• La soirée Ecole des Fantasmes c'est déroulée chez Maître Pierre que nous remercions pour son accueil et sa gentillesse. Arrivés entre 18h et 19h, les invités ont été accueillis par Mistral que Maîtresse K avait décidé de martyriser et de transformer en soubrette. Ce pauvre Mistral n'en menait pas large mais à force de persuasion pédagogique et cravachotique (nouveau mot) il a fini par se mettre dans l'ambiance et passer une bonne soirée.

    GROS BUDGET ! lol comme l'on dit sur le net

    Comme le veut la tradition chez nous, les soirées pour les abonnés Fessestivites sont gratuites mais nous partageons les frais pour le repas. En clair, les abonnés ont dîné et se sont amusés une bonne partie de la nuit pour un budget de 5 euros. Sans vouloir faire de la pub, il me semble qu'être abonné représente quelques avantages......

    GROS GAG !

    Le pauvre soumis Mistral s'étant bien décontracté dans sa tenue de soubrette, nous sommes donc partis avec lui chercher les pizzas. ET là, TSM en cuir et en première ligne est entré dans la pizzeria, Mistral le suivait de près et Maîtresse K en tenue de maîtresse fermait la marche empêchant toute « fuite ».... Autant dire que la surprise était de taille pour les clients !

    Il serait possible d'imaginer que cela pouvait déclencher un scandale et l'expulsion des membres Fessestivites et bien NON. Au contraire, les clients ont posé des questions et nous avons distribué des cartes de visite. Il y a même eu et la surprise, surprise des clients qui ont fait quelques photos en leur compagnie.

    CBT

    CBT (Cock and ball torture traduction : torture des organes génitaux masculins)

    L'apéritif terminé et les pizzas consommées, la soirée commença à s'animer il y eu au programme dune petite initiation CBT avec Maître Pierre expert en la matière. Là encore, le mot « pédagogie » trouva tout son sens car pour donner confiance, de sérieuses menottes furent utilisées pour que le soumis martyrisé puisse jouir au sens propre du terme sans s'échapper. Le dit soumis trop bruyant fut invité à se taire par Maîtresse Yohana qui lui colla son gode-ceinture dans la bouche afin de détourner son attention......

    Les photos sont ici : (accès gratuit sur le site)

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/12_Des-trames-de-jeux-idees-histoires/albums/3390_Initiation-CBT-par-Maitre-Pierre.html

    La vidéo réservée aux membres Fessestivites est ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/15_Videos-des-profils-des-membres-du-reseau/1576_Initiation-CBT-Maitre-Pierre.html

    fesses rouges fessée

    FESSES ROUGES

    Il y eu également des fessées au paddle, à la main, des initiations à la canne anglaise, au fouet Bisoum ne fut pas épargné comme le démontrent les photos.

    Les photos sont ici : (accès gratuit sur le site)

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/29_Fesses-rouges-fessee-canne-fouet-Femme-et-Homme/albums/3389_Fesses-rouges-soiree-fessestivites-24-11-2012.html

    Fouet

    DEMONSTRATION JEUX DE FOUET

    Lors des pauses syndicales des Maîtres et Maîtresse, TSM utilisa la tête de Mistral pour jouer à Guillaume Tell avec son fouet et celle de Maud dont il retira par deux fois la cigarette qu'elle avait à la bouche avec son fouet.

    Les vidéos des démonstrations réservées aux membres sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/16_Funny-erotique-coquin/1555_Guillaume-Tell-du-fouet-sur-Mistral.html

    et ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/16_Funny-erotique-coquin/1575_Jeux-de-fouet.html

    gode ceinture

    OUVERTURE D'ESPRIT AU GODE-CEINTURE

    Prônant l'ouverture d'esprit, (humour) Maîtresse Yohana usa généreusement de son gode-ceinture pour le plus grand plaisir du soumis inconscient lui ayant offert ses fesses. Après quelques gémissements plaintifs il y eut rapidement des râles laissant à penser que le plaisir était au rendez-vous.

    Les photos sont ici : (accès gratuit sur le site)

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/20_Gode-ceinture/albums/3391_Gode-ceinture-par-Maitresse-Yohana-soiree-Fessestivites.html

    fetichisme du pied

    FESTICHISME DU PIED

    Maîtresse Yohana offrit ensuite ses bottes à Maud qui les adore. Et là, le silence c'est fait car le spectacle qu'elles nous ont offert n'était pas une exhibition mais une réelle fusion qui troubla tout le monde. Pour conclure la soirée, il y eu également de la consommation de pruneaux aux talons des bottes de Maîtresse Yohana par notre passionnée Maud.

    Les photos sont ici : (accès gratuit sur le site)

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/16_Aux-pieds-des-femmes/albums/3388_Fetichisme-des-bottes.html

    La vidéo réservée aux membres Fessestivites est ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/7_BDSM-homme-soumis-Gynarchie-SM/1573_Fetichisme-des-bottes-soiree-Fessestivites.html

    RESPECT DE l'ANONYMAT

    Les personnes ne désirant pas être photographiées ou filmées n'apparaissent pas sur les photos et vidéos comme le veut la tradition chez Fessestivites.

