• Selfbondage Il lui demande de s'attacher et lui envoie un copain

    Les cordes et le bondage la font vibrer, elle aime se sentir attachée et livrée à sa merci. Ne pas pouvoir lui échapper l'excite, c'est comme ça, difficile de dire pourquoi mais à chaque fois qu'il l'attache, elle mouille en abondance. Lorsqu'il l'entrave nue, il n'a pas grand-chose à faire pour qu'elle décolle et jouisse comme une perdue. Leurs scénarios évoluent de jour en jour, il filme parfois leurs délires ou la laisse seule dans ses liens pendant des heures. Les câlins qui suivent ces plaisirs attachants sont torrides et quand il la viole sauvagement sans même la délivrer c'est le nirvana.

    Self bondage

    Cela fait maintenant 2 ans qu'ils sont ensembles, elle refuse d'être soumise, quand il lui en parle, sa réponse est claire : « le jour où un homme me soumettra, les poules auront des dents ». Soumise effectivement, elle ne l'est pas, mais alors pas du tout, le caractère de Laurie est plutôt très affirmé, son patron l'a même nommée chef de secteur six mois après son embauche. Ce qu'elle aime, ce qui la transporte dans des états d'excitation indescriptible c'est la contrainte pure, les simulations de viol, être piégée et surtout « dévorée » par son chéri.

    Commençant à manquer d'idée, Loic a décidé de surprendre Laurie et de lui faire peur, l'idée est diabolique mais elle doit générer entre ses cuisses un véritable tsunami.

    Lorsque Laurie entre dans le salon en cette belle journée dominicale, la vue des cordes et du caméscope enflamme ses sens. Sans même discuter, elle attache ses chevilles et mets leur bâillon qu'elle n'apprécie pas trop mais qui fait partie intégrante de leurs délires coquins. Loic comme à leur habitude filme tout et quand elle passe ses poignets dans les nœuds coulants, il sait qu'elle fonce tête baissée dans son piège diabolique.

    Self bondage

    Abandonnée pour une durée indéterminée, Laurie se fait ses films érotiques en s'imaginant des choses folles que la morale réprouve. Elle s'interroge toutefois sur le fait qu'elle soit totalement vêtue, que lui réserve-t-il ? Comment va-t-il faire pour la violer car en jean et attachée comme elle est cela n'est pas vraiment réaliste. Elle lui en veut presque de ne pas l'avoir mise dans une situation plus vulnérable.

    Self bondage

    Pendant qu'elle cogite et s'excite, Loic rejoint un ami que Laurie ne connaît pas. Il lui a fait promettre de ne jamais rien dire et de ne pas tripoter sa copine, lui faire peur sera amplement suffisant. Il redoute même un peu sa réaction après la surprise.......

    Comme convenu, l'ami pénètre en leur logis discrètement suivi de Loic qui filme tout. Il marche à pas chaton pour ne pas se faire repérer tout de suite et s'approcher de la captive gesticulant comme un ver en prenant des positions dès plus excitantes. Le plancher craque, Laurie se retourne pour voir son violeur et en guise de bourreau d'amour découvre qu'un inconnu est entré chez eux. Son sang ne fait qu'un tour, son premier réflexe est de tirer sur les liens pour chasser le voleur mais elle comprend bien vite qu'elle est piégée. Qu'il peut même lui faire toutes les saloperies qu'il désire, voir même la violer pour de vrai. Et là, ce n'est plus du fantasme ou des jeux coquins mais une horrible réalité qui s'abat sur sa tête.

    Self bondage

    Dans l'angle mort du salon, Loic filme tout, les mouvements de recul puis l'affolement de Laurie quand son ami s'approche d'elle. Si les yeux de Laurie pouvaient tuer, le pauvre complice se ferait lapider. Voyant que sa chérie commence réellement à paniquer, Loic décide d'apparaître pour ne pas pousser la plaisanterie trop loin, ce qui est une très bonne idée......

    - Regarde chérie, Franc nous a emmené des croissants. C'est sympa non ?

