• MON MAITRE

    Auteur Ecrivaillon

    Mike est un motard âgé de 40 ans. Sa corpulence correspond bien à son métier de docker même si aujourd'hui tout est mécanisé. Avec son mètre quatre-vingt-dix et sa carrure d'athlète quand il descend de sa moto et retire son casque, le regard des filles est assez éloquent sur ce qu'elles ressentent mais leur chance d'entrer dans son lit sont minimes car il préfère les hommes depuis des années.

    Je l'ai rencontré sur www.fessestivites.com un site où je me suis inscrit à la partie gratuite qui m'a tellement convaincu (et excité) que j'ai pris un abondement à leur site de rencontres qui fonctionne bien et qui permet, chose rare, de mixer les passions et fétichismes.

    Le pied ! Nous avons joué bondage, domination, soumission. J'étais tellement en confiance que j'ai ensuite passé un week-end chez lui sous le prétexte d'un « stage d'éducation SM ».

    Depuis ce fameux week-end où j'ai un peu souffert, je ne suis plus le même et j'appartiens corps et âme à ce docker et Maître alors que je n'étais que bisexuel et non pas gay. Mes attirances ont toujours été claires, vivre avec un homme ne m'avait jamais effleuré même s'il m'est arrivé lors de soirée de prendre du plaisir avec des soumis ou des Maîtres dans le cadre de jeux sexuels et SM. Sa fermeté, sa force tant physique que de caractère en font un gros dominant naturel, sa gentillesse et son savoir vivre en font un Maître de qualité.

    Sa vision de la vie de couple est soit un esclave dévoué et je te rendrai heureux mais ne te loupe pas parce que je te le ferai regretter ou te jetterais au sens propre du terme. OUF !

    Au départ, j'ai conservé mon appartement même si je passais tout mon temps libre chez lui mais lorsque l'entreprise pour laquelle je travaillais a déposé le bilan il m'a proposé de venir vivre chez lui et de devenir sa chose à temps complet. Sa compagnie étant extrêmement agréable au quotidien, les sorties en moto et vacances en sa compagnie grisantes et les soirées coquines sublimes j'ai accepté sa proposition et là, ma vie a totalement changé. Je suis réellement passé d'ami joueur soumis à esclave au sens propre du terme même s'il y a des moments difficiles.

    Je suis sous cage de chasteté en permanence, il ne me libère que rarement mais cela ne m'empêche pas d'avoir une vie sexuelle très riche. La nature ayant été généreuse avec lui, quand il me fait l'amour j'atteins des sommets inimaginables entre ses bras bien que j'aime moins ses exigences matinales. Tous les matins, je dois le réveiller en lui apportant son café et passer sous les draps pour apaiser « la pressions » comme il dit. Au départ se fut dur car si lors des soirées j'ai appris à le boire, le matin au réveil ce fut extrêmement difficile. Pour me contraindre à abdiquer, il m'a mis sous camisole de force et en couche toutes les nuits pour que je n'utilise pas le prétexte des envies naturelles et tous les matins il m'a carrément violé la bouche. Déjà que mes bras ne font que la moitié des siens, sous camisole de force, essayer de lui échapper aurait été une ineptie.

    Ce week-end prolongé où il a décidé de m'apprendre à boire sur commande fut hard, mon estomac s'est rebellé une fois et a restitué mon repas mais je n'ai pas été puni. J'ai eu le choix d'accepter ma « formation » ou de la refuser mais en l'acceptant je savais par avance que même en le suppliant je n'aurai pas d'autre choix que de faire ce qu'il voulait. La discussion devenait tendue, mes envies de progresser et de lui faire plaisir se heurtaient à la résistance de mon corps, quand il m'a tendu les menottes en me disant « attache-toi » en signe d'acceptation, je me suis menotté mains dans le dos comme on se jette à la mer quand le bateau coule. Le vendredi soir, il a organisé une soirée pour moi et a invité deux amis.

    Pour me préparer psychologiquement à boire, ils m'ont entravé solidement couché sur une table, ma tête d'un côté mes fesses de l'autre, je n'en menais pas large. Après une semaine de cage de chasteté mes fesses devenaient très gourmandes car source de plaisir de fait, le premier que j'ai bu je m'en suis à peine rendu compte parce que son ami me prenait sauvagement en même temps qu'il déversait sa semence dans une bouche agitée. Le deuxième fut mon Maître pendant que le troisième larron me pilonnait en claquant mes fesses. L'ayant déjà bu et étant dans les sphères de mon masochisme cela ne m'a pas posé trop de problème mais pour le troisième se fut bien plus difficile car je devais être volontaire. Pour forcer un peu ma volonté à pomper un mec qui attendait mains sur les hanches que « j'officie » mon Maître me cravachait sévèrement dès que je ralentissais. J'ai éprouvé beaucoup de difficultés à être volontaire car « violé » on ne peut résister, là il attendait que j'aille le chercher en agitant ma tête. Pour que je savoure bien, en guise de « diplôme » ils m'ont posé un bâillon et un gros plug puis m'ont laissé mariner sur la table pendant qu'ils se vidaient une bouteille de champagne à ma santé. Mike a tenu à me préparer pour la nuit devant les invités en bloquant le plug par un sévère shibari puis en me mettant en couche avant de me passer la camisole de force.

