• Daryl « régresseuse » professionnelle couche et ABDL

    Daryl « régresseuse » professionnelle

    Par TSM


    Chapitre 1

    Il paie une « régresseuse » prof et découvre


    Ma tête chaude, comme si j'avais bu et je sais que l'alcool n'est pas la raison de cet état. C'est étrange, je devrai avoir honte, mais ce sentiment m'a quitté. Devant toutes ces femmes visiblement amusées, je dois avoir l'air cruche, les bras entravés dans le dos avec comme seul vêtement une couche pour adulte maintenue en place par une larges culotte en plastique verrouillée à ma taille par une chainette et un cadenas. 


    Quelle idée saugrenue ai-je eu en contactant cette maîtresse-femme rencontrée via un ami d'ABK ? Me voilà maintenant embarqué dans un vrai stage de régression. J'avais imaginé des jeux de domination soumission avec un peu de SM d'après ce qu'il m'avait dit et en fait depuis hier tout est différent, mes repères, mes principes, mes valeurs s'envolent.

    Depuis mon arrivée ici, c'est comme si par envie de vivre un instant de soumission érotique et satisfaire mes pulsions sexuelles je perdais mon moi et tout ce qui a fait le chef d'entreprise dynamique et rigoureux que j'étais avant de la rencontrer et le joueur réel et sérieux que l'on trouve sur sensationsm.

    Tout c'est fait sans violence, sans rapport de force, elle m'a embarqué non pas dans la réalisation de mes fantasmes les plus fous, mais dans un monde étrange en laminant tous mes fondamentaux. Je lui ai remis les deux-cent euros demandés vendredi soir en arrivant, non pas pour la rétribuer pour ce qu'elle allait me faire, mais pour ma participation aux frais, mes repas, l'hébergement et accessoires pédagogiques a-t-elle dit. Dès mon arrivée, j'ai senti que cette jolie femme sûre d'elle avec un sourire enjôleur et une voix cristalline allait me faire craquer et vivre des émotions fortes, j'étais loin d'imaginer ce qu'il m'arrive.

    Je ne me suis pas révolté hier soir quand elle m'a solidement entravé sur un lit avant de me mettre une couche, lui ayant parlé de mes délires de bondage longue durée et de couche, j'ai trouvé cela normal, plaisant, du moins jusqu'à ce matin.

    Ce matin j'étais blême et très mal, quand elle m'a donné un biberon de lait sans me détacher. J'ai essayé de lui expliquer que je voulais aller aux toilettes pour faire ma grosse commission, mais elle a fait comme si elle n'entendait pas. Blottis contre sa poitrine, j'ai bu tout mon lait les yeux fermés dans une impression de bien être que je n'aurais jamais imaginé mais ce qui devait arriver est arrivé. J'ai fini par faire, cela ne m'a pas amusé du tout, je n'aime pas tout ce qui touche à la scato mais elle s'en moquait royalement. Il est même possible que les caresses sur mon visage soient à un accompagnement psychologique pour la chose.

    Après ce moment pour moi  très scato, elle m'a rapidement changé et lavé en me souriant. La seule chose que j'ai trouvé agréable, c'est le lait de bébé étalé par ses douces mains expertes sur mes parties et mes fesses d'adultes. Daryl m'a ensuite remis une grosse sucette bâillon.


    Je l'appelle ainsi parce qu'elle est fixée à ma bouche par une large sangle attachée derrière ma tête. Il m'est presque impossible de parler avec cette grosse tétine dans la bouche et la grosse tétine plaquée sur mes lèvres. Pendant quelques instants quand elle m'a laissé seul entravé dans le lit à gros barreaux et sous une couverture molletonnées j'ai eu une impression d'ivresse, puis je me suis endormi.

    Un moment plus tard, combien de temps, je ne saurai le dire, elle est venue me réveiller. J'ai eu droit à quelques bisous sur le visage, à la caresse de ses longs cheveux châtains dans mon cou, à un tout petit gâté pendant lequel elle m'a parlé de visite puis m'a invité à me lever et marcher en me tenant comme si j'étais malade. Là, nous arrivons au salon. Je ne suis pas dans un donjon de dominatrice ou une pièce emménagée en nurserie, mais dans une vielle et grande maison bourgeoise de type anglais, avec d'immenses pièces et de chaudes tentures sombres aux murs puis du mobilier comme dans les livres exposant les anciennes pensions anglaises. Dans ce salon où elle me conduit, il y a un chevalet de punition avec de grosses sangles aux pieds, il me fait peur après m'avoir tant fait fantasmer. Vais-je être puni d'une faute que je n'ai pas commise devant ses femmes de tout âge ?

    Pour le savoir ou lui dire que j'ai peur il me faudrait parler, mais je n'en ai pas le droit, ma bouche n'a qu'un droit m'a-t-elle dit, téter la sucette de bébé qui me ridiculise aux yeux de ses femmes et boire les biberons constituant ma seule alimentation depuis hier.

    Les femmes sont au nombre de trois, il y a, assise sur un immense canapé une dame d'une bonne soixantaine d'années qui m'a l'air très sévère, une autre, la trentaine environ, vêtue d'un tailleur strict, je la vois bien en chef de service puis sur un autre canapé une grosse dondon blonde avec un visage d'ange avec une poitrine généreuse de chez généreuse.

    - Ouahou, quel beau bébé que voilà ! S'écrit la dondon.

    - Très mignon en effet, rajoute la mamie avec des pétillants.

    A mon approche la mamie et la dondon se lèvent, pour venir à moi, mes pommettes doivent être rouges de confusion. Sur l'immense table en chêne de la salle à manger, un matelas à langer et des affaires sont posées. Daryl me conduit à la table, les deux femmes m'aident à m'étendre sur le dos. Je suis monstrueusement gêné

    - N'ai pas peur, mes amies vont bien prendre soin de toi et t'habiller pour pas que tu n'ais froid, tu vas être sage n'est-ce pas ? 

    Ce n'est pas une question que me pose Daryl, sa voix et son regard appuyé exposaient clairement une autorité naturelle ne laissant souffrir de réfutation. On me fait asseoir puis allonger, aux bordures du vertige je ne résiste pas, je n'en n'ai ni l'envie, ni le courage, même si ce que je vis ne ressemble pas à ce que j'avais imaginé, pour l'instant nulle envie de me rebeller ne murit en moi. Défait de leurs protections, par quatre mains agiles, mes attributs sont exposés à leurs yeux gourmands dans une couche pleine d'urine. Bien que je ne sois pas d'un naturel pudique, la honte me submerge.

    - Oh, mais c'est qu'il est bien soigné ce bébé, sa pilosité est entretenue comme il se doit. Lance à qui veut l'entendre la grosse dondon en me soulevant les jambes pour me passer une lingette entre les fesses.

    Daryl les rejoint avec une cage de chasteté que je connais bien, c'est une CB 3000, j'en avais achetée une par curiosité pour en découvrir les effets. A la base de mon sexe, elle referme l'anneau puis y passe la goupille tranquillement, si elle ne se presse pas, je vais avoir une érection qui rendra impossible la pose du tube. Soudain, je ressens qu'elle pose quelque chose qui me picote la verge avant de l'enfermer dans le tube. D'un seul coup d'œil, je comprends ce qu'elle a ajouté, ce sont des POI, sorte  de picots qui pénètrent dans la chair lors de l'érection. Je n'en connais que le principe je vais en connaître maintenant les effets, c'est sûr.

    - Avec ça les filles, je peux vous dire que votre bébé n'est pas prêt de jouer avec son petit robinet, vous pouvez être sûre qu'il ne fera pas de cochonnerie dans votre dos. Explique Daryl en tournant mon sexe dans tous les sens.

    - Mais c'est génial ce truc ! Rajoute la chef de service en se rapprochant. Je vais en acheter une, comme ça mon mari ne m'emmerdera plus et surfera moins sur des sites pornos.

    - Si tu veux, je peux t'en procurer une pour 260 euros, ça t'intéresse ? Lui répond Daryl.

    Cette réponse me permet de comprendre que ma nurse fait du bisness de tout et va se prendre 100 euros en passant. La discussion s'oriente sur les effets positifs de la cage de chasteté sur l'homme, Daryl leur explique qu'après quelques jours les machos sont très prévenants et gentils, toujours prêts à rendre service parce qu'ils espèrent négocier une libération anticipé ou qu'ils tombent fou amoureux. La discussion sur les avantages de cet accessoire qu'elle est en train de leur vendre se poursuit comme si je n'étais pas concerné. Tout en discutant elles me remettent une couche, la culotte en plastique sans oublier de verrouiller le cadenas, puis me libèrent les bras, pour m'enfiler une grenouillère rose se fermant dans le dos à l'aide d'une fermeture éclair qui se bloque elle aussi avec un cadenas. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avec tout ça, je ne risque pas de me faire des choses....

    C'est lorsque Daryl me passe un solide harnais que je comprends que le pire est à venir. Muni de sangle passant autour de mon corps et entre les jambes puis de bracelets pour les poignets, je perçois clairement que mon avenir immédiat ne sera point dans la liberté de gambader. Après avoir entravé mes mains enveloppées de moufles, elles me font descendre puis asseoir sur une couverture étalée sur le sol près du canapé. A peine suis-je assis, que Daryl passe des bracelets à mes chevilles puis les relie à mon harnais pour me forcer à garder les jambes repliées. Posé sur les fesses, privé de l'usage de mes bras et avec les jambes ainsi repliées, mon équilibre est particulièrement instable.

    Elles prennent place sur les canapés pour prendre leur thé et café et poursuivent leur discussion sur les bienfaits de la cage de chasteté. http://tsm-textes.over-blog.com/pages/Chastete_Quelques_mots_et_photos-870645.html

    Les plaisirs imaginés avant de venir ici, pour l'instant ne sont point au rendez-vous. Je trouve le temps long même si leurs conversations sur les mecs sont instructives sur la nature féminine. C'est fou ce qu'elles peuvent dire sur nous et leurs plaisirs sexuels quand elles sont ensembles ! ! !

    Mes fesses et mes jambes commencent à me faire souffrir, non pas à cause de la couche mais de ma position. Pour essayer de les apaiser un peu, je tente une discrète et  légère migration. En guise de discrétion, je perds l'équilibre et me vautre sur le côté. Elles éclatent de rire et se moquent de moi. A cet instant que les hais ! Pour parfaire le ridicule de ma situation, Daryl et la grosse dondon me font rouler sur le dos. La dondon rajoute « tu es bien comme ça, au moins tu n'iras pas plus bas ».

    Etendu ainsi avec les jambes maintenues pliés, je ressemble à une grenouille couchée sur le dos. J'ai soif, j'ai envie de faire pipi. Même si mon intimité est cachée, faire dans ma couche devant quatre femmes est une étape bien difficile pour moi. Je m'y résous rapidement parce que je sais que je n'ai pas d'autre alternative. Le plus difficile est de commencer une fois lâchée ma vessie, laisse s'écouler l'urine chaude sur mes testicules puis mes fesses. Dans ce relâchement sphinctérien, un pet que j'aurai voulu discret se fait entendre. Moi qui voulais être discret ! Les regards se tournent vers moi, les commentaires amusés et moqueurs vont bon train. Le plafond blanc, n'offre guère de distraction et ne me permet pas de m'isoler psychologiquement pour ne point entendre ce qu'elles disent.  Dans les jeux Ds et SM plus on l'entrave plus je suis excité, là je n'arrive pas vraiment à rentrer dans mes trips,  

    L'heure du dîner approche, les filles se lèvent pour aller préparer le repas, la dondon, chargée de me surveiller demande si elle peut me donner le sein. Enfin quelque chose de sympa. Daryl donne une réponse positive à sa requête, mais lui rappelle que mes mains doivent rester entravées. Lorsqu'elle  libère mes jambes, le soulagement est tel que pour un peu je l'embrasserai. Aidé pour me mouvoir vers le canapé, je m'installe couché sur le côté, mon torse s'appuie sur ses cuisses généreuses. Elle me lâche un instant pour ouvrir son chemisier et extraire ses seins plantureux de son soutien-gorge, je suis à deux doigts de chuter et lutte pour ne pas m'affaler sur le sol.

    Mon dieu que ses doudounes sont grosses, belles, énormes ! D'une main, elle guide ma tête vers son téton de l'autre elle soulève le mamelon pour le mettre à la hauteur de mes lèvres. Outre le plaisir de déguster son sein, la chaleur humaine et la douceur de sa peau me comblent de bonheur générant quelques réactions au sein de la couche. Je tète avec un plaisir certain en oubliant toute gêne, pour être rapidement gêné, par la crise du logement de mon Popaul qui prend de l'ampleur. Les POI, pénétrant dans la chair de ma verge déjà comprimée me font mal. J'essaie d'oublier ce sein que je ne peux que voir, une petite claque me rappelle à l'ordre. Mon érection diminue mais ne disparaît point. Il faudrait être un saint pour rester de marbre en se sustentant d'un aussi beau sein ! Je ne saurai dire si c'est bien sain, mais c'est bon.

    Une demi-heure plus tard, après quelques visites et commentaires des filles venues voir leur amie s'offrir quelques plaisirs avec le gros bébé, j'ai l'immense honneur d'être assis en bout de table en position dominante, non pas pour le place dédiée au chef de famille, mais parce qu'elles m'ont installé sur une chaise haute ! Pendant le repas, alors que la mamie et la chef de « sévices » m'alimentent à la petite cuillère avec une bouillie indigeste, submergé par une irrésistible envie de m'amuser, de faire l'idiot je fais « brrrrrrr » avec mes lèvres en ayant la bouche pleine comme me l'ont fait mes enfants quand ils étaient petits.

    Comme il est dans mes habitudes de ne pas faire les choses à moitié, j'y suis allé gaiment ! Le visage de la chef de « sévices » n'est pas chargé de taches de rousseur mais de bouillie. Devant sa mine déconfite et son tailleur strict soudainement moins strict, j'éclate de rire, rire contagieux, les convives amusées me rejoignant dans « l'œuf au riz » crépit, pardon je diverge l'euphorie. La réaction ne se fait point faite attendre, je me prends une mandale d'une puissance que je n'aurai jamais imaginée avec des bras aussi fins.

    Malgré la gifle, lorsqu'elles entreprennent de l'aider à se nettoyer, même la tête baissée, mon amusement se voit. Daryl, avec son flegme inébranlable y met soudain un terme en ouvrant un placard pour décrocher une canne anglaise dont elle tapote le chevalet de punition. Devant son regard courroucé je n'ose m'aventurer à lui faire remarquer que cette pratique n'est pas adaptée aux bébés. Elle attrape la petite cuillère et me fait manger, la canne posée sur la table m'ouvre l'appétit, je n'ai plus envie de faire des « brrrrrrr » avec mes lèvres en ayant la bouche pleine. 

    Je n'arrive pas à comprendre pourquoi j'ai toujours cette impression d'être ivre, pourquoi cette première journée ne m'excite pas mais ne m'ennuie pas non plus malgré ma condition de bébé adulte. Sans pouvoir l'expliquer, je crois que je commence à comprendre le sens des mots « stage de régression » utilisé par mon ami d'ABK puis de cette maîtresse-femme si particulière, si craquante aussi avec sa voie douce et posée puis son sourire enjôleur. Ce qui est sûr après cette quinzaine d'heures passées ici, c'est je ne serai plus jamais le même, j'ai découvert que je pouvais être quelqu'un d'autre dans un autre monde.

    Le temps et les évènements s'écoulent comme s'ils n'avaient pas d'emprise sur moi. Cela fait maintenant plus d'une heure que je suis seul entravé sur mon lit et que les femmes discutent. La porte s'ouvre, Daryl entre avec la vieille dame, les autres semblent être parties.

    - Patou va te changer puis te donner ton biberon, je vais te laisser seul avec elle, je compte sur toi et je vais te faire confiance, alors ne me déçoit pas. Si tout se passe bien et si tu es sage, ton week-end régression peut évoluer dans un sens comme dans un autre, tout dépendra de ton attitude.


    A suivre

    TSM

    http://tsm-textes.over-blog.com/

     

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  • Commentaires

    1
    GOBERT
    Lundi 21 Février 2011 à 12:33
    la régression infantile!
    Bonjour! ce texte et ce récit me mettent l'eau à la bouche! J'ai très envie de connaîtrela suite et surtout quand les fessées tant attendues arrivent!
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