    Devant la monstrueuse colère de Laurie, Loic propose à Franc de prendre place sur le canapé et de tirer la table pour qu'ils puissent déjeuner.

    - Chérie, je prépare le café et te libère ensuite, en principe, si tu ne donnes pas de coup de pied à mon ami, il ne te fera pas de mal, c'est un mec génial super sympa avec qui tu ne peux que t'entendre, hormis au ping-pong, il ne te fera pas de mal, c'est un non violent.

    Franc tire la table puis très respectueusement prend place aux pieds de Laurie avec une certaine crainte face à cette tigresse prête à les dévorer tous les deux.

    - Alors ma puce, ça va ? Tu as aimé ma surprise ? Demande Loic avec quelques doutes sur les réponses.

    Devant les regards méchants qu'elle lui envoie, il prend place à même sol puis ouvre le sac de croissant et sert 3 cafés.

    Je te libère dès que tu te calmes, à mon avis, tu ne devrais pas trop tarder car ces croissants au beurre me semblent excellents.

    TSM journaliste de Fessestivites

    LES PHOTOS SONT ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/32_L-auto-bondage-self-bondage/albums/4030_Selfbondage-Il-lui-demande-de-s-attacher-et-lui-envoie-un-copain.html

    LA VIDEO EST ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/8_Self-bondage-auto-bondage/2458_Selfbondage-Il-lui-demande-de-s-attacher-et-lui-envoie-un-copain.html

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  • Le pensionnat infernal (Viol / abus )

    Par TSM journaliste de Fessestivites.com

    Le pensionnat infernal

    Laurie est une jeune fille mise au pensionnat par des parents qui trouvaient par ce prétexte de bonne famille, un moyen de se dégager de l'éducation de sa progéniture. Le corps et les sens de cette jeune et charmante jeune fille se développent, générant des envies de sexe et de plaisir. Dans les chambres, les filles parlent souvent de sexe entre elles ce qui n'apaise en rien les libidos exacerbée. Il est bien connu que le vice se développe parfois par rapport aux défis que l'on se lance, c'est grâce ou à cause de cela que Laurie est entrée un jour dans un sexe shop et s'est offert quelques accessoires.

    Lors des douches, Laurie s'est approchée d'une des filles qu'elle croyait être une amie et sous le prétexte de l'aider à se savonner le dos, les premiers échanges et câlins furtifs lesbiens de notre jeune pensionnaire virent le jour. Elles prirent donc l'habitude d'aller prendre leur douche ensemble après tout le dortoir, histoire de partager, dans une intimité à hauts risques, quelques moments de tendresse. La directrice guidée par une rapporteuse les a piégée un dimanche.

    Laurie et sa copine furent convoquées chez la directrice et c'est là que la pseudo amie de Laurie fit tout ce qu'elle pouvait pour la charger en prétextant que cette dernière essayez d'abuser des jeunes filles du dortoir. D'un naturel fougueux, restée seule avec la directrice, notre étudiante c'est rebellée en indiquant qu'elle n'aimait pas les hommes avant de devenir très insultante. Cet aveu généra de monstrueuses envies à la directrice, un véritable rapace assoiffé de sexe. Niché au creux des poumons, il y a un organe qui s'appelle le cœur. Tous les êtres humains en ont un. Tous sauf elle. A la place, il y a un bloc de fonte que rien n'atteint.

    L'inspection du dortoir lui permit de découvrir des objets interdits dans un pensionnat et que Laurie appréciait toutefois les godemichets. Bien décidée à profiter de la situation pour se croquer une jouvencelle, la directrice décida d'en abuser.

    Etant en position de faiblesse physique et hiérarchique puis fautive, hormis se plaindre et crier des « non » inutiles, se fit dans un premier temps tripoter sous prétexte d'inspection. Morte de honte lorsque la directrice lui introduit un doigt dans son vagin de jouvencelle, ce dernier révéla qu'il n'était plus vierge et déjà bien rodé à des introductions d'objets de plus grosse taille. Quelques explications et gifles plus tard, la pauvre Laurie était branlée par une main experte ce qui généra une lubrification spontanée, naturelle et surtout généreuse de la vallée des plaisirs.