    Ceci n'est qu'un résumé car la soirée Fessestivites chez Maître Pierre fut particulièrement riche en découverte, initiation, sensations et plaisirs.

    Le webmaster de Fessestivites

    Pin It

    votre commentaire
  • Récit BDSM et sexe pour une femme soumise une très belle histoire d'Amour A DECOUVIR

    Soumise de Maître Jean rencontré sur Fessestivites, j'ai trouvé mon équilibre entre la semaine chez moi (avec quelques webcams coquines) et les week-ends avec mon Maître. Ce qui est magique avec lui, c'est qu'il arrive encore à me surprendre, à me faire vibrer, à me rendre folle et parfois pire lol. Même si l'échangisme n'est pas dans nos aspirations, mon Maître a décidé il y a peu de me faire progresser dans ma soumission sexuelle. N'étant pas prude de nature, voir même « salope » en privée chose que j'assume, j'ai été surprise par ses idées car je suis ouverte à tout avec lui sexuellement.

    Ce week-end, j'ai compris ce qu'il voulait dire par me faire progresser sexuellement ! ! !

    Samedi nous avons reçu un de ses amis branché BDSM, je l'aime bien car il est respectueux et sait doser les coups tout comme me donner de belles fessée. Il arrive que mon Maître m'oblige à passer sous la table pour que je lui fasse une pipe, choque que je fais assez facilement avec des gens que j'apprécie si mon Maître me l'ordonne. J'avoue même que le petit côté « humiliant » d'être « prêtée » m'excite et qu'il m'arrive de fantasmer sur un gang band en étant attachée mais cela en reste un fantasme que je n'ai pas envie de réaliser.

    La soirée était géniale, j'ai jouis comme une folle lorsque son ami m'a fessée en même temps que mon Maître jouait avec son vibro magique sur mon clito. La séance de cire sur mes fesses bien rouges était pas mal non plus...... Oui je sais, je suis une tarée mais je m'en moque, je suis heureuse, n'est-ce pas le principal ?

    C'est le dimanche matin que j'ai compris ce qu'il voulait dire par me faire progresser sexuellement et là, j'avoue qu'au départ ce fut très très et encore très difficile pour moi.

    - Lève-toi et va chercher nos cafés, ce matin tu vas vivre quelque chose de nouveau ! M'a indiqué mon Maître après m'avoir délivrée. (Je dors parfois attachée)

    Me dire que j'allais vivre quelque chose de nouveau m'a autant réveillée qu'une perfusion de café lol ! Notre café au lit pris dans une ambiance originale puisqu'il ne voulait rien me dire, mon Maître m'a ordonnée d'aller chercher un plateau, un café avec un sucre bien remué puis un préservatif et du lubrifiant. Là j'ai commencé à me poser des questions dont les réponses n'ont pas tardée.

    - Soumise, tu vas ce matin devoir prendre sur toi et me prouver que tu m'es réellement soumise. Si ta chatte m'est réservée, ce n'est pas le cas de ton cul. Tu vas donc aller réveiller mon ami avec ce plateau puis lui indiquer que s'il désire t'enculer il a ma permission. Je te veux bien soumise sexuellement, tu lui offriras ton cul comme tu le fais pour moi, tu auras même le droit de jouir. Par contre, je veux que tu me ramènes le préservatif fermé avec son sperme.

    Interloquée ! J'étais interloquée, sur le cul, incapable de parler. Il a mis son doigt sur sa bouche pour me faire comprendre de me taire, m'a embrassée avec tendresse puis indiqué de m'exécuter. OUF OUF OUF ! ! ! Que faire ? Refuser ? Accepter ? Avais-je le choix ? Oui dans un sens car on a toujours le choix, non dans l'autre car en étant sa soumise, fière et heureuse de l'être, refuser me gênait. Ma fierté de soumise a pris le dessus, j'ai donc quitté la chambre bien décidée à faire ce qu'il m'était demandé. Une fois devant la porte de la chambre d'ami, ma motivation n'était plus la même du tout. Je suis restée un certain temps devant la porte, entrer dans cette chambre me semblait impossible. Dans cet univers de délire BDSM, ou tout les non-dits sont possibles, ou la vérité et les mensonges ce mêlent pour illuminer notre conscience, je suis allé puiser le courage dans mon fantasme de gang band en étant attachée puis dans le regard de mon Maître quand il est satisfait ou fier de moi. Je suis donc entrée en disant « bonjour monsieur » pour le réveiller. Un rayon de soleil perçait à travers les persiennes, ma nudité ne pouvait échapper à ses yeux encore endormi.

    Oh mon dieu, que parler et dire ce que mon Maître voulait que je dise fut dur. Les mots se refusaient à sortir de ma bouche. A son sourire complice, j'ai compris qu'il savait ce que je devais dire, mais je n'y arrivais pas tellement ma gorge était nouée.

