• La femme d'un ABDL découvre qu'elle est cocue et se venge de son mari soumis

    La cocue d'un soumis ABDL se venge est une histoire dès plus classique avec une femme trompée par son mari cherchant des femmes sur des sites de rencontre pour vivre ses fantasmes. Excellent bricoleur René a fabriqué une croix de Saint André pour plaire à sa Maîtresse rencontrée sur Fessestivites, après avoir découvert le pot aux roses sa femme se venge avec une grande perversité.Elle découcre une croix de Saint AndréBlasée, Jacqueline avait accepté après 30 ans de mariage que son mari ABDL aime les couches et la délaisse. Elle s'était aussi faite à l'idée d'une vie sans Amour charnel son mari ne semblant plus intéressé par la chose. Au hasard de la venue d'une de ses copines, elles se rendent au garage pour aller chercher un pot de confiture qu'elle souhaite lui faire goutter. Lorsqu'elle tire la bâche servant de porte, Jacqueline découvre une croix de Saint André trônant fièrement devant ses pots de confiture. La réalité lui saute aux yeux en même temps que son amie d'un naturel gynarchiste commente cette découverte.

    - Tu es cocue, tu vois, moi en étant célibataire je n'ai pas ce genre de problème ni de mauvaise surprise. Les mecs, je les prends et je les jette après usage quand je ne m'amuse pas à les martyriser. Lui dit Maryline.

    - Je ne comprends pas pourquoi cette croix est là et à quoi elle sert ! S'étonne encore Jacqueline.

    - C'est pourtant simple et gros comme un éléphant dans un couloir mais tu ne le vois pas. Ton mari est soumis, il a une Maîtresse qui le domine. Il la gâte et la soigne en lui faisant des cadeaux, cette croix en est la preuve.

    - L'enfoiré va ma payer ça. Il aime les surprises, je vais lui en faire une, tu veux bien m'aider ?

    - Avec plaisir Lui répond Maryline.

    Une femme en colère c'est dangereux, deux c'est pire, surtout quand l'une d'entre elle est gynarchiste. Jacqueline et Marilyne conspirent puis décident de prétexter une surprise à René. Arrivée dans la maison comme si de rien n'était, Jacqueline lui pose un sac sur la tête pour lui faire une soi-disant surprise. Pour apaiser sa méfiance, Marilyne en rajoute en disant qu'il a de la chance d'avoir une femme aussi sympa.

    A l'aveugle avec son sac sur la tête, René se laisse donc conduire vers sa surprise. Elles troublent les pistes en le conduisant dans la maison puis sur la terrasse pour qu'il ne se doute pas qu'elles le conduisent au garage. C'est quand Jacqueline entrave un de ses poignets à la croix qu'il comprend la ruse de sa femme et qu'elle a découvert ce qu'il a fabriquée pour sa Maîtresse. Malgré sa résistance, son deuxième poignet est solidement entravé en un rine de temps.

    René est mal, très mal même, il ne sait que dire car il a compris qu'une sévère scène de ménage s'annonce et là, il va avoir du mal à s'en sortir indemne. Il ment comme un homme inquiet et pris en faute avec une certaine agressivité en prétextant que c'est pour une amie.

    - Une amie, oui mais une amie Maîtresse ! Crie Jacqueline. Pourquoi ne m'en as-tu pas parlé ?

    - Parce que tu es trop coincé du cul ! Répond René furieux.

    - Ah je suis coincée du cul, ah ben on va voir ça ! J'accepte tes conneries avec les couches et je lave tes culottes en plastique sans rien dire, mais je peux aussi te tanner les fesses. Hurle Jacqueline.

    En découvrant le côté infantilisme de René et devant cet échange dès plus irrespectueux envers son amie, Marilyne en rajoute en conseillant à son amie de lui laisser son mari une semaine en stage de soumission. J'en ferai fera un agneau puis un bon soumis obéissant ajoute-elle avec la conviction d'une Maîtresse en colère. Jacqueline emportée par sa colère baisse le short puis le slip de son mari pour le ridiculiser devant son amie.

    Elle va même lui mettre une couche pour l'humilier plus encore, mais devant les propos caustiques de son mari puis les excuses de plus en plus bidons fournies lors de ses réponses, elle voit rouge. Elle confie son mari à Marilyne pour qu'elle joue avec lui comme elle le fait avec les soumis parfois le temps d'aller chercher une couche et le bocal à lavement qu'elle a récemment découvert caché au fond d'une armoire.

    Soumis ABDL lavementRené se sent de plus en plus mal quand Marilyne commence à lui claquer les fesses. Par réflexe d'auto défense il lui envoie un coup de pied, chose à ne pas faire avec une Maîtresse en colère surtout quand on a les bras entravés sur une croix de Saint André. A la recherche d'un instrument pour flageller René à distance, Marilyne tombe sur un martinet de fabrication maison, sans nul doute un autre cadeau pour sa Maîtresse. Et là, les choses s'enveniment vite, très vite même. Sérieusement entrepris à coup de martinet, malgré ses ruades désespérées, les fesses et ses cuisses de René prennent vite de la couleur.

    Plus ou moins maté, il n'a plus vraiment la force de résister, sous les coups redoublés il se laisse sans aucune résistance entraver une cheville. Dans un sursaut de révolte, il envoie le pied pour repousser Marilyne qui l'esquive et lui met un coup de genou dans les couilles. Totalement piégé, il la laisse lui entraver la dernière cheville, s'offrant ainsi sans aucune résistance possible à deux femmes furieuses.

    Jacqueline, revenue avec la couche et le bocal à lavement essaye de reprendre une discussion pour en savoir plus sur cette Maîtresse. A ses questions, Marilyne en rajoute d'autres et lui demande s'il lui lèche bien le cul ou la chatte. René perd pied, répond n'importe quoi, s'emmêle dans ses réponses qui sont souvent accompagnées de grandes claques sur ses fesses maintenant brûlantes. Quand sa femme entreprend de lui fourrer la canule à lavement dans les fesses, il baisse la garde et supplie mais il est bien trop tard pour faire profil bas.

    - Ah je suis coincée du cul, ben tu vas avoir le cul merdeux salop. Crie Jacqueline furieuse en demandant à son amie de lui poser la couche pendant qu'elle va chercher de l'eau.

    René essaye bien de résister un peu mais à chaque ruade, les grandes claques de Marilyne lui brûlent la peau des cuisses car elle n'y va pas de main morte. Entravé en couche sur la croix de Saint André avec la canule d'un gros bocal à lavement dans les fesses, son moral n'est plus dans ses chaussures mais sous ses chaussures. Pour être sûres qu'il n'arrachera pas sa couche, les femmes déchaînées font x et x tours de sa taille avec un scotch d'emballage.

    Jacqueline remplit le bocal à lavement. Elle fait cela très lentement pour qu'il écoute bien le bruit de l'eau, le bruit de sa misère. Cette « misère » va aller au-delà de tout ce qu'il peut imaginer ! ! !

    Planté là par les femmes, il sent l'eau froide envahir lentement son colon. Les coliques ne tardent point. Il résiste par fierté et ne fera pas dans sa couche, jamais il ne leur fera le plaisir de l'humilier ainsi. Dans l'ABDL c'est juste le fait d'uriner qui l'amuse, la chaleur des couches mais jamais l'idée de déféquer dedans ne l'a effleuré.

     

    Soumis ABDL lavement

    Assises devant l'ordinateur de René, les femmes fouillent dans sa messagerie. Jacqueline n'aurait jamais fait cela pour deux raisons, d'abord elle n'y connaît rien en informatique, ensuite elle n'aurait jamais eu l'idée d'aller fouiller dans les affaires de son mari. Etre cocue donne des ailes à la pudeur..... Avec l'aide de Marilyne au clavier, elle découvre les échanges privés et secrets que son mari entretien avec une Maîtresse.

    Les belles phrases et les mots d'amour qu'elle lit lui arrachent le cœur, les larmes montent à ses yeux, ruissellent lentement sur les joues d'une femme broyée par le chagrin et la déception.

    Diplomate, Marilyne parvient à lui expliquer qu'un homme peut écrire ce genre de chose à une Maîtresse sans pour autant l'aimer. A grands coups d'exemples, elle lui parle de BDSM, de soumis venus la voir qui jamais au grand jamais n'auraient quitté leur femme.

    La tromperie de son mari lamine Jacqueline. Elle accepte ses couches par amour, elle aurait aussi accepté qu'il veuille vivre certaines choses SM s'il lui en avait parlé. Elle ne se sent pas l'âme d'une dominatrice mais aurait pu lui accorder quelques plaisirs, ils auraient pu trouver des solutions ensembles.

    - Pourquoi ne m'a-t-il jamais parlé de ça ?

    - Parce que les hommes bien souvent n'ont pas les couilles nécessaires pour cela. Plutôt que d'affronter le regard de leur femme, de leur expliquer qu'ils ont des fantasmes, ils préfèrent ne rien dire et aller ailleurs. Ce n'est pas qu'ils n'aiment pas leur femme, non, c'est qu'ils n'osent pas leur parler, l'image du grand mâle qu'ils ont d'eux les bloque.

    - Peux-tu faire venir cette salope que je parle avec elle à ma façon ?

    - Pourquoi l'insulter ? Elle ne t'a rien fait, c'est lui qui est allé la chercher, qui lui fait des cadeaux. Regarde cette croix dans le garage, il va la lui offrir, je suis certaine que c'est lui qui lui a proposée. Il lui fait des cadeaux, elle lui fait plaisir en SM et il revient à la maison. En fait, ils ne s'aiment pas, ils vivent du SM, chose qui n'a aucun rapport avec l'amour. Par rapport à ce que je lis sur ses emails, je ne pense pas qu'il la baise, leur relation semble purement SM. Il y va elle le domine, il revient heureux à la maison retrouver sa femme. Tu ne vas pas foutre en l'air 30 ans de mariage pour ça, tu peux encore reprendre la situation en main et sauver votre couple.

    - Tu crois ? Demande Jacqueline en buvant les paroles de son amie.

    - Si tu veux, j'essaye de la joindre, je lui parle et on voit mais tu me jures que tu ne lui sautes pas aux yeux ni ne l'insultes, cela ne sert à rien et serait injuste.

    - Elle reçoit quand même mon mari !

    - Oui mais absolument pas comme tu l'entends. Si René allait se faire masser en cachette, casserais-tu la figure de la masseuse ?

    ............

    Marilyne appelle la Maîtresse dont elle a trouvé le numéro de téléphone dans les emails. Elle se présente sous son pseudo de Maîtresse et explique la situation. Encore une fois avec beaucoup de diplomatie, elle parvient à la convaincre de venir chercher la croix de Saint André en lui promettant d'être présente et que tout se passera bien. Jacqueline et la Maîtresse discutent quelques minutes au téléphone, cela rassure la Maîtresse sur ses intentions. L'idée de donner une leçon à un soumis en présence de sa femme l'amuse follement, elle viendra toutefois accompagnée de son mari, sa seule condition.

    Là encore, Jacqueline de comprend pas qu'elle vienne avec son mari. A ses yeux le mari de cette Maîtresse est aussi un cocu. Marilyne reprend ses explications sur la domination féminine en lui expliquant que les Maîtresse couchent très rarement avec leur soumis puis qu'elles prennent leur plaisir autrement grâce au SM.

    Soumis ABDL lavementToujours accroché à sa croix, René se décompose lorsqu'il les entend arriver. Son colon a gagné la bataille sur la résistance de son anus. Il s'est répandu honteusement dans sa couche comme une personne incontinente. L'odeur nauséabonde s'en échappant ne laisse aucun doute sur ce qu'il s'est passé. Lorsqu'il apprend qu'elles ont fouillé son ordinateur, sa gorge se serre. Les filles s'en donnent à cœur joie pour l'humilier en parlant de la couleur de sa couche, en lui disant également qu'il pue le rat mort. Elles poussent même le vice à lui claquer les fesses par-dessus la couche pleine, engendrant des effets sur les liquides quelle contient, effet désastreux sur le moral de René abominablement souillé.

    Son cœur semble s'arrêter quand il apprend qu'elles ont eu sa Maîtresse au téléphone, les quelques détails qu'elles lui donnent ne laissent aucun doute.

    Il est à deux doigts de la crise cardiaque lorsqu'elles lui apprennent que sa Maîtresse va venir en personne chercher la croix qu'il a fabriquée. Comble de l'infamie elles lui laisseront même le plaisir de le délivrer et de la démonter pour qu'elle puisse l'emporter dans sa voiture. Elles le plantent là avec sa misère, pour aller prendre un café. Ni tenant plus, il finit par uriner dans sa couche, augmentant encore les volumes de liquide. Ses yeux commencent à mouiller, fait comme un rat, René ne peut à présent que se lamenter sur son sort.

    Une heure plus tard, il entend les filles passer, son sang se glace dans ses veines lorsqu'une voiture qui se gare devant le garage. Il croit mourir en entendant le son de la voix de sa Maîtresse. Pour parachever son supplice, en affichant une joie perfide d'assister à son supplice Marilyne lui retire le sac qu'il avait encore sur la tête. Le regard des autres en ces moments sont pires qu'un coup de fouet.

    Il vit les pires secondes de sa vie, à être ainsi entravé et exposé avec sa couche souillée comme seul vêtement totalement offert dans sa honte devant cet homme, sa femme, sa Maîtresse puis cette garce de Marilyne.

    Sa Maîtresse le libère puis lui demande de démonter la croix pendant qu'elle va discuter avec sa femme. Une demi-heure plus tard, alors qu'il dévisse les derniers boulons, ils reviennent au garage, la discussion entre femmes semble s'être bien passée. Il est tellement mal dans sa tête, dans son corps et son âme qu'il n'a même plus honte du spectacle qu'il offre à quatre pattes avec sa couche odorante souillée. Il fait le plus vite possible pour qu'ils s'en aillent, pour que cette horreur se termine.

    - Tu as une femme merveilleuse, ouverte à beaucoup de choses mais tu ne la mérites pas. Si tu reviens me voir un jour petit soumis, je sais ce qu'il faut faire pour te punir, sauf que moi je te ferai bouffer le contenu de ta couche en guise de punition. Lui dit sa Maîtresse pendant que son mari charge la voiture. Oublie mon adresse et mon numéro de téléphone, ce n'est pas un conseil, ce sera le dernier ordre que je te donnerai.

    Étant très fine et pas en manque de soumis, la Maîtresse de René joue le jeu des filles en humiliant encore le soumis au « cul merdeux » dans tous les sens du terme avant de quitter les lieux. Marilyne fait de même, il est temps de les laisser seuls.

    La suite de cette histoire ?

    Guidée par Marilyne, avec le temps Jacqueline est devenue une forme de Maîtresse Femme sans pour autant devenir une pure domina. Son plaisir est la fessée, son mari en prend souvent et depuis ce jour là René marche droit car la discipline conjugale à la maison est assez rude.

    TSM journaliste de Fessestivites

    Les photos des mésaventures ABDL et SM de René sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/1_ABDL-infantilisme-Rubber-zentai/albums/5024_La-femme-d-un-ABDL-decouvre-qu-elle-est-cocue-et-se-venge-de-son-mari-soumis.html

    La vidéo des mésaventures ABDL et SM de René sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/3957_La-femme-d-un-ABDL-decouvre-qu-elle-est-cocue-et-se-venge-de-son-mari-soumis.html

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  • Julie 19 ans candauliste confession érotique

    Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça mais la première fois il s'est passé quelque chose en moi. Mon ami me suffit amplement pour les câlins, je l'aime, il m'aime, au lit pour nous tout va bien. Je ne suis pas une salope, une mangeuse d'homme comme certaines. Il y a en moi quelque chose d'étrange qui me pousse au sexe par le candaulisme que je ne contrôle pas.

    Nous parlons librement de nos fantasmes, de nos envies coquines. Paul m'a indiqué qu'il aimerait faire venir un homme à la maison en me disant qu'il aimerait me voir baiser avec un autre. Je lui ai demandé s'il voulait être cocu, il m'a répondu qu'il ne serait pas cocu puisqu'il serait là et que c'est lui qui me proposait de faire venir un homme. Un samedi matin, alors que nous nous prélassions l'un contre l'autre sur le canapé il est revenu à la charge sur le sujet. Pourquoi ai-je accepté je n'en sais rien.

    En moi une voix me disait qu'il ne fallait pas, mon corps me disait autre chose, je n'arrivais même plus à parler. Quand Paul m'a demandé si j'acceptais, le son ne sortait pas de ma bouche, je n'ai pu que faire un hochement de tête. Il a téléphoné à un copain, je le regardais sans plus rien penser, vide de songe, de réflexion je me laissais guider. Une demi-heure plus tard il est arrivé, mon corps ne répondait plus, même si nous sommes chez moi, c'est lui qui est allé ouvrir la porte.

    Julie 19 ans candaulisteAssisse entre eux deux sur le canapé, je n'étais plus qu'un pantin de chair, une poupée avec laquelle on va pourvoir jouer. Son copain n'osait pas me toucher, c'est Paul qui a du entreprendre les choses en me caressant la poitrine par-dessus mon tee-shirt qu'il remontait lentement comme pour ne pas m'apeurer. Son copain m'a un peu caressé les seins, cela me faisait tout drôle, une sensation indescriptible me submergeait. Quand Paul m'a attirée pour que je m'étende sur lui, pendant que son copain touchait mon corps, je m'accrochais aux mains de mon chéri, et là, j'ai vraiment décidé de m'abandonner. Ils peinaient à retirer mon jean, je me souviens m'être levée pour le faire sans même qu'ils ne me le demandent. Leurs mains sur moi enflammaient mes sens, ma tête était chaude, c'est comme si j'avais bu.

    Son copain s'est déshabillé, son sexe énorme était en érection, je n'osais y toucher. Paul m'a poussée vers lui alors je l'ai pris dans mes mains et je l'ai sucé. Pendant que je le suçais, Paul ne faisait rien, il avait juste sa main sur ma hanche, j'étais bien, rassurée par cette main. Si j'aime prendre le sexe de Paul dans ma bouche, celui de son copain ne générait rien en moi, je faisais ça machinalement. Paul m'a attirée sur lui, il a écarté mes jambes pour m'offrir à son copain. Mes mains cherchaient les siennes, j'avais besoin de les toucher, pas qu'il me tienne pour me forcer, non, juste les sentir dans les miennes.

    Quand le sexe de son copain a touché le mien, j'ai fermé les yeux un instant. Il a joué à l'entrée de ma vallée intime puis avec ma chatte sans la prendre ni la forcer, mon dieu que c'était bon. Lentement mais sûrement il s'est enfoncé en moi, sa grosse bite me distendait et me faisait un peu mal, mes mains se sont mises à le freiner. Au bout d'un moment je me suis détendue et j'ai pu savourer ses mouvements en moi. Ma tête ne pensait plus, seul mon corps vivait, c'est fou, difficile à expliquer, mais c'est vraiment ce que je sentais. Ils m'ont demandée de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête sur l'épaule de Paul qui me caressait la nuque et les cheveux je planais dans un autre monde au gré de ses mouvements en moi.

    Julie 19 ans candaulistePuis ils m'ont remise sur le dos, pendant que son copain me prenait bien plus fort qu'au début, j'ai été prise d'une jouissance différente des autres, de celles que j'ai avec Paul. Cela ne s'arrêtait pas alors que je ne suis pas vaginale. Il a éjaculé sur moi en me souriant entre deux grimaces de plaisir. Son copain a eu l'intelligence de ne pas s'attarder, peut-être l'avaient-ils convenu ainsi. Paul a pris un gant, m'a lavée puis m'a prise dans ses bars en me disant que j'étais belle, très belle à regarder pendant l'amour et moi, je l'ai remercié pour cet instant magique que je venais de vivre. Nous avons ensuite fait l'amour comme des fous, je l'ai mangé de bisous.

    Nous avons décidé de recommencer, mais la prochaine fois, j'aimerai essayer avec un bandeau sur les yeux pour ne rien voir et me concentrer sur les sensations magiques que mon corps m'a offert dans ce moment candauliste.

    Julie

    TSM journaliste de fessestivites

    Les photos de Julie 19 ans candauliste sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/36_Libertins-echangistes-candaulistes-Cuckold/albums/5028_Julie-19-ans-candauliste.html

    La vidéo de Julie 19 ans candauliste est ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/30_Cuckolding-et-candaulisme/3961_Julie-19-ans-candauliste.html

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  • Un soumis ABDL sévèrement punit par sa Maîtresse

    Ma Maîtresse, dont je ne dirai pas le pseudo pour qu'elle ne soit pas ennuyée, est à la fois respectueuse et très sévère, à l'écoute et intransigeante à la fois. Lors de notre rencontre elle a accepté mon côté ABDL et s'en amuse parfois pour m'humilier en m'envoyant par exemple acheter ses cigarette avec la couche pleine d'urine sous un pantalon serré.

    ABDL homme couche sous son pantalon

    Vendredi soir, elle m'a demandé de me faire un lavement, chose faite avec plaisir car en principe, cela rime avec plaisir anal pour moi, même si quelque fois c'est douloureux quand elle s'acharne. J'ai donc fait plusieurs lavements afin que l'hygiène soit respectée et que nous ne soyons pas ennuyés par de la merde sur les jouets. Une fois fait, j'attendais patiemment en position 6 sur le tapis de la salle de bain porte fermée, en essayant d'imaginer ce qu'elle préparait.

    Ce soir là, elle avait décidé de me tanner les fesses en essayant de reproduire ce que TSM a fait un soir en webcam sur le chat de Fessestivites lors de la soirée fesses rouges de la ménagère. Je peux affirmer que le cul du poêle fait plus mal qu'un martinet ! TSM je me demande parfois si je dois vous détester ou inciter ma Maîtresse à quitter le site ! Effectivement, quand vous vous dite « psychopathe SM en chef » on comprend pourquoi....

    Après m'avoir fessé avec tous les instruments possibles de la cuisine, Maîtresse a enfilé son gode-ceinture qu'elle m'a fait lécher avant de me prendre comme une sauvage entravé au dessus la table de la cuisine. Au début ce fut assez douloureux par manque de lubrifiant, mais quand Maîtresse a accepté d'en ajouter j'avoue avoir pris un pied pas possible sur le moment. Pourquoi sur le moment ? Parce que lorsque Maîtresse a retiré le gode-ceinture, il était particulièrement sale. Et là, cela ne l'a pas fait du tout. Elle m'a incendié en le jetant dans l'évier de la cuisine dans lequel elle était à deux doigts de vomir.

    Ma punition

    Maîtresse m'a envoyé me passer un gant en m'ordonnant de reprendre ensuite la position d'offrande sur la table. La toilette faite, j'attendais donc penché en avant fesses offertes en priant le seigneur des soumis pour qu'elle ne soit pas trop sévère. Quand je l'ai vue arriver avec des couches, une culotte en plastique et mon pantalon je n'ai pas compris où elle voulait en venir. Sans vouloir parler de l'intimité de Maîtresse, elle dispose d'une batterie de produits contre la constipation. Ce soir là, elle m'a mis cinq suppositoires à la glycérine, un microlax et une petite poire à lavement. Mes plus plates excuses n'ont rien changé à ses projets et quand je disais qu'elle est sévère, vous allez constater que le mot est faible.

    En me promettant de « m'égorger » si j'avais une fuite, elle m'a mis deux couches et un insert puis la culotte en plastique par-dessus le tout. A la suite de quoi, et malgré mes suppliques, elle m'a obligé à mettre mon pantalon. Sur le coup, j'ai pensé qu'elle allait m'envoyer lui acheter des cigarettes mais sa punition était bien plus machiavélique que ça.