    J'étais mort de honte et épuisé quand ils m'ont couché en se moquant du gros bébé. Je me suis rapidement endormi même si je savais ce qui m'attendais le lendemain, Ma nuit fut peuplée de songes érotiques et de cauchemars. Au petit matin mes fesses poussaient le plug en vain, les articulations de mes épaules se révoltaient, cela devenait abominable. Même si j'avais peu d'espoir, j'ai essayé d'échapper à la « bonne pipe du matin ». Mes tentatives de négociation avec Mike eurent autant d'effet que si j'avais négocié avec une statue de marbre. Il a été gentil parce que dans la dernière ligne droite sous les draps, ses mains m'ont forcée ce qui m'a permis d'entrer un peu dans un délire de viol et contrainte. Ce qui m'a surpris le plus ensuite c'est qu'au lieu de me libérer il s'est totalement occupé de moi de A à Z sans me retirer la camisole de force dont il a juste délié les bras pour soulager mes épaules. Le retrait du plug était à hauts risques mais il n'en avait que faire. Je lui ai indiqué que cela me gênait mais il m'a répondu qu'assumer son rôle de Maître qui prend soin de son esclave était sa vision des choses. On ne discute pas SA vision des choses même si pour certaines choses pourtant naturelles on préfère être seul....

    Après m'avoir lavé et fait un lavement, il m'a ensuite entravé dans son donjon sur un pilori pendant qu'il faisait le ménage à ma place..... Vers onze heures il est venu mettre des poids à mes testicules et des pinces lestées à mes seins. Vers midi, il m'a offert son « apéro » naturel et 100% bio à prendre avec passion si je voulais qu'il retire tous les poids posés sur mon corps. Comme je m'appliquais pour ne plus souffrir son Priape afficha une forme resplendissante, ce qui provoqua en lui des envies. Mes fesses en firent les frais, les poids s'agitèrent pendant mon « viol » et quand il se retira de mes reins pour venir plonger dans ma bouche j'ai fermé les yeux de peur. Sa verge n'avait par chance aucun goût malgré sa longue visite de l'autre côté de mon tube digestif ce qui m'a permis de comprendre pourquoi il m'avait fait un lavement. Je n'aurai jamais imaginé être capable de faire cinq fellations jusqu'au bout en à peine plus de douze heures.

    En guise de récompense, après le repas il m'offrit une ballade en moto mais ne me retira pas ma cage de chasteté. La cage et les vibrations de la moto générèrent des envies d'uriner fréquentes ce qui me valut de me faire traiter de gonzesse et une grosse fessée sur le bord de la route puis la promesse de port de couche à chaque sortie. Une moto en panne sur le bord de la route me permis d'esquiver une séquence fellation au cinéma le soir (merci à la solidarité des motards) et un repas chez le couple hétéro non joueurs. A peine arrivé à la maison, les hostilités reprirent par une séquence SM pendant laquelle j'ai un peu dégusté pour lui avoir cassé les pieds avec mes pipis de gonzesse. Ce jour là, il a eu l'idée de me féminiser et m'a commandé des fringues sur ebay pendant que sous le bureau j'officiais en bon esclave. Le coucher se fit à nouveau pour moi sous camisole de force et couche et le matin fut aussi « délicat ».

    Le dimanche il y a des puces à Marseille, nous y sommes allés en moto mais cette fois, il m'imposa le port de la couche. J'avais l'impression que tout le monde me regardait et quand il acheta ma première chemise de nuit pour un euros, si j'avais pu me fondre dans le goudron du parking, je l'aurai fait car les gens qui vendaient toutes les merdes du grenier de la grand-mère ont compris. Ce jour là, j'ai vraiment détesté mon Maître et je le lui ai dit. Il était enchanté de l'apprendre et cela m'a valu des promesses de formations..... Après le repas, quand il m'a ordonné de préparer nos maillots et des serviettes puis de retirer ma couche j'étais blême car la cage se voit sous un maillot. Nous avons pris la route vers une destination inconnue qui me terrifiait car elle ne pouvait être pour moi qu'une épreuve supplémentaire. Au départ il n'a pas été trop méchant avec moi-même s'il m'a été difficile de me baigner sur la plage de Port Saint Louis avec ma cage de chasteté à peine masquée par mon maillot. Nous sommes ensuite partis dans les dunes du fond de la plage près du Rhône et là, sous les regards amusés des voyeurs j'ai du intégralement nu avec ma cage de chasteté bien visible lui faire une fellation. Si le mordre avait été sans conséquence, je l'aurai mordu au sang.

    J'ai compris en arrivant à Marseille que nous n'allions pas à la maison. Il a pris la direction de la Rose ce qui m'inquiéta car quand Mike a une idée quelque part, il ne l'a pas ailleurs et comme ma « formation » n'était pas terminée....

    C'est avec sa prudence habituelle qu'il s'engagea dans l'allée d'une superbe villa retirée à Plan-de-Cuques. A peine arrêté et casques posés, il me posa mon collier et me fit entrer dans un garage m'ordonna de me mettre nu puis m'attacha debout par le cou à une chaine pendue au plafond. Nous ne pouvions qu'être chez des adeptes du SM car les accessoires posés sur un gros congélateur étaient sans équivoque possible. Deux minutes plus tard sans que nous ayons vu quelqu'un, il me plantait là après m'avoir menotté mains dans le dos et m'avoir aveuglé avec une cagoule s'arrêtant juste sous le nez. L'attente fut aussi longue que cruelle pour mes neurones. Je fus tiré de mes pensées par des coups de martinets et de cravaches, il en pleuvait de partout, sur mes fesses, mon buste, mes cuisses, mon dos hormis encaisser et essayer de garder l'équilibre je ne pouvais rien faire. A ce moment là, je n'avais aucune idée de combien ils étaient et si je n'avais pas une confiance absolu en Mike, j'aurais vraiment eu très peur. La séquence dura un moment, mon corps était en feu, ma cage de chasteté ballotait dans tous les sens.

    - Une salope bien battue suce mieux quand elle a pris une bonne raclée ! Me dit le mec qui me fit boire un whisky coca ultra tassé. J'espère que tu vas t'appliquer parce qu'ici on ne plaisante pas. Suis-je clair ?

    - Oui monsieur.

    - On répond oui Maître.

    - Non monsieur, je n'ai qu'un Maître, c'est Mike.

    - Mais c'est qu'elle a du caractère la petite salope. Humm, on va s'éclater. Me répondit le mec en me collant une grande claque sur les fesses qui me fit faire un bon en avant.

    Ils entreprirent de me libérer pour remplacer aussitôt mon collier par un autre avec une chaine et des menottes intégrées dans le dos où ils fixèrent mes poignets rendant mes fesses sans défense. Toujours à l'aveugle ils me firent marcher à l'extérieur, l'air frais me fit du bien mais j'avais peur. Cette peur grandit soudain lorsqu'ils me firent descendre dans une piscine où ils m'attachèrent par le cou à l'échelle. J'avais pieds mais je n'étais pas rassuré. Un mec vient s'asseoir et attira ma tête entre ses jambes vous avez compris pourquoi. La fellation ne sembla pas à son gout, il me repoussa puis plongea ma tête sous l'eau ! La peur me vrilla le ventre car le jeu prenait une tournure qui ne me plaisait pas. Dès que j'eus la tête hors de l'eau j'ai appelé Mike et on me répondit qu'il m'avait laissé en stage pour la nuit ce qui me glaça le sang. Quand le mec m'attira à nouveau entre ses jambes, je mis toute mon énergie à faire ce qu'il attendait de moi quand un autre plongea dans la piscine et vint se lover contre mon dos.

    Son sexe bandait même dans l'eau presque froide, ce n'est pas à mes fesses qu'il en voulait mais à mes tétons qu'il entreprit de martyriser comme une brute. J'avais beau me « défouler de la tête et de la langue » l'homme ne venait pas, j'étais fou de rage et de douleur sous les pinces digitales de plus en plus féroces. A force de volonté je suis parvenu à faire craquer l'homme que je suçais comme un fou, sa semence généreuse accompagna les soubresauts de sa verge qu'il enfonça profondément au point de me provoquer à en vomir. Un autre pris sa place, plongea ma tête dans l'eau puis se fit sucer pendant que les autres s'amusaient dans la piscine. Au troisième j'ai dit avoir froid, il m'indiqua que j'aurai le droit de sortir quand j'aurai terminé. C'est donc sans aucun plaisir que j'ai « officié » longuement jusqu'à la conclusion. Ces peaux de vache m'ont sorti mais séché à coup de serviette me faisant regretter d'avoir dit que j'avais froid. J'ai du ensuite m'agenouiller sur une serviette et en sucer un autre mais celui-là, fut un plaisir parce que c'était mon maître d'Amour.

    Je ne garde pas un bon souvenir de ce « module de formation » parce que j'ai souvent eu peur au sens propre du terme mais je sais maintenant que quoi qu'il arrive Mike veille sur moi comme il me l'a toujours promis. Je n'ai jamais vu les gens chez qui nous étions, car ils ont pris les mêmes précautions qu'à l'arrivé.

    Le soi-même, mon grand gourmand de Maître m'a demandé de lui faire l'amour avec passion et c'est avec passion et tendresse que j'ai mangé chaque parcelle de son corps. Entre mes mains et sous ma langue sa verge vibrait de plaisir mais à mon tour je jouais avec lui en retardant la conclusion le plus possible ce qui m'a valu un qualificatif commençant par un S. Au petit matin, sans aucune contrainte ni accessoire hormis ma cage de chasteté je suis passé sous les draps après lui avoir apporté son café du matin.

    La fin de la formation fut gratifiante à la façon de Mike qui outre la cage de chasteté me fit mettre une couche et un pantalon dont il remplaça la ceinture par une chaine et un cadenas pour m'empêcher d'avoir du plaisir en jouant avec mes plugs. La journée fut longue avec une seule couche qui eut des fuites qu'il aperçût dès son arrivée. Comme à son habitude il assuma sans broncher ni gêne ma toilette et me libéra de ma cage le temps de me laver. Ma gratification promise mais inconnue prit la forme d'un gros câlin fait avec beaucoup de douceur et de tendresse. Il retira le cadenas de la cage de chasteté et me fit à son tour une fellation qui me rendit FOU. Mike ne se retira pas quand ma verge tendue à rompre se mit à exploser. Ce fut comme Hiroshima, mon corps était pris de convulsions j'ai cru l'ombre d'un instant que j'allais mourir d'une crise cardiaque.

    Ca c'est un Maître ! ! !

    Ecrivaillon


    votre commentaire
  • Jeux de viol et gang bang forcé


    J’ai vu un film jeux de viol sur Fessestivites, comme il ne s’agissait pas d’un vrai viol, mes neurones se sont enflammés à la vue de cette superbe fille se débattant pour échapper à son viol par des hommes très décidés. Leur complicité se voyait, voilà pourquoi j’ai aimé ce film même si c’était chaud chaud. J’en ai parlé à mon mari qui est un ancien libertin et ne m’a pas loupée quand je lui ai dit que je m’imaginais être à la place de la fille.

    - Quand je te parle de libertinage, tu m’envoies balader mais quand tu rêves de jouer le viol en groupe, ce n’est plus du libertinage.

    Je lui ai répondu que ce n’était pas la même chose mais ses arguments concernant ce film m’ont ennuyés. Et là, il m’a surprise car jamais nous n’avions fait ça. Il s’est levé pour aller chercher la ceinture d’un peignoir. Quand il s’est approché de moi en me disant « donne tes mains, je vais te violer » je suis restée sans voix. La tête baissée je ne savais plus quoi dire, alors il m’a attrapée par les cheveux pour me jeter sur le ventre dans le canapé. En un rien de temps j’avais les mains attachées dans le dos, il faut dire que je n’ai pas trop résisté. Mon string n’a pas résisté deux secondes à ses gros bras musclés. Quand il a commencé à me tripoter comme un sauvage, j’ai eu droit à des commentaires très élogieux du type « tu mouilles comme une salope » et le pire c’est que c’était vrai.

    Ce soir là il m’a fait la totale, il était déchaîné, ses gestes brusques mais pas violents, m’ont transportée vers des sommets que je n’aurai jamais imaginés. Je l’ai même sucé sans gêne après qu’il m’ait sodomisée, c’est dire….. Après ce pseudo viol nous avons échangé quelques mots pendant lesquels il est revenu sur le libertinage et son envie de m’emmener un soir dans un club libertin.

    Deux jours plus tard, il m’a bandé les yeux avant de m’attacher sur le lit bras et jambes écartées. Pendant la soirée il est venu plusieurs fois me tripoter puis me prendre en jouant le rôle du proxénète qui a mis une de ses prostituées à l’abatage. Il introduisait les clients dans la chambre, parlait de moi puis jouait ensuite le rôle des clients venus se servir de la marchandise humaine. A chaque fois il s’arrangeait pour me laisser sur ma faim et me laissait plantée là, toute pantelante la tête pleine d’envie, de fantasmes, de sensations. Des commentaires graveleux accompagnaient mes pseudos viols, au plus je tirais sur les liens au plus s’était bon, au plus je m’envolais, c’est comme si ces liens me libéraient. C’était torride, j’ai adoré être sans défense ainsi offerte à ses hommes imaginaires si bien que lorsqu’il ma prise la dernière fois et s’est abandonné en moi, j’ai connu la plus puissante des jouissance de ma vie. Même quand il s’est retiré, mon corps tout entier était encore agité de convulsions.

    Mon mari est revenu à la charge avec son libertinage en me forçant à avouer que j’avais de sérieuses inclinaisons pour l’amour sauvage et des rapports sexuels sans amour avec plusieurs hommes. Il a insisté sur le « sans amour » pour me faire reconnaître que ma réponse : « je ne peux baiser avec des inconnus » n’était pas la vraie raison de mon refus de faire du libertinage. De fils en aiguilles, j’ai reconnu qu’il avait raison et qu’en fait, c’est une part de jalousie et de pudeur qui me freinaient. Quand il m’a proposé d’organiser pour moi un pseudo viol avec ses amis libertins, je n’ai pas dit « non » et quand je lui ai dit « si je dis stop vous arrêterez » sa réponse a été claire :

    - Non, tu n’auras que deux choix possibles, accepter la soirée ou la refuser. Si tu dis oui après il sera trop tard. Je te présenterai tes violeurs, ce sont des gens charmants ultra respectueux dans la vie mais qui adorent ce genre de plan tout comme le BDSM.

    Une semaine plus tard, nous sommes sortis pour aller chez un de ses amis libertins. Sa maison fait rêver, c’est une magnifique maison d’architecte. Il n’était pas seul chez lui, d’autres amis à lui étaient là, des gens charmants, souriants, gentils avec qui discuter était un plaisir. La conversation a rapidement dérivée sur le libertinage mais avec des mots choisis, sans vulgarité et relativement respectueux envers les femmes ce qui m’a permis d’être assez à l’aise. Quand mon mari m’a demandé si je me sentais en danger en leur compagnie je ne pouvais que répondre « non » et c’est là qu’il m’a appris qu’ils allaient être mes violeurs.

    Guy, le propriétaire de cette magnifique maison m’a expliqué qu’il dispose d’une pièce secrète dans laquelle des choses aussi inavouables que sadiques se déroulent parfois, en ajoutant que celles qui s’y sont aventurées y reviennent avec plaisir. Quand il m’a proposée de la voir j’ai accepté avec une petite boule sur l’estomac. Cette pièce aux murs de béton brut est très épurée, un gros carré de moquette au milieu, une espèce de table avec des anneaux et un petit placard représentent le seul mobilier. Il s’y dégageait une ambiance bizarre bien différente de la maison, bizarre mais en même temps très érotique.

    - C’est dans cette pièce que nous violons des femmes, elle crient parfois au début mais jouissent beaucoup après, c’est ce qui fait le charme de ce type de jeux sexuels. Avec nous tu ne risques rien, hormis avoir peur au début avant de monter au septième ciel. Comme tu peux le constater, ici on ne force personne, tu peux sortir librement, aucun mal ne te seras fait, par contre, si tu acceptes de jouer, nos attitudes seront différentes mais sans aucune violence rassure-toi.