    - Je crois que tu as quelque chose à me dire ! M'indiqua Julien pour m'aider mais avec un sourire coquin qui en disait long sur leur complicité.

    - Si vous désirez m'enculer, mon Maître est d'accord monsieur !

    - Voilà une proposition séduisante. Pendant que je prends mon café, met-toi à quatre pattes sur le lit pour me montrer ce cul qui m'est si gentiment offert.

    Monter sur son lit, fut une grande étape psychologique. C'était un peu comme si je me jetais dans l'arène devant un picador bien décidé à m'achever devant deux milles spectateurs. Ma tête était chaude, brulante, mon cœur bâtait la chamade, à cet instant je me suis sentie comme une pute offerte quelle horreur. Il faut vraiment que j'aime mon Maître et lui fasse confiance pour avoir fait ça. Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, à quatre pattes le cul offert à ses yeux gourmands le temps qu'il prenne son café, j'ai éprouvé un sentiment de fierté.

    Que de paradoxes ! ! ! Quand le lit a bougé, m'indiquant alors que j'allais passer à la casserole, j'ai bondi de peur. La main douce de Julien caressant mes fesses m'a apaisée au lieu de m'inquiéter. Mon Maître me manquait cruellement, j'aurai tellement aimé qu'il soit là, près de moi pour cette étape. Je me suis pétrifiée quand il mit du lubrifiant sur ma rosette peureusement contractée puis quand il effleura de son gland mes fesses en y cherchant la faille. Mon anus commençait à céder sous la pression impitoyable de sa verge bandée malgré l'étroitesse de mes petites fesses qui semblaient la refuser. Il entra difficilement son membre dur en moi sans que je ne souffre trop puis le retira doucement et le rentra à nouveau encore plus profondément puis le retira lentement et le rentra enfin en son entier. Prise, j'étais prise par un autre homme que mon Maître. Après quelques mouvements réguliers, profonds mais doux, je me suis lâchée. Si une sensation divine d'être ainsi comblée me submergea je me sentais plus honteuse que jamais d'être prise ainsi et d'y trouver tant de plaisirs.

    Julien devait avoir de grosses envies car après quelques mouvements dès plus soutenus il se mit à ahaner alors qu'une marée de bonheur emplissait mon intimité. Au plus il me prenait, au plus je m'offrais à lui et me cambrait. Devant mes yeux, une image apparue, mon Maître était assis sur un sofa face à moi et me regardait. Lorsque j'ai ouvert mes yeux il n'y était pas mais pour moi c'est comme s'il y était. Ses vas et vient soutenus et l'implacable vigueur, avec laquelle il me prenait, usaient ma résistance et me sollicitaient intimement. Un plaisir odieux, malsain, loufoque, débile d'être à cet instant comme une « pute » et un « réceptacle » me fit perdre la raison. J'étais morte de honte de prendre autant de plaisir sans mon Maître et pour plaire à mon Maître j'en éprouvais aussi. Que de paradoxes !

    Julien a jouis rapidement en se plaquant contre moi fortement comme s'il voulait me pourfendre. Si j'ai eu du mal à entrer dans cette chambre, à monter sur le lit à cet instant j'avoue avoir regretté que cela soit déjà terminé car mon plaisir commençait à pointer son nez.

    En galant homme, Julien s'est retiré puis a déposé un baiser doux sur chacune de mes fesses avant de me faire un grand sourire silencieux. Il a su ne rien dire, ne pas user de mot pour ne pas me blesser, juste me sourire et me rendre le préservatif fermé. Lorsque je suis entrée dans la chambre de mon Maître avec le préservatif à la main, il m'a fait signe de me taire. D'une main délicate il me l'a pris des mains et m'a tendu un paquet cadeau. A son ouverture je me suis mise à pleurer, il contenait le collier de soumise que je porte aujourd'hui.

    Récit rédigé par TSM Journaliste de Fessestivites.com

     

    Pour cette très belle histoire, vous n'aurez pas d'image ou de vidéo.

    Pour voir les 67 000 photos du site cliquez ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/index.html

    Pour voir les milliers de vidéos cliquez ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites.html

    POUR REAGIR ET DONNER VOTRE AVIS CE FORUM est à votre disposition.

    http://www.fessestivites.com/phpBB3/forum-ecriture-et-litterature-f80/recit-bdsm-et-sexe-pour-une-femme-soumise-a-decouvir-t1050.html


    votre commentaire
  • Guillaume un ABDL enlevé par deux folles qui vont lui faire vivre un calvaire ABDL

    Guillaume est un jeune homme attiré depuis des années par l'ABDL. Dans son intimité, il se plait à rêver de rencontrer une nurse qui prendrait soin de lui. Pour satisfaire ses envies de pseudo contraintes d'obligations, il porte des couches la nuit et pratique un peu de self bondage ce qui le met dans des états d'excitation démesuré.