    - Je savais bien que tu es une grosse salope soumise ! Hurla la directrice en étalant de la mouille sur le visage de Laurie. Je vais t'éduquer et te faire vivre bien plus que ce que tu as vécu jusqu'à présent, croit-moi.

    Piégée, humiliée, sans aucune possibilité d'échappatoire, Laurie se laissa tripoter et prendre par les doigts de la directrice vautrée sur elle et cherchant sa bouche. A force de persuasion et de savoir faire, bien qu'encore jeune, la petite grotte s'ouvrit sous l'insistance des doigts experts qui finirent par la pénétrer entièrement. A 18 ans, notre pensionnaire vivait donc son premier fist en râlant de plaisir et tout honte bue.

    - Pour t'apprendre ce qu'est la vie, je vais t'offrir bien plus que ma main petite garce ! Déclara la directrice sans que Laurie ne puisse comprendre l'enfer qui l'attendait en guise de cadeau.

    Abandonnée quelques minutes, Laurie se morfondait en se posant mille questions sans imaginer un instant que la directrice offrait parfois des pensionnaires aux surveillants en guise de prime et d'outils de management. Lorsqu'elle vit entrer quatre hommes affichant un sourire banane, elle crut défaillir rien qu'en s'imaginant que la directrice allait leur dire qu'elle gouinait.

    - Elle est à vous messieurs, éduquez-moi cette jouvencelle qui déclare ne pas aimer les hommes et qui se gode le soir sous ses couvertures.

    Le sol se dérobât sous les pieds de Laurie à cette annonce. Qu'elle soit révoltée et crie des « non » désespérés ni changea rien, les quatre surveillants l'attrapèrent et entreprirent de la dévêtir ou plutôt d'arracher les derniers remparts de sa pudeur. Entre les gifles et menaces puis poignets de cheveux arrachés, Laurie finit par prendre en bouche le sexe du premier des quatre surveillants pendant que les autres la tripotaient sans vergogne. Ses larmes et réfutations désespérées ni firent rien, quelques minutes et pipes forcées plus tard, maintenue étendue jambes écartées sur un lit elle fut prise de force. Sous l'effet de la saillie sauvage, elle n'était plus qu'une marionnette de chair offerte en pâture.

    Infatigable et pervers, il la posséda en rallant comme un loup solitaire qui croquerait une brebis. Son membre épais et volumineux entrait et sortait dans un bruissement visqueux.

    De petits cris ponctuaient les gémissements continuels. Les mains de Laurie fouettaient l'air tentant alternativement de repousser l'un puis l'autre des surveillants approchant leur sexe bandé de son visage. Elle se mit à pousser de temps à autre quelques râles étouffés pour causse de sens troublés par le doigt rugueux qui caressait doucement le capuchon de son clitoris pendant que l'on malaxait ses seins et la prenait d'une manière soutenue. Toute résistance avait quitté Laurie, elle laissait manipuler comme un pantin sans vie, sans volonté. Sans comprendre pourquoi, elle avait honte, peur et en même temps elle ne restait pas insensible à cette verge, la première de sa vie, son hymen s'étant déchiré lors de ses jeux intimes. La sueur coulait de son corps, se mélangeant à la cyprine qui suintait de ses lèvres congestionnées, largement ouvertes lorsque son violeur se retira.

    L'intimité vulnérable de la jeune fille haletante, ne put se dérober ni échapper à l'intrusion d'une seconde bite. Sous les assauts incessants de ses violeurs, elle finit, malgré la souffrance et l'humiliation, par éprouver des sensations voluptueuses étranges, si vives, si bouleversantes, qu'elle feulait doucement. L'onde de plaisir montait dans son ventre en se disputant avec la raison. A ce moment là, sans savoir pourquoi ni ce qui la poussait à ce geste qu'elle n'aurait jamais imaginé faire un jour, elle attrapa les bites tendues vers elle et se mit à les branler.

