• Sandrine abusée et baisée dans une caisse

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    Auteur : Ecrivaillon

    En se confiant, Sandrine va vivre la peur de sa vie.

    A 30 ans, Sandrine est une sacrée coquine et si quelqu’un la traite de « salope » elle répond « et fière de l’être ». Lorsqu’elle est arrivée sur Fessestivites fin 2011, elle s’y est plu et a décidé de rester sur ce site où il y a des personnes de tout horizon et surtout un mélange des pratiques. Un brin lasse du libertinage et ne désirant toujours pas se mettre en couple, elle a commencé à explorer d’autres voies comme la fessée et le BDSM.

    Elle ne cache pas son attirance pour les rapports sexuels sous la contrainte en postant des commentaires sur les vidéos de viol, de pseudo maltraitance de filles. Les gangs bangs BDSM organisés par Organisations84 l’attirent, elle aimerait beaucoup être dominée par Maître TSM avant d’être baisée entravée sans possibilité de fuite mais n’ose pas se jugeant encore trop « jeune » dans le BDSM.

    Sur le chat, elle s’est trouvé des affinités avec MaitreC le C signifiant « cool » d’après lui. Il indique même aimer initier les filles et les conduire dans la réalisation de leurs fantasmes. En vérité le C de son pseudo signifie aussi « cul » ou « cruauté » car pour lui le BDSM signifie sexe et abus mais ça, Sandrine va le découvrir bien trop tard. Lors des échanges privés par la messagerie et par téléphone ils conviennent d’un scénario où elle sera enlevée, bousculée mais pas trop puis abusée sexuellement comme dans les vidéos qui l’excitent.

    Le jour J elle se présente à l’adresse indiquée vêtue d’une simple robe d’été à petit prix avec rien dessous. Dans leur scénario il est prévu qu’il lui arrache ses vêtements, elle a donc prévu de quoi se vêtir après le week-end de stage qu’il a programmé pour elle. Devant la porte d’une menuiserie assez rustique, elle se traite de folle, de tarée et n’ose pas entrer. Soudain son téléphone portable sonne et la fait bondir, tant elle est tendue.

    - Bonjour Sandrine, je vois par la fenêtre de mon bureau que tu es arrivée. Entre car après je fermerai le portail afin que nous ne soyons pas ennuyés, car il faut être prudents, la zone industrielle est déserte le week-end.

    Le fait qu’il lui parle de prudence la rassure, elle enclenche la vitesse, débraille trop vite tant ses jambes tremblent et fait crier les pneus sur le goudron. Bientôt ce sera elle qui criera mais elle ne se doute pas à quel point. Elle descend de sa voiture puis pénètre dans le hangar par la porte entrouverte comme prévu. Même si les choses qu’elle va vivre sont organisées, Sandrine prend peur quand MaitreC lui saute dessus pour lui passer un gros sac de jute par-dessus la tête. Aveuglée et affolée elle commence à crier, à dire stop mais il est trop tard puisqu’ils avaient convenu qu’il ne devrait pas écouter ses suppliques.

    Le sac de jute lui bloquant les bras, il est facile pour MaitreC de lui lier les poignets dans le dos avant d’entreprendre une « étude de la marchandise » comme il se plait à le dire. Ses grosses mains massent sans vergogne sa poitrine avant de s’aventurer sous la robe pour fouiller entre ses cuisses qu’elle serre de toutes ses forces en suppliant. Prestement retournée, presque soulevée elle se retrouve fesses à l’air sur la hanche de son bourreau. Sa main en forme de battoir s’abat fortement sur ses délicieuses rondeurs fessières pour une « fessée de bienvenue ». Sandrine se débat mais en vain, hormis s’épuiser elle ne peut que subir une copieuse fessée.

    - Puisque tu veux jouer les effarouchées, on va donc employer les grands moyens pour te faire plier salope !

    Prestement portée dans le hangar comme un sac de pomme de terre que l’on jette sur l’épaule elle est conduite devant une caisse en bois dont il manque le dessus et l’arrière. Ce qu’elle ne peut voir en s’y logeant sans résistance c’est qu’il y a un trou pour y passer son cou. MaitreC plaque aussitôt un tasseau derrière sa nuque, prend sa visseuse et le visse en quelques secondes. Avec ses mains de menuisier, déchirer la robe et la lui retirer est un détail, Sandrine est maintenant nue dans une caisse avec un sac de jute en guise de cagoule.