    ABDL bondage abuse nurse

    Il lui arrive de sortir de chez lui en couche avec une chaine et un cadenas en guise de ceinture en laissant bien sûr les clés à la maison. Savoir qu'il n'a pas d'autre choix que de faire pipi dans sa couche génère en lui des sensations divines, même dans les rayons du supermarché du coin. Pour vivre ses passions et rêves de contraintes ABDL, il s'est offert par deux fois un cadenas à combinaison géré par Fessestivites.com.

    La première fois, il s'est mis en couche puis a cadenassé son pantalon de 20h à 8h le matin. Sa nuit fut courte et peuplée de songes érotiques les plus fous. La seconde fois, Guillaume a mis la barre plus haut et s'est fait de grosses sensations et frayeurs. Le cadenas fermé à 20h, il dut donc attendre jusqu'à midi le lendemain mais la nature étant ce qu'elle est, refreiner ses envies de déféquer fut difficile. Difficile mais grisant car les fesses et cuisses serrées, son épiderme était comme des capteurs sensoriels, un simple courant d'air l'enflammait. Plus d'une fois, son corps pris de contraction se révoltait mais il était parvenu à ne pas faire dans sa couche tout en se faisant de grosses peurs.

    Les cadenas de Fessestivites.com c'est bien, c'est grisant, mais cela ne remplacera jamais la douceur féminine d'une nurse. Il se mit donc en recherche d'une femme sur internet pour s'occuper de lui tout en rêvant de rencontrer en même temps l'élue de son cœur. Après deux mois de recherche et de plaisir solitaire, il parvint à avoir un contact sérieux. La fille prudente lui imposa de lui donner son numéro de téléphone et d'avoir une discussion téléphonique pour faire connaissance. Karine l'appela en masqué pour ne pas se dévoiler, chose qu'il accepta de bonne grâce en comprenant la logique de prudence.

    LE RENDEZ-VOUS

    Le rendez-vous eu lieu un vendredi soir dans une brasserie. Vers 18 heures, en couche comme lui avait imposé Karine, Guillaume l'attendait sur la terrasse de la dite brasserie avec un bouquet de roses posé en évidence sur la table en guise de code. Ce n'est pas qu'il soit particulièrement timide, mais se présenter en couche même cachée par son pantalon devant une femme, l'intimidait énormément. Plus d'une fois il se traita de fou et faillit partir...

    - Bonjour Guillaume ! Lui dit une superbe brune avec des mèches rousses presque rouges dont le sourire et le visage affichaient une sévérité naturelle, laissant paraître qu'il devrait être sage s'ils trouvaient affinités.

    Lorsqu'elle attrapa une seconde chaise, Guillaume fut surpris puis atterré dans les secondes qui suivirent, en voyant une seconde fille blonde très complice venir prendre place à leur table.

    - Je te présente mon amie, mon amie intime si tu vois ce que je veux dire ! Lui indiqua Karine sans être gênée d'annoncer son homosexualité.

    Une heure plus tard, Guillaume parlait de lui sans aucune gêne, les filles ayant tout fait pour le mettre à l'aise. Si bien que lorsqu'elles lui proposèrent de venir chez elles pour le changer, il accepta timidement mais sans aucune méfiance. A peine arrivé dans un très coquet appartement, il dut prendre place sur un magnifique canapé en cuir et trinquer au champagne pour fêter leur rencontre. Si pour Guillaume son rêve de rencontrer l'âme sœur s'envolait, celui de rencontrer une nurse se réalisait doublement, la blonde prénommé Lucie ayant également une passion pour le nursing.

    Il commença à chanceler à la seconde coupe de champagne, sa tête devint aussi lourde que ses paupières. Aidé plus que guidé par les filles, il se laissa conduire à une chambre d'enfant pour adulte jusqu'à un très grand lit à barreau. A peine étendu, ses paupières aussi lourdes que du plomb ne purent résister. Il s'endormit comme un bébé en perdant totalement conscience des réalités.

    Un quart d'heure plus tard, Guillaume était vêtu comme un bébé avec une couche bien épaisse sans avoir pu apprécier que des filles s'occupent de lui à cause des drogues ajoutées généreusement dans son champagne. De solides et multiples sangles médicales l'entravaient sévèrement lui interdisant toute fuite. Ce n'est qu'au matin, lorsqu'il voulut apaiser une démangeaison, qu'il découvrit en se réveillant qu'il ne pouvait réellement bouger. Le réveil fut rude pour cet ABDL !

    Il s'agita dans ses liens médicaux comme un forcené mais en vain, ce matériel médical est justement fait pour maîtriser des adultes. Il se mit donc à appeler puis à hurler ce qui ne changea rien, hormis faire monter son adrénaline et son angoisse. Bien plus tard et après cent mille questions sans réponse, les filles entrèrent dans la chambre. Comme l'on peut s'en douter, ses demandes, ses ordres puis ses suppliques pour être libéré restèrent vaines.

    - Ecoute-moi bien Guillaume, soit tu te calmes soit je te castre ! Lui indiqua Karine en entrant dans l'énorme lit pour poser la main sur la couche, juste à l'endroit où cela fait mal quand on écrase ce qui est dessous.