    Là où les choses se gâtèrent, c'est lorsqu'un doigt se mit à visiter son petit trou, ce coin interdit et sale qu'elle n'avait jamais exploré. Laurie comprit tout de suite que le doigt préparait le chemin à un sexe. Malgré ses « non » désespérés, elle fut rapidement prise par l'anus et hurla de douleur et de honte. Les fesses en l'air, elle fut sodomisée, couchée sur ses épaules, les jambes derrières la tête avec absolument aucune possibilité d'y échapper. Le surveillant profana l'intimité étoilée aux chairs délicates de son vit de rustre avec un rythme soutenu pendant qu'un autre lui arrachait presque les cheveux pour l'obliger à prendre son sexe dans sa bouche. Lorsqu'il décharge dans sa bouche, elle ne peut se dégager de la poigne de fer qui l'obligeait à recevoir au fond de sa gorge le sperme visqueux. Il continua de s'enfoncer pour mieux se vider, son gland heurta la luette et généra des spasmes dont il n'avait que faire.

    Retournée comme une crêpe, elle fut prise par les deux hommes en même temps. Bien que préparés à cette double saillit par ses viols précédents, elle éprouva des douleurs au départ mais être ainsi envahie, prise ainsi et avoir sa poitrine malaxée par deux mains lui fit perdre la tête à nouveau. Emportée malgré elle dans un orgasme d'une intensité jamais atteinte, elle se sentait plus honteuse que jamais d'être prise par les deux hommes et d'y trouver tant de plaisirs. Son anus épanoui et son ventre fouillé s'extasiaient de plaisirs enivrants, prise et totalement comblée, Laurie perdait la tête et déraisonnait totalement. Elle prit d'elle-même sans qu'on ne la force, une verge bandée à rompre se présentant devant elle pour ce mettre à la sucer.

    Jamais au grand jamais elle n'aurait fait ça à un garçon en d'autres temps, mais sa monstrueuse jouissance avec la directrice puis celles éprouvées de suite après avec les surveillants l'avaient métamorphosée. La directrice s'y mit aussi, armé d'un gode ceinture sorti du tiroir de son bureau, témoignant ainsi aux yeux de tous, qu'elle se plaisait elle aussi à prendre les filles du pensionnat.

    Toutes ces caresses sur son corps et ses orifices distendus, longuement pénétrés lui semblaient insupportables mais en même temps comment échapper aux terribles ondes nerveuses traversant ses fourreaux intimes ? Son corps refusait purement et simplement tout les signaux d'alerte de la morale !

    Rompue de jouissances, sans plus aucune capacité de résistance à quoi que ce soit, elle se laissa porter et asseoir sur le sol où elle fut entourée par les surveillants bite à la main. Dans un dernier élan solidaire, ils se branlèrent jusqu'à la jouissance pour éjaculer sur son visage de jouvencelle comme des conquérants manquant leur territoire.

    Abandonnée seule, à même le sol, elle n'eut même pas l'idée de débarrasser son visage souillé de sperme, c'est la directrice qui le lui fit demi-heure plus tard avec un gant et de l'eau chaude. Laurie était bouleversée par toutes ces bouches qui lui avaient embrassée et sucée les seins, ces dents qui lui avaient mordillé les mamelons, ces mains qui avaient courues sur son corps, ces doigts qui s'étaient fixés obstinément entre ses cuisses, entre ses fesses, et qui l'avaient menée à la jouissance... contre son gré.

    Et là, la directrice redevenue souriante, complice qui la caressait avec douceur, parachevait définitivement la déroute phycologique et morale de Laurie. Les attouchements sensuels et un appareil vibrant posé sur son clitoris, la directrice parvint à générer des spammes aux corps de la jouvencelle si bien que cette fois, elle se laissa fister sans aucune honte ni pudeur jusqu'à l'extase totale et dans une impudeur surprenante.

    En perdition psychologique totale, lorsque la directrice attira ensuite son visage vers sa chatte trempée, Laurie se mit à la laper comme pour la remercier.

