Rencontres et Pique-niques ABDL
Week-end du 31 mai 2014

C’est 100% gratuit mais chacun vient avec deux bouteilles + un pique-nique pour deux repas + son couchage voir tente ou vous devez réserver à l’hôtel.

Photos et vidéos interdites

LIEU : aux portes de la Camargue

POUR ETRE INVITE IL FAUT :

Réserver le plus vite possible (les places partent très vite)
Le jour de la réservation donner son numéro de téléphone à TSM qui reçoit à titre privé à son domicile. Il appelle pour faire connaissance avant de donner l’adresse de son domicile.

Pour réserver lire le texte ci-dessous l'adresse email est dans le texte

Priorité est donnée aux membres abonnés du réseau Fessestivites

NOMBRE DE PLACES

10 couples
5 femmes seules
5 hommes seuls

TRAME DES PIQUE-NIQUES

Arrivée le samedi entre 11h et 12h
12 h apéro
13 h 30 repas en commun
15 h jeux sur les thèmes
18 h apéro musical + jeux
20 h repas en commun
22 h musique / chants / danses / jeux sur les thèmes jusqu’à plus d’heure.

Le dimanche
Le matin Petit déjeuner + discussions + jeux pour ceux qui le désirent
12 h apéro
13 h 30 repas en commun
15 h jeux sur thèmes libres / sieste…..
18 h un seul apéro (pas deux, il y a la route)
19 h fermeture des portes

Parking clos

ASSURANCES ET OBLIGATIONS

Les rencontres organisées au domicile de Marc dit TSM, webmaster de Fessestivites, sont gratuites. Elles sont proposées gratuitement dans un cadre privé à ses amis de Fessestivites mais également à des personnes qui ne sont pas membres ou abonnées à Fessestivites. De fait, les responsabilités individuelles puis juridiques puis au niveau des assurances incombent totalement à chaque participant qui en participant à ces rencontres en acceptent la totale responsabilité.

L’usage et la consommation de drogue sont strictement interdits lors de ces rencontres amicales. Les participants sont invités à se modérer sur la consommation d’alcool et à dormir sur place (gratuitement avec un moyen à leur convenance) si le taux d’alcoolémie leur interdit juridiquement de conduire un véhicule ou de quitter les lieux.

Le respect des pratiques des uns et des autres est obligatoire, chacun fait ce qu’il veut avec son corps tant qu’il ne nuit pas aux autres. (Sauf drogue interdite, scato interdite et tout ce qui est interdit par la loi)

Rien n’est imposé à personne.

Pour réserver adressez un email avec votre numéro de téléphone ICI

Le Daddy punit par la couche

Auteur : Ecrivaillon

J’avais 23 ans lorsque j’ai rencontré mon Daddy, mon Maître mon sadique, mon pervers Pépère en fin 2011 sur Fessestivites et malgré nos différences d’âge, (il a 42 ans) j’ai trouvé en lui mon confort de vie. Avec lui j’ai tout, un père très protecteur mais sévère, un amant extraordinaire et un Maître aussi sadique que pervers qui m’a fait découvrir beaucoup de choses. Lorsque le soir je me love contre lui dans le canapé je ronronne de bonheur dans ma grenouillère pour adulte.

Je ronronnais nettement moins au début quand il me donnait des fessées mais je m’y suis habituée pour finalement y prendre goût. Mon erreur fut de lui dire sans aucune méfiance lorsqu’il ma demandé un jour si je faisais exprès de faire des bêtises. En exposant là mon masochisme je me suis non pas privée de fessée car il m’en donne bien volontiers avant de me faire l’amour comme un dieu mais, sans m’en rendre compte, je l’ai contraint à trouver un autre moyen de punir la grande ado que je suis parce que j’aime me conduire en gamine. Cela m’amuse qu’il s’occupe de moi mais aussi qu’il me dirige en jouant le rôle de mon père très souvent absent dans mon enfance et qui s’est barré de la maison quand j’avais 10 ans.

Comme le dit souvent Daddy, les punitions ne sont pas des jeux de coquins, de spanking ou BDSM, cela doit être désagréable sans quoi la fautive en profite pour satisfaire ses envies de soumission ou son masochisme.