    Malgré ses suppliques maintenant désespérées rien ne se passa. Karine affichait un regard toujours aussi sévère.

    - Je te fais le bilan, si tu me coupes la parole, je te castre. Comme tu l'as compris, nous sommes deux lesbiennes, nous aimons les couches et le BDSM. Nous aimerions avoir un enfant. Tu as été sélectionné parmi les tonnes de contacts que nous avons eus pour nous permettre de nous essayer, en clair, de voir si avoir un bébé est possible pour nous.

    - Oui je comprends, mais pourquoi m'attacher alors que j'étais volontaire ?

    - Parce que le test peut durer quelques jours et nous désirons essayer 24h sur 24h sur une durée que nous ne maitrisons pas.

    - Désolé de vous ennuyer dans vos projets mais j'ai un travail, lundi il faudra que j'aille bosser.

    - Lundi tu feras ce que nous déciderons que cela te plaise ou non, un bébé n'a pas d'ordre à donner.

    - Allez vous faire foutre ! Hurla Guillaume furieux en se démenant comme un beau diable.

    ABDL bondage abuse nurse

    Un grand coup de pied dans la couche calma aussitôt ses ardeurs, un second le fit taire tant par la douleur que le souffle coupé. Lucie ravie de voir que son amie maîtrisait la situation, s'approcha avec un grand sourire et un biberon de Blédine bourré de tranquillisants et de laxatifs, Karine désirant réellement que son amie Lucie vive tous les effets d'une maternité.

    Après quelques réfutations d'usage, Guillaume n'eut d'autres choix que d'abdiquer et de boire le biberon que Lucie lui donnait à travers les barreaux du lit. Dans un sursaut de désespoir, Guillaume se mit à hurler, chose que Karine n'apprécia pas tout comme le service trois pièces sous la couche qui n'amortit pas grand-chose.... Furieuse, elle alla chercher un bâillon dans leurs jouets BDSM et le lui imposa manu militari. Guillaume décomposé en relâchant sa vessie malmenée pleurait comme un bébé lorsqu'elles quittèrent la chambre.

    LE SAMEDI MIDI

    En guise d'apéritif, Lucie dut venir changer le bébé qui s'en rendit compte mais cette fois sans réfutation, les tranquillisants et le somnifère anéantissant la prise de conscience des réalités. Son cul merdeux fut lavé et photographié sous tous les angles par Karine, une nouvelle couche fut posée. Lucie prit place dans le lit contre le « bébé » afin de s'adonner aux plaisirs des mamans qui donnent le biberon à leur enfant. La problématique et la chance de Guillaume, c'est qu'étant dans les « vapes » il avala de travers et se mit à vomir sur Lucie.

    - Dégueulasse ! hurla Lucie en lui donnant des baffes en guise de réconfort.

    - Ca cela fait partie des joies des mamans. Lui indiqua alors Karine avec un petit sourire en coin.

    - Cela t'amuse toi qu'il ait vomi sur moi et qu'il se cague dessus ?

    - Non cela ne m'amuse pas du tout, c'est écœurant, tu pues et il pue mais le pire c'est que tu vas tout nettoyer, car prendre un bébé c'était ton idée.

    - Salope ! Hurla Lucie folle de rage.

    - Tu as rendez-vous avec la canne anglaise dans trente minutes. Répondit Karine avec une voix calme, froide, posée que Lucie interpréta clairement. Tu me nettoies tout ça et surtout sans le détacher, n'oublie pas ton rendez-vous.

    EPILOGUE

    Trente minutes plus tard, Lucie s'allongea nue sur le banc à fessée avec des larmes dans les yeux pour y être solidement entravée. La punition fut à la hauteur de l'insulte, les six lettres du mot « salope » furent transformées en soixante coups de cannes très appuyés que Lucie n'est pas prête d'oublier.

    Guillaume fut libéré après cette explication très claire :

    « Pendant que tu dormais, j'ai pris ton sac et tes clés pour aller chez toi. J'ai assez de photos et d'informations pour te pourrir la vie et te faire perdre ton travail. Sur les photos on te voit vêtu en bébé, le cul plein de merde et en train de boire le biberon. A cela se rajoute que j'ai pris pas mal de photos de tes petits jouets et quelques-unes sur ton ordinateur, j'ai vue que tu ne t'ennuie pas quand tu es tout seul gros cochon. Si tu nous cherches des ennuies, je vais te pourrir la vie, à cela rajoute que raconter aux flics que tu aimes chier dans ta couche va les faire rire.... et te discréditer. En clair si tu nous oublies tu n'entendras jamais parler de nous. Si tu nous cherches des noises et je te pourris la vie car tu n'as aucune preuves de ce qu'il vient de t'arriver »

    Guillaume s'est remis de cette aventure, il lui arrive même d'avoir envie de les revoir mais le pseudo de Karine n'existe plus.