    Elle m'a ensuite mis une chaîne et un cadenas en guise de ceinture et emmené par l'oreille jusqu'à l'armoire où elle m'a enfermé à clé en me disant que la prochaine fois, j'aurai le cul propre. Au plus je suppliais, au plus elle s'énervait, j'ai donc fini par me taire et accepter la plus dure des punitions qu'elle ne m'ait données. Et le pire, c'est que pendant que je vivais mon pire cauchemar je l'entendais s'envoyer en l'air sur le lit avec ses vibros.

    Vous dire que ma nuit fut difficile, laborieuse, dégueulasse est inutile, je suppose que vous l'aviez deviné. Je vous passerai les détails mais ce fut vraiment très dur.

    Le pire fut le lendemain ! ! ! !

    Vers 7 heures, elle m'a ouvert la porte pour que je puisse sortir. Vêtue de son tailleur de travail et de ses collants noirs, elle était belle mais avec des yeux brillants qui m'ont tout de suite affolé.

    - Je vais travailler, tu passes l'aspirateur, la pièce à frotter et tu fais le ménage. Quand ce sera fait, adresse-moi un texto.

    Là, je l'ai carrément suppliée mais rien n'y a fait. Elle a tourné les talons puis a quitté la maison en claquant la porte. J'étais mal, très mal autant dans ma tête que dans mes couches si vous voyez ce que je veux dire. L'âme en peine, j'ai pris un café, debout, car l'idée de m'asseoir n'était pas admissible. Immédiatement je me suis mis à faire le ménage et quasiment sans fumer pour aller le plus vite possible. A 9h30 j'ai adressé un texto à ma Maîtresse en lui indiquant que tout était fait y compris la vaisselle essuyée et rangée.

    Le texto qu'elle m'a adressé disait : « c'est bien ne bouge pas »

    Avec ça comme réponse, je n'étais pas plus avancé ! ! ! Pour tuer le temps, je me suis mis à surfer toujours debout en prenant cette fois le temps de savourer mon café et de fumer en me demandant si elle allait me laisser comme ça jusqu'à 13 heures, heure où elle arrive à la maison le samedi.

    Un moment plus tard, la sonnette m'a fait bondir. Avec mes couches ultra pleines, même sous mon pantalon, il était hors de question que je réponde, même au facteur. Trois minutes plus tard un texto de Maîtresse m'ordonnait d'ouvrir la porte. J'étais fou ! J'ai donc enfilé un peignoir pour masquer mon pantalon avant d'aller ouvrir la porte de la maison. Sa copine YYY est entrée dans la maison comme si elle était chez elle en me disant simplement « bonjour ». Elle a fait le tour de ma maison avant d'aller dans la cuisine qu'elle a inspectée. Et là, du pot de fleur qui est sur le frigo elle a attrapé les clés de ma liberté en m'indiquant que j'avais bien travaillé. Avec un sourire narquois elle me les a tendues avant de quitter les lieux en m'indiquant que si je voulais faire des heures de ménage, je pouvais la contacter......

    Je ne vous raconterai rien de m'on horrible toilette, cela n'a aucun intérêt, mais plutôt que Maîtresse m'a apporté un très bon cigare quand elle est arrivée à 13 heures.

    P ......

    P.S. Je remercie le webmaster de Fessestivites de diffuser ce récit à la demande de Maîtresse en respectant notre anonymat. Par sa diffusion, l'objectif de Maîtresse est de faire voir aux soumis qu'une punition n'est jamais ce que le soumis aime.

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  • Un forum BDSM très émouvant ! 

    Magnes lançait le 25 août 2013 une discussion sur le forum BDSM discussion que vous pouvez suivre ici.

    http://www.fessestivites.com/phpBB3/le-bdsm-en-regle-general-f115/stages-t1465.html

    Un échange dès plus émouvant m'incite à en extraire une partie pour vous en donner connaissance. Vous pouvez réagir à votre tour en fonction des vos positions ou pour y poser vos questions.

    Précision : Polisson est le soumis de Maîtresse Martine

    Webmaster

     

    MAgnes » 25 Août 2013 13:57

    Bonjour à toutes et tous,

    Une pratique relativement répandue dans le monde BDSM est d'envoyer son soumis ou sa soumise en stage chez une autre personne dominante.

    N'ayant jamais pratiqué cela (que ce soit envoyer mon soumis en stage ou recevoir une personne venue en stage chez moi), je suis curieuse de connaître les tenants et aboutissants de cette pratique.

    Que vous soyez le dominant envoyant son soumis, le soumis lui même, ou le dominant qui reçoit, qu'est-ce que cette pratique vous a apporté, quels en sont les plaisirs à vos yeux, quel était l'objectif et a-t-il été atteint ? etc.

    Agnès
    Curieuse de nature

    Maîtresse Martine » 27 Sep 2013 09:02

    Après une longue absence je reviens parmi vous et découvre une sérieuse évolution au niveau des discussions, super !
    Jusqu'à présent l'idée de prêter mon soumis ne m'avait pas effleuré l'esprit mais je trouve que cette idée originale méritait réflexion et discussion. Je lui en ai parlé et lui demande de venir répéter ici la réponse qu'il m'a donnée vous allez comprendre pourquoi.

    polisson » 27 Sep 2013 09:10

    Maîtresse, je vous aime, je vous ai cherchée pendant des années et aujourd'hui je suis heureux. Je n'ai besoin de personne d'autre que vous pour vivre ma soumission, je n'ai envie de servir personne d'autre que vous. Dans un pays il n'y a qu'un roi ou qu'une reine, dans mon monde il n'y a qu'une reine : vous ! Les autres ne m'intéressent pas ou plus puisque pendant des années j'ai cherché une reine, ma Reine.
    Votre demande m'a énormément touché et si j'avais les larmes aux yeux c'est parce que j'ai eu peur de vous perdre. Maintenant que vous m'avez rassuré sur vos intentions et sentiments à mon égard, même si l'idée ne me plait absolument pas, pour vous ma reine je suis prêt à tout et donc à aller servir une autre si vous en exprimez le désir. Ordonnez je ferai,prêtez moi si bon vous semble mais s'il vous plait, ne m'abandonnez pas, j'en mourrai.
    Votre soumis aux yeux mouillés.


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  • Couche et sac de bondage plastique pour la sieste d'une ABDL

    L'idée de lui mettre une couche puis de l'enfermer dans un sac de bondage en plastique m'est venue à force de l'entendre râler qu'il fait froid même quand le thermomètre annonce 25 degrés.

    ABDl diaper lover

    Au lieu de se coucher dans le lit pour faire la sieste, ma soumise s'est retrouvée en couche plus une culotte en plastique étendue sur son lit cage. Je l'ai invitée à entrer dans un sac de bondage en plastique bien épais qui fut prestement fermé.

    D'un naturel prudent, j'ai ajouté quelques cordes sans pour autant réaliser un véritable shibari, le plastique épais du sac de bondage étant déjà en principe suffisant.

    Comme elle râlait, la webcam de son ordinateur portable fut ouverte sur le chat ABDL de Fessestivites, afin que les adeptes de la couche puissent apprécier. Elle finit donc devant mon ignorance par trouver le sommeil.

    Trois heures plus tard, elle avait fait un gros pipi dans la couche car me réveiller pour ça eut été dangereux et elle avait perdu un kilo.

    En clair, du bondage BDSM et ABDL thérapeutique version TSM ! (sourire)

    Les photos de sa sieste en couche en sac de bondage sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/79_Diaper-girl/albums/5002_Couche-et-sac-de-bondage-plastique-pour-la-sieste-d-une-ABDL.html

    La vidéo de sa sieste en couche en sac de bondage est ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/15_Videos-des-profils-des-membres-du-reseau/3935_Couche-et-sac-de-bondage-plastique-pour-la-sieste-d-une-ABDL.html

    ABDl diaper lover

    ABDl diaper lover

     

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