Quand nous nous sommes amusés dans le monde ABDL découvert sur le site, il a testé comme punition le fait de m’imposer de porter la couche 24/24 le week-end me privant ainsi de gros câlins charnels et donc de jouissance. En grand pervers cela ne l’empêche pas de me donner à téter son « biberon » mais lui seul peut jouir. Par contre, il m’autorisait les toilettes pour faire caca car c’est vraiment un truc qui me dégoutte. Si à la maison je m’en moque car je prends plaisir à mouiller ma couche, là où j’aime c’est quand il me fait mettre une jupe courte pour aller faire les courses au supermarché avec une grosse couche.

La semaine dernière, j’étais à nouveau punie pour avoir délaissé la maison et jouer sur l’ordi Je n’ai rien trouvé de mieux samedi matin pendant qu’il n’était pas là de recommencer. Comme je ne sais pas m’arrêter, quand il est rentré de travailler j’étais toujours devant l’ordi en train de jouer, la maison était en bordel et le repas n’était pas prêt. Il n’a pas apprécié du tout ! Daddy m’a plantée là en me disant qu’il devait aller faire deux courses en m’ordonnant de me bouger le cul et au son de sa voix, cette fois je me suis transformée en une véritable fée du logis et une excellente cuisinière Vivagel.

A son retour une heure plus tard, en voyant son visage rieur je sentais bien qu’il se tramait quelque chose mais impossible d’en savoir plus. Le repas consommé, Daddy a décidé de s’occuper de son vilain bébé et même de lui donner la douche avec beaucoup de douceur. Cette douceur et son sourire m’inquiétaient ! Portée jusqu’à la chambre, j’ai compris à son attitude qu’il allait m’arriver quelque chose. Il m’a faite attendre 2 minutes nue sur le lit étendue sur une couche en m’ordonnant de ne pas bouger. Quand il est entré avec sa main dans le dos pour cacher une grosse poire à lavement que je n’ai découverte que lorsqu’il m’a fait relever les jambes. Mes réfutations n’ont rien changée, il me l’a collée dans les fesses en m’interdisant de bouger pour aller la remplir et m’en administrer une seconde.

A cet instant, je pensais qui allait me laisser aller aux toilettes pour me permettre d’évacuer mais non !!! Il a fait pire !!!!!!! Il m’a collé deux suppositoires à la glycérine avant de refermer la couche avec un certain empressement. J’ai eu beau le supplier, lui promettre que je serai sage, que je ne le ferai plus, quand Daddy a décidé plus rien ne l’arrête. Ce grand pervers ma ensuite mis un de ses pantalons avant de sortir une chaîne de son sac qu’il a passée comme une ceinture avant d’y poser un cadenas. Dire que j’étais furieuse est un euphémisme mais cela ne l’a pas arrêté du tout. Il a ensuite démonté la serrure des toilettes et de la salle de bain dont il avait fermé les portes avant de m’annoncer qu’il allait faire un tennis avec des potes en me souhaitant une bonne après-midi de jeu sur l’ordinateur.

Je n’étais pas fière car connaissant mon Daddy je me doutais qu’il allait réellement le faire et malgré mes suppliques désespérées il s’est barré !

A peine était-il parti que j’ai essayé de retirer le pantalon mais il avait vraiment serré la chaîne faisant office de ceinture et à part me faire mal, je n’arrivais pas à grand-chose. Tant bien que mal je suis arrivée à me lever du lit en serrant les fesses comme une malade. Marcher jusqu’à la fenêtre pour voir s’il était réellement parti, l’espoir fait vivre…. fut très difficile et a nécessité une pause jambes et fesses ultra serrées. Bien décidée à ne pas céder et encore moins à me faire dessus, je suis allée au salon pour m’étendre dans le canapé et regarder la télé car la position assise devant l’ordi me semblait trop dangereuse.

Cela « poussait » tellement dans le bas de mes reins que j’ai commencé à regarder la télé debout n’arrivant pas à me résoudre à faire dans ma couche. Une accalmie dans l’orage de mes intestins m’a laissée à penser que je pouvais m’allonger sur le canapé. Erreur fatale ! Au moment où je me suis baissée, j’ai sentie la trahison de mes sphincters et une grosse masse chaude se frayer un chemin entre mes fesses. Pendant quelques secondes une forme de soulagement physique et un sentiment de bien-être très original m’ont surprise mais ce fut de courte durée…..

