cage de chasteté et transporté jusqu’à la maison masqué, il n’a rien vu du trajet. (hé hé, très bon pour la pression…)

    Dès son arrivée, une petite mise en condition en lui mettant fers et collier de bagnard afin de lui faire bien comprendre sa condition si dans son esprit un doute pouvait subsister. Son stage a débuté par du ménage fers aux pieds et en tenue féminine volontairement humiliante car Madame TSM aime avoir une maison impeccable lorsque nous recevons. La cravache sifflant près de ses oreilles et l’aspirateur accroché par une chaîne à ses testicules, il n’en menait pas large….

    Le soir même, le premier des couples fort sympathique invités est arrivé. Nous ne nous connaissions pas, la soirée avec eux a donc été soft avec un prime un petit souci de chauffage dans notre salle de jeu. (Et merde)

     

    Tout c’est donc passé dans la maison de façon très light mais comme ce n’était qu’une prise de contact, hormis des soucis de mise en place et de matériel qu’il fallait aller chercher, cela s’est bien passé. La soumise a découvert le duo de cravache (soft) n’étant point éclairée sur ces instruments sur notre soumis prié de servir de support puisque notre salle de jeu était indisponible. Il n’y a eu qu’un léger survol de nos activités BDSMiènes car nous étions ensembles pour faire connaissance.

     

    LE SAMEDI DES DELIRES ET PLAISIRS

    Le samedi, notre bagnard s’est vu attribuer du jardinage et notre soumise Déborah, arrivée dans la mâtiné, fit l’intendance pour le midi. L’après midi et la suite de la journée fut exceptionnelle en termes de jeux, plaisirs et délires mais il est vrai qu’avec l’adorable Maître Mike et sa merveilleuse soumise Clochette cela ne pouvait que bien se passer.

     

    Ils sont arrivés vers 14h30 les grands jeux pouvaient donc commencer et comme la confiance entre nous est là, nulle mauvaise question ne se pose lorsque nous jouons ensemble.

     

    Déborah vêtue de sa nouvelle tenue de Pony évolua avec classe dans le jardin pour le plus grand plaisir des invités. Maître Mike et Clochette ont également fait quelques tours de sulky sous les yeux admiratifs des poules et du chat les suivant comme des petits chiens. Autant dire que les rires ne manquaient pas. Nous ne sommes pas zoophiles, mais leur compagnie nous offre parfois des délires monstrueux pourquoi ? Simplement parce que si nous sommes « sadiques » avec les personnes soumises, nous sommes très doux avec les animaux qui nous le rendent bien.

     

     

    Notre amis soumis « extrêmemaso » sous cage de chasteté et grandement « comblé » au sens propre et au sens figuré du terme puisqu’il portait un gros plug, a pris sa première "raclé au fouet". Comme il est réellement très maso et gourmand de fouet, nous avons donc fait en sorte de satisfaire ses envies. Il serait allé beaucoup plus loin dans le SM HARD, mais il est hors de question chez les TSM de blesser quelqu’un. Même s’il aime ça, le faire souffrir OUI, l’abimer NON !

     


    DELIRES SUR DELIRES et PLAISIRS

     

    Après les jeux en extérieurs, à tour de rôle, les personnes soumises sont passées sur le pilori de table cette fois installée sur une solide table dans le salon puisque le chauffage refusait de chauffer la salle de jeux. GRRR

     

    VIOLET WAND ET COMPIL DE PLAISIRS

     

    Un Violet wand (appareil de stimulation électrique faisant une lumière bleue) a été grandement utilisé en même temps que les cravaches, martinets, cire et autres accessoires que la dite morale réprouve. Autant dire que les jouissances et réjouissances étaient multiples…….

    En plus des accessoires ci-dessus indiqué, nous avons travaillé l’ouverture d’esprit de « extrêmemaso » avec un plug géant qui l’a surprit tout autant que les invités.

     Clochette s’est offerte comme à son habitude, de longs gémissements forts mélodieux qui nous ravissent toujours autant.

     

    PLATEAU HUMAIN ET GATEAU

    Pour se remettre de nos émotions, nous avons fait une pause goûter en mangeant le gâteau sur soumise Clochette car Déborah « tardait » a débarrasser la table.

