• Maîtresse sadique qui baise avec ses soumis

    Auteur Ecrivaillon

    Maîtresse et chasteté

    Contrairement à beaucoup de dominatrices, suis une Maîtresse sadique qui baise avec ses soumis. A mes yeux, ce n’est pas avalisant bien au contraire, mes deux soumis attitrés sont mes sextoys, mes godes et langues sur pattes, mon plaisir et les acteurs de mes spectacles privés.

    Ils sont tous les deux sous cage de chasteté en 24/24 et malgré cela, doivent faire un test HIV tous les mois.

    En dehors de la DS quotidienne avec mes soumis qui font tout dans la maison et le jardin, mon plaisir est de leur imposer de me faire des spectacles gays ou travestis dans des tenues parfois loufoques. Au début ce fut difficile pour eux, maintenant ils sont habitués à mes sautes d’humeurs, à mes folles envies.

    Hier soir par exemple, je leur ai imposé de s’habiller en soubrette pour la soirée, après le repas, ils avaient obligation de jouer comme des filles qui se gouineraient en cachette. Le plus coquin, le plus convainquant serait mon amant du soir, le perdant savait donc ce qui l’attendait. Soumis Eric a réellement joué le jeu et s’est donné à fond dans son rôle, il m’a même faite rire tout en parvenant à m’exciter. Comme j’aime bien les faire languir, ils ont reçu l’ordre de se mettre face à face en position six, le temps que je décide lequel des deux serait le gagnant.

    Pour « réfléchir », je me suis mise debout entre eux en leur ordonnant de me lécher. N’en déplaise aux puristes du SM, j’aime quand un soumis me lèche le cul pendant que l’autre me broute le minou. Soumis Eric s’étant surpassé, j’ai donc donné la clé de sa cage de chasteté à soumis Paul pour qu’il puisse le libérer. Libérer le gagnant pour un soumis qui va rester sous cage de chasteté et devoir œuvrer pour mon plaisir est dur, je sais, mais sans une fermeté permanente je me ferai bouffer par mes soumis.

    Pour avoir perdu et fait peu d’effort, j’ai demandé à Paul de se pencher sur la table du salon et à Eric de lui tenir les mains. Paul a reçu 50 coups de canne anglaise assez appuyés pour sa médiocrité dans sa participation au spectacle. Une fois puni, il a du se mettre nu et à quatre pattes pour lécher les pieds du vainqueur, cette position offrait son fessier bien trié à mes yeux tout en continuant de l’humilier.

    L’heure de mon plaisir ayant sonnée, nous sommes allées dans ma chambre où ils doivent me traiter comme une reine pour me dévêtir avant de m’ouvrir le lit pour que je m’y étende. Selon le rituel établi, Paul a taillé une pipe à soumis Eric pour le mettre en forme, ce qui n’est pas trop dur après une semaine de chasteté, pendant qu’Eric me léchait pour préparer ma minette fragile aux ébats qui allaient suivre.

    Pour me faire prendre, j’aime m’allonger sur le dos, qu’on lève mes jambes pour les remonter vers le plafond, soumis Eric s’est donc mis en position pour me baiser comme j’aime. Pendant ce temps, Paul selon mon rituel, s’est installé à genou à côté de ma tête pour masser mes seins et titiller mes tétons. Il est assez fréquent au moment le plus fort de mon plaisir, que je m’accroche aux couilles de celui massant ma poitrine, quand mes doigts se serrent, il faut bien qu’il serrent quelque chose, je ne veux rien entendre, un gémissement de lopette est sévèrement sanctionné.

    Mes soumis sont habitués à ne jouir que quand je leur donne la permission, s’ils se loupent, la sanction est de 5 coups de pieds dans les couilles. Croyez-moi sur parole, un soumis qui l’a vécu en punition apprend à ce retenir. Etant vaginale, mon plaisir arrive vite mais comme je suis une salope très gourmande et fière de l’être, il m’est impossible de ne pas remettre le couvert plusieurs fois. Quand ma faim de sexe et de jouissance est satisfaite, le soumis a le droit de jouir en moi, j’aime le moment où son sexe devient dur comme de la pierre dans les mouvements de sa dernière ligne droite.

    Le perdant, ou tout simplement celui que j’avais envie de punir, se doit de nettoyer le sexe de celui qui m’a prise pendant quelques secondes puis de venir lécher mon sexe englué du sperme du vainqueur. Hier soir, j’ai eu quelques envies de plus, il a du s’acharner de la langue pendant qu’Eric lui donnait des coups de martinet sur les fesses. Là aussi, croyez-moi sur parole, mes soumis ne trichent pas quand je leur demande ce genre de chose, sans quoi, mes punitions sont telles qu’ils ne le font qu’une fois.

    Lorsque j’étais rassasiée, ils m’ont baisé les mains avant de me couvrir et d’éteindre la lumière en sortant de ma chambre. Eric a dormi libre dans la chambre des soumis et Paul avec un plug dans le cul et avec les mains attachées. Je ne me suis pas occupée de cela, ils font ce que je demande point fin et ils savent tous deux, que tricher est à très haut risque.

    Comme vous le constatez, si je baise avec mes soumis, ils sont loin d’avoir de l’emprise sur moi !

    Ecrivaillon

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  • Soumis voulait voir le sexe de Maîtresse Carla


    Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

    Résumé : cette histoire BDSM aborde la punition d’un soumis par une sévère Maîtresse.

    Maîtresse Carla est d’une humeur massacrante aujourd’hui, son soumis va en subir les conséquences. Non pas qu’il soit son souffre douleur mais parce qu’il mérite une punition.