    TSM journaliste de Fessestivites.com

    Les photos sont ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/albums/3554_Pensionnat-infernal-Histoire-photos-et-videos.html

    Les quatre vidéos sont ICI

    Le pensionnat infernal 1

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1920_Pensionnat-infernal-1.html

    Le pensionnat infernal 2

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1919_Pensionnat-infernal-2.html

    Le pensionnat infernal 3

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1918_Pensionnat-infernal-3.html

    Le pensionnat infernal 4

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1917_Pensionnat-infernal-4.html

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  • Réveillon BDSM et ABDL 2013 chez Fessestivites

    L'année 2012 s'est terminée en beauté pour les membres du réseau Fessestivites.

    Arrivée vers midi pour les premiers, l'ambiance était à la « déconnade » et aux retrouvailles entre amis. Les lieux ont commencé à s'animer sérieusement vers 18 heures avec les arrivées, chacun emmenant ses tenues, ses jouets, ses accessoires et ses couches. Les premiers apéros consommés, selon la tradition chez Fessestivites, la soirée débuta avec la fessée de bienvenue.

    Fessée

    QUE L'ON SE RASSURE, personne n'était obligé à participer (mais ils l'ont tous fait) et ceux et celles qui ne sont pas adeptes des fesses rouges se sont simplement fait claquer les fesses en douceur. Cette entrée en matière permet de décontracter tout le monde, de faire connaissance autrement qu'en blabla « coincés » et de partager une première franche rigolade.

    LES PARTICIPANTS

    • Maîtresse Romane
    • Maîtresse Agnes
    • Le couple Maud et Nadia
    • Le couple Or et Maître (Maîtreetor)
    • Maîtresse Haloha et Déborah
    • Le couple Davetvivi
    • Cyril (homme seul un débutant qui ne l'est plus lol)
    • Maître Pierre
    • Soumis Mistral
    • Maître TSM et soumise Kioki-san

    LES ACTIVITES PROPOSEES

    qui nous ont conduits jusqu'au petit matin (7h30 pour les derniers)

    • Musique avec piano et guitare
    • Chants et jeux chantants
    • Danse
    • BDSM (pour les adeptes)
    • ABDL (pour les adeptes)
    • Fesses rouges (pour les adeptes)
    • Fouets et SM hard (pour les adeptes)
    • Jeux et délires
    • Découvertes et initiation (Pour ceux et celles qui désiraient tester des activités)

    UN MOMENT ABDL MAGIQUE

    La signature de contrat d'incontinence (vous avez bien lu) s'est faite en grande pompe entre Maîtresse Vivi et David avec TSM comme parrain et Kioki-san comme marraine. La lecture de ce contrat lu à haute voix fut très soldanelle et généra quelques larmes chez certains et un grand étonnement chez les non initiés.

    Pour en savoir plus sur ce contrat d'incontinence cliquez ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/1_ABDL-infantilisme-Rubber-zentai/trucs-infos-astuces/3475_Contrat-d-incontinent-2013.html

    Entre les petits fours et délires en tout genre cet apéro dinatoire fut très chaudement animé comme vous pouvez le constater à la liste des activités proposées ci-dessus et aux photos ci-dessous ou ICI :

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/44_Les-news-infos-ANNONCES-et-soirees-de-Fessestivites/albums/3516_Reveillon-Fessestivites-2013.html

    7 HEURES 30

    La musique et des jeux BDSM ou ABDL ont laissé la place à de riches discussions pour ceux et celles qui ont découvert des pratiques qu'ils ne connaissaient pas et cela jusqu'à 7h30 du matin le premier janvier 2013.

    LE PREMIER JANVIER 2013

    Le réveil des participants dans la mâtiné pour ceux qui ont dormi sur place fut dès plus épique chacun naviguant au radar pour cause de manque de sommeil et de grande fatigue. Lentement mais sûrement, les cafés ont fait place aux apéros animés de fessées et autres pratiques vers 13 heures. Ce second apéro dinatoire fut plus light mais tout aussi riche que la nuit. Les ABDL naviguaient en couche dans la maison au milieu des BDSM armés d'accessoires que la morale réprouve parce qu'elle ne sait pas combien c'est « bon » d'après Cyril qui a découvert beaucoup de choses cette nuit là avec deux Maîtresses bien décidées à se charger de son « « éducation » ».