Deuxième erreur ! Au lieu de rester couchée, mon premier réflexe a été de me relever le plus vite possible pour limiter les dégâts qu’elle conne ! L’effort n’a pas plus du tout à mon colon qui en profité de ma baisse de vigilance pour poursuivre sa vidange sans mon accord. Ni une ni deux, j’ai pris mon téléphone portable pour envoyer à daddy un texto pour lui dire que je le détestais !

« Et moi je t’aime quand tu es un peu attentionnée envers moi, médite un peu, cela te fera du bien » fut sa réponse.

Comment méditer avec le cul merdeux et une chaîne qui me cisaillait le ventre ? En guise de méditation, pour commencer j’ai pissé de rage en me rendant rapidement compte que ce n’était par forcément une bonne idée ! ! ! Je n’ai donc pas eu d’autre choix que de passer l’après-midi entière dans une couche dégueulasse et très odorante en passant d’un sentiment de colère après lui à un sentiment de honte aussi car il bosse pour nous faire vivre et moi je joue sur l’ordi au lieu de chercher du travail et à défaut de m’occuper de lui.

J’ai donc pris une feuille de papier sur laquelle j’ai rédigé un mot d’excuses que j’ai scotché au portemanteau qui est dans l’entrée de la maison en espérant qu’il ne rentre pas trop tard et ne ferait pas durer la chose. Daddy est arrivé vers 18 heures, ce qui représente quasiment 4 heures le cul merdeux et je crois que mon mot d’excuse a joué en ma faveur car ce soir là, après une toilette horrible dont je vous passerai les détails, il fut un amour de douceur.

Ecrivaillon

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Chat webcam ABDL

Forum ABDL

Des ABDL contraints de porter des couches 24 heures

A l’initiative de Fessestivites des adeptes de l’ABDL ont pu partager leurs passions sur le chat et en webcam en étant contraints de passer 24 heures en couche sans possibilité de les changer.

SAMEDI 21 H sur le chat de Fessestivites

Réunis sur le chat, les ABDL devaient se présenter en couche, revêtir leurs pantalons puis les fermer avec une chaîne et un cadenas auxquels se rajoutait un plomb numéroté. Certains en avaient mis plusieurs l’une sur l’autre, d’autres avaient rajouté des inserts.

Tout cela a été fait en chat webcam sous le contrôle de Maîtresse Alysée qui disposait des numéros des plombs permettant de vérifier 24 heures plus tard que personne ne tricherait.

DIMANCHE 21 H sur le chat de Fessestivites

Les participants de ce jeu ABDL se sont présentés sur le chat à 21 heures avec leurs couches bien pleines pour que Maîtresse Alysée puisse vérifier en webcam que le plomb n’était pas rompu. (Humide mais pas rompu…)

REVE ET FANTASMES ABDL

Combien d’ABDL rêvent d’être contraints de porter des couches ? Nous ne disposons pas de statistiques sérieuses pour répondre à cette question, mais à la lecture des récits, des forums et à la vue des photos et vidéos un grand nombre.

Les ABDL ne viennent pas par hasard sur Fessestivites, ils y cherchent des photos, des récits mais également un partage, des rencontres, des jeux et la possibilité de réaliser leurs rêves.

Pour permettre à ces ABDL de vivre le rêve de la contrainte, Fessestivites.com a offert les plombs et Maîtresse Alysée (non vénale) s’est personnellement occupée d’animer les deux soirées et de vérifier les plombs.

Un grand merci aux participants et aux participantes de ce jeu qui nous a réunis deux soirées autour du fétichisme des couches et de l’ABDL.

A la vue de la satisfaction des membres, ces soirées et ces jeux seront renouvelés prochainement sur Fessestivites.com

TSM

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Forum ABDL

ABDL et contrainte Amandine trouve une solution

Une histoire ABDL à rebondissements

Etudiante en droit, Amandine partage depuis deux ans un petit appartement avec une autre étudiante. Timide de nature, sa sexualité se limite à trois baisers d’adolescente et une gamelle affective avec un petit copain qui l’a plaquée comme une malpropre. La timidité n’empêchant pas les fantasmes, dès qu’elle dispose d’un peu de temps, elle surfe sur Fessestivites où elle trouve de quoi aliment sa libido débridée. C’est à travers une sombre histoire rédigée par TSM où, une pauvre fille se fait enlever puis abuser par un sadique amoureux des ABDL, qu’elle décide d’essayer la couche pour voir.