    TSM journaliste de fessestivites.com

    Les photos de cette aventure sont ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/1_ABDL-infantilisme-Rubber-zentai/albums/3373_ABDL-Kidnappe.html

    La vidéo de cette aventure est ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/31_ABDL-diaper-boy-sissy-et-TV/1522_Diaper-bondage-Kinape-chez-des-nurses-diaboliques.html

    Pin It

    votre commentaire
  • Soumise No limit sans saferword du SM total pour une soumise à en perdre la raison Cette histoire est 100% véridique

    ou

    Notre histoire d'Amour SM

    BDSM no limit d'amour SM

    Cette histoire est réelle et celle d'une soumis qui s'est offerte en no limit sans saferword à son Maître en qui elle a une confiance absolue. Les photos et la vidéo permettront au lecteur de se convaincre de la véracité de cette histoire que les auteurs vivent dans leur façon de vivre qu'ils appellent un Art de vie.

    PREAMBULE :

    Maître TSM et soumise Kioki-san se sont rencontrés en septembre 2011 lors d'un pique-nique de rencontre organisé par fessestivites.com De cette simple rencontre entre adeptes du SM est née une envie d'aller plus loin et de construire une véritable relation de vie SM. Quatre mois plus tard, pour Noël il lui offrait un collier de soumise, un cadeau grandement apprécié ayant fait pleuré Soumise Kioki-san qui après des années de recherche d'un Maître sérieux n'en croyait pas ses yeux mouillées de bonheur.

    Une confiance mutuelle totale s'étant installée, Maître TSM propose le 9 juin 2012 à soumise Kioki-san de fonctionner sans limite ou restriction et sans saferword. Si les mots « non » et « stop » existent toujours dans le vocabulaire de soumise Kioki-san, Maître TSM est devenu le Maître absolu ayant tout pouvoir sur son corps, son âme et sa vie.

    PRECISIONS : Maître TSM est un Maître respectueux et ultra vigilant pour la sécurité de sa soumise tout comme de son bien être, ce n'est donc pas une histoire de fou mais bien d'Amour SM. Kioki-san n'est pas la seule soumise à s'être offerte ainsi à Maître TSM, Soumise xxxxx a fait la même chose le 21 juin 2012.

    Cette histoire de vie réelle est écrite par Maître TSM et Soumise Kioki-san. Ils exposent ensembles leurs émotions et leurs sentiments afin de partager ce bonheur avec les lecteurs.

    Le mot Soumise écrit avec un S majuscule est un choix de Maître TSM car il estime que ses Soumises le méritent de par leur investissement total dans cette relation et pour la confiance qu'elles lui ont accordé.

    ...............................................................................................

    Les sentiments de Maître TSM

    Détenir tous les pouvoirs et disposer à sa guise du corps, de l'âme et de la vie d'une personne est grisant. Si cela est extrêmement jouissif de pouvoir jouer avec son corps, le fouetter et en abuser sexuellement engage également un degré de responsabilité morale titanesque. Dans ce type de relation, il n'y a pas que le plaisir égoïste du Maître mais un réel engagement de vie. Certes je décide de TOUT et je fais ce que je veux d'elle quand je le veux mais je veille à son bonheur, à son épanouissement et à bien d'autres choses dans la vie conventionnelle comme un père avec son enfant, comme un mari avec sa femme, comme un Maître avec sa soumise. Voilà pourquoi j'affirme que cette relation est grisante mais qu'elle engage également un degré de responsabilité morale titanesque.

    Sentir vibrer son corps, sa peur, la voir ruer sous les coups sans qu'elle ne puisse s'en soustraire est grisant tout comme l'attraper par les pieds quand elle dort pour la prendre sans ménagement si une envie me prend. J'aime la voir se débattre dans ses liens et la pousser dans son masochisme pour la conduire au plaisir SM et parfois jusqu'à la jouissance, jouissance qu'elle a parfois au pluriel. Lorsqu'elle revient sur le « plancher des vaches » parfois en pleurant après ses jouissances extrêmes en me serrant dans ses bras, c'est un pur moment de bonheur.

    LA PREMIERE FOIS EN NO LIMIT

    Même si est de tradition qu'une soumise serve son Maître, j'ai tenu à servir l'apéritif pendant que nous discutions pour qu'elle se sente dégagée de mon emprise psychologique. J'avais déposé les fouets et cannes anglaises sur la table pour qu'elle les voit avant de me répondre « Oui Maître, je me donne à vous en no limit et sans saferword ». Elle m'avait déjà répondu « oui » lorsque nous en avions parlé mais l'excitation lors d'une discussion est une chose mais lorsque l'on est aux pieds du mur...... Soumise Kioki-sans n'a pas hésité une seconde quand elle a été aux pieds du mur ! J'étais si troublé par ce don et sa confiance que mes yeux mouillaient de bonheur je l'avoue sans aucune honte.