    MaitreC prend le dessus de la caisse qu’il visse en deux temps trois mouvements avec sa visseuse professionnelle. Le bruit de la visseuse affole Sandrine qui crie qu’elle ne veut plus, qu’elle veut partir. Une fois qu’elle est bien enfermée agenouillée dans la caisse avec la tête et les fesses dehors, il attrape son palan qu’il fixe à cette sorte de cage et la fait monter d’un mètre au dessus du sol. La caisse se balance un moment avec une proie traumatisée et tremblante.

    Avec douceur il lui retire le sac servant de cagoule, la lumière violente force Sandrine un fermer les yeux un instant avant de les rouvrir pour découvrir le théâtre de l’enfer dans lequel elle s’est jetée toute seule.

    - Cela fait plusieurs fois que tu me dis que tu ne veux plus et que tu veux partir mais je te rappelle que nous avons conclu un accord. Quand tu m’as indiqué que tu voulais vivre cette expérience de gré ou de force, je t’ai mise en garde en te disant de réfléchir car une fois la chose promise lancée, je ne reviens jamais sur les engagements. En te demandant de me le confirmer par email, je t’ai laissé le temps de la réflexion. Tu m’as écrit je te cite : « je veux vivre ce stage BDSM avec du sexe forcé, même si je crie ou ne veux plus forcez-moi, c’est mon fantasme ». Tu peux donc supplier, crier, hurler si tu veux, je ne reviendrai donc pas en arrière. Tu vas déguster crois-moi. Lui indique MaitreC avec une voix calme et posée mais froide. J’ai invité du monde, tu seras ma pute ce week-end, une pute qui va se faire troncher de force. Tu pourrais me sourire quand je te dis des choses comme ça, cela doit te plaire non ?

    Comment sourire quand on comprend que l’on est piégée et que l’on va faire la pute ? Comment sourire quand on a peur de mourir ?

     

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    Pour l’obliger à sourire, MaitreC attrape des crochets de lèvres et un crochet de nez qu’il a acheté sur ABCplaisir. Une fois la sangle passée derrière sa tête, il pose les crochets à la commissure des lèvres puis les règles sans douceur. Le sourire qu’elle affiche n’est pas son plus beau, bien au contraire, c’est le sourire forcé physiquement d’une fille en larme. Le crochet de nez placé dans ses narines lui tire la tête en arrière et lui déforme le visage. Soudain Sandrine disjoncte et marmonne comme elle le peut un flot d’insultes qui ne plaisent pas à MaitreC, mais alors pas du tout. Pour la punir, il lui place des pinces lestées sur la langue avant de la laisser seule un instant.

    Sandrine mesure maintenant l’étendue de sa déchéance, du piège dans lequel elle s’est jetée. Outre la douleur de ces pinces sur sa langue, elle bave lamentablement, son maquillage dessine des rus prenant leur source sous ses magnifiques yeux bleus pour passer en de multiples points sur ses joues étirées. Dans son champ de vision apparaît soudain un black nu comme un vers avec un gourdin de chair à la main. Il se place derrière la caisse, frotte son gourdin de chair contre ses fesses, traumatisant bien plus encore Sandrine convaincue qu’il va la déchirer s’il l’a sodomise. Le black prend la commande du palan pour la faire monter un peu, pour que sa chatte soit à la bonne hauteur. Il enfile un des préservatifs posés sur un établi avant de se poser à l’entrée de la vallée des plaisirs qui lui est offerte. Le gros gland fouille un instant entre ses lèvres intimes à la recherche de la faille dans laquelle il s’engouffre sans pitié mais sans brutalité. Après quelques mouvements doux, il entreprend un martèlement sauvage qui arrache des cris de douleur à Sandrine, lors de ce coït viril, les pinces posées sur la langue se balancent et lui font un mal de chien. Elle crie « ince, ince, ince » sans discontinuer pour lui faire comprendre le problème en espérant qu’il les lui retire.

    MaitreC et le black ne sont pas des bourreaux, ils ne font que réaliser son fantasme de viol mais à ce moment là, Sandrine est convaincue du contraire. Quand il comprend le problème, le black se retire puis vient retirer les pinces de sa langue avec une extrême douceur.

