• Ange d’Amour entre les mains d’un prédateur

    Ange d’Amour entre les mains d’un prédateur

    Une jeune étudiante un peu coquine, un peu fofolle fait des photos un peu osées pour des paris entre copines. Le surveillant général, un véritable prédateur de jeunes filles les découvre et là, cela ne va plus être un simple jeu de filles. La police arrivera t’elle à temps ?

    Margot est une jeune étudiante un peu coquine, un peu fofolle. Avec sa petite taille, son visage d’ange et un corps très bien proportionné, elle fait tourner la tête des hommes. Elle n’est pas pour autant une fille facile. Allumeuse oui elle l’est avec ses photos coquines, qu’elle partage avec ses amis. Il n’y a rien de pornographique dans ce qu’elle aime faire, cela se limite à quelques poses en sous-vêtements de profil ou de dos.

    La mode du selfie bas son plein, les défis aussi. Les garçons prennent des risques inconsidérés pour faire voir qu’ils ont du courage, les filles se montrent de plus en plus dévêtues. Margot se prend au jeu des défis, puis un soir elle ose faire un selfie avec les seins nus. Cela devait rester un défi entre copines, hélas pour elle, la photo est partagée dans le lycée. Ne le sachant pas, fière d’avoir été la première à montrer ses seins, elle relève un autre défi, celui de faire la chienne en string sur un lit.

    Elle comprend son erreur lorsque le lendemain, elle est convoquée chez monsieur Max, le surveillant général. En guise de début d’entretient, après l’avoir faite s’asseoir, il pose son téléphone mobile face à elle sur son bureau, avant de faire défiler les photos compromettantes. Margot se décompose, effondrée elle ne sait plus que dire, que penser de la trahison de sa copine. Monsieur Max la toise, l’écrase par son silence. Elle préfèrerait qu’il la gronde, la punisse plutôt que de rien dire.

    - Que diront vos parents s’ils apprennent ça ? Demande Max.

    Les larmes aux yeux Margot ne sait que répondre et s’enfonce dans sa chaise.

    - Je crois me rappeler que votre père est un général dans l’armée de terre ou quelque chose comme ça. Outre la honte et la déception, ces photos de sa fille ne serviront pas sa carrière si cela se sait !

    Ce que l’étudiante ne peut savoir, c’est que le matin même, il a réussi à arrêter l’hémorragie pornographique à temps et par chance. L’étudiant piégé qui faisait voir les photos de Margot, à un de ses copains le lui demandant n’a pas eu de chance, le surveillant l’a vu et a confisqué le téléphone mobile.

    Face à un ancien militaire à la retraite, le jeunot n’a pas résisté longtemps à l’interrogatoire un peu musclé et a tout balancé. La soi-disant copine de Margot, a été convoquée elle aussi et son téléphone a été vidé de son contenu compromettant. les deux étudiants ne parleront pas, par peur d’être virée du lycée, pour diffusion de photos pornographiques dans l’établissement. Tout cela, Margot ne peut donc le savoir.

    Après l’avoir sermonnée et avoir surtout appuyé sur les conséquences fâcheuses pour toute sa famille, le surveillant général propose à Margot, de lui donner la fessée que son père aurait du lui mettre depuis longtemps. Totalement déstabilisée, submergée par la honte et la peur du scandale, l’étudiante accepte l’inconcevable : se faire fesser à 18 ans par un vieux !

    - Pour sauver votre honneur, et surtout, vous éviter d’être la risée de tout l’établissement, je ne vais pas vous donner cette fessée ici, on pourrait nous entendre. Vous m’attendrez ce soir devant la brasserie du Cap Vert à 17h30. Je vous conduirai chez moi pour vous donner cette fessée grandement méritée, nous sommes bien d’accord ?

    Margot ne peut répondre que « oui » à cette question piège. L’estomac en marmelade, elle quitte le bureau du surveillant général pour se rendre en classe, après être allée restituer son petit déjeuner dans les toilettes de l’établissement. Sa journée est un véritable enfer. Ses copines et copains de classe lui demande si elle est malade, tant son visage est pâle et fermé.

    A l’heure convenue, elle attend sagement le surveillant général devant la brasserie du Cap Vert. Elle se tord les doigts de peur et se maudit, en attendant l’application de ce qu’elle appelle l’horrible sentence. En le voyant arriver, elle rêve de fondre dans la bitume du trottoir. Aucun mot n’est échangé, il lui fait juste signe de le suivre jusqu’à une sinistre maison, entourée d’un jardin en friche.

    A peine sont-ils entrés dans la maison, que Margot comprend que quelque chose ne va pas. Il y a des éclairages de photographe et une caméra posée sur un trépied. Elle essaye de s’enfuir mais il bloque la porte et recommence à la sermonner avant de lui dire : « imagine le scandale si ton père et tout le lycée apprend que tu fais des photos pornographiques ».

    - Mais c’est pourquoi faire la caméra ? Demande Margot affolée.