    La perte de contrôle de son corps, dans ses fonctions les plus intimes font prendre conscience de la réalité de la possession. Histoire de l'emmener progressivement dans ses retranchements tout en lui faisant comprendre que je prenais bel et bien son corps et son âme en main, j'ai commencé par lui imposer un lavement sérieux afin de fonctionner dans de bonnes conditions d'hygiène pour les surprises que je lui avais préparées. Lorsqu'elle s'est présentée nue et propre à moi, je l'ai aveuglée avec un grand bandage médical me permettant d'affecter également sensiblement son ouïe. Avec deux sens affectés, ses sensations se sont démultipliées. Entravée sur le banc à fessée, elle m'offrait son fessier et c'est là que la première surprise est arrivée. En guise de fessée, Soumise Kioki-san s'est vue administrer un lavement d'un litre et demi d'eau avec des promesses de représailles sévères si elle avait des fuites. Pendant qu'elle se « remplissait » en geignant, histoire de la déstabiliser la cire chaude de cinq chauffes plat s'écoulait sur son dos et ses fesses. La cire touchant la peau la faisait sursauter mais elle serrait rapidement les fesses pour ne pas avoir de fuite. Dandinements forts agréables pour mes yeux gourmands.......

    Après avoir joué avec de la bougie, comme chacun sait il faut retirer la cire mais il y a plusieurs façons de procéder. Soit avec un couteau, soit avec des instruments du type cravache martinet, canne anglaise..... mon choix s'est orienté vers ces instruments que j'affectionne particulièrement. La musique bien rythmée d'un CD me donnant le tempo, son corps toujours branché au bocal à lavement devint pour moi une batterie dont j'explorais les sonorités de bon cœur. Je ne vous cacherai pas que j'ai éprouvé grand plaisir à la faire sursauter en taquinant les endroits les plus sensibles ou en appuyant quelques coups sur d'autres zones plus « habituées ». Une bonne heure plus tard, c'est avec quelques marques sur le corps que Soumise Kioki-san fut conduite fesses serrées aux toilettes pour une vidange très gênante aussi sonore que laborieuse.

    Ayant prévu à l'avance les « épreuves » de sa première journée de no limit, une fois propre et « vidangée » Soumise Kioki-san fut transportée à dos d'homme jusqu'à mon donjon où un matelas, des chaînes et accessoires l'attendaient. Installée à quatre pattes, pieds et mains liés avec une corde enroulée sous son ventre la maintenant dans la position d'un caniche, la Soumise Kioki-san ne pouvait plus qu'offrir ses charmantes rondeurs charnelles à ma gourmandise. Sans nul doute, elle aurait aimé être prise mais non, oh que non ! D'autres surprises l'attendaient. Abandonnée seule avec un gros plug de chasteté ouvert dans sa petite rondelle étoilées peureusement contractée, Soumise Kioki-san dut méditer un long moment à sa condition car avant de la laisser seule, je lui avais annoncé que j'allais la faire fouetter et prendre par des clients pour de rentabiliser mon « investissement ».

    CITATION Annick Foucault en évoquant le masochisme a dit "La mort, chez nous, est comédie, comme la peur est factice, fabriquée pour jouir"

    DES CLIENTS

    Des clients il n'y en eut point hormis moi (une soumise n'est pas une pute) mais arrivé par surprise et sans parler pour qu'elle n'en sache rien, je l'ai surprise dans ses méditations. Le chant des martinets accompagnèrent à merveille ses gémissements durant un bon moment générant une mélodie fort excitante qui déclencha en moi des envies de « « « « consommer » » » » ma Soumise. Si de par nature je n'aime pas la vulgarité, en regardant la vidéo je me surprends encore du vocabulaire que j'ai utilisé en la prenant à la hussarde pour la conduire dans un état d'abandon total.

    Dernière épreuve, dernière ligne droite avant le feu d'artifesses, pardon des jouissances.

    Pour continuer d'affecter ses sens, en plus du bandage médical l'aveuglant et étouffant les bruits, un masque à gaz lui a été posé. La respiration en ce type de masque est tout à fait possible mais elle est toutefois surprenante lorsqu'on ne le connaît pas. Ainsi équipée, Soumise Kioki-san fut transportée à dos d'homme comme un sac de « patates » jusqu'à un grand noyer où l'attendait une chaîne accrochée à une branche haute. Entravée nue debout avec une barre d'écartement aux jambes, la belle était une belle cible pour mes fouets en frémissant d'avance.... Avec son plug de chasteté toujours en bonne place, les tétons pincés et lestés pour lui donner des regrets si elle se débattait, Soumise Kioki-san tentait le diable sommeillant en moi. Lentement et avec douceur, (oui vous avez bien lu) mes deux fouets tournoyants ont commencé à caresser son corps frémissant à leur passage.

    Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par ses fantasmes, au fur et à mesure, que l'intensité des coups montait, son cerveau générait des endomorphine lui permettant de savourer la douleur. Cette transformation d'un mal physique devenait source d'intenses émotions ce qui n'allait pas tarder à la laisser toute pantelante sous mes coups de plus en plus appuyés. Mon objectif était de provoquer le subspace en infligeant de la douleur pour la conduire à de voluptueuses souffrances érotico-SM. La connaissant bien maintenant, lorsqu'elle ruait de douleur je savais aussi que c'était de plaisir en voyant ses jambes trembler, un signe distinctif chez Soumise Kioki-san. Quelques choses de pervers anima de nouveau mon bas ventre et mes neurones, comme la pousser encore plus loin dans ses retranchements. Pour cela, j'ai utilisé un de nos accessoires vibrants, insidieusement posé sur l'ergot féminin sensible épargné jusqu'à ce moment là. Juste au moment où elle s'approchait de l'extase, j'arrêtais pour faire valser mes fouets et ainsi de suite pour la « torturer » dans ses sensations. Au bout d'un moment ce jeu diabolique son cerveau était en déroute, elle haletait et était aux bordures du vertige, prête à recevoir les coups de grâce et les marques dont elle est si fière les lendemains de nos séances. Les coups de mes deux fouets en « enroulé » (faisant le tour de son corps) montèrent en puissance. Elle bondissait de douleur sous certains et s'offrait au plaisir pour d'autres. Lorsque je l'ai sentie jouir j'ai à peine levé le pied pour l'accompagner dans son plaisir puis j'ai porté les derniers coups, les coups de grâce le plus vite possible. Elle m'a offert son buste et ses seins que je n'ai pas épargnés même si j'ai modéré la puissance de mes coups. (Avec deux fouets tournants c'est très chaud, très piquants) Traversée de spasmes de plus en plus intenses Soumise Kioki-san se mit à jouir en hurlant d'une voix rauque à peine étouffée par le masque à gaz. Cambrée, la tête rejetée en arrière, ses longs cheveux tombant dans le vide alors que j'avais repris mes enroulés, elle se mit à trembler sans discontinuer sans que je ne fasse rien hormis la regarder. Un pur bonheur pour moi de l'avoir emmenée si loin dans sa jouissance masochiste.

    Lentement libérée de toutes ses contraintes et accessoires, j'ai étendu Soumise Kioki-san dans le gazon. Ses bras et ses lèvres m'ont happé, cet instant de bonheur est magique et difficilement descriptible. Connaissant sa gourmande..... je lui ai donné notre jouet vibrant magique pour qu'elle entretienne encore ces si sublimes sensations que sont les orgasmes à répétitions. Telle une furie, une folle, une hystérique elle s'acharnait sur son enre-jambe à la recherche d'encore plus, encore plus et encore plus sous mes yeux émus. Et là, il m'est venu une envie pressante et l'idée d'asseoir encore mon emprise sur elle. Alors que je lui urinais dessus, Soumise Kioki-san continuait de s'envoyer en l'air en nageant dans le bonheur. Pour qu'elle ne s'épuise pas au sens propre du terme, je lui ai retiré notre jouet vibrant magique pour la couvrir de baisers..... (malgré mon urine qui l'avait inondée et que j'ai oublié à cet instant de communion)

    CONCLUSION DE TSM

    Il doit être difficile à de nombreux lecteurs de comprendre pourquoi nous allons si loin dans notre relation SM qui je le précise n'a AUCUN rapport avec une vie de couple. (Ce sont deux mondes différents) Le SM est une autre façon de vivre, un Art de vivre et d'aimer, un Art de se donner corps et âme généré par une pulsion puissance plus forte que la volonté qui nous submerge avec un engagement mutuel total qui, j'insiste, n'a aucun rapport avec une vie de couple « vanille » ou conventionnelle.

    POUR INFO

    Notre mariage BDSM est prévu le 27 juillet 2013.

    TSM

    LES QUELQUES PHOTOS DE CETTE VIE SM RELLE SONT ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/24_Femmes-soumises-SM-camisole-ceinture-chastete-bondage-shibari/albums/3375_SM-total-a-perdre-la-raison.html

    UN EXTRAIT DE LA VIDEO DE CETTE VIE SM RELLE EST ICI. Tout ne sera pas diffusé, l'intimité est aussi quelque chose d'important qu'il faut préserver.

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/3_BDSM-Femmes-soumises-camisole-ceinture-bondage/1557_SM-total-a-faire-perdre-la-raison-d-une-soumise-.html

    Pin It

    votre commentaire
  • Soirée Ecole des fantasmes le 24 novembre

    Samedi 24 novembre à Montpellier

    Soirée école des Fantasmes

     

    LIEU : Au Domicile de Maître Pierre entre Lunel et Montpellier

    HORAIRES : Arrivée entre 18h et 19h

    PRIX : Gratuit pour les membres du réseau Fessestivites

    (Hors participation du type une bonne bouteille et participation pour les pizzas)

    PUBLIC : Membre du réseau Fessestivites prioritaires

    • 2 femmes seules
    • 2 hommes seuls
    • 4 couples

    Possibilité de déborder sur dimanche et éventuellement de dormir sur place.

    CONTACT ET RESERVATION

    Contacter MaîtrePierre34 sur le site www.fessestivites.com pour plus d'information.

    A noter, un échange téléphonique est obligatoire en préalable. L'adresse et l'itinéraire seront donnés aux nouveaux par téléphone

    Pin It

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires