• Le hard de la Poste (Viol, vilonce)

    Le hard de la Poste

     

       Alain, trente ans, travaille au centre de tri, son job n'a rien de gratifiant mais il le savait lorsqu'il a répondu à l'offre d'emploi de la poste. Il recherchait un job peinard qui lui laisse du temps pour faire du black en bricolages informatiques. Ses passions sont l'informatique et violer l'intimité des gens qui lui confient leur ordinateur en espérant qu'il sauvera leur travail, souvenirs et petits secrets.

      Rachid, vingt-huit ans, est un fourbe de la pire espèce, il aurait bien pris le poste de délégué syndical pour exister socialement, mais il inspire si peu la confiance, que lors des élections il n'a eu qu'une voix, la sienne.

      Les deux acolytes se sont rapidement accordés pour jouer un jeu abject avec le courrier. Dans un premier temps, de gros box bleus en plastique sont « tombés » dans le camion, des paquets de courriers se sont « égarés » au domicile d'Alain où le dépouillement les a follement amusés.

      Des lettres d'amour longuement rédigée avec le cœur ne sont jamais parvenues aux tourtereaux de tout âge, les factures et autres courriers quelque soit l'importance non plus. Le vieux poile à bois a été remis en état de marche, Alain s'amuse à dire qu'il se chauffe au courrier. Hier, les dessins d'un enfant handicapé, fruit d'un long travail en établissement spécialisé, sont partis en fumée avec les photos du bébé adressées à une famille lointaine ainsi que des CV accompagnés de lettres de motivation et de l'espoir qu'ils représentaient. 

      Seul les recommandés et courriers suivis sont revenus comme par accident dans des box bleus mais sans aucune logique de tri. Alain prend depuis plusieurs mois déjà, un malin malsain à violer l'intimité des femmes en choisissant de lire le contenu des enveloppes dont l'adresse rédigée avec une écriture soignée permet bien souvent de déceler le sexe de l'expéditeur quand elle n'est pas indiquée au dos.

      En décembre 2005, les billets glissés dans les enveloppes par les mamies attendries leur ont donné l'envie d'aller plus loin et d'industrialiser l'aventure avec les colis postaux. Rachid ayant quelques connaissances sur le marché aux puces de Marseille, propose à Alain d'organiser de chez lui un entrepôt clandestin dans son appartement situé au boulevard des Dames, la proximité du marché de la porte d'Aix facilitera l'écoulement de la marchandise.

      « Putain, on va se faire les couilles en or » jubile Rachid dès leur premier détournement en improvisant un tri sélectif, d'un côté ce qui est vendable, de l'autre la poubelle sur roulettes fournie gracieusement par la ville de Marseille. Dans celle-ci, il n'y a finalement que peu de choses, puisque pour lui tout peut se vendre. Hormis les emballages et quelques bricoles dont ils ne connaissent l'utilité tout est récupéré.

      - C'est fou, ce que les gens s'envoient ! S'écrit Alain en déballant le contenu d'un coli avec étonnement. Putain la salope, qu'est-ce qu'elle doit être bonne ! Regarde-moi ces fringues de pute, en plus, le mec lui envoie des menottes.

      - Ces enculés doivent se donner du bon temps. C'est qui la fille ? Demande Rachid.

      - Angélique Froison, boulevard de la Corderie dans le premier.

      - Et si on lui rendait une petite visite ? Demande Rachid.

      - Attend, laisse-moi lire ce qu'il lui envoie.

      « Ma chérie, lundi vers vingt heures, je t'appellerai de mon portable quand je serai en bas de chez toi. Tu mettras les clés de ton appart sous le paillasson et te feras belle pour moi puis mettras les pinces à tes petits tétons avant de t'étendre sur notre lit d'amour où tu masqueras tes jolis yeux avant d'entraver tes poignets à la tête du lit. Toute offerte à ton violeur tu devras endurer l'attente cruelle en essayant d'imaginer l'enchantement que j'aurai à te faire patienter et mijoter en prenant une bière avant de venir croquer la biche de mon cœur. J'espère que tu me pardonneras de ne pouvoir être avec toi ce week-end. Signé ton violeur d'amour.»

      - Hum, je le remplacerais bien ce petit bourgeois ! Lance Alain après avoir lu cette lettre qui l'émoustille un peu.

      - Qu'est-ce qui nous en empêche ?

      - Déconne pas, on risque gros.

      - Parce que tu crois que la meuf va aller raconter aux keufs qu'elle aime se faire violer ?

      Pour Alain, cette idée machiavélique prend forme dans son esprit, la lecture des CD et DVD pornos volés dans les colis postaux a largement alimenté sa libido. Les deux derniers DVD de BDSM hard  qui sont « tombés » du camion jaune, l'ont particulièrement troublé, il les a même regardés plusieurs fois en pratiquant l'onanisme sauvage. Angélique Froison hante maintenant ses fantasmes les plus insensés.

      **********************

    Angélique Froison est une adorable brune âgée de vingt-huit ans. Fred, son amant, n'a pas résisté au bleu profond de ses yeux de biche et à sa gentillesse. Plus âgé qu'elle, il en est tombé amoureux fou et se plait à rêver qu'un jour elle devienne sa femme. Pour lui plaire, il fait des folies avec ses finances mais rien n'est assez beau pour elle. Le mois dernier, la moitié de sa paye est passée dans un ensemble en cuir et une paire de bottes qui en forçant la cambrure mettait en valeur l'extraordinaire galbe de ses hanches et la courbe délicieuse de ses reins. Le jour qui suivit fut un délice de délires amoureux, de plaisirs inouïs. Ils se sont trouvés une passion commune, les jeux de l'amour sous la contrainte. Plus il la bouscule amoureusement, plus elle est heureuse. Elle se plait à être sa victime, il se plait à lui donner du plaisir, à jouer avec son corps de rêve jusqu'à l'extase.

      Ils ont commencé avec une simple ceinture de peignoir, les délices éprouvés ont poussé Angélique à dévoiler son fantasme. Un jour ou plutôt une nuit, elle lui a dit : « Je rêve de guet-apens érotiques, de viols organisés, d'un homme qui use et abuse de mon corps, en connais-tu un » ? Depuis, Fred se ruine en « accessoires » et crée des scénarios pour leurs petits délires. C'est à chaque fois plus, fort, plus intense, la pauvre victime à peine libérée se jette sur son violeur pour le manger d'amour.

      ******************

      Alain a retapé la lettre, changé le jour et le code des amoureux en remplaçant le « je t'appellerais de mon portable quand je serai en bas de chez toi » par « si je peux me libérer, de mes obligations, je ferai sonner trois fois ton téléphone samedi soir .....».

      Vêtu de ses vêtements de la poste, il a livré lui-même le samedi matin le colis refermé. La rencontre d'Angélique Froison s'est faite le plus naturellement du monde, elle a ouvert sa porte et reçu le coli.

      - Putain, elle porte bien son prénom cette salope, quand tu verras sa gueule d'amour.... ! Dit Alain à son complice venu aux nouvelles.

      *******************

      SAMEDI 19 heures 30

      L'amoureuse a croisé les doigts toute la journée pour que son amant puisse se libérer le téléphone sonne trois fois. Angélique est aux anges. En passant la tenue osée offerte, elle vibre et rêve déjà des mains de Fred, du plaisir abyssal qu'elle éprouve dans ces moments où elle n'est plus que sa poupée de chair. Vêtue seulement des ses bas, d'un gros porte-jarretelles en cuir rouge  assortie à un mini soutien-gorge laissant ses petits ergots sensibles à l'air libre, elle s'étend sur leur lit d'amour et de passion avec les menottes à la main. Elle se ravise au moment de s'entraver, l'idée de lier ses jambes pour lui être encore plus offerte lui vient. « Une surprise d'amour, après tout, moi aussi j'ai le droit de le surprendre » se dit Angélique.