    - Soumis, la semaine dernière, tu as profité de mon inattention pour mater mes fesses par la porte de la salle de bain, ce n’est pas bien.

    - Ah non Maîtresse, je n’aurai pas osé !

    - Tu mens, je t’ai vu dans le miroir ! Lui répond Maîtresse Carla en lui donnant une gifle dès plus appuyée. Je t’ai vu. Au lieu de faire le ménage tu as profité que la porte ne ferme plus pour venir mater mes fesses. Ah cela se rajoute le mensonge et le mot « non » que tu viens de dire.

    Soumis reconnaît ses fautes aussitôt et se confond en excuses, promet qu’il ne le fera plus mais il est trop tard, Maîtresse Carla va le punir sévèrement et il le sait. Soumis étant maso, elle lui concocte une punition qu’il n’est pas près d’oublier.

    - Allez, avoue que cela te plairait de voir ma chatte ! Lui demande Carla en l’obligeant à la regarder dans les yeux.

    - J’avoue que j’aimerai apprécier du regard votre corps de reine. Lui répond soumis qui ne sait plus où se mettre. Ses mains sont moites, il regarde le sol en se demandant ce qu’il va lui arriver.

    - Puisque tu veux voir ma chatte, tu vas la voir, va au donjon, déshabille-toi et attend moi en position 6.

    Lorsque Maîtresse Carla entre dans le donjon, soumis est nu en position 6, la fameuse position connue exposant si bien sa soumission. Elle lui pose un bandeau sur les yeux sans dire le moindre mot, soumis ne réagit pas, sa Maîtresse peut lui faire ce qu’elle veut. Elle lui pose ensuite un bâillon particulier muni d’un trou en son centre avant de l’obliger à s’étendre sur le dos près d’un solide carcan où elle fixe ses poignets à l’aide de solide bracelet de cuir. Maîtresse Carla pose ensuite une barre d’écartement aux chevilles de soumis avant de passer une cordelette autour de ses bijoux de famille.

    Dans sa panoplie d’instruments de torture, elle choisit une paire de très sévère pinces à sein reliées par une chaînette à laquelle elle rajoute une deuxième cordelette. Ces pinces ne s’arrachent pas, plus on tire, plus elles serrent et si le pauvre soumis savait ce qu’il l’attend, son sexe n’afficherait pas un début d’érection.

    Maîtresse Carla fait descendre son treuil à télécommande sans fil pour y fixer au crochet la cordelette des couilles et des pinces à seins. Ce crochet se situant juste au-dessus de son soumis, lorsqu’elle enclenchera le treuil, la traction générera irrémédiablement son lot de douleur. Sous la tête de soumis, elle glisse son cube destiné au facesitting puis en actionne les molettes qui lui bloque la tête.

    Convaincu qu’elle va lui imposer de lécher l’intimité dont il a tant rêvé, soumis affiche maintenant une belle et fière érection, s’il savait…. Maîtresse Carla libère les yeux de son soumis, afin qu’il puisse la voir retirer son string qu’elle vient lui faire sentir. Le parfum du corps de sa Maîtresse est un arome qu’il savoure comme un précieux cadeau. Maîtresse Carla dépose une cravache sur le carcan.

    - Alors comme ça, tu veux voir ma chatte, et bien tu vas la voir, mais il y a un prix à payer pour ça. Dit-elle en actionnant la télécommande du treuil.

    Soumis bombe le torse et se cambre pour essayer de limiter les effets des cordelettes. Ses tétons sont horriblement pincés, ses couilles monstrueusement étirées génèrent une douleur jusque dans ses reins.

    - Regarde bien et rince-toi l’œil petite merde de voyeur et de menteur. Lui dit Maîtresse Carla en soulevant sa robe en cuir pour lui dévoiler ses trésors. Profite, le prix à payer arrive de suite, vas-y reluque bien la chatte et le cul de ta Maîtresse, profites-en tu vas pouvoir goutter son nectar.

    Soumis n’a d’yeux que pour sa Maîtresse, il ose à peine regarder son anatomie, ces sont regard méchant qui l’affole. Quand elle attrape un entonnoir, il comprend aussitôt ce qu’il l’attend. Dans une main, elle tient la télécommande, dans l’autre, l’entonnoir dont elle dirige le tube dans le trou du bâillon ouvert en son centre.

    - A chaque goutte que tu perds, j’appuierai sur la télécommande, tu n’aimes pas ça mais je m’en moque, une punition est une punition et là, tu en mérites trois. Une pour avoir reluqué mon intimité au lieu de faire ton travail, une pour m’avoir menti, une pour m’avoir dit le mot « non », je vais te faire une compil de punition petite merde !

    Maîtresse Carla appuie une fois sur la télécommande, le crochet monte de quelques centimètres arrachant des gémissements réels et sérieux.

    - Ca c’est pour avoir dit « non »

    Elle se saisit de la cravache et lui en porte un coup appuyé sur ses testicules déjà bien tendus, par le bâillon s’échappe aussitôt un véritable cri d’agonie.

    - Ca c’est pour m’avoir menti.

    Maîtresse Carla retire le string du nez de son soumis pour le placer sous sa nuque avant de se prendre place juste au dessus de l’entonnoir en lui rappelant qu’à chaque goutte perdue, elle appuiera sur la télécommande. Soumis est réellement affolé, jamais sa Maîtresse n’est allée aussi loin dans la douleur et une punition. La douleur de ses seins et de ses tétons est telle qu’il en a les yeux qui mouillent et le pire, c’est qu’il sait que quand Maîtresse annonce quelque chose, elle le fait toujours. S’il perd une goûte de son champagne doré, Maîtresse Carla est réellement capable de le suspendre par les couilles et les tétons.

    Soumis uro BDSM golden shower

    Lorsqu’il perçoit le bruit du pipi de l’enfer pour lui, soumis se concentre aussitôt. Le liquide chaud et salé parvient à sa bouche, il s’efforce d’avaler le premier jet mais n’y parvient pas totalement. Maîtresse Carla lui fait voir la télécommande avec un sourire sadique posé sur ses lèvres avant d’effleurer le bouton de l’enfer. Le treuil n’a bougé que de quelques millimètres mais suffisamment pour qu’il en sente les effets.

    - On continue, tu as intérêt à boire tout ce champagne que j’ai gardé pour toi, sans quoi je te suspends par les couilles et je te chasse ensuite pour m’avoir mentie.

    Maîtresse Carla libère sa vessie par petits jets, soumis cette fois ne se laisse pas surprendre et avale consciencieusement malgré son dégoût la totalité de ce que l’on appelle le champagne doré.

    Maîtresse Carla satisfaite de l’effort de son soumis, agite la télécommande devant ses yeux en déposant l’entonnoir sur le sol. Soumis est mort de trouille car la douleur des pinces sur ses tétons est insupportable tout comme ses couilles qu’il regrette presque d’avoir. Quand sa Maîtresse appuie sur la télécommande il ferme les yeux de peur mais au lieu de monter, le crochet du treuil redescend doucement diminuant de fait la pression sur ses couilles et ses seins. Une fois son soumis posé sur le sol, elle retire le bâillon qu’elle dépose à côté de l’entonnoir.

    Soumis fait alors un gros effort pour dire « merci Maîtresse » car il est agité par une très sérieuse envie de rébellion.

    - Puisque tu as encaissé ta punition comme un bon soumis et que tu m’as remerciée de t’avir puni, je vais t’accorder une récompense exceptionnelle, le droit de me lécher. Lui indique Maîtresse Carla en prenant place sur son cube facesitting.

    Malgré les monstrueuses douleurs qui accompagnent le retrait des pinces à seins et son horrible punition, soumis fond de bonheur en léchant l’intimité salée de sa Maîtresse. Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par ses fantasmes, il se plairait soudain à déguster quelques gouttes de plus du nectar de sa Maîtresse. Le nez sur la délicieuse rondelle étoilée de sa Maîtresse, la langue au plus profond de son initimité, il plonge dans un océan de plaisir agité par les flux et les reflux de son masochisme quand elle entreprend de masser ses tétons.

    Une cacophonie de sentiments et un camaïeu d’étoiles lui emplissent la tête quand quelques minutes plus tard elle libère ses couilles devenant bleues. Il ne comprend pas ce qui lui arrive, outre le dégoût qui l’a submergé, ce mélange de souffrances extrêmes et de plaisirs étranges malgré ce qu’elle vient de lui faire vivre le perturbe au plus haut point. Une pulsion plus forte que sa volonté le pousse à embrasser les pieds de sa Maîtresse lorsqu’elle le libère.

    Il ne la décevra plus c’est une certitude mais est-ce parce qu’elle l’a maté ou est-ce à cause de ce sentiment d’appartenance encore plus fort que l’amour qu’il lui porte ?

    Ecrivaillon

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  • Soumis transformé par deux lesbiennes


    Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

    L'annonce

    Soumis aux femmes je suis, soumis aux femmes je suis fier d’être. Ma volonté n’a rien de copulatoire, les servir suffit à me combler.

    Je recherche donc une Maîtresse mais comme je n’aspire en aucun cas à des rapports sexuels, si une lesbienne est intéressée ou un couple de lesbiennes est intéressé par un soumis serviteur, qu’elle n’hésite pas à me contacter.

    Disponible à toutes heures mais pour éviter les plaisantins un entretien téléphonique est obligatoire avant que je me déplace.

    Discrétion et sérieux assurés
    ………………………..

    Après des années de recherches effrénées sur le net, je commençais à désespérer de trouver une Maîtresse. J’ai donc fait un copier coller de mon annonce pour la publier sur Fessestivites, après tout, je n’étais plus à ça près. Deux mois plus tard, je reçu le message ci-dessous dans ma messagerie.

    « Etes-vous réellement sérieux et jusqu’où irez-vous pour me le prouver si j’aspire à vous recevoir comme soumis avec mon amie » ?

    Avant de répondre, j’ai consulté le profil de la personne qui m’écrivait. Elle s’annonçait lesbienne et en couple. Mon cœur se mit à battre la chamade !

    « Madame, je m’estime réellement sérieux, comme première preuve je vous donne mon numéro de téléphone 06 00 00 00 00 appelez-moi à votre convenance pour vérifier que je suis bien disponible. Jusqu’où irai-je pour vous prouver mon sérieux ? Mettez-moi au défi je le ferai et vous adresserai les photos que vous pourriez me demander, mais si ce défi ressemble à une plaisanterie, je ne donnerai pas suite. Comme vous le constatez, tout comme vous pour un premier contact je reste méfiant malgré le sérieux qui me caractérise et l’engagement qui peut être le mien ».

    Sa réponse n’a pas tardée !

    "Soumis, j’aime beaucoup ta réponse, elle ne ressemble pas à ces êtres capables de jurer monts et merveilles sans même savoir à qui ils jurent. Pour la peine, je vais te donner un défi simple à réaliser, tu m’adresseras la photo par email. Si dans 24 heures je n’ai pas cette photo, nos relations en resteront là. Je désire que tu poses torse nu avec un journal dans la bouche comme un chien. Tu devras avoir les mains dans le dos et le mot soumis écrit sur ton torse".

    Je passe sur notre correspondance, pour en arriver au principal, une semaine plus tard, j’étais « convoqué » le vendredi soir chez Maîtresse Aline et sa compagne.

    ………………………………………………………………..

    Une femme bien enrobée, blonde aux yeux bleus m’ouvrit la porte et me fit entrer. Sans même me débarrasser de la bouteille de champagne et du bouquet de fleurs, elle me montra le chemin de la cuisine. Un papier m’attendait sur la table.

    « Met-toi nu, enfile la culotte rose et le tablier, fait la vaisselle et attend que l’on t’appelle » indiquait le texte sur le dos d’une enveloppe usagée. Autant dire que l’entrée en matière me parue rude car la féminisation et le travestissement n’est pas mon truc. Bien décidé à ne pas la décevoir, je me suis exécuté en m’autorisant le fait de mettre la bouteille de champagne au réfrigérateur. La vaisselle faite, j’attendais patiemment dans la cuisine quand Maîtresse Aline m’appela. En entrant dans le salon, je pus découvrir sa compagne, une brune à l’antithèse du profil de Maîtresse Aline, petite, fluette avec un regard sévère.

    - Soumis, ramène ta bouteille de champagne et deux flûtes, elles sont dans le placard de la cuisine, m’ordonna Maîtresse Aline avant de reprendre sa discussion avec son amie.

    A mon retour, je dus les servir avant qu’elles m’imposent la position à quatre pattes comme un chien. Alors qu’elles sirotaient leur champagne, la compagne de Maîtresse Aline se leva pour aller chercher une gamelle de chien dans laquelle elle vida un peu de champagne avant de m’ordonner de laper. J’appris pendant la conversation que la compagne de Maîtresse Aline s’appelle Julie. D’un caractère critique, elle me parut finalement plus que sévère dans ses analyses, mais je ne me permis pas de donner mon point de vue, n’étant pas invité à parler.

    - Qu’est-ce qu’on va faire de toi ? Me demanda Julie en me regardant d’un air dédaigneux. Un mec ici, qui l’aurait cru ? Et en plus un poilu !

    - On va en faire notre bonniche mais tu as raison Julie, ses poils sont dégoûtants. Va à la salle de bain, tu as 10 minutes pour me faire partir tout ça, mais tu as intérêt à faire le ménage après car si je trouve des poils dans ma salle de bain, je te massacre. Exécution !

    Etant convaincu qu’elles me testaient, j’avais décidé d’être irréprochable lors de cette première rencontre. Faisant fi des remarques corrosives et de l’absence de communication à mon égard, autre que des ordres, je me suis donc rendu dans leur salle de bain où j’ai trouvé de quoi raser mon corps dans leur douche à la vitesse grand V. De retour au salon, je me suis fait incendier pour mon retard avant une inspection rigoureuse de mon anatomie qui me valut des reproches sur mon rasage. Maîtresse Aline m’ordonna de me pencher en avant et de lui offrir mes fesses. Trois coups, seulement trois coups de cravache mais d’une force telle que j’ai faillis hurler et lui mettre une gifle.

    - Tu l’as compris, on n’aime pas les hommes, si tu veux être notre soumis, il va falloir que tu ressembles à une femme, sans quoi tu ne feras pas de vieux os ici. Me dit Maîtresse Aline en m’attrapant par l’oreille comme si j’étais un gamin.

    - Bien madame, mais la féminisation n’est pas trop mon truc, mon corps ne s’y prête pas.

    Est-ce que l’on t’a demandé ton avis soumis ? Me répondit Maîtresse Aline

    Je me suis excusé platement avant de proposer de les resservir, quand Julie fut soudain mue par une envie de s’occuper de ma personne. Elle se leva pour m’attraper par l’oreille et me conduire dans la maison vers une de leurs chambres. Elle jeta des bas et une robe sur le lit en m’ordonnant de les passer sans tarder puis de revenir me présenter au salon pour la suite du service. J’ai eu envie de partir car la féminisation n’est vraiment pas mon truc tout comme les trois coups de cravache ultra violents et le traitement de ma personne comme un objet mais je m’en suis tenu à mes idées premières. A mon retour au salon, « j’avais l’air d’un con ma mère » ! Julie s’est levée pour m’exhiber et m’humilier en me faisant tourner sur moi-même comme si mon corps ressemblait à celui d’une star au festival de Canne.

    - Avec des talons, une perruque et une touche de maquillage, soumis pourrait commencer à devenir intéressant qu’en penses-tu ? Demanda Julie.

    Maîtresse Aline approuva et trouva cette idée très amusante contrairement à moi. Et là, je suis soudain devenu l’objet de toutes leurs attentions. Elles me firent asseoir et entreprirent de me refaire une « beauté ». J’étais mort de honte. Entre leur mains, je n’étais plus qu’un jouet que l’on manipule, que l’on habille, que l’on maquille, si bien qu’une heure plus tard, je me suis retrouvé perché sur des chaussures à talon haut, maquillé vêtu d’une robe à froufrou et avec un soutien-gorge.