    Mon mari nous a rejoint avec ses amis, nous avons achevé une bouteille de champagne dans cette pièce où j’allais me jeter dans les griffes du loup. Les hommes me souriaient mais restaient à distance comme pour me faire voir qu’ils n’allaient pas me manger. Quand mon époux m’a enlacée dans ses bras en me disant de m’abandonner et de m’éclater j’ai pris la folle décision de le faire. J’avais à la fois peur et j’étais terriblement excitée. Il a pris la flutte de champagne de ma main en me disant de lutter mais sans violence, d’essayer de m’échapper, de leur résister puis il est sorti de la pièce. Guy m’a alors regardée dans les yeux en me rappelant que ce n’était qu’un jeu, un jeu fou mais si jouissif qu’il me faudrait au moins deux jours pour me remettre de toutes mes jouissances. Comme s’ils étaient habitués à ce genre de jeux, ils se sont écartés pour me laisser sortir et qui m’a dit avec un grand sourire charmeur :

    - Soit tu sors immédiatement de la pièce et la soirée et finie, soit tu restes mais si tu restes ….. Ne parle pas, ou tu sors ou tu restes.

    La sortie me tendait les bras ! Je n’avais que quelques pas à faire pour quitter les lieux et en grande folle je ne suis pas sortie. D’un regard Guy leur a fait signe qu’ils pouvaient. L’un d’eux ma dit d’essayer de leur échapper, pendant un instant c’est devenu comme un jeu d’enfant, le plus fou c’est que je m’éclatais comme une grande ado. Le cercle c’est refermé, leurs mains sont devenues plus précises, fermes mais sans me faire mal. S’ils avaient voulu m’attraper et me plaquer au sol, cela aurait été d’une grande facilité pour eux mais ils jouaient le jeu des sadiques qui jouent avec leur proie. Attrapée à bras le corps j’ai été soulevée et couchée sur le sol, ils s’amusaient à me toucher, ils se sont attaqués à ma culotte et sont arrivés à me la retirer malgré mes tentatives pour les en empêcher. Après un moment de lutte acharnée je me suis retrouvée nue et les choses n’ont pas tardées.

    Leurs mains sur moi n’avaient rien de violent ou de méchant, par contre, comme ils me maintenaient avec fermeté, je ne pouvais y échapper. Quand ils m’ont mise de force à quatre pattes et que l’un d’eaux s’est mis derrière-moi j’ai vraiment pris conscience que j’allais y passer, que j’allais vivre les choses folles peuplant mes rêves coquins les plus fous. Au moment ou le sexe de Guy a touché le mien pour y trouver la faille, j’ai voulu fuir, j’ai pris réellement peur mais je n’ai pu y échapper. Ses mouvements en moi, m’ont perturbée tout autant que de voir les autres hommes se dévêtir. Maintenue par les cheveux, ma tête fut dirigée vers un sexe bandé, j’ai fait ce que son propriétaire attendait de moi pendant qu’un troisième me malaxait ou plutôt, me pétrissait les seins.

    En un rien de temps, je suis devenue chienne, le sexe me labourant m’a rendu chienne sous les yeux de mon mari venu participer lui aussi à le curée. Ils m’ont prise mainte et mainte fois en me tournant, dans tous les sens en me soulevant, en maintenant mes jambes écartées. Entre leurs mains j’ai compris le sens réel d’être un « pantin de chair ». Mon corps et ma bouche leur appartenaient, ils en faisaient ce qu’ils voulaient, je ne pouvais plus y échapper. Je commençais réellement à perdre pied, je suçais les verges tendues comme un échappatoire aux très fortes sensations de mon intimité chahutée.

    Soudain, ils m’ont soulevée pour me porter jusqu’à la table où ils m’ont entravée sur le dos jambes écartées. Ainsi attachée, je ne pouvais leur être plus offerte et c’est là que mon mari est entré dans le jeu. Après deux mouvements en moi il s’est attaqué à ma petite rose peureusement contractée pendant qu’un autre chahutait mon clitoris comme un malade. Pourquoi je ne saurai le dire, mais être sodomisée devant tout le monde m’a énormément gênée. Cette gêne n’a pas durée car entre leurs mains, la pudeur s’envole.

    Les sensations énormes m’ont faite chavirer dans un univers où toutes mes neurones se sont centrés sur mon corps pour essayer de suivre les dites sensations. Pour être crue, les seins pincés, tripotés, une bite dans chaque main et une dans la bouche pendant qu’une autre vous défonce l’anus devenant gourmant, vous perdez la tête. Vous aimeriez à la fois que les choses se calment et en même temps vous avez envie de plus, c’est inexplicable et indescriptible.

    Prise de partout par tous les hommes, je devenais vraiment folle et j’ai atteint des sommets de jouissances inconnues surtout quand en même temps ils ont posé sur mon clitoris un truc magique ressemblant à un micro. Quand ils m’ont détachée, j’ai cru que c’était fini mais non, ils en voulaient encore ou plutôt, ils avaient décidé de me faire vivre la double pénétration. L’un d’eux s’est étendu sur le sol, on pas plus portée que guidée sur son sexe pour m’y empaler. Quand une verge s’est posée sur mon anus j’ai cru que j’allais avoir mal, il n’en fut rien mais il faut dire qu’avec ce qu’il avait pris avant il ne pouvait qu’être accueillant. La double pénétration maintenant je sais, c’est terrible, frustrant quand l’un des deux s’arrête et extrêmement fort quand ils arrivent à s’accorder.

    Ils m’ont achevée ! Ils voulaient m’achever et y sont parvenus. A tour de rôle ils m’ont ensuite prise comme des forcenés, leur seul but : me faire rendre l’âme. J’ai rendue l’âme, j’ai crié, jouis à n’en plus pouvoir, je n’en voulais plus, j’avais ma dose mais en même temps quand un autre prenait la place devant ou derrière je redevenais chienne. A la fin, ils se sont tous libérés sur moi, je n’étais plus qu’une loque humaine recouverte de sperme et le pire c’est que là aussi j’y ai pris plaisir alors que jusqu’à présent, ce truc ne m’avait jamais excitée. Bien au contraire les images de ce type que l’on voit sur le net me dégoûtaient.