Comme beaucoup, si mettre une couche est facile, faire pipi dedans est bien plus difficile.

N’arrivant pas à se résoudre à franchir la barrière de la propreté, elle pioche dans les vidéos de selfbondage du site une idée pour se forcer à uriner dans sa couche. Amandine s’achète donc deux mètres de chaînes puis deux petits cadenas pour se lancer dans ce qui est pour elle une grande aventure. Si elle savait….

Sa colocataire étant partie en week-end avec son petit ami, c’est en suivant rigoureusement les conseils des articles et photos sur le selfbondage et vu sur les vidéos, qu’elle se fabrique un bloc de glace pour emprisonner les clés des cadenas. Ce dispositif ayant pour objectif de lui emprisonner les clés des chaînes entravant ses mains finissant de se congeler, elle se met en couche et consomme quasiment un litre de coca en surfant sur les vidéos dites hard et viol qui la font tant fantasmer. Ses sens s’enflamment au-delà du raisonnable mais tant que l’on est dans les fantasmes, pourquoi s’en priver ?

Bien plus tard et très excitée, elle se met intégralement nue hormis sa couche puis s’étend sur le lit où attache ses pieds jambes écartées avec de la ficelle récupérée ci et là, puis elle s’allonge sur le dos avant d’attacher ses mains avec la chaîne et les cadenas. Si ses calculs sont bons, elle devrait rester attachée ainsi au moins une heure et donc, finir par craquer et être obligée de se soulager dans sa couche. Lorsqu’elle tire sur la ficelle reliée aux clés, rien ne se passe, le bloc de glace fait son office.

Dans ses fantasmes de prisonnière, deux étudiants de sa classe l’ont entravée et abusent d’elle. Elle tire sur ses liens pour leur échapper mais en vain, ils la violent à tour de rôle, lui mettent une couche en la traitant de pisseuse et l’abandonnent sur son lit en lui promettant de venir la libérer le lendemain. Un film fantasmagorique certes mais avec de beaux étudiants.

Pendant son film sans droit d’auteur, Amandine s’endort et, quand un bruit de porte la tire doucement de ses songes érotiques, pour elle c’est un des beaux étudiants qui revient s’occuper d’elle.

- Qu’est-ce que tu fous là ? Qu’est-ce qui t’est arrivée ?

Cette voix familière la réveille totalement et la fait bondir dans ses liens, c’est celle de Laura initialement partie en week-end.

- Mais et toi, qu’est-ce que tu fous là ? Répond Amandine très gênée !

- Lionel m’a virée mais je m’y attendais un peu, car je pense qu’il a des vues Sophie, tu sais sur la blondasse au look de pute qui est en première année. Dit-moi grande folle tu t’amuses toute seule ? Mademoiselle se fait des frisons ?

- Euh ………….. Cela ne te regarde pas mais garde ça pour toi s’il te plait.

- Il faut voir ce que tu offres pour mon silence. Répond Laura amusée.

- Tu ne vas quand même pas me faire du chantage !

- Mais tu as les tétons qui pointent, mademoiselle est excitée ! Dit Laura en pinçant les tétons d’amandine qui se débat pour fuir les pinces digitales tout en la traitant de salope.

Très amusée, Laura attrape le bloc de glace emprisonnant les clés des cadenas en tirant fortement pour arracher la ficelle de sécurité. Sans être réellement affolée, Amandine maintenant piégée commence à s’inquiéter.

- Libère-moi s’il te plait, la comédie a assez durée !

En guise de réponse à cet ordre, Laura se met à l’aise et monte sur le lit pour enjamber sa colocataire aux yeux grands ouverts d’étonnement.

- Tu rêvais qu’on te violait c’est ça ?

- Va te faire foutre, cela ne te regarde pas ! Répond Amandine de plus en plus énervée.

- J’ai donc raison, par contre pour la couche je ne comprends pas, il va falloir que tu m’avoues tous tes fantasmes si tu veux que je te libère.

Amandine se refuse catégoriquement à dévoiler ses fantasmes, elle se débat mais en vain, Laura est bien décidée à l’emmerder.

- Avoue ! Il te faisaient quoi ce mec, il te baisait comme ça ? Crie Laura en bougeant ses fesses sur le bas-ventre d’Amandine tout en lui triturant les tétons.

