• Le colocataire soumis humilié et dominé

    Soumisympa nous raconte ses premiers pas dans la soumission avec des colocataires dès plus surprenantes.

    Maitresse et le colocataire soumisJe cherchais un studio mais en vain, je me suis donc orienté vers la colocation, chose qui ne m'amusait pas mais bon, il me fallait bien trouver un toit. De petites annonces en petites annonce et appartements miteux, je suis tombé sur un appartement luxueux avec deux filles ravissantes. Une Hollandaise prénommée Brenda et une Canadienne prénommée Lisa étaient déjà dans la place lors de mon installation. Elles m'ont fait clairement comprendre dès mon arrivée que j'avais intérêt à ne pas foutre le bordel et qu'elles n'étaient pas ma mère.

    Si la collocation se déroulait bien, j'avoue avoir été surpris par l'impudeur des filles qui se promenaient parfois à poil dans l'appartement sans aucune gêne. De vous à moi, elles ne gâchaient pas le paysage..... Ce qui m'ennuyait un peu c'était le caractère de Brenda qui, se prenait pour la maîtresse de maison et n'hésitait pas à diriger son fonctionnement sans aucune concertation. Un samedi matin, alors que je devais partir de bonne heure pour une virée en moto avec des pots, j'évoluais en slip entre la salle de bain et la cuisine et là, surprise, la porte de la chambre de Brenda était entrouverte. Mon œil de voyeur n'a pu résister à l'envie de voler un peu de son intimité et il n'a pas été déçu. Les deux gazelles étaient étendues à poil sur le lit lovée l'une contre l'autre avec un gode-ceinture posé sur le sol aux pieds du lit.

    Je n'arrivais pas à décrocher mes yeux de ce charmant duo féminin et comme un gros couillon que j'étais, je me suis tapé une branlette debout devant leur porte. Et là, alors que dans mes songes érotiques les plus fous j'étais entre ces deux charmantes demoiselles, j'ai fermé les yeux pour m'abandonner au plaisir. Une grande gifle accompagnée d'un volume d'insultes m'ont arraché à mes rêves. La main pleine de sperme, mort de honte j'ai fait volte face pour partir en courant dans ma chambre. Un quart d'heure plus tard, le pauvre étudiant rouge comme une écrevisse s'est fait coincer dans le couloir par deux furies. Autant dire que j'ai passé un sale quart d'heure.

    Si la virée en moto fut géniale, le retour à la maison me posait souci. « Convoqué » ou tout comme au salon par les filles calmées, j'ai du m'expliquer et m'excuser de mon manque de discrétion. Lisa tempérait la discussion, Brenda mettait la pression et moi, j'étais comme un punching ball pris en tenaille entre deux filles malgré tout décidées à en découdre. Pour m'en sortir, j'ai fait deux tonnes de compliment sur leur beauté tout en leur faisant remarquer que jusqu'à présent, je ne leur avais jamais manqué de respect ni essayé de les draguer en leur indiquant que ce n'était pas l'envie qui me manquait.

    - Je suis sûre que tu nous as espionnées hier soir, voir même d'autres soirs, met-toi à genou et fais-nous des excuses. M'ordonna Branda

    Allez donc savoir pourquoi j'ai accepté ?

    - Tu vois que c'est un soumis, j'avais raison ! Cria Brenda à son amie, j'avais raison. Je suis sûre qu'il a des livres SM dans sa chambre.

    J'ai eu beau réfuter, elles ne m'ont pas cru et quand elles m'ont proposée d'aller vérifier, mon refus troublé les a confortées dans leur position. Brenda a attrapé mon oreille puis m'a dirigé entre ses cuisses où elle y a coincé ma tête comme dans un étau. J'étais fait, fait comme un rat. Un rat qui effectivement avait des fantasmes de soumission et des livres porno SM dans sa chambre. Je suis maintenant convaincu qu'elles avaient fouillé ma chambre en mon absence.

    Attiré sur les genoux de Brenda, j'ai donc pris ma première fessée à travers mon jean. Cette fessée n'a fait mal qu'à ma fierté grâce au jean, par contre, par mon acceptation, je leur accordais le droit de me dominer. Relevé par les cheveux par Brenda bien plus grande que moi, je n'ai pas vu arriver sa main venue tâter mon entrejambe.

    - Mais il bande ce salop ! Cria Brenda amusée.

    Lisa vérifia ses dires en me tâtant sans vergogne, puis, dans sa lancée, elle entreprit d'ouvrir mon pantalon. Malgré mes réfutations, ce dernier s'est retrouvé à mes chevilles, Lisa m'a attiré sur ses genoux et fessée à son tour en prétextant qu'elle y avait droit aussi.

    Les choses se calmèrent grâce à Lisa qui décida qu'il était temps que j'aille préparer le repas. Pendant le diner, nous avons longuement discuté mais cette fois de façon plus cordiale sur le SM, la fessée et tous ces sujets forts plaisants pour ma libido exacerbée. Ce jour là, j'ai aussi découvert que les filles peuvent avoir un langage très cru pour parler du sexe mais j'appris aussi que Brenda tournait dans quelques filles pornos pour arrondir ses fins de mois d'étudiante.

    Le lendemain après le petit déjeuner en petite tenue, Brenda me demanda de me lever puis vint vers moi avec un énorme rouleau de cellophane. Malgré mes timides réfutations, elle attacha mes bras le long du corps en tournant autour de moi pour recouvrir mon buste de cellophane. Je ne me suis pas méfié pensant que ce plastique ne résisterait pas à ma force, que nenni, après plusieurs tours, mes bras étaient bel et bien bloqués. Une fois saucissonné entre les mains de cette furie dominatrice dans l'âme, je devenais son soumis, son jouet.

    - Ah tu n'osais pas me draguer, mais en clair, tu aurais bien aimé me baiser avoue petit soumis ! Me dit Brenda en malaxant mes couilles à travers mon slip. Et bien tu vas le faire mais à ma façon.

    Maitresse et le colocataire soumisElle retira mon slip ce qui commença à me faire bander mais elle le remplaça aussitôt par une culotte de filles à carreau en m'indiquant que c'était pour me donner le côté féminin qui lui convenait pour baiser. Lorsque je lui ai indiqué que cela me gênait, elle me mit du scotch noir sur la bouche pour me faire taire. Lisa lui apportant leur gode ceinture me fit très peur car j'ai cru qu'il était pour moi. Elle me fit lever les pieds puis m'enfila leur gode-ceinture qu'elle attacha à ma taille avec les regards ravageurs d'une femme qui va vous croquer. Brenda me fit m'étendre sur le canapé et entreprit de faire des câlins au gode-ceinture ! ! ! !

    Toujours sans aucune pudeur, elle souleva sa chemise de nuit pour se caresser la chatte en me disant quelle n'était pas pour moi. Et là, elle m'enjamba pour s'empaler sur le gode ceinture pendant que son amie filmait la scène. J'étais aussi blême qu'excité car une blonde plantureuse vorace qu'il s'empale sur vous, cela ne laisse pas indifférent. Elle s'éclatait autant sur le gode qu'à m'allumer avec des mots crus que je n'écrirai pas. Une fois sa fougue apaisée, elle est allée lécher le gode en me lançant des regards narquois qui en disaient long sur le plaisir qu'elle éprouvait à me dominer.

    Elles m'ont planté là, attaché et sont parties faire un gros câlin dans leur chambre en me disant d'être sage.

    Témoignage recueillit par TSM journaliste de Fessestivites.

    Les photos sont ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/24_Femmes-soumises-SM-camisole-ceinture-chastete-bondage-shibari/albums/4103_Le-colocataire-humilie-et-domine.html

    La vidéo est ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/7_BDSM-homme-soumis-Gynarchie-SM/2538_Le-colocataire-humilie-et-domine.html

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  • Milking par une magnifique et cruelle Maîtresse

    Veuf à 55 ans et sans enfant j'ai décidé de vivre ma vie et mes fantasmes. Les dominatrices professionnelles m'ont fait faire mes premiers pas mais aussi bien soient-elles cette vie n'a pas la saveur d'un cœur à aimer et à servir. Quand je parle d'aimer, je parle d'affection, si sexe il y a c'est que Madame en éprouvera le désir.

    J'ai rencontré il y a quelques mois, une Magnifique Maîtresse dont je ne dirai pas le nom car elle ne souhaite pas que l'on fasse de la publicité sur ces activités. Bien qu'elle soit une professionnelle, cette femme est envoutante, sa domination n'est pas chronométrée. Elle entre dans la tête des gens pour les faire évoluer puis les combler « s'il le méritent » comme elle se plait à le dire.

    Je garderai en mémoire cette séance qui fut dure pour moi mais cela fait partie de ma formation dit-elle. Il y a quinze jours, j'ai osé lui demandé si je pourrai jouir lors d'une séance et sa réponse m'a déstabilisé. « Que m'offres-tu en échange » ?

    Avec toute les formes d'usage que se doit d'avoir un soumis lorsqu'il s'adresse à sa Maîtresse, j'ai répondu avec beaucoup de gêne que je la rétribuais. Dans ses yeux, j'ai vu passer une colère froide qui m'a fait froid dans le dos. Ma réponse ne lui a pas plut, voilà en quelques mots ce qu'elle m'a répondu :

    « Me défrayer du temps que je passe avec toi est une chose, par contre, je ne suis pas à vendre ni à louer. Même avec une poigné de billets de 500 euros, jamais un soumis ne me fera faire ce que je n'ai pas envie de faire tu entends, jamais. Un soumis chez moi se doit d'accepter la domination qui me plait, qui m'amuse, les soumis sont mes jouets pas autre chose. Ta réponse est lamentable et irrespectueuse; tu mériterais que je te vire sur le champ et te rende ton fric ».

    Je ne savais plus où me mettre, j'avais honte car sa colère n'était pas feinte. Au plus je m'excusais, au plus elle s'énervait. En guise de punition, j'ai du passer deux heures au coin avec les mains sur la tête. Si je baissais les bras ou refusais, elle me virait cash et croyez-moi, cette magnifique Maîtresse me faisait peur même si j'ai fait 15 ans de commando et que me battre ne me fait pas peur malgré mon âge. J'ai donc accepté sa punition sans broncher ni même ouvrir la bouche car je ne voulais pas la perdre et retomber chez des Maîtresses sans classe ni cœur. Deux heures les bras sur la tête, croyez-moi c'est long et douloureux.

    Deux heures plus tard avec de sérieuses douleurs dans les épaules, j'ai du lécher ses pieds en écoutant la grande « messe » avec une interdiction de parler. Elle m'a expliqué qu'un soumis doit répondre « ce que vous voulez Maîtresse » quand elle lui demande « qu'est-ce que tu m'offres en échange » ou alors lui proposer quelque chose que l'on n'aime pas pour lui démontrer qu'il y a une logique de présent et d'effort pour lui plaire.

    Pour me « récompenser » d'avoir accepté sans broncher ma punition, elle m'a annoncé que j'allais jouir mais qu'en échange, j'allais devoir accepter ses conditions.

    Ses conditions, elle ne me les a pas indiquées, j'ai du accepter l'échange sans savoir ce que j'allais devoir lui offrir.

    Milking Maîtresse

    Maîtresse m'a demandé de m'étendre sur sa banquette en cuir pendant qu'elle préparait ces accessoires pour que je puisse jouir. Son regard perfide ne me disait rien de bon mais comme j'ai confiance en elle, je me suis laissé attacher les mains derrière la tête. Pour m'exciter à mort, elle s'est mise torse-nu offrant à mon regard sa magnifique poitrine tout en jouant avec mon sexe. Je bandais comme un âne même si je n'avais aucune idée de ce qu'elle allait faire avec l'assiette et la petite cuillère posées près de nous. Quand Maîtresse s'est approchée de moi avec une espèce de bâillon fait d'un long tube, un doute m'est venu sur ses intentions. En bon soumis obéissant, j'ai ouvert la bouche et je l'ai laissée me le mettre puis fermer les sangles. Maîtresse en a rajouté une pour que je ne puisse plus bouger la tête, j'avais un peu peur qu'elle m'oblige à boire son urine, car c'est quelque chose qui me dégoute.

    Assise sur une chaise entre mes jambes, elle s'est amusée avec mon sexe bandé à mort. Elle m'a branlé avec ses pieds, ses mains, parfois les deux en même temps c'était divin. Les pieds sur mes couilles comme si elle voulait les presser de leur jus, Maîtresse m'a conduit à la jouissance à son rythme et sans ce presser. Ce qui m'a perturbé c'est l'assiette qu'elle a posé sur mon ventre avant de me faire exploser.

    Sans même me laisser le temps de reprendre mes esprits, elle est venue s'asseoir sur mon ventre et me regardait avec un sourire malsain posé sur ses lèvres. Ses yeux brillants m'envoutaient totalement tout comme la chaleur de son corps sur le mien.

    Milking Maîtresse- C'est pour qui tout ça ? M'a demandé Maîtresse en me faisant voir mon sperme dans l'assiette.

    Et là j'ai compris ce qu'il allait m'arriver. Toujours avec son sourire diabolique, elle recueillait mon sperme à la petite cuillère en m'indiquant que j'allais tout boire, que ce serait mon petit « cadeau » de remerciement pour m'avoir fait jouir. J'étais blême mais comment lui échapper ? Avec un grand sourire sadique et un regard pervers, Maîtresse a vidé la cuillère dans le tube de mon bâillon. J'étais fait, fait comme un rat et sans repli possible. C'était dégelasse et pour m'en débarrasser avaler au plus vite était la seule solution. Maîtresse ne comptait pas en rester là. Elle s'est levée, et pour la première fois depuis que je suis son soumis, elle a retiré sa culotte. Oh ce n'était pas pour le plaisir de mes yeux, non, c'était pour s'en servir comme un morceau de pain et essuyer l'assiette. Sans se presser et avec un rire sadique, elle m'a clairement fait comprendre avec des mots choisis que je n'avais pas le droit d'en laisser dans l'assiette quand elle a enfoncé la culotte « morceau de pain » dans le tube du bâillon.

    Pour m'obliger à lécher sa culotte, elle m'a pincé le nez puis l'a enfoncée dans le tube qu'elle a refermé de sa main comme pour m'étouffer. Je n'avais pas d'autre choix que de lécher le tissu soyeux hélas imbibé de mon sperme.

    La prochaine fois, j'hésiterai sûrement à lui demander de jouir !

    Pour-vous-servir

    Témoignage recueilli par TSM de Fessestivites

    Les photos sont ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/15_Domination-feminine-Gynarchie-SM-chastete-camisole/albums/4092_Milking-par-une-magnifique-et-cruelle-Maitresse.html

    La vidéo est ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/7_BDSM-homme-soumis-Gynarchie-SM/2523_Milking-par-une-magnifique-et-cruelle-Maitresse.html

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  • Les aiguilles BDSM pour une soumise qui aime ça.


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  • Cage de chasteté libération sous conditionSS

    Il cherchait sa Maîtresse, il l'espérait belle, juste et sévère lors des soirées coquines fantasmagoriques. Il se voyait aussi lui faire l'amour, voir même switcher traduire, inverser les rôles de temps en temps.

    Il a rencontré une Maîtresse belle, sévère, capricieuse qui ne switchera jamais car sa bisexualité est si avérée qu'elle se plait à câliner maintenant qu'avec ses amies. En guide de câlin, deux mois après leur rencontre, elle lui a imposé une cage de chasteté trouvée dans la boutique partenaire de Fessestivites. Pour elle l'homme a un côté « pratique » et « utile » pour toutes les choses qu'elle n'aime pas faire.

    Cette cage de chasteté il la porte maintenant en permanence car pour Julie, il est hors de question qu'il se branle. Cette cage le rend fou, fou d'amour pour sa si charmante Maîtresse qui se complait à le féminiser parfois histoire de l'humilier en le traitant de petite fille manquée. La semaine dernière, Julie lui a imposé quelque chose d'horrible lorsqu'il lui a fait remarquer que cela faisait presque deux mois qu'il n'avait pas joui.

    Cage de chasteté- Demain ma copine viendra me voir, si tu lui fais voir ta cage de chasteté, je te promets qu'après nos câlins, je te permettrai de te branler et que je t'accompagnerai. Sans quoi, tu resteras encore deux mois sous cage sans compter évidement les jours supplémentaires qui s'ajoutent lors de tes punitions.

    Pour Dany, cette proposition lui fit l'effet d'une gifle car jamais au grand jamais, il n'aurait imaginé qu'elle puisse lui imposer cela. Il a bien essayé de parlementer mais en vain, lorsque Julie a décidé quelque chose, elle ne change pas d'avis. Elle a même rajouté qu'il devrait être fier de porter une cage de chasteté pour elle et de la faire voir. La nuit de Dany fut peuplée de cauchemars et de rêves érotiques l'arrachant à son sommeil avec une trique d'enfer abominable pour ses testicules. Il était dans le jardin quand Julie l'a appelé. Lorsqu'il s'est approché de la maison et qu'il a vu une Clio garée devant la porte, Dany a compris aussitôt que son heure avait sonné. Vautrée dans le canapé, une blonde de rêve avec une crinière époustouflante le toisa aussitôt du regard. Sur ordre de Julie, il dut se présenter à elle et baisser son pantalon puis son slip. Ce geste fut dur, très dur et si Julie n'avait pas levé la voix, il n'y serait jamais parvenu. Cette garce de blonde l'aida soudainement à finir de descendre son pantalon qui chuta sur ses chevilles entrainant le slip avec lui.

    A cet instant précis, s'il avait pu passer sous la moquette du salon, il l'aurait fait tant il était gêné. Quand Julie lui a ordonné de reprendre son travail, jamais un ordre ne lui avait fait plus plaisir.

    En fin d'après-midi, Julie l'appela à nouveau en lui indiquant qu'il allait avoir sa récompense mais que pour cela, il fallait qu'il se mette nu et enfile le collant noir posé sur la table. Elle lui imposa de se mettre à genou devant elle et de la supplier de le libérer un instant. Habitué aux idées loufoques de sa Maîtresse, il n'opposa aucune résistance et quémanda sa libération comme un enfant réclame un bonbon. Sa Maîtresse s'amusa un moment avec la clé puis finit par le libérer de sa cage de chasteté. L'air frais sur son sexe lui fit comme un électrochoc, il se mit à bander presqu'aussitôt.

    - Trois minutes, tu as trois minutes pour jouir, passé ce délai, je te renferme pour deux mois.

    - Maîtresse c'est trop injuste, trois minutes c'est trop court, je vous en supplie.

    - Pas de jérémiade ou je t'encage de suite !

    Il s'exécuta donc en essayant de tirer le maximum de plaisir, plaisir qu'elle prenait un malin plaisir à perturber en lui parlant.

    - Tu ne vas pas arriver à respecter les délais, je vais t'accorder un supplément de temps mais je veux que tu t'allonges sur le dos et que tu mettes ton cul en l'air pour diriger ta bite vers ton visage. Appuie-toi contre le canapé, je veux tout voir sans rester debout.

    Cage de chastetéDany totalement perdu dans ses pensés s'exécuta sur le champ et se remit à se branler. Assise près de lui, elle ne loupait rien de ses gestes ni de son petit trou du cul offert à son regard. Lorsqu'elle sentit qu'il allait jouir, elle lui ordonna de viser sa propre bouche pour boire son sperme. Arrivé au point de non retour, encore une fois, il s'exécuta sans même réfléchir, deux mois sans jouir cela castre un peu le sens de l'analyse..... L'éjaculation arriva si soudainement que Julie n'eut pas le temps de lui rappeler d'ouvrir sa bouche. Il reçu une généreuse quantité de sperme sur son visage, semence masculine qu'elle guida vers sa bouche de la pointe de son pied.

    - Les hommes disent que c'est bon pour les femmes, ne te prive pas, profites-en !

    Sans même attendre qu'il redescende un peu de son « nuage » elle se leva et le planta là sans oublier de lui ordonner de remettre sa cage après s'être lavé.

    TSM journaliste de Fessestivites.com

    Les photos sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/15_Domination-feminine-Gynarchie-SM-chastete-camisole/albums/4077_Chastete-liberation-sous-conditionSS.html

    La vidéo est ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/23_BDSM-Chastete-cage-ceinture-cuckold/2509_Chastete-liberation-sous-conditionSS.html

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  • Tu aimes les dominas alors lèche-moi les pieds

    Comment je suis devenu soumis ?

    Tout simplement à cause d'internet un dimanche après-midi.

    Je surfais sur fessestivites.com à côté de ma copine qui, l'air de rien m'observait. Elle a commencé par me reprocher de surfer au lieu de la sortir, chose en quoi elle n'avait par tord car je suis d'un naturel casanier. Lorsqu'elle est tombée sur les photos de femmes dominatrices que je regardais sans trop prêter attention à ses dires, elle a mis sa main au sur mon pantalon au niveau du sexe. Quand elle a constaté que je bandais le ton est monté d'un cran. « Ah ça t'excite de voir des dominas, des mecs soumis, c'est ça qui te fait vibrer, ...... ». J'ai commencé par réfuter en disant que ce n'était pas ça, qu'elle se trompait mais mon sexe en érection me trahissait malgré mes dires.

    lèche-moi les piedsJ'ai posé mon ordinateur sur la table pour discuter et essayer de la calmer mais en guise de face à face pour discuter, elle a posé ses bottes puis m'a poussé sur le canapé. Quand elle m'a chevauché, je ne savais plus où j'étais, ses propos, ses noirs yeux et durs me troublaient, si bien que lorsqu'elle a commencé à me bousculer un peu je n'ai rien dit. Assise sur mon sexe par-dessus mon pantalon, les mouvements de ses fesses me faisaient du bien, ses reproches ne m'atteignaient pas. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle était totalement assise sur moi et posait son pied nu sur mon visage en m'ordonnant de l'embrasser. Sa voix m'envoutait, ses propos brisaient toutes mes envies de résister. J'avais honte mais en même temps dans ma tête c'était bizarre, c'était comme si j'étais sans force.

    lèche-moi les piedsJulie me caressait le visage de son pied en m'ordonnant de lécher tout en m'écrasant les testicules de ses fesses. Et là, pour la première fois de ma vie, j'ai lécher un pied. Elle s'est déchaînée, le fait que je ne résiste pas lui donnait des ailes, après son dessous de pied, j'ai du prendre ses orteils dans ma bouche et les sucer avec conviction. Elle m'a tout fait lécher, ses talons, ses dessous de pieds, ses orteils. A un moment j'ai cru que mon sexe compressé par ses fesses allait éclater quand elle a posé ses deux pieds en même temps sur mon visage. Je n'étais plus moi, j'étais comme sans cervelle mais j'ai aimé ses pieds.

    lèche-moi les piedsQuand elle s'est arrêtée pour se reculer un peu, j'ai pu souffler un instant mais quand sa main s'est posé sur mon sexe tendu à rompre à travers mon pantalon, elle m'a achevé d'une seule phrase :

    - Tu bandes dur salop, puisque la soumission t'excite, tu vas devenir mon soumis. Va me chercher un coca et plus vite que ça.

    Depuis ce jour là, ma vie a basculé, Julie est devenue ma Maîtresse, je ne peux rien lui refuser, elle me tient.

    Vous savez tout.

    Témoignage de ....... recueillit par TSM journaliste de Fessestivites

    Les photos sont ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/16_Aux-pieds-des-femmes/albums/4068_Tu-aimes-les-dominas-alors-leche-moi-les-pieds.html

    La vidéo est ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/36_Fetichisme-du-pied/2504_Tu-aimes-les-dominas-alors-leche-moi-les-pieds.html

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