     


    MAISON PIEGEE

     

    La position de Clochette inspira Monsieur TSM qui s’est encore offert un délire en installant un fusil (déchargé) et un panneau « maison piégée » entre ses jambes. L’image de ce site protégé nous a encore bien amusés……

     


    DES COURS DE SOLFEGE SM

     

    Comme il peut être intéressant de faire un peu de cul-ture, des cours de solfège rythmiques ont été dispensés sur les fesses transformées pour la circonstance en instrument de musique. Maître TSM (musicien) dessinait des portées et des rythmes que nous jouions sur les fessiers soit avec les mains ce qui donne des fessées originales parfois à 4 mains ou avec des cravaches ce qui est tout aussi plaisant.

     

     

    PUPITRE HUMAIN ! (Délire de TSM)

    Ce cours de rythme a vite évolué en délire avec une des soumises transformée en pupitre. Nous posions les partitions sur les jambes écartées de Clochette couchée sur le piano jambes écartées. Gros délires et quelques fausses notes pour commencer (musiciens troublés) puis surprise pour la soumise qui a grandement apprécié les vibrations du piano à queue lorsque les musiciens ont commencé à faire parler le piano plutôt que la soumise.

     


    POSE MUSICALE NORMALE (Ou conventionnelle au choix)

     

    Comme l’ambiance musicale plaisait à tous, nous avons donc poursuit par des tours de chant et des quatre mains au piano après avoir descendu la soumise. (Il n’y a pas que le cul dans la vie).

     

     

    C'est bien connu, les filles aiment les fringues et se les prettent.... Clochette a donc essayé le harnais de Déborah et quand on a les mains entravées il arrive que....l'on se fasse chauffer les fesses !


    APERO ET DINER mais encore une fois avec quelques jeux et plaisirs !

     

    TU SERAS SES YEUX, IL SERA TES MAINS

    Notre soumis aveuglé devait servir de main pour Déborah privée de ses membres supérieurs. (Tu seras mes yeux, je serai tes mains) Si je vous dis que c’était amusant, vous me croyez ?

     

    FOIE GRAS ET CAMISOLE DE FORCE

    Clochette a découvert les plaisirs et surtout les inconvénients de la camisole de force. Ne pas avoir les mains libres quand on a un excellent foie gras dans son assiette puis un Bordeaux blanc est cruel non ?

    (Méssage à caractère personnel : Latexta, nos invités on aimé ton vin)

     

     

    En écoutant nos commentaires élogieux sur le foie gras apporté par Déborah, Clochette a craqué en « plongeant » tête première dans l’assiette. Sacrilège diront les puristes !

    Après le dîné, foie gras, saumon, fromage, desserts cafés, les Maîtres se sont isolés pour préparer la suite des hostilités. Pour adapter les jeux aux niveaux de chacun, les « activités » ont été décidées pour chaque participant, un jeu de dés indiquait les nombres et durées pour qu’il y ait quand même quelques surprises.

     

    MIGNARDISES SM DECIDES AUX DES

    13 coups de Canne pour « extrêmemaso », 9 pinces et caresses pour Clochette debout sur la table, 12 auto pénétrations spectacle sur 2 godes pour Déborah. Les Maîtres présents devaient valider la bonne réalisation des « missions ». Autant dire qu’ils ont usé et abusé de leur position de juges. La justice est parfois injuste, là, il ne pouvait en être autrement…..mais pour le plaisir de tous.

     

     

    LES FETES DE FIN D’ANNEE APPROCHENT A GRAND PAS !

     

    Nous avons donc réalisé un shibari sur deux personnes soumises debout dos à dos puis installé Clochette portée sur leur tête et bras tendus avant d’éclairer l’ensemble avec une guirlande de Noël. L’instabilité de l’ensemble nous a emmené à mettre rapidement un terme à ces jeux de décoration, mais l’idée et sa réalisation nous a bien amusée. Clochette rassurée d’avoir été descendue s’est promené aux pieds du sapin humain pour apprécier semble-t-il la vue de dessous ou pour jouer avec les boulles du sapin de noël humain.

     

     


    TEST DU SAC DE BONDAGE

    Nous allions mettre un terme à cette soirée quand nous avons appris que Clochette ne connaissait pas le sac de bondage. Histoire de satisfaire sa curiosité, …. elle y a fait un petit séjour et comme c’est une adorable soumise, nous l’avons même « bercée » en faisant se balancer le sac de bondage. Quelques idées murissent déjà entre Maître Mike et les TSM, mais rien ne sera dévoilé pour que Clochette en ait la surprise…..

     


    COUCHER

    Déborah fut donc préparée pour sa nuit en sac de bondage. En effet, les TSM n’aimant pas se lever la nuit pour permettre à leur soumis et soumise d’aller aux toilettes, la solution est simple : les équiper comme des personnes âgées incontinentes. Certes cela ne plait pas toujours aux soumises et soumis, mais est-ce que cela est important ?

     

    DIMANCHE MATIN

    Bien après l’aube et que la rosée ait séchée

     

    Après une nuit de repos pour certains ou agitée et peuplée de songes érotiques pour d’autres, Déborah a été martyrisée dès son réveil. Un café au biberon + des caresses + pinces + roulette à picots + chatouilles et glaçons dans la couche pour apaiser les effets….

    Petite pose dominicale, non pas pour aller à la messe mais pour ranger la maison et faire quelques courses pendant que « extrêmemaso » jardinait en compagnie des poules et du chat, tous trois ayant bien souvent des affinités avec les soumis. (Réel)

    Repas sans surprise mais pressé par Monsieur TSM qui ne dévoilait pas ses projets et s’amusait à mettre la pressions sur le proche avenir des aventuriers inconscients. Départ en 4X4 dans une heure disait-il en préparant un carton d’accessoires pendant que chacun s’affairait à ses taches.

    Conduits en Camargue soumis et soumises s’inquiétaient, non pas pour leur sécurité car chez les TSM il n’y a pas de danger mais pour ce qui les attendait.

     

    UNE SEANCE PHOTOS ORIGINALE

    Rien de bien méchant au programme, mais une séance photos originale germait depuis un moment dans l’esprit tordu de Monsieur TSM bien décidé à continuer à s’amuser.

    Déborah a pu vêtue de sa sublime tenue de Pony évoluer en poney ou plutôt « ponette » en milieu naturel et gouter quelques plaisirs cuisants à une portée non pas musicale mais de fusil des taureaux.

     

     


    « extrêmemaso » lui s’est vu obligé de jouer le rôle du bagnard qui s’évade. Maître TSM quant à lui, mimait le rôle du colon des Amériques avec une chasse à l’homme. Le fusil à la main, (déchargé rassurez-vous) il s’est contenté de crier « ban tu es touché à la cuisse » en intimant l’ordre au soumis de se coucher. C'est un bon chasseur, même sans cartouche il fait mouche ! ! ! !


    Après une petite lutte inégale « extrêmemaso » a retrouvé ses fers de bagnard, une camisole de force et un ENORME collier d’acier pour goûter au martinet et au fouet. Pourquoi le martinet devez-vous vous demander ? Parce que dans son immense bonté, Monsieur TSM prend toujours le soin d’assurer une montée en douleur avec le martinet avant d’en arriver au fouet.

     

     

     

    Ramené presque de force à la maison (sourire) après une petite ballade en 4X4 et une paire de zones trial (softs) soumis et soumises ont eu droit à un café et à la projection des photos qui leur seront adressés après que les visages aient été masqués. (Le respect de l’anonymat est une obligation chez les TSM)

     

    LUNDI

    Nous étions un brin fatigués ce qui ne nous a pas empêché pendant la mâtiné de travailler de son côté. L’après-midi, nous avons affiné, testé et bricolé les fouets fabriqué par « extrêmemaso ». Après la séance de bricolage, il convenait de les essayer ce qui lui valu d’être à nouveau très malmené pour son plus grand plaisir. Les marques laissées sur son dos et ses fesses disparaitront sous 24 heures, mais si je vous dis que c’était CHAUD CHAUD, je subodore que vous avez compris qu’il ne s’agissait pas d’un petit « pan pan cul cul ».

    Les tests étant concluants, nous sommes immédiatement allés (après un café salutaire) acheter de quoi fabriquer un chat à 9 queues, instrument diabolique qu’il ne convient pas de mettre entre toutes les mains surtout si le ou la soumise n’est que modérément maso.

    Cette dernière journée c’est conclue par un superbe apéro et dîner entre amis avec des promesses de retrouvailles.

    …………………………………………..

    Ce petit récit de nos aventures a pour objectif de partager avec vous nos plaisirs et délires qui grâce à la mixité des profils, offre une richesse fabuleuses tant au niveau des jeux et passions que des discussions.

    Notez messieurs que nous ne prenons plus d’hommes seuls et célibataires, car notre relationnel aujourd’hui est, en quelque sorte, établi et que nous ne pouvons multiplier nos heures de liberté.

    Si vous êtes un couple, homme soumis ou femme soumise ou même une femme seule et que l’idée de partager nos délires vous séduit, n’hésitez pas à nous contacter car nous sommes des adeptes de rencontres réelles.    toto.tsmdeux@laposte.net


    En espérant avoir le plaisir de lire vos commentaires.

    Les TSM


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