    - Toi tu as du mal parler à MaitreC, je te les retire mais évite ce genre de chose car s’il est gentil, il peut très vite te faire regretter d’être née si tu lui parles mal.

    Le black n’attend aucune réponse et vient prendre son plaisir dans sa chatte qu’il qualifie de très accueillante. Le gourdin de chair s’active au bout de quelques minutes dans la grotte commençant à s’épanouir malgré les peurs de Sandrine, elle est ainsi, plus c’est rude plus elle aime et là elle est servie car elle se met à jouir presque sans discontinuer pendant qu’il la laboure. Lorsqu’il vient en elle, ils sont tous les deux à bout de souffle, il la remercie puis lui donne une claque amicale sur la fesse avant de quitter les lieux.

    Combien de mecs vont venir se demande Sandrine un peu inquiète, est-ce qu’il respecteront le fait que je ne veux pas être sodomisée ? Les minutes s’égrainent lentement quand on se pose ce genre de questions en étant enfermée dans une caisse avec les orifices offerts. Soudain MaitreC apparaît, il est nu, son sexe turgescent est déjà recouvert d’un préservatif, il vient prendre sa part de plaisir. De la même façon que le black, il la prend doucement avant de se lancer dans une chevauchée fantastique pour une chatte aussi gloutonne que gourmande. A cet instant précis, ce n’est pas d’être piégée dans une caisse qui ennuie Sandrine, c’est qu’elle bouge au fur et à mesure qu’il la baise. A la recherche de son plaisir physique, il accélère et ralenti en fonction de la montée de sève. Sandrine s’envole chaque fois qu’il accélère et la burine à toute vitesse, jusqu’au moment où, ni tenant plus, il s’abandonne à la jouissance qui est d’ailleurs simultanée à une des énièmes jouissances de Sandrine.

    La chose faite, il se retire et la laisse là, suspendue dans une caisse avec une foule de questions. Quand elle le voit apparaître vingt minutes plus tard, il a dans les mains une bouteille d’eau et un gant de toilette. Avec beaucoup de douceur il lui retire les crochets étirant ses lèvres et son nez avant de lui passer le gant tiède sur le visage. Il lui fait boire un peu d’eau en lui indiquant qu’il a un autre projet pour elle. Epuisée Sandrine demande si elle peut faire une pause, la réponse est négative, une fille violée et abusée ne demande pas de pause.

    En guise de tourments il veut la rendre folle, folle de plaisir. MaitreC installe une perche derrière la caisse, y fixe un vibromasseur Magic wand qui plaque contre l’intimité féminine déjà bien chahutée. Au moment où il le branche, Sandrine pousse des cris de peur dont il n’a que faire, dans quelques minutes ce sera des cris de plaisir. Sous les vibrations aussi magiques qu’intenses, le plaisir ne tarde pas à pointer son nez, le coté sadique de la chose est qu’elle ne puisse se soustraire de l’engin quelques secondes quand elle jouit. Derrière son écran d’ordinateur MaitreC s’éclate à la regarder et à l’écouter grâce à sa caméra de surveillance. Une demi-heure plus tard, il estime qu’il est temps d’arrêter pour éviter l’accident cardiaque.

    EPILOGUE

    Décrochée, portée jusqu’à un bain chaud, Sandrine ressemble à une véritable loque tant elle est épuisée. Il ne la quitte pas des yeux, on ne sait jamais elle pourrait s’évanouir. Il la rassure sur les tremblements qui surviennent parfois de façon inopinée, c’est ce qu’il appelle le retour sur terre, cela va passer. Mise en peignoir et à nouveau portée jusqu’à son logis, il l’étend maintenant dans son canapé et lui propose une coupe de champagne pour fêter son premier viol. Comme le lecteur s’en doute, Sandrine n’a pas porté plainte, elle s’est juste lovée contre lui pour ronronner avant de fermer les yeux et de sombrer dans les bras de Morphée.

    Ecrivaillon

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  • La machine à baiser pour Homme et Femme


    La machine à baiser pour Homme et Femme avec quelques exemples de variables sadiques…..

    Chez ABCplaisir nous connaissons bien le matériel vendu les soumis et soumises du réseau Fessestivites.com en savent quelque chose….

    La vidéo du soumis sous cage de chasteté qui a gouté à la machine à baiser est ici

    http://www.fessestivites.com/f/videos/209024-Torture-a-la-machine-a-baiser



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  • HARD à ne pas mettre entre toutes les mains

    Ecrivaillon et TSM repostent les textes HARD détruits / interdits par yahoo qui a supprimé les groupes « Mots » et les groupes « contes cruels » avec une littérature à ne pas mettre entre toutes les mains.

    Au menu : hard / viol / abuse / inquisition / guerre

     Pour accéder à ces textes HARD cliquez ICI

     Pour voir des vidéos sur ces thèmes HARD cliquez ici

    Textes_hard_abuse_viol_inquisition.1.jpg

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  • Mon copain me viole

    Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

    Mon copain me viole et j’aime ça, j’aime qu’on me bouscule et ne plus pouvoir m’échapper, être obligée d’y passer, de subir toutes ses lubies, lubies que j’inspire pour le pousser à être toujours plus pervers.


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    Ne pensez pas que ce n’est qu’une histoire de câlins virils, non, je me défends, lui donne des gifles et des coups de pieds, lui n’a droit qu’à l’usage de sa force herculéenne car il pourrait m’assommer d’une simple gifle. Je mesure un mètre soixante et pèse 55 kilos lui est déménageur et sportif, un mètre quatre-vingt quinze et baraqué comme une armoire, pour dire, en chemise je lui prends du 3XL ! La lutte ne peut qu’être inégale mais c’est ce que j’aime.

    Hier matin, je lui ai adressé des textos pour l’allumer pendant son travail, chose qu’il n’apprécie pas vraiment, ne me dites pas que je suis une garce, je le sais déjà par contre, hier soir j’ai eu la peur de ma vie. Vers 18 heures, deux mecs cagoulés sont entrés dans mon appartement et se sont jetés sur moi. J’ai eu très peur quand l’un des deux a sorti son couteau pour m’obliger à me taire. Son acolyte m’a mis un gros sac de jute sur la tête avant de l’attacher autour de mon cou pendant que l’autre attachait mes mains dans mon dos puis mes chevilles. Quand ils m’ont soulevée pour me jeter sur le canapé, je n’osai pas me défendre car je ne voulais pas mourir. Cette peur là, est horrible à vivre et difficilement descriptible.

    Si je ne voyais rien, je pouvais entendre mais entendre quoi ? Ils ne parlaient pas, déplaçaient des choses dans l’appartement, en fait, ils étaient en train de cabrioler la maison. Si j’espérais que Paul arrive pour leur casser la tête, en même temps j’avais peur pour lui car ils étaient deux et avaient un couteau. Soudain l’un d’eux a entrepris de me peloter comme un malade avant de fouiller entre mes cuisses que je gardais le plus serrées possible. Quand il a arraché mon string, j’ai su que j’allais y passer pour de vrai. J’ai envoyé les pieds le plus fort possible pour le repousser, cela a été plus fort que moi, un réflexe d’auto défense à très haut risque vue qu’ils étaient deux et qu’en plus j’étais attachée et aveuglée. Il n’a pas aimé du tout !!!!!!!!

    En quelques secondes, je me suis retrouvée couchée sur ses genoux et sa main s’est abattue sur mes fesses. Non seulement cet enfoiré nous cambriolait, il allait sûrement me violer mais en plus il me fessait comme si j’étais une gamine en me faisant un mal de chien. Mon cul s’enflammait sous ses coups qu’il m’était impossible d’esquiver, sa jambe bloquait les miennes. A la peur se mêlait en moi une rage indescriptible. A ce moment là, si j’avais pu le tuer je crois que je l’aurais fait.

    Il s’est dégagé et m’a jetée sur le canapé comme un vulgaire sac de patate avant de me plier en deux en rabattant mes jambes contre ma poitrine. Ecrasée sous cet enfoiré qui en plus venait de poser sa main sur ma gorge, hormis subir le pire je ne pouvais rien faire et quand j’ai senti son sexe fouiller le mien, j’ai supplié en criant des « non » désespérés. Sa main s’est alors serrée autour de mon cou pour peut-être me faire taire à jamais. Son sexe s’est soudain enfoncé en moi en me faisant un mal de chien avant de me bourrer la chatte comme un fou. Quand il s’est retiré, j’ai cru qu’il avait jouis et que cela allait s’arrêter mais non, j’ai compris que le pire m’attendait quand il a commencé à mouiller cul.

    Sentir son sexe entrer en contact avec mon anus m’a tétanisée mais à sa façon de me forcer en douceur comme s’il ne voulait pas me faire mal, j’ai eu comme un flash. Un doute m’est venu, pourquoi allait-il doucement alors qu’il avait été violent jusque là ? Il s’y est pris en plusieurs fois en remettant de la salive avant de parvenir à s’enfoncer en moi lentement et de me remplir totalement en m’arrachant des plaintes de douleur, car malgré ses précautions, je n’arrivais pas à me décontracter. La décontraction de mon petit trou s’est rapidement faite quand il m’a dit « que mon cul de salope n’était plus vierge » car j’ai reconnu sa voix c’était Paul !

    Si j’étais rassurée, j’étais morte de honte en pensant que ses deux acolytes assistaient à tout mais ça, Paul n’en avait que faire, il avait entrepris de me violer le cul, il n’allait pas s’arrêter avant la fin, avant son plaisir. Son acharnement quasi bestial a commencé à me faire grimper aux rideaux malgré la honte d’être vue mais il a jouis avant que je m’envole, le salaud. Il a bien essayé ensuite de me faire croire que j’avais été réellement violée en me plantant là toute pantelante et encore attachée pendant quelques minutes, mais je n’y ai pas cru.

    Il a mimé d’entrer dans la maison puis s’est précipité vers moi pour retirer le sac de ma tête mais son inquiétude mal jouée n’a pas fonctionnée du tout. Je l’ai engueulé parce qu’il m’avait fait mal en me fessant comme un malade.

    - C’est ce qu’il arrive aux vilaines filles qui me harcèlent de textos.

    - Oui mais si quand je t’envoie des textos tu me violes tous les soirs en rentrant tu peux t’attendre à en avoir des tonnes.

    - La fessée ne t’a pas suffit ? Ok je recommence.

    Et là, je me suis retrouvée sur ses genoux pour une deuxième fessée !

    Ecrivaillon


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  • Soumise sexuelle offerte en viol SM dans une caserne 

    Auteur : Ecrivaillon

    Fouet signal whip

    Fouet signal whip


    Maître Charles le sait, il risque gros car il est interdit de faire entrer des étrangers dans la caserne, mais la tentation et le goût du risque l’ont toujours fait vibrer. Il drague et charme les filles soumises avec élégance et classe sur fessestivites.com en rentrant dans leurs fantasmes les plus fous. Respectueux il l’est mais en même temps, dans son gant de velours se cache une main de fer.

    Sophie, ou du moins le pseudo Sphie, est celui d’une femme soumise, âgée de 35 ans. Belle comme un cœur, cette brune fantasme sur un enlèvement, du BDSM par des sadiques et du viol, du viol certes, mais en toutes sécurité, le genre de viol qui ressemble à un gang bang.

    22 HEURES

    Lorsqu’ils entre dans la caserne, Sophie est cachée dans le coffre de la BMW de Maître Charles. Elle porte sur elle une vieille robe de soirée noire qui, elle le sait, va finir sa vie ici, puis une cagoule pour masquer son visage. Un sac près d’elle contient des vêtements de rechange et ses effets personnels. Dans la pénombre de la caserne personne ne peut imaginer que cette BMW conduit une femme en enfer.

    A peine sortie du coffre de la voiture, Sophie se met à trembler, le passage à l’acte lui semble bien plus dur que dans ses fantasmes savamment entretenus par Maître Charles lui décrivant sa soirée. Lorsqu’ils entrent dans le hangar numéro 7 dédiés à l’entretien des chars, six hommes sont en rand et au garde à vous. Les voir dans leur uniforme l’a fait frissonner. Cette situation l’excite tout autant quelle lui fait peur. Maître Charles lui a clairement indiqué qu’elle doit elle-même marcher jusqu’au crochet du palan servant à soulever des moteurs. Elle doit elle-même passer dans le crochet la chaîne des larges bracelets qu’il a posé à ses poignés. Par ce geste, elle démontrera aux hommes venus la violer et la tourmenter qu’elle est consentante. A partir de là, ses cris et suppliques ne seront plus entendus.

    Sophie regarde le crochet mais n’ose y passer la chaîne de ses bracelets. Maître Charles s’approche d’elle, murmure à son oreille qu’elle ne risque rien hormis vivre ses fantasmes. La gorge serrée, elle lève les bras, présente la chaîne devant le crochet, hésite et ne parvient pas à s’accrocher.

    - Allez, c’est l’heure de t’envoler au paradis, ces hommes attendent ! Lui murmure Maître Charles.

    Comme si elle ne pouvait plus reculer et animée par l’énergie du désespoir, Sophie passe la chaîne dans le crochet qui aussitôt se met en mouvement pour la piéger. Ses poignets montent doucement au-dessus de sa tête.

    - A l’attaque ! Crie Maître Charles

    Deux secondes plus tard, les militaires se jettent sur elle et lui arrachent ses vêtements. Affolée, Sophie se met à crier mais il est trop tard pour reculer, Maître Charles lui avait indiqué qu’une fois la soirée lancée, il n’arrêterait pas ses hommes. Un poignard de commando tranche son soutien-gorge pendant qu’un autre coupe son string, en un rien de temps elle se retrouve nue, totalement offerte. Maître Charles apparaît soudain dans son champ de vision avec un fouet signal whip d’enfer fait à ses couleurs par www.ABCplaisir.com

    Un claquement se fait entendre, les militaires se reculent aussitôt, le Maître va la faire parler, ou du moins chanter et danser sous son fouet signal whip acheté sur ABCplaisir.com. Les premiers coups modérés qu’il lui donne s’enroulent autour de son corps comme un serpent. L’un d’eux a touché son sein qui pointe aussitôt, avant de finir sa course dans son dos. Pendant plus de quinze minutes, Maître Charles la fouette sans relâche mais sans réellement appuyer les coups, sans quoi, elle serait en sang.

    Le masochisme de Sophie l’aide à transcender la douleur. Elle a mal mais en même temps c’est si bon qu’elle en perd la tête. Elle donne aussi bien des coups de pieds qui n’atteignent personne, qu’elle se cambre de plaisir. Lorsqu’il la sent dans la dernière ligne droite de la jouissance, Maître Charles appuie un peu plus ses coups de fouet. Sophie se cambre et s’offre à la lanière avant de pousser un cri de bête que l’on égorge. Les militaires peu habitués à une telle séance s’inquiètent, Maître Charles les rassure et leur désigne le sol entre les jambes de la suppliciée qui vient de jouir. Sur le sol, une large tache encore alimentée de quelques gouttes s’est formée, Sophie est une femme fontaine, elle vient de s’abandonner à l’exquise jouissance.

    Maître Charles donne alors l’ordre de « consommer » la suppliciée en donnant carte blanche à ses hommes. En un rien de temps, Sophie n’est plus qu’un pantin de chair animée de convulsions orgasmiques sous les coups de butoir du militaire qui lui a soulevé une jambe et la baise comme un taureau. Suspendue par le palan, elle est rapidement entreprise par un autre militaire attiré par ses fesses striées. Les pieds de Sophie ne touchent plus le sol, portée par les hommes qui se la passent pour la prendre, elle n’est plus qu’un double réceptacle de leur plaisir. Elle pleure parfois, elle crie, ses « oui » s’opposent à ses « non pitié » pendant plus d’une heure sans discontinuer.

    D’un signe Maître Charles arrête ses hommes, avant d’étendre une couverture sur le sol froid du hangar. Le palan la redescend sur le plancher des vaches et de la réalité mais Sophie n’est plus là, elle est encore dans la stratosphère des jouissances multiples. Allongée sur le sol, elle continue de trembler et de convulser encore un moment sous les yeux étonnés des militaires.

    Lorsque Sophie se calme, Maître Charles fait venir ses hommes autour d’elle et lui ordonne de les remercier en baisant leurs pieds. A l’opposé de la décence, elle baise les pieds et rangers des ses violeurs sans aucune honte, Sophie est comblée, elle vient de vivre grâce à Maître Charles et à eux un fabuleux moment qu’elle n’oubliera jamais.

    Congédiés, les militaires sortent en silence et les laissent seuls, pour ce que Maître Charles appelle le retour sur terre. Une demi-heure plus tard, assise sur le siège avant de la BMW la ramènant chez elle, Sophie dort comme une soumise comblée et rassasiée, bien au-delà de ce qu’elle aurait pu imaginer dans ses fantasmes les plus fous.

    Ecrivaillon

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    http://www.fessestivites.com/phpBB3/bdsm-et-ses-declinaisons/

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