    L'après-midi du jour de l'an s'est déroulée dans le calme avec du Brassens et autres musiques bien plus calmes que celles de la nuit puis la diffusion des photos réalisées pendant les deux jours. (Les photos ne se font qu'avec un seul appareil photo et ne sont ensuite rediffusées que lorsque les visages sont masqués pour ceux qui désirent conserver l'anonymat)

    21 € LE REVEILLON ET LES DEUX JOURS DE FOLLES DEPENSES !

    Etre abonné Fessestivites représente certains avantages financiers car le réveillon 2012/2013. n'a couté que 21 € par personne avec 2 repas + les apéros / champagne / petits déjeuners /.... avec l'hébergement compris et deux jours de folies.

    Il n'y a pas eu des réveillons Fessestivites que dans le sud, à notre connaissance il y en a eu au moins 3 en France.

    L'ambiance est très """familiale"""" chez Fessestivites, on se connait on s'appelle, on s'entraide quand il le faut et on partage d'autres loisirs que l'ABDL ou le reste.

    Toute l'équipe de Fessestivites.com vous souhaite une bonne et heureuse année 2013

     

    POUR PARTICIPER A CES SOIREES ?

    Il faut être abonné et être actif au sein du réseau Fessestivites

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  • Self bondage frissons et surprise pour Laurie qui rêve de viol féroce et tendre.

    Laurie fantasmait en regardant les vidéos de BDSM mais hélas, son mari n'était pas attiré par ces pratiques. L'idée d'être attachée et un peu bousculée en amour par un homme rustre usant et abusant d'elle la minait. Plus on veut mâter cette pulsion, la fourrer au placard de l'oubli, plus le retour du refoulé inonde insidieusement vos pensées.

    Lorsqu'elle découvrit les vidéos de selfbondage, elle comprit qu'elle pourrait assouvir partiellement ses fantasmes. Elle commença par attacher ses jambes pour se caresser ce qui la conduisait à des jouissances paroxystiques. Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par ses fantasmes, au fil du temps elle compliqua un peu les choses en s'attachant ses mains, ces mains si coquines qu'elles allaient toujours trop vite à la conclusion..... pour ne pas dire à plusieurs conclusions.

    Self bondage

    La peur d'être surprise et vue, l'inquiétait un peu mais en même temps générait en elle des poussées d'adrénaline en faisant naître une folle excitation. Elle commença donc à s'amuser deux heures avant que son mari arrive afin de décupler ces sensations. Il faillit la surprendre plus d'une fois mais ne s'étonnait pas pour autant que sa femme prenne de longues douches le soir juste avant qu'il rentre de son travail.

    A jouer avec le feu, on finit par se bruler !

    Un vendredi, Laurie avec un fort désir mêlé d'appréhension s'installa dans le salon pour sa séance quotidienne de self bondage vers 18 heures ce qui lui laissait en principe une cinquantaine de minutes pour se contorsionner dans ses liens et s'enflammer les neurones coquins.

    La tête brûlante de fièvre érotique, elle jeta ses vêtements puis, les mains tremblantes, s'attache les chevilles avec une corde. Pour s'installer à genoux le buste sur la chaise, Laurie se lève et déplace à petits pas. Marcher ainsi contrainte pulvérise sa prudence. A peine a-t-elle attaché ses cuisses, que ses mains coquines sont attirées vers son sexe comme des aimants.

    Laurie se surprend à dire à haute-voix « Non, non, attend, pas tout de suite » mais la lutte est farouche entre le désir impérieux et la sagesse car l'heure tourne sans même qu'elle ne s'en rende compte. Lorsqu'elle arrive au bord du vertige, d'un seul hélant Laurie arrache les mains de sa culotte pour s'étendre sur la chaise et s'entraver au plus vite.