    - C’est juste pour éviter que tu puisses dire que je t’ai v i o l é e ou f o r c é e.

    Le surveillant général, met en place une sorte de tribunal psychologique, après avoir allumé la caméra. Il l’oblige à avouer ses fautes, fait même voir son téléphone mobile à la caméra, qui enregistre les aveux de l’étudiante. Max la pousse dans ses retranchements et à avouer que cela l’excitait de faire ces photos pornographiques. A la suite de quoi, il lui fait dire devant la caméra qu’elle mérite une fessée et qu’elle est d’accord pour qu’il la lui donne.

    Le conditionnement psychologique fonctionne à merveille, sur la vidéo on le voit s’asseoir sur une chaise et on voit Margot s’approcher de lui volontairement. Pire encore, sur la vidéo on voit même Margot s’allonger toute seule sur les genoux de Max. Ce qu’elle n’avait pas imaginé, c’est qu’il allait relever sa jupe et la déculotter. Devant ses réfutations, il lui explique qu’une vraie fessée est toujours donnée cul nu !

    Lorsque les première claques s’abattent sur son délicieux petit cul de gamine de 18 ans, Margot a bien plus honte que mal. En gros pervers, le surveillant général ne lui tanne pas les fesses, son but est d’exciter la petite salope. L’excitation ne vient pas vraiment mais ne laisse pas Margot insensible non plus. Max fait des pauses entre les fessées et caresse le délicieux petit cul qu’il est dommage de fesser. Après une longue série de claques un peu plus appuyées, il s’amuse à griffer légèrement le petit joufflu rouge. Les adeptes de la fessée savent que ces petites griffures, génèrent des sensations diaboliques et font réagir la fille fessée.

    - Mais on dirait que cela te fait des choses d’être fessée, avoue ou je recommence tout depuis le début ! Lui dit max en continuant de griffer son fessier tout rouge. Répond par oui ou par non !

    Toute honteuse, Margot n’a pas d’autres choix que de répondre « oui » en sursautant sous les ongles du pervers.

    - Bien, tu vas aller au piquet de réflexion et après tu pourras partir !

    Conduite au piquet mains sur la tête, Margot ne peut pas remonter sa culotte et fait de petits pas.

    - Si tu retires tes mains de ta tête ou si elle se décolle du mur, je recommence tout depuis le début ! Crie Max en bloquant une pièce de monnaie entre le front de Margot et le mur.

    A la suite de quoi, il relève sa jupe et la bloque pour que les fesses rouges offrent un joli plan final à sa vidéo. Margot trouve le temps long et n’a qu’une envie : fuir ce lieu maudit. Lorsqu’elle entend quelqu’un entrer, sa gorge se bloque.

    - J’avais raison, c’est une vraie petite salope bien soumise, elle a même mouillée pendant sa fessée ! Explique Max.

    Ne pouvant plus résister à la panique, Margot se retourne et aperçoit qu’un autre homme la regarde, avec un sourire de sadique posé sur les lèvres. Son premier réflexe est d’attraper sa culotte, pour la remonter et s’enfuir. Attrapée à bras le corps, elle se retrouve attachée bras et jambes en croix sur un lit. Une main la bâillonne fortement pour l’empêcher de hurler. La main est remplacée par un mouchoir maintenu par du gros scotch d’emballage. Dans sa tête, toute l’horreur de la situation s’installe, elle sait qu’elle va y passer et peut-être même qu’ils la tueront après l’avoir v i o l é e.

    Ce n’est pas le but des deux hommes, ils veulent bien pire que la v i o l e r et ne veulent absolument pas la tuer.

    - Arrête d’avoir peur, on ne te veut que du bien. On va juste t’aider à savoir qui tu es réellement ! Lui explique Max. Tu es une petite femme soumise qui s’ignore et on va t’aider à le comprendre. Tu nous remercieras après, tu verras !

    Max et l’autre homme entreprennent de remonter son tee-shirt et de lui retirer partiellement son soutien-gorge pour accéder à sa jolie poitrine bien ferme, qu’ils caressent sans vergogne.

    « Sciences et vices » étant leur lecture préférée, les deux hommes entreprennent de donner du plaisir à la petite. Avec tous les accessoires plaisirs acheté chez ABCplaisir, ils savent tous deux qu’elle ne pourra pas résister. Après quelques caresses intimes, évidement non désirées par Margot, il est décidé de lubrifier un peu le délicieux petit chaton dépourvu de tout poil, pour aider à la montée en pression. A la vue des sextoys, elle panique et tire sur ses entraves en criant dans son bâillon.

    - Ce n’est pas la peine de crier tout de suite, tu as tout ton temps. Dans un moment tu chanteras de plaisir, alors calme toi ! Lui explique Max en caressant son visage d’ange couvert de larmes.