    Le jeu terminé, ils m’ont lavée avec des lingette et couverte avec un peignoir avant de m’offrir une flute de champagne. Leurs sourires complices, leur attitude à nouveau dès plus respectueuse m’ont accompagnée dans mon retour sur terre, celles qui ont vécu des gangs bangs doivent comprendre le sens de mes mots. Guy m’a accompagnée à sa salle de bain pour que je puisse me doucher. Mon mari m’y a rejointe pour m’apporter mes vêtements et m’aider à me sécher entre deux énormes bisous d’amour.

    Je ne sais pas si je recommencerai car c’est vraiment très chaud mais je ne regrette pas de l’avoir vécu. Mon mari m’attache de plus en plus souvent pour faire l’amour et sait maintenant que je prends plaisir à être réellement sa soumise sexuelle, son jouet, sa chienne.


    votre commentaire
  • Lavement en couche avec double ballonné anal

    Mon chéri est fou mais je l'aime parce qu'au-delà de sa folie et des trucs parfois crades, il me fait vibrer. Il est adepte du lavement, des couches et du BDSM. En parallèle de ça, au lit c'est un excellent amant particulièrement attentionné.

    Il a réussi à me faire apprécier les sensations du lavement. Je ne pratiquerai pas tous les jours lol, mais de temps en temps, j'avoue que ce n'est pas désagréable. Pour les couches, c'est différent, j'aime bien là aussi de temps en temps faire pipi dans les couches, mon côté grand enfant sûrement. Il me demande parfois de lui d'en mettre pour la nuit après les gros câlins, surtout le samedi après nos folies.....

    Lavement en couche sous bondage

    En parlant de folie, mon fou m'a fait une sacrée surprise le week-end dernier. Il m'a demandé d'aller me faire un petit lavement pour que j'ai le « cul propre » expression très romantique nous en conviendrons, mais entre nous ce sont des mots d'Amour annonciateurs de coquineries. Sans me dévêtir, il m'a ensuite posé les bracelets puis fait un petit shibari avant de me poser une sucette bâillon puis un bandeau sur les yeux. Avec beaucoup de précautions puis en m'indiquant que cela serait juste un peu désagréable au début, mon fou d'Amour m'a demandée de me mettre à quatre pattes sur le lit, enfin, comme j'étais attachée, c'était la tête dans les draps, à genoux les fesses en l'air. Au début je n'ai pas compris ce que c'était et je ne savais pas qu'il en avait acheter un. Il s'acharnait à faire entrer un truc dans mon anus que je ne connaissais pas. Une fois en place, il m'a embrassée les fesses avec tendresse pendant qu'un truc bougeait en moi et entre mes fesses. Ce truc est vite devenu désagréable surtout quand on ne sait pas ce que c'est. Il m'a expliquée qu'il venait de me mettre un double ballonnets, qu'il y en avait un dans mon colon, un à l'extérieur et que cela maintiendrait le lavement une fois gonflé.

    Deux minutes plus tard, j'étais en couche attachée debout dans le salon, jambes écartées au dessus d'une bassine. Une fois qu'il a terminé ses préparatifs, j'ai senti le lavement arriver. Entravée j'aime bien, je me sens toute à lui, sa chose vulnérable qu'il martyrise mais qu'il respecte et protège, hummmmm. La première surprise car il m'en fait souvent n'a pas tardeé !

    - Dans la poche à lavement, j'ai fait fondre trois suppos à la glycérine, cela va t'aider à te faire « le cul propre ».

    L'enfoiré ! Aller aux toilettes avec ça dans le colon, allait être chaud..... J'ai alors compris, ou cru comprendre, le pourquoi de la couche.

    La deuxième surprise est arrivée un bon moment plus tard quand il est revenu pour dégonfler le double ballonnet. Une fois dégonflé, il me l'a retiré avant de bien ajuster ma couche. Et là j'ai compris ! J'ai eu beau râler et gesticuler pour lui faire comprendre que je n'étais pas d'accord, il n'en avait rien à faire. Il m'a fait quelques bisous dans le cou avant de m'abandonner pour filmer son piège à la con. Les fesses serrées comme une malade, dans mon ventre cela gargouillait et me faisait comme de petites crampes. Une première fuite anale m'a surprise quand j'ai voulu soulager ma vessie. La lutte fut rude contre mon envie de pisser, mon ventre qui gargouillait et mon colon poussant en même temps sur mon anus ultra contracté, Comme je parvenais à résister, le traître m'a fait des chatouilles. Et là, j'ai tout lâché.

    Morte de honte, j'étais morte de honte mais en même temps qu'est-ce que c'était bon que de tout lâcher ! Les sensations de bien être éprouvées sont difficilement descriptibles par contre, elles sont éphémères car une fois « vidée » la dure réalité vous rattrape.

    Alors que je transpirais comme si j'avais réalisé les douze travaux d'Hercule en une heure, il est venu m'embrasser dans le cou puis m'a retiré la sucette bâillon. Je passerai sur mes mots doux ....... qui le faisaient rire. Au lieu d'être en colère ou de me libérer, il m'a donné une petite fessée sur la couche pleine. Quelle horreur ! Comme mon mari et Maître d'Amour assume tout, pour ça il est génial, il m'a partiellement libérée puis portée jusqu'à la chambre où avec beaucoup d'amour il m'a lavée et changée. La deuxième couche avait pour objectif d'être une sécurité en cas de fuites car avec un lavement sérieux, il y a toujours quelques risques.