Amandine se refusant à avouer, Laura se couche sur elle pour mimer un coït sauvage tout en embrassant sa colocataire dans le cou.

- Libère-moi s’il te plait j’ai trop envie de faire pipi. Supplie Amandine.

- Et moi j’ai trop envie de toi, si tu veux pisser pisse dans ta couche ! Répond Laura allongée sur sa colocataire prisonnière tout en lui malaxant les seins à pleine main.

Si Amandine rêvait de viol, ce n’était pas avec sa colocataire mais avec un homme ! Le duel inégal dure un peu, il est agrémenté de caresses coquines et de chatouilles au point qu’Amandine crie qu’elle va se pisser dessus si elle n’est pas libérée. Pour Laura amusée, cette indication est la cerise sur le gâteau, il est hors de question qu’elle la libère. Bien au contraire, elle s’acharne sur sa prisonnière et la mange de bisous tout en appuyant sur son ventre.

N’y tenant plus, Amandine craque et s’abandonne dans sa couche en éprouvant en même temps sous les baisers que Laura lui fait dans le cou des sensations aussi divines que surprenantes et surtout honteuses.

- Je me suis pissée dessus tu es contente ? Allez libères-moi maintenant.

- Si tu m’embrasses je te libère.

Pour être libérée au plus vite, Amandine abdique et fait un bisou éclair sur la bouche de Laura.

- Ce baiser ce n’est pas embrasser ! Si tu veux que je te libère il faut que tu me roules une pelle.

Pour avoir la paix et la liberté, Amandine cède. Les bouches s’approchent, les lèvres se collent et les langues s’entrelacent en même temps que Laura caresse les seins de sa colocataire. Pour Amandine c’est quelque chose de nouveau contrairement à sa colocataire très gourmande de filles. Le baiser dure un peu permettant à la prisonnière de découvrir la douceur d’une bouche féminine et des mains cette fois très douces et taquine avec ses tétons.

- J’en veux un autre ! Murmure Laura avant de lui rouler une pelle de lesbienne d’une grande tendresse tout en caressant Amandine avec des mains très sensuelles qui ne la laissent pas de marbre.

La captive se perd en sensations et en pensées contraires, la situation, ces caresses et cette langue de vipère l’ensorcellent tant qu’elle finit par se mettre à onduler sous les attouchements d'une lesbienne.

- Je vais te changer et après je te libère coquine.

- Non s’il te plait, libère-moi je vais y arriver toute seule.

- Penses-tu avoir le choix ?

- Salope, je te hais !

Laura n’a que faire des insultes, elle ouvre la couche et ne se prive pas de commentaire sur la pisseuse. Lorsqu’elle la retire sans délier les jambes, Amandine ne s’attend pas à ce qu’il va lui arriver. En lesbienne gourmande, Laura plonge sa tête entre les jambes maintenues écartées par les cordes pour se mettre à dévorer le clitoris de la captive. Malgré les « non » et suppliques, elle poursuit son entreprise tout en caressant les seins sans défense avant de s’attaquer aux fraises des bois se trouvant en leur centre et qui ne tardent pas à s’épanouir sous ses doigts.

Entravée, Amandine ne peut que se laisser faire mais elle n’affiche pas une réelle révolte, juste quelques noms d’oiseaux ne se trouvant pas dans le dictionnaire. Dix minutes plus tard, elle se cambre de plaisir sous la langue et surtout les doigts de sa tortionnaire n’ayant pas hésités à se transformer en spéléologue émérite pour s’enfoncer dans un tel marécage. La vague de plaisir fait perdre toute retenue à la captive qui cette fois ne crie plus « stop » mais des « oui » très clairs sur les désirs immédiats.

Epuisée et rompue de plaisir, Amandine ne sait plus où elle en est. Elle n’affiche aucune résistance quand Laura entreprend de lui remettre une couche après lui avoir libéré les jambes. Lorsqu’elle ouvre les cadenas et délivre ses poignets, Laura l’attire contre elle et l’embrasse à nouveau. Cette fois sans aucune contrainte ni chantage un fougueux baiser s’échange.

- A partir de maintenant tu seras mon bébé soumise, suis-je claire ? Déclare Laura sur un ton ne laissant pas imaginer de quelconques réfutations.

Amandine est sans voix, elle baisse les yeux avant de s’étendre sur le lit pour poser sa tête sur les cuisses de sa Maîtresse.

Ecrivaillon

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