    Pour apaiser un peu l’angoissée, Max titille son clitoris avec le magic wand massager, réglé à son minium. En d’autres moments et seule, Margot aurait bien aimé avoir ce sextoy en main. Lorsqu’un petit vibromasseur caresse ses lèvres intimes aux portes du temple, dédiée à la fécondité et cherche la « faille », dans un premier temps c’est un sentiment de honte qui la submerge. Quand il s’enfonce lentement dans son vagin étroit, la conjonction des vibrations du magic wand sur son clitoris et du vibromasseur commence à la perturber. Les caresses de l’autre homme sur ses tétons, s’ajoutent au martyr de son chaton s’épanouissant malgré elle.

    Au bout d’un moment, la jugeant suffisamment décontractée, Max attaque son clitoris au Melrose, une sorte d’aspirateur de clito appelé « le tueur des réticentes ». Aucune femme ne peut y résister (réel). Dopée aux endorphines, la d r o g u e libérée par le cerveau, Margot commence à perdre pied. Malgré la honte et au mépris de toute considération rationnelle, elle sait que son corps va lui échapper. Une bouffée de honte rétrospective monte incendier ses joues, après une première contraction bien involontaire.

    Margot tente de résister, elle ne peut pas jouir dans ces conditions là, ce serait trop de honte. Au bout d’un long moment de lutte, elle n’est plus qu’un sexe, son mental est comme un barrage qui s'effondre. Niché aux creux de ses magnifiques cuisses maintenues grandes ouvertes, son jardin secret devient son maître malgré elle.

    Margot serre les dents, voit des étincelles passer dans ses yeux, une série de contractions la transperce toute entière, et une chaleur insolite envahit le tréfonds de son corps. Ce n’est pas une jouissance, mais plusieurs qui s’enchaînent l’une derrière l’autre. Profitant de son abandon au plaisir, Max lubrifie un peu son anus, avant d’attraper le double gode vibrant ultra souple. Pendant les jouissances, le petit gode cannelé glisse sans souci au creux de ses reins, en même temps qu’il s’enfonce dans son étroit chaton, à présent bien lubrifié et accueillant.

    Comme une liane suspendue à leur bon vouloir, par vingt fois, le ventre convexe s’ouvre et décharge un liquide d’amour, témoin de ses jouissances exceptionnellement généreuses et intenses. Lorsqu’ils décident qu’il est temps d’arrêter, les muscles encore agités des échos de ses spasmes fous, le visage d’ange, baigné de larmes et de sueur, semble particulièrement épanoui.

    Les soubresauts involontaires du corps de la belle suppliciée continuent un peu, sans aucune sollicitation. Libérée de ses entraves, elle se replie sur elle même en chien de fusil. Couverte d’un plaid doux, elle aspire à présent qu’à une chose, souffler !

    Max reprend ses manipulations psychologiques visant à obtenir des « oui » à répétition et son acceptation à des choses inavouables, qu’elle ne peut savoir pour le moment.

    - Je suis sûr que tu n’avais jamais joui comme ça, ai-je raison ?

    La réponse ne peut être que « oui »

    - Nous sommes faits comme Dieu nous a faits. Ton corps avait décidé de jouir malgré toi, sommes-nous d’accords ?

    Encore une fois, la réponse ne peut être que « oui ». En fin limier manipulateur, Max continue avec ses questions parfois très intimes, mais aboutissant toujours à un « oui » comme réponse.

    - Je viens de te faire découvrir qui tu es vraiment. Les abrutis et incultes des choses de la vie disent « salopes », en réalité, tu es un ange de l’amour. Quand tu faisais des photos, ce n’était pas du jeu ou de l’exhibition, si cela t’excitait c’est parce que c’était de l’amour que tu donnais, seuls les grands de ce monde peuvent le comprendre. Tu es faites pour l’amour ! Tu es soumise à ton corps, qui a besoin d’amour et de jouissances ! La preuve a été faite ce soir, tu as joui au moins vingt fois de suite. Je viens juste de te libérer de tes carcans psychologiques. Lui explique Max en caressant son visage, avec une extrême douceur.

    - Et moi, je te remercie de ce merveilleux cadeau que tu m’as fait avec ta beauté et ta grâce immense dans tes jouissances. Tu étais merveilleuse.

    - Allez, viens te blottir dans mes bras, un gros câlin ne te fera pas de mal, après toutes ces découvertes de ton « moi » ! Lui dit Max en tendant les bras.

    Mue par un besoin d’étreinte, Margot se love dans les bras consolateurs, du pire des prédateurs de la région. Elle s’y sent bien, les caresses qu’il continue de lui faire sont comme celles que l’on fait à un petit chat apeuré. Après lui avoir offert un coca, Max la raccompagne jusqu’à la brasserie et lui fait une bise sur la joue, avant de lui dire « à demain ange de l’amour ».

    A peine est-elle montée dans le bus, Max rentre chez lui pour faire le montage de la vidéo. « Ange de l’amour » sera son nom d’actrice et surtout d’esclave sexuelle d’ici peu.

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