    Mon fou m'a laissée attachée sur le lit puis a fermé la porte de la chambre malgré toute mes suppliques. Deux heures plus tard, quand il m'a libérée, j'ai pu découvrir sa dernière surprise. Il avait fait le repas, une jolie table avec des bougies, une bouteille de champagne nous attendait pour fêter mon premier « caca couche ».

    La folle qui souhaite rester anonyme

    Témoignage recueilli par TSM journaliste du réseau Fessestivites.

    Les photos de ce lavement en couche sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/22_Enema-Latex-Lavement-Medical/albums/4939_Lavement-en-couche-avec-double-ballonne-anal-AMATEUR.html

    La vidéo de ce lavement en couche est ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/3_BDSM-Femmes-soumises-camisole-ceinture-bondage/3867_Lavement-en-couche-avec-double-ballonne-anal-AMATEUR.html

    Pin It

    votre commentaire
  • Le visage d'une femme fouettée une VIDEO exceptionnelle

    Le visage d'une femme fouettée est une VIDEO exceptionnelle car elle expose à merveille les expressions du visage dans le plaisir SM.

    Il n'y a aucun trucage, tout est vécu comme vous le voyez sur cette vidéo que je trouve magnifique pour les regards et expressions.

    Non je ne fais pas une crise de modestie ! Ce n'est pas parce que c'est notre vidéo ou parce que Kioki-san est ma soumise mais tout simplement parce que la magie SM y est palpable.

    Bon sur les photos c'est moins évident mais alors sur la vidéo..... lorsqu'elle décolle......

    Jugez vous-même !

    TSM

    La vidéo est ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/3_BDSM-Femmes-soumises-camisole-ceinture-bondage/3835_Le-visage-d-une-femme-fouettee-VIDEO-exceptionnelle-Voir-description.html

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    Femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    femme fouettée BDSM

    Pin It

    votre commentaire
  • Lope encagé au glory hole par Maîtresse Sophie

    « Je cherche une Maîtresse pour faire de moi un esclave sexuel, une lope, un trou à bite » c'est ce qu'Alexandre, dit trav-maso, écrivait dans son annonce. LE PAUVRE !

    Il n'est pas rare de voir ce type d'annonce sur des sites de rencontre, publiées bien souvent par des TV en manque ou des soumis qui fantasment. Si très souvent elles font fuir les Maîtresses d'une certaine classe, elles offrent toutefois des perspectives économiques à ceux et celles désirant en faire un bisness.

    Le jour ou trav-maso a reçu un message de Maîtresse Sophie il n'en croyait pas ses yeux. Méfiant au départ, il voulut savoir si elle était vénale mais elle sut le rassurer en lui indiquant qu'elle ne demandait pas d'argent, par contre qu'elle était une Maîtresse gynarchique impitoyable. Le rendez-vous fut pris dans une brasserie où il devait se présenter avec un beau bouquet de rose rouge à la main, en guise de signe de reconnaissance.

    Si Maîtresse Sophie lui avait donné rendez-vous dans une brasserie, ce n'est pas un hasard, elle ne désirait pas lui indiquer son adresse car ses projets d'une perversité rare imposaient une certaine prudence. Après une demi-heure de métro parisien où il devait la suivre à distance, elle le fit entrer dans son donjon puis lui ordonna de se mettre entièrement nu avant d'entrer dans une cage d'esclave. Si trav-maso convaincu d'avoir trouvé sa reine était heureux comme un prince, il s'étonna toutefois de l'épaisseur des barreaux de la cage et du cadenas de très bonne taille. Il ne risquait pas de s'échapper.

    En guise de pot de bienvenue, elle lui passa une gamelle à travers les barreaux puis vida une bouteille d'eau contenant un mélange réalisé par un ami pharmacien. Trav-maso but donc à la gamelle comme un chien un mélange de drogues, d'excitants puis un produit affectant la mémoire et donnant soif. Esclave sexuel il voulait être, esclave sexuel il allait devenir mais pas comme il l'entendait....

    Pour dire les choses clairement, Alexandre dit trav-maso rêvait d'être féminisé de force et enculé par plusieurs mecs bien montés pendant les soirées qu'il avait de libres. En clair, il cherchait son plaisir et non pas à être esclave !

    Lope encagé au glory hole par Maîtresse Après l'avoir drogué, Maîtresse Sophie commença par le déphaser en affectant son sommeil. Réveillé toutes les deux heures par Maîtresse ou son assistante, une brune cruelle et sadique, trav-maso commença par perdre toute notion d'heure. Il dut mettre une cage de chasteté et lécher le cul pas très propre de l'assistante ce qui lui posa quelques problèmes vite réglés par Maîtresse Sophie avec un appareil électrique dont les décharges sont dès plus mordantes. Soit disant pour préparer son « trou à bite », elles l'obligèrent à se mettre à quatre pattes dans sa cage les fesses contre les barreaux. Maintenu dans cette position par une chaîne, il offrit sans aucune résistance son anus à sa Maîtresse qui lui colla deux suppos de drogue supplémentaire et un plug de bonne taille.