    Self bondage

    Elle se plut à fantasmer d'être sans défense au milieu d'un groupe d'hommes en chaleur, d'être goûtée par de multiples bouches avides, que des mains courent sur son corps et que des doigts ou des sexes s'enfilent sans relâche dans ses orifices !

    Un claquement de porte coupa net la délicieuse dictature des entraves pour la remplacer par un immense sentiment de honte. Paul comprit immédiatement en la voyant essayer de se détacher que sa femme n'avait pas été agressée. Furieux il donna quelques claques très appuyées sur le charmant fessier s'agitant dans un illusoire espoir de fuite.

    Self bondageTout en l'engueulant il arracha la ficelle maintenant à porté de mains les clés des cadenas de Laurie, l'obligeant ainsi à évoluer à quatre pattes dans le salon pour essayer de se libérer.

    Ses fesses brûlaient autant que son visage cramoisi de honte. Ses petits doigts délicieusement manucurés ne parvenant pas à ouvrir les cadenas pour cause de tremblements lui firent perdre la raison. Abandonnant les clés à même le sol, Laurie se dirigea à quatre pattes comme une « chienne en chaleur » vers la cuisine avec comme ferme intention de se faire « violer » !

    Self bondage

    Depuis ce fameux vendredi soir où elle s'est faite quasiment « violer » à même le sol de la cuisine, nos deux tourtereaux s'organisent de petites coquineries BDSM qui finalement commencent à amuser Paul. Pour preuve, Laurie vient de recevoir le texto suivant : « je te veux à poil attachée jambes écartées sur le lit avec un bandeau sur les yeux ».

    TSM

    Les photos sont ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/32_L-auto-bondage-self-bondage/albums/3308_Selfbondage-frisons-et-surprise.html

    La vidéo est ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/8_Self-bondage-auto-bondage/1379_Self-bondage-frissons-et-surprise.html

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  • Capucine c'est DONC rendue chez les Capucins (rue des capucins à Marseille) où l'on trouve un club d'entraide et de solidarité franciscaine et c'est là que les Capucins ont découvert son secret.

    Les secrets de Capucine devoiles par une vidéo

    LES CAPUCINS DANS L'HISTOIRE

    Les Frères mineurs capucins forment l'une des trois branches masculines du Premier Ordre de la famille franciscaine, approuvé comme véritable Ordre de saint François en 1517 par le pape Léon X. De nombreux frères provenant presque tous de la branche de l'Observance et séparée de celle des Conventuels ont rallié alors ce nouvel ordre. Ils sont ainsi nommés du capuce ou capuchon dont ils couvrent leur tête.

    Sa visite chez les Capucins reconvertis pour des raisons évidentes de finances avait pour objectif d'expier ses péchés.

    Elle n'a pas dévoilé tous ses secrets lors de sa confession comme l'on peut s'en douter. Immédiatement après sa confession, ils l'ont mise au secret dans une cellule où elle a pu s'installer avec quelques effets personnels n'étant point venue là pour vivre recluse.

    Le Père Stroïka sentant qu'il y avait anguille sous roche eut l'idée ingénieuse de placer une webcam miniature dans sa cellule, ci-dessous, les images captées par son ordinateur.

    La morale ne dit pas s'il a agité son poireau mais ce qui est sûr c'est qu'il n'a pu garder le secret pour lui, les images en sont la preuve. Convoqué par le Père Vert, il s'est vu imposé de prendre en charge Capucine et de l'exorciser.

    Le Père Stroïka se doit de faire des rapports et de les adresser par internet. Fessestivites.com piratant son ordinateur (chut il ne faut pas le dire) nous ne tarderons pas à vous informer des suites des aventures de Capucine.

    La première vidéo est ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/2_ABDL-diaper-girl-couple/1032_Les-secrets-de-Capucine-devoiles.html

    La prochaine ou les prochaines seront ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites.html

    Ici TSM, à vous les studios

    Les secrets de Capucine devoiles par une vidéo

    Les secrets de Capucine devoiles par une vidéo

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