      Elle se précipite à leur coffre à « jouets » prend à la hâte deux ceintures, un bâillon et des pinces à seins qu'elle allait oublier puis revient s'assoir sur la couche où elle fixe ses chevilles aux barreaux d'acier dorés. Jambes entravées très écartées, la caresse de l'air sur son petit abricot glabre est déjà si délicieuse que la pose des pinces à seins n'est plus douloureuse bien au contraire. Après avoir lié le large bandeau qui occulte sa vue et le bâillon qui clôt sa bouche, elle laisse ses doigts gambader un instant sur ses cuisses frémissantes et son clitoris dardant fièrement. Elle remonte précipitamment ses bras vers la tête du lit où elle se menotte aux barreaux comme pour s'interdire d'aller plus loin dans la caresse. L'attente cruelle commence, l'amoureuse « érotisée » tire sur les liens et se contorsionne comme pour fuir les mains de l'homme sauvage qui va venir abuser de son corps et la faire mourir de plaisir.

     

     

    SAMEDI 21 heures

      Angélique commence à trouver le temps un peu long. Les baies roses de sa poitrine un peu aplatie à cause de la position commencent à s'exprimer par de petits élancements. Un bruit de clé dans la serrure la rassure et la trouble terriblement. Totalement captive et vulnérable à souhait ainsi vêtue et entravée jambes écartées, elle est à la fois un peu honteuse et au comble de l'excitation. Si elle ne s'était pas bâillonnée, elle lui crierait « Oh mon doudou, use et abuse de moi, mais ne me laisse plus attendre ».

      Le craquement du plancher la fait frémir, elle tire sur ses liens avec des contorsions offrant un effet visuel sublime aux regards des deux pervers sous le charme. Mue par un éclair d'intelligence, les complices décident de se taire et de jouer un jeu ignoble en la laissant croire que c'est son amant qui vient d'entrer. Rachid pose la main sur l'intérieur de la cuisse frémissante et laisse courir ses doigts jusqu'au pubis lisse qui soudain se tend vers les phalanges agiles. Par de petits mouvements de hanches, Angélique vient chercher la caresse du doigt sale jouant les inquisiteurs qui cherche le chemin de l'écrin de velours prêt à en recevoir un autre. Le majeur s'immisce lentement entre les nymphes épanouies puis force brutalement la porte arrachant un gémissement étouffé à la pauvre fille inconsciente de l'enfer qui se prépare.

      - La salope, elle mouille tellement que mon doigt est rentré comme dans du beurre.

       Le sang se glace aussitôt dans les veines d'Angélique. « Non se n'est pas possible, Fred ne m'a pas fait ça » pense-t-elle en imaginant que son amant est près d'elle. De la tête est fait alors des « non » désespérés et pousse de cris étouffés pour manifester sa rage et son souhait d'être immédiatement libérée.

      - Fait-voir ! Dit Alain en plongeant son index dans la fleur féminine comme s'il prenait la température de son café.

      L'horreur s'installe aussitôt dans la tête d'Angélique qui mesure en une fraction de seconde toute l'ampleur de la situation dans laquelle elle est plongée. Elle espère encore que Fred est dans le coup mais n'y croit pas vraiment. Peut-être viendra-t-il la délivrer ou pire, a-t-il était enlevé ou tuer par ces hommes vulgaires qu'elle ne peut voir. Toutes ces images et pensées la font craquer, elle pleure et se met à trembler de froid, de honte, de rage, de peur.

      *************

    Le calvaire

       Rachid s'est saisi de la chaîne qui relie les pinces à seins et s'amuse à tirer vers le haut pour étirer les tétons martyrisés. Angélique ne peut que bomber le buste pour limiter la souffrance et s'offrir à la main qui enserre ses seins l'un après l'autre pour les presser un à un comme une orange dont on veut extraire le jus. Pendant ce temps, Alain se défoule sur le sexe offert qu'il force de trois de ses doigts qu'il fait entrer et sortir avec un rythme endiablé. Heureusement pour elle, les pensées préalables à son calvaire ont généré des émois et des sécrétions intimes, malheureusement pour elle, Alain qui a vu trop de films est convaincu de donner du plaisir à une maso. Sa main abandonne les attouchements obscènes et violents pour dégrafer la ceinture de son pantalon et l'extraire de ses passants.

      - Puisqu'une maso ça aime les coups, je vais te faire jouir avant de te sauter salope ! S'écrit-il avec des yeux exorbités pendant que Rachid entreprend une fouille méticuleuse de l'appartement.

      Angélique qui ne rêvait que de simulacres de viols et de BDSM avec son amant, reçoit une véritable volée de coups de ceinture qui lui arrache des hurlements étouffés. A chacun d'eux, son corps se tord de souffrance, de petits cris ponctuent ses gémissements continuels, plaintes désespérées interprétées par son tortionnaire comme des cris d'extase. A bout de souffle il s'interrompt et ouvre son pantalon pour se coucher sur le corps laminé de douleurs,  ajuste son sexe face à la vulve offerte puis la pénètre sans autre formalité. Prise de sanglots enfantins elle ne peut que tirer inutilement sur les menottes. Par chance si l'on peut utiliser ce mot, son violeur atteint rapidement le plaisir et se retire pour éjaculer en vainqueur sur le ventre strié agité par les contractions des larmes du désespoir.

      Pendant toute la durée de son calvaire, Rachid a saccagé l'appartement et préparé leur butin. Il pénètre dans la chambre un couteau à la main, se s'assoie sur le lit en bataille et joue à piquer la poitrine d'Angélique en lui expliquant que si elle crie, il lui tranchera les nibards avant de l'égorger. Affolée, elle fait « oui » de la tête pour lui signifier qu'elle a compris. D'une main ferme, il soulève la petite tête ébouriffée pour lui retirer son bâillon.

      - Donne-moi le numéro de ta carte bleue salope. 

      Convaincue que c'est la fin de son calvaire, elle donne immédiatement son code, mais Rachid, qui n'a pas eu sa part du butin humain, lui demande ensuite où sont les clés des menottes. Renseigné, il part les chercher puis revient la libérer sous les yeux étonnés d'Alain.

      - Fait pas cette tête du con, une meuf ça suce mieux quand c'est à genoux.

      Trainée par les cheveux, Angéline, maintenant menottée poignets dans le dos, est contrainte de s'agenouiller devant la chauffeuse de sa chambre où il s'installe tranquillement et se dégrafe en lui ordonnant de lui faire « une bonne pipe » pour le remercier de ne pas la tuer. Comme elle ne semble pas comprendre, alors qu'elle est toujours aveuglée par le bandeau occultant sa vue depuis le début de son calvaire, il pose son couteau sur la joue ruisselante de larmes. Prise de panique, elle se recule, d'une poigne titanesque il l'attire à lui brutalement puis plaque les lèvres contre les siennes et l'embrasse avec violence.

      - Va nous chercher à boire pendant qu'elle joue à la petite pute.

      Comprenant que rien ne lui sera épargné et que sa vie est en jeu, elle ne résiste pas lorsqu'il la guide vers son entrejambe. Son visage bute contre la verge tendue à rompre, l'odeur qui s'en dégage est ignoble. La main ferme derrière la tête guide sa bouche au sexe nauséabond. A peine a-t-elle refermé les lèvres qu'un goût écœurant la provoque, mais il n'en a que faire et la force à le prendre entièrement. Le nez dans les poils odorant et la gorge obstruée elle s'étouffe mais il n'en a que faire. Lorsqu'Alain revient avec des verres à vin remplis de champagne, Rachid indique à sa victime qu'elle a sa vie entre ses lèvres et qu'il vaut mieux qu'elle s'applique. 

      Pendant qu'elle s'acharne comme une malheureuse, il picole le champagne acheté pour Fred et fume cigarette sur cigarette. De longues minutes plus tard, il éjacule violemment mais ne se retire pas. Elle essaye en vain d'échapper à la main qui la plaque fortement et la force à engloutir l'intégralité du membre qui tressaute en polluant sa petite bouche d'où s'échappe des pleurs entrecoupés de haut-le cœur. Afin de la remercier de ses tendres attentions et de partir tranquillement, il l'assomme d'un coup de poing qu'elle n'a pas vu venir.

      23 heures 30

      Réveillée par la langue d'un chien Angélique se met à hurler. Son maître entre dans la chambre en s'excusant et découvre sa voisine étendue sur le sol, nue, terriblement marquée, menottée et en larmes. Vingt minutes plus tard les pompiers la libèrent et l'emmènent à l'hôpital pendant que la police découvre que les violeurs ont essayé d'effacer leurs traces en mettant le feu au parquet qui par chance est aux nouvelles normes anti incendie.

      La grève des sacs perdus

      Quelques jours plus tard, quatre meneurs du syndicat de la poste appellent à la grève pour une simple histoire de machine à café en panne, mais ils ne sont pas suivis parce qu'en ces périodes de fêtes les salariés ont besoin de la totalité de leur salaire. Il est donc décidé « d'égarer » quelques sacs, cela ne sera pas les premiers ni les derniers.

      Pour cette opération délicate très ennuyeuse pour l'avancement mais toujours gardée secrète, Alain et Rachid se portent volontaires, cet acte de bravoure leur permet soudain d'exister aux yeux de tous.

      Questionnés sur la façon dont ils comptent « égarer » les sacs, Alain s'est vanté en répondant qu'il se chauffe au courrier. Cette tirade n'a pas été du goût de tout le monde, quelques salariés tiquent en entendant cette jactance.

      Deux mois plus tard, interpelés à la sortie du centre de tri, Alain avoue jeter quelques sacs pendant les grèves, Rachid nie tout en bloc et insulte les policiers, puis hurle que le sac trouvé dans le coffre de sa BMW M5 à 600 000 euros a été mis par quelqu'un de raciste. Cette agressivité et l'incohérence financière conduisent les enquêteurs à son domicile et à sa caserne d'Ali Baba.

      Epilogue

      Alain a été condamné à trois mois avec sursit et travaille toujours à la poste. Rachid a été licencié et a fait un an de prison mais restera convaincu des inégalités raciales. Pourquoi cet écart ?

      Le matériel de l'informaticien a été saisi, hormis quelques CD et DVD pornos, la police rien trouvé, sa cache, son argent et deux de ses disques durs de 300 GO étaient dans les combles, alors que chez Rachid, elle a trouvé un véritable entrepôt de trafiquant.

      Angélique et Fred se sont séparés, à ce jour elle est toujours suivie par un psychiatre et vie chez ses parents.

      TSM

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  • Commentaires

    1
    moi
    Jeudi 28 Mai 2009 à 22:38
    realiste
    je te remercie TSM, pour ce récit aussi violent ke realiste....un peu plus de fantasme et moins de realité seraient les bienvenus aussi (juste histoire de changé)...sinon, ben tt le recit est plutot bien fait...bravo
    2
    moi
    Jeudi 28 Mai 2009 à 22:39
    realiste
    je te remercie TSM, pour ce récit aussi violent ke realiste....un peu plus de fantasme et moins de realité seraient les bienvenus aussi (juste histoire de changé)...sinon, ben tt le recit est plutot bien fait...bravo
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    3
    Vendredi 29 Mai 2009 à 07:35
    Nos annonces
    Sur notre blog, il y a nos annonces et les photos de certaines de nos soirées. Si l'écriture permet de s'amuser, elle n'est que la partie visible de l'iceberg chez les TSM. http://tsm-textes.over-blog.com/
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