    C’est chiant un soutien-gorge ! Cela gratte, cela serre, cela gêne et son utilité sur moi n’avait qu’un but : m’humilier. Marcher avec des talons hauts me fut très difficile, j’avais l’horrible impression que j’allais m’écrouler à chaque pas. Un bâillement Maîtresse Aline m’annonça que la fin de la soirée approchait mais il n’en fut rien. Elle m’envoyèrent à la cuisine voir si elles y étaient, en clair, de les laisser seules. Quelques minutes plus tard, je fus rappelé auprès de ses dames de nouvelles surprises m’attendaient, cela se voyait sur leur visage. Elles entreprirent de me déshabiller puis me firent enfiler une chemise de nuit de la grand-mère de Julie, avec comme indication que je devais la porter fièrement. Si le vêtement ne me séduisait guère, le vêtement laissait sous-entendre que j’allais dormir ici. Ce fut le cas mais version sadiques.

    Maîtresse Aline et Julie posèrent des bracelets à mes poignets et à mes chevilles puis un collier de chien avant de m’ordonner de me mettre à quatre pattes pour me conduire à leur chambre à coucher. Une petite merveille, superbement décorée avec un magnifique et immense lit à baldaquin, leur chambre ressemble à une reconstitution historique de la maison de Barbie version lupanar. Elles m’invitèrent à passer sous leur lit et à m’étendre sur le ventre bras et jambes en croix. A l’aide de cordes, elles entreprirent de fixer mes poignets et mes chevilles mais grande chance pour moi, m’accordèrent d’aller aux toilettes avant afin de soulager ma vessie prête à exploser.

    A mon retour, je fus prestement entravé sous le lit avant d’être abandonné là. Je commençais à me poser des questions quand au bout d’un long moment elles sont revenues pour se coucher. Julie m’annonça que si je ronflais, je risquais gros ce qui ne me rassura point. Et là, elles se couchèrent et firent l’amour le plus simplement du monde en se moquant totalement de ma présence. Les entendre et les sentir câliner au-dessus de moi me mit dans tous mes états, malgré l’inconfortable position. En guise de participation, elles me jetèrent leurs petites culottes à renifler silencieusement…. J’avoue qu’encore une fois, que ce qu’elles prirent pour une humiliation combla mes sens olfactifs car j’aime le parfum du corps des dames.

    Ma nuit fut aussi inconfortable qu’érotique, car être attaché à la merci de deux femmes compte de mes fantasmes. Au petit matin, Maîtresse Aline se leva pour aller aux toilettes puis me délivra en murmurant d’aller préparer le petit déjeuner et d’attendre tranquillement à la cuisine. Elle m’autorisa à prendre un petit déjeuner puis me congédia de la main.

    Une heure plus tard, Maîtresse Aline m’appela en réclamant le petit déjeuner. Ayant prévu le coup, deux minutes plus tard je pénétrais dans leur chambre avec un plateau. La nature humaine étant ce qu’elle est, les voir assises toutes les deux côte à côte dans leurs déshabillés vaporeux mit le feu aux poudres sous la ceinture que je n’avais pas ayant toujours sur moi la chemise de la grand-mère. Aline s’en aperçue et m’incendia avant de s’en plaindre à Maîtresse Aline qui la rassura en lui disant que si elles me gardaient, je porterai une cage de chasteté ce qui bloquerait ce genre de dérapage naturel.

    - Ca te plairait de nous voir nues hein gros porc ? Me demanda Julie.

    - Il me plaira ce qu’il vous plaira mesdames, je ne suis pas là pour mon plaisir mais pour votre bien être. Leur ai-je répondu à la volée pour éviter de dire une ânerie.

    - Tu es mielleux ! Me dit Maîtresse Aline, mais c’est une excellente réponse. Si tu restes avec nous, tu auras l’occasion de nous voir nues bien plus que tu ne l’imagines, mais il faudra le mériter. Après avoir desservit, tu iras me faire couler un bain, je l’aime très chaud, file !

    Pendant que le bain coulait, je fis la vaisselle du matin avant d’être appelé à la salle de bain. A mon arrivée, Maîtresse Aline s’y trouvait nue, je fis volte-face pour ne point la regarder et lui demander ce qu’elle désirait. Elle m’ordonna d’entrer et de me mettre à genoux. Dans la position demandée, mes yeux se trouvaient en bonne place si j’avais été voyeur mais je fis très attention à les garder baissés afin de ne pas attirer son courroux. Sans aucune gêne quant à sa nudité, elle prit place dans la baignoire en m’ordonnant de venir laver ses pieds, chose que je fis avec une attention particulière. Une demi-heure plus tard, elle m’ordonna de les lécher. Ma langue leur fit l’amour avec une extrême douceur,

    - Mais il te fait l’amour ce porc ! Cria soudain Julie dans mon dos.

    - Non, il fait l’amour à mes pieds et j’avoue que sa façon de faire et très agréable. Répondit Maîtresse Aline

    - Prend-le dans ton bain tant que tu y es ! Pesta Julie.

    - Tien, c’est une idée ça, on va le laver à ma façon. Clama Maîtresse Aline en sortant du bain avant de m’ordonner d’y entrer.

    Quand on vous propose d’entrer dans une baignoire, après vous êtres mis nu, votre premier réflexe est de vous y allonger, chose que je fis et qui me valut deux tonnes de reproche. Je dus y prendre place à quatre pattes où je fus lavé par deux furies. En guise de rinçage elles m’obligèrent à m’allonger sur le ventre dans la baignoire pleine d’eau, en mettant mes mains dans le dos. Trente secondes plus tard, elles étaient sur moi et m’y enfoncèrent totalement. La tête sous l’eau j’ai pris peur et je me suis débattu mais coincé sous leurs corps je ne pus faire grand-chose hormis mettre de l’eau de partout et battre des pieds dans leurs produits.

    Maîtresse Aline sortit ma tête de l’eau pour me permettre de respirer en m’incendiant pour mon manque de confiance. Que répondre à cela ? Ma tête replongea aussitôt pour un temps que j’ai trouvé très long mais elle m’en ressortit quelques secondes plus tard.

    - Rince-toi, éponge tes conneries et fait le ménage de la salle de bain, tu as 15 minutes.

    Pour ne pas les gêner avec ma nudité, j’ai donc enfilé la chemise de nuit avant de les rejoindre au salon où une surprise de taille m’attendait. Julie avait trouvé des vêtements amples et plus ou moins extensibles dans les vêtements de la grand-mère. Je dus les enfiler ainsi qu’un corset des temps anciens qu’elles se mirent à serrer comme des malades si bien que ne parvint pas à mettre les escarpins qui m’étaient destinés.

    - Ce sera ta tenue pour la journée, ce matin nous sortons mais j’ai caché tes vêtements et tes papiers. Si tu veux t’échapper tu le peux, mais ce sera ainsi vêtu. Rassure-toi, je ne vais pas te voler ton sac, je veux juste m’assurer que tu seras réellement la bonne que je veux trouver à notre retour. Démerde-toi comme tu veux mais fais-nous un bon repas pour midi. M’indiqua Maîtresse Aline

    - Sois sage ! Ajouta Julie vêtue comme une déesse avant de claquer la porte derrière elles.

    Arfff ! OUffff. Dur dur ! Je sais, il n’y a rien de français dans ces mots, mais reconnaissez que pour une première rencontre et pour un homme qui n’a aucune attirance pour la féminisation, la marche était haute ! Cette saloperie de corset m’a énormément gêné, pour me baisser je n’avais pas eu d’autre choix que de me mettre à genoux. Allez aux toilettes fut une étape délicate, surtout pour remonter la culotte de grand-mère……

    Elles sont revenues vers 11h30 et ont apprécié les parfums de ma cuisine. Enfin un compliment. Maîtresse Aline se rendit aux toilettes faire un gros pipi, si j’ai ce détail c’est parce qu’elle a laissé la porte ouverte.

    - Soumis vient ici, tu vas avoir droit à ta récompense ! M’ordonna Maîtresse Aline

    Je me suis donc approché des toilettes en gardant les yeux baissés pour ne pas la gêner mais elle ne le semblait pas du tout !!!! Elle se leva, fit demi-tour en me disant : « lèche la goutte, c’est ta récompense ». Heuuuuuuuuuuuuu ! Je me suis donc mis à genoux derrière elle et j’ai tendu la langue quand soudain, sa main a attrapé mes cheveux pour me plaquer contre son intimité odorante, mouillée et un brin salée.

    - Je suis satisfaite de tes services, Julie va te rendre tes vêtements et tu vas pouvoir rentrer chez toi. Si tu veux devenir notre bonniche, tu as maintenant un aperçu de ce que nous sommes et voulons. Par contre, si tu reviens, nous exigeons que tu ais une cage de chasteté et des vêtement de bonniche que tu devras acheter. Nous te donnerons les adresses pour les vêtements. A toi de voir ce que tu décides. J’attends une amie, presse-toi d’aller te vêtir et de partir. Tu me donneras ta réponse par email.

    Quelques minutes plus tard, je quittais leur domicile mais j’étais si perturbé que j’ai mis un quart d’heure pour retrouver ma voiture. Quand j’ai ouvert mon sac pour prendre une cigarette, il y avait une enveloppe à l’intérieur. Je l’ai décachetée pour voir ce quelle contenait. Il y avait un papier et un billet de 50 euros. Sur le papier il était indiqué : « je joue sur toi, les 50 euros seront ma participation pour la cage de chasteté, ne me déçois pas ». Le papier était signé Maîtresse Aline.

    J’avoue que je m’interroge mais quelque chose me dit que malgré la féminisation qui m’ennuie je vais leur céder. Allez donc savoir pourquoi ?


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  • Garçon manqué devient Maîtresse phallique

    Auteur: Ecrivaillon

    Pendant toute ma jeunesse j’ai été jalouse de mes frères, pendant qu’ils jouaient, j’ai du participer à la vie de famille ou réaliser des taches ménagères puis, pendant mon adolescence, j’ai du faire la nounou au lieu d’aller m’amuser comme mes copines. Mon premier amant fut lamentable, autant dire que pour lui j’étais une « décharge » car il s’occupait de son plaisir et jamais du mien ce qui ne m’a pas beaucoup motivée pour les câlins. Bien qu’il me l’ait faite connaître une fois la jouissance, mon fiancé était un fainéant de première, c’est moi qui montais les meuble casto ou autre que nous achetions parce qu’il disait que cela lui « prenait la tête » quand il ne les cassait pas en hurlant. Ce mec royal s’est barré avec ma meilleure amie…..

    De mon enfance à l’âge adulte, j’ai donc développé des regrets de ne pas être un homme et de ne pas avoir une verge à la place d’un vagin puisque les hommes avaient à mes yeux d’énormes avantages et beaucoup de plaisir.

    La révélation !

    Bien que déçue des rapports humains, j’avais tout de même des envies et donc des plaisirs solitaires en visionnant sur fessestivites des photos pornos. Le jour où j’ai découvert la photo d’une femme harnachée d’un gode ceinture en train de sodomiser son amant, ce fut une véritable révélation pour moi. Mes phalanges sont devenues folles….

    Je me suis donc décidée à prendre un abonnement sur ce site de rencontre que j’aime bien ce qui m’a permis d’accéder aux annonces et aux chats. Pour m’amuser je me suis fait un profil de Maîtresse, dès le premier soir, j’avais trente messages dont certains totalement débiles. Certains contacts étant à des centaines de kilomètres de chez moi, après avoir fait un premier tri par département, j’ai entrepris de répondre. Sentir les hommes prêt à ramper à mes pieds m’a beaucoup excitée, ma première nuit fut très courte tant je m’amusais sur le site. Je suis même parvenue le premier soir à obliger un mec à se branler pour moi en webcam et à lécher son sperme.

    Un des soumis me parut sympathique, je me suis donc ouverte à lui en lui expliquant que je débutais et que je n’avais pas de matériel. Il me parlait de ses fantasmes, je lui en ai confié quelques uns des miens en tant que Maîtresse. Soumis35 m’a proposé de m’offrir un gode-ceinture pour que je m’en serve sur lui et cette proposition m’a donnée des idées. Lors de la première rencontre, j’étais plus gênée que lui surtout quand j’ai du mettre le gode-ceinture à ma taille. Ce soumis a été adorable et ne s’est pas moqué de moi, au contraire, il me guidait.

    C’est donc avec lui que j’ai fait mes premiers pas en Maîtresse, que j’ai appris plein de choses. Mon équipement de Maîtresse grandissait de semaine en semaine et une certaine complicité voyait le jour mais lorsque sa femme a découvert le pot aux roses, notre relation a immédiatement pris fin. Bien que déçue car je l’aimais bien, je me suis remis en chasse et là un espèce de « choumis » aussi narquois que macho m’a permis de me découvrir un côté sadique. J’ai pris un pied pas possible à lui tanner le cul à la cravache. Autant dire qu’il n’est pas revenu.

    De fils en aiguilles, j’ai appris à me faire offrir des choses en échange de mes prestations en donnant les liens des vêtements ou accessoires qui me plaisaient. Je tenais à ce qu’ils me les emmènent et non pas à ce qu’ils me donnent de l’argent. Vous me direz que c’est du pareil au même mais pour moi c’est différent. J’accepte les cadeaux pas l’argent, l’argent cela fait professionnelle, le cadeau cela fait profiteuse, l’image n’est pas du tout la même nous en conviendrons. Par contre, je leur offre quelque chose d’intime en échange de leur cadeau. Quand ils s’en vont, je retire la culotte que je porte pour la leur offrir, quand je ne m’en sers pas avant comme bâillon ou pour les humilier.

    Chastesoum a su retenir mon attention, célibataire et bricoleur doté d’un certain humour, voilà un bon parti me suis-je dit lorsque j’ai accepté de le recevoir. Comme cadeau, il m’a offert une très belle paire de menottes en acier et les étrennées le soir même en se tortillant comme un malade sur mon lit pendant que je lui démontais le cul avec mon gode-ceinture. Allongé sur le ventre avec les mains menottées à la tête du lit et avec un gros coussin sous le ventre, ses fesses ne pouvaient pas m’être plus offertes et j’en ai profitées. Lors de notre première rencontre, quand je lui au fait cadeau de mon string, il l’a portée aussitôt à son visage pour l’humer en me remerciant comme si je lui avais offert la lune.

    Cadre supérieur dans une grande entreprise, Chastesoum a des moyens financiers que je n’ai pas mais jamais au grand jamais je n’en ai abusés. Pour exemple, il m’a proposée de m’emmener dans de grands restaurants, de m’offrir des tonnes de trucs mais je suis restée cantonnée à mes principes de petits cadeaux simples et pratiques en échange de mes culottes portées. Etant célibataire, il a pu rester à la maison pour un week-end pendant lequel il s’est lancé dans le bricolage ce qui m’a permis d’avoir maintenant de jolis éclairages que je ne me serai pas aventurée à installer. Le samedi soir, j’ai été une véritable garce en l’obligeant à faire la cuisine (qu’il fait très bien d’ailleurs) nu avec comme seul vêtement sa cage de chasteté et un tablier de cuisinière. Je n’ai pas arrêté de le martyriser, de l’engueuler pour un oui, pour un non, au plus je l’engueulais et lui claquais les fesses au plus il me semblait heureux.

    Devant ses réactions à chaque claque sur ses fesses, ce samedi soir je me suis aussi découvert une passion pour la fessée. Etendu sur mes genoux, j’ai aimé le sentir vibrer et se contorsionner sous les grandes claques que je lui donnais. Ce n’est que la couleur de ses fesses qui m’a arrêtée car je me suis vraiment éclatée. Sa première nuit, il l’a passée sur le tapis de la salle de bain que nous avions mis aux pieds de mon lit avec une simple couverture en guise de couchage. Le matin, quand je me suis levée dans le brouillard comme d’habitude je lui ai marché dessus et j’ai bien faillit me casser la cheville. Il était tout honteux alors que c’est moi qui avais fauté. Ce petit incident m’a permis de découvrir que Chastesoum a de sérieuses prédispositions pour les massages.

    De par sa gentillesse et sa générosité d’âme puis son humour il m’a donnée envie de le revoir, quand je lui ai dit que j’accepterai sûrement qu’il devienne mon soumis, ses yeux se sont mouillés. Il était si mignon que je n’ai pas pu résister à l’envie de le prendre dans mes bras pour le consoler. Je me suis rapidement reprise de mes élans affectifs en l’envoyant acheter un cadenas à combinaison pour sa cage de chasteté. L’idée du cadenas à combinaison me vient de Fessestivites, il y a pas mal d’astuces et d’idées à prendre pour les jeux BDSM ou libertins.

    Il lui a fallu trois heures pour le trouver car un dimanche matin, il n’y a pas beaucoup de magasins de bricolage ouverts. Je commençais à m’inquiéter mais le bruit de la sonnette m’a rassurée. Ce grand fou est très particulier, vous l’envoyez acheter un cadenas, il vous rapporte un mixer, un grille-pain et un repas acheté chez un traiteur en plus du cadenas !

    Pour le remercier de sa grande générosité, après le repas j’ai enfilé mon gode-ceinture qu’il a eu le droit de lécher avant que je m’occupe de son petit cul. Entre les claques et sur fesses et le gode-ceinture, je l’ai un peu bousculé et pour me faire pardonner, je l’ai autorisé à retirer sa cage et à se masturber devant moi. Il n’a pas refusé de lécher sa semence mais m’a prévenue qu’il risquait de vomir, ce qui a motivé ma clémence. Par contre, après sa toilette, il n’a pas coupé à la pose du cadenas à combinaison.

    Pendant la semaine, nous avons communiqué par internet mais il m’a manqué. Chastesoum a quelque chose de particulier en lui qui le rend différent des autres hommes. Il est gentil, attentionné, posé, j’aime son humour, sa façon d’être et de parler. Son respect envers la femme est palpable et chose rare, en tant que soumis il ne demande rien et prend ce qu’on lui donne comme un présent.

    Le week-end suivant, égal à lui-même, il a répondu présent à ma convocation pour le vendredi en me précisant qu’il ne pouvait arriver avant 21h pour cause professionnelle en s’en excusant mais en indiquant qu’il s’occupait du repas. En guise de repas, cette fois il ne s’était pas arrêté chez un traiteur, il est arrivé avec un repas de roi ou plutôt de reine avec des feuilletés au saumon et au foie gras maison et un civet de marcassin le tout accompagné des vins pour chaque plat. J’étais terriblement gênée de tant de générosité car en prime il avait un paquet cadeau sous un de ses bras chargés.

    Il a demandé de me servir et que j’attende la fin du repas pour ouvrir mon cadeau, demande que j’ai acceptée. A la fin du repas, il a débarrassé la table et m’a servie un café avant de se mettre à genou devant moi et de me tendre son paquet cadeau. Lorsque je l’ai ouvert, j’ai pu découvrir une magnifique robe de soirée. J’ai joué mon rôle de maîtresse en lui ordonnant de ne pas bouger et je suis allée l’essayer. Elle était superbe et m’allait à la perfection ! Quand je lui ai demandé comment il avait fait pour avoir ma taille, il m’a répondu honteusement avoir regardé dans mon coffre à linge pour avoir toutes mes tailles.

    Que répondre à cela ? Rien !

    Par principe, je lui ai donné une fessée pour avoir fouillé dans mon coffre à linge, mais cette fessée n’avait rien de méchant, bien au contraire. Après sa fessée j’ai craqué et je l’ai embrassé.

    Et là une nouvelle vie a commencé.


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  • Un forum BDSM très émouvant ! 

    Magnes lançait le 25 août 2013 une discussion sur le forum BDSM discussion que vous pouvez suivre ici.

    http://www.fessestivites.com/phpBB3/le-bdsm-en-regle-general-f115/stages-t1465.html

    Un échange dès plus émouvant m'incite à en extraire une partie pour vous en donner connaissance. Vous pouvez réagir à votre tour en fonction des vos positions ou pour y poser vos questions.

    Précision : Polisson est le soumis de Maîtresse Martine

    Webmaster

     

    MAgnes » 25 Août 2013 13:57

    Bonjour à toutes et tous,

    Une pratique relativement répandue dans le monde BDSM est d'envoyer son soumis ou sa soumise en stage chez une autre personne dominante.

    N'ayant jamais pratiqué cela (que ce soit envoyer mon soumis en stage ou recevoir une personne venue en stage chez moi), je suis curieuse de connaître les tenants et aboutissants de cette pratique.

    Que vous soyez le dominant envoyant son soumis, le soumis lui même, ou le dominant qui reçoit, qu'est-ce que cette pratique vous a apporté, quels en sont les plaisirs à vos yeux, quel était l'objectif et a-t-il été atteint ? etc.

    Agnès
    Curieuse de nature

    Maîtresse Martine » 27 Sep 2013 09:02

    Après une longue absence je reviens parmi vous et découvre une sérieuse évolution au niveau des discussions, super !
    Jusqu'à présent l'idée de prêter mon soumis ne m'avait pas effleuré l'esprit mais je trouve que cette idée originale méritait réflexion et discussion. Je lui en ai parlé et lui demande de venir répéter ici la réponse qu'il m'a donnée vous allez comprendre pourquoi.

    polisson » 27 Sep 2013 09:10

    Maîtresse, je vous aime, je vous ai cherchée pendant des années et aujourd'hui je suis heureux. Je n'ai besoin de personne d'autre que vous pour vivre ma soumission, je n'ai envie de servir personne d'autre que vous. Dans un pays il n'y a qu'un roi ou qu'une reine, dans mon monde il n'y a qu'une reine : vous ! Les autres ne m'intéressent pas ou plus puisque pendant des années j'ai cherché une reine, ma Reine.
    Votre demande m'a énormément touché et si j'avais les larmes aux yeux c'est parce que j'ai eu peur de vous perdre. Maintenant que vous m'avez rassuré sur vos intentions et sentiments à mon égard, même si l'idée ne me plait absolument pas, pour vous ma reine je suis prêt à tout et donc à aller servir une autre si vous en exprimez le désir. Ordonnez je ferai,prêtez moi si bon vous semble mais s'il vous plait, ne m'abandonnez pas, j'en mourrai.
    Votre soumis aux yeux mouillés.


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