    Entre les drogues et ce traitement BDSM, en 24 heures, trav-maso devenait réellement une lope sans force. Conduit aux toilettes pour ne pas dire soutenu par les filles, il put se libérer et du subir un lavement puis une douche éclair assis dans une baignoire pour qu'il ne tombe pas. A nouveau comblé par un plug de bonne taille, trav-maso pu rejoindre sa cage à quatre pattes guidé comme un « brave toutou ». Le cumul des drogues, de la cage de chasteté et l'environnement particulier dans lequel il était, trav-maso commença à fantasmer puis à délirer en attendant la soi-disant soirée où il allait être offert en bonne petite chienne à baiser.

    Lope encagé au glory hole par Maîtresse Le lendemain et après trois réelles heures de sommeil, la chienne fut cagoulée et conduite dans un glory hole pour ses premières pipes. Lorsque une première bite passa à travers le trou Maîtresse Sophie insista sur le fait qu'il ne devait pas la décevoir. Il s'appliqua donc à faire ce qu'il lui était demandé mais sans réelle expérience en la matière, hormis quelques amusements avec un gay rencontré une paire de fois. Maîtresse Sophie du intervenir et le guider pour qu'il soit rentable, car au rythme où il allait, les clients ne risquaient pas de jouir, à moins qu'ils soient en manque et éjaculateurs précoce ! Les deux soumis convoqués pour la circonstance eurent donc une pipe à l'œil sans voir qui la leur faisait mais qu'ils jugèrent à peine satisfaisante.

    Trav-maso se fit engueuler copieusement et reçu quelques coups de martinet mais à ses réactions de défense et ses cris de bête qu'on égorge, Maîtresse Sophie jugea qu'il avait encore besoin de 24 heures de « formation » avant de pourvoir être rentable. A tour de rôle avec son assistante, elles lui firent tailler des pipes gloutonnes à leur gode-ceinture à travers la cage devenue son lieu de résidence.

    LE LENDEMAIN

    Après le lavement et la douche, trav-maso fut conduit dans un club mixte particulier. Coupé en deux zones, la zone gay et la zone hétéro, ce club contenait une pièce particulière aménagée pour le service sexuel pas toujours volontaire....

    D'un côté de la pièce, un glory hole permettant aux clients de passer leur bite à travers un mur. De l'autre côté du mur, une mentonnière et des sangles maintenaient la tête du suceur ou de la suceuse ne pouvant plus se rétracter une fois entravé. De l'autre côté de cette pièce très étroite, un gros trou fait dans la cloison permettait d'y passer les fesses du même esclave puis de les bloquer par une barre en fer cadenassable. Coincé entre ces deux murs, trav-maso aux lèvres maquillées d'un gros rouge désirant être un esclave sexuel et un trou à bite allait être servi !

    Au cas où un client hétéro aurait l'idée de regarder par le trou du glory hole, la zone était volontairement sombre et la pièce où se trouvait trav-maso dans le noir total. Côté hétéro il était indiqué au dessus du trou « la pipe à 5 euros pour lui permettre de prendre un verre ». Un savant jeu de câbles permettait aux clients de tirer sur des pinces à seins japonaises posées sur les tétons de trav-maso si la pipe n'était pas satisfaisante. Cette nuit là, la bouche de trav-maso rapporta 80 euros à Maîtresse Sophie.

    Côté gay, la carte donnée à l'entrée prévoyait une boisson et un cul à baiser ce qui donnait un certain charme au club nous en conviendrons. Négocié 100 euros la soirée, le cul de trav-maso fut visité 18 fois par des membres parfois très brutaux. En fin de nuit, pour l'after des gays, trav-maso totalement épuisé servit de latrine dans les douches histoire de satisfaire les fêtards amateurs d'uro. La lope fut quasiment portée jusqu'au coffre de la voiture de Maîtresse Sophie tant elle étant vidée d'énergie.

    Enfermé dans sa cage avec son éternelle gamelle de drogue, il trouva ce soir là le sommeil immédiatement.

    EPILOGUE

    Trav-maso trouva donc chez Maîtresse Sophie la réalisation de ses fantasmes : être un esclave sexuel et des trous à bite. La problématique majeure est qu'il perdit son emploi, ses comptes bancaires et sa maison furent saisis sans même qu'il ne le sache. Il essaya bien de se révolter mais un esclave n'a qu'un droit : tout accepter ou mourir dans d'atroces souffrances en étant livré dans une soirée pour une Snuff movies, où les places s'arrachent à prix d'or pour assister à la mise à mort d'une soumise ou d'un soumis.

    La première révolte de trav-maso complètement abruti par les drogues fut vite réglée par une séance de fouet particulièrement hard dont on peut trouver la vidéo vendue sur le net. Sa deuxième révolte fut plus ennuyeuse pour le club et signa son arrêt de mort quand il mordit un client très sale.

    La Snuff movies le conduisant à la mort lui « offrit » deux avantages. Le premier c'est de connaître le sub espace et de prendre un plaisir fou quelques minutes malgré les horribles douleurs. Suspendu nu par les bras et par le cou puis offert sans cage de chasteté à des clients particulièrement sadique, il put à loisir se tordre et hurler librement. La deuxième fut la libération par la fin de son calvaire quand son cœur s'arrêta de battre.

    Message à l'attention de ceux qui écrivent « je veux être un esclave sexuel, une lope, un trou à bite » : attention, le mot esclave est bien différent du mot « soumis ».

    TSM journaliste de Fessestivites.com

    Les photos sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/15_Domination-feminine-Gynarchie-SM-chastete-camisole/albums/4288_Lope-encage-au-glory-hole-par-Maitresse-Sophie.html

    La vidéo de son apprentissage est ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/7_BDSM-homme-soumis-Gynarchie-SM/2840_Lope-encage-au-glory-hole-par-Maitresse-Sophie.html

    Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique