Une petite histoire érotique autour de la ceinture chasteté féminine.

Lorsque mon Maître a appris qu’il fallait, que je fasse, la semaine suivante, un aller-retour à Paris pour remettre un document en main propre, il m’a dit être désolé. Mais en même temps, j’ai vu un sourire s’afficher sur son visage, un sourire que je lui connais trop bien, celui du sadique.....

Le vendredi soir, il était d’humeur joueuse. Pour un prétexte de pâtes trop cuites, je me suis retrouvée sur ses genoux une bonne déculottée fessée. A la suite de quoi, il a organisé une soirée type inquisition. Attachée nue sur une chaise en fer, il m’a posée des tonnes de questions sur ma sexualité, en me traitant de sorcière. Je devais avouer mais avouer quoi ? Il sait déjà tout de moi. J’ai eu droit au travail de mes pauvres tétons, des simulations d’étranglement, de la cire de bougie, des .... Il a décidé ensuite de coincer un magic wand massager entre mes cuisses, qui a ensuite attachées très serrées pour tenir son sextoy. Il n’était pas très bien placé, je ne suis pas arrivée à jouir. GRRR

Au bout d’un moment, je lui ai indiqué que j’avais très envie d’aller faire pipi. Encore une fois, à son sourire j’ai compris qu’il avait une idée perverse. Il a retiré le magic wand massager et posé une serpillière sous la chaise et deux chauffes plat allumés. Cette chaise rustique a des barreaux en métal de partout, y compris sous les fesses. Il avait retiré le coussin, ce qui fait que j’ai rapidement senti la chaleur des chauffes plat. Maître jouant l’inquisiteur, m’a alors indiquée que si je « pissais » pour éteindre les bougies, cela serait considéré comme un aveu. Soit je vidais ma vessie soit j’allais me cramer les fesses. Me faire uriner au milieu du salon, c’était encore une idée tordue qui ne m’amusait pas. En BDSM, on ne fait pas que ce que l’on aime, mais bon, là il faisait fort. J’ai fini par céder, les chauffes plat, et bien ça finit par chauffer pour de bon ! ! ! !

En criant « elle a avoué » Maître a éteint la deuxième, mon urine n’en ayant éteinte qu’une des deux. Le tribunal de l’inquisition, m’a condamnée à la ceinture de chasteté, pour éviter des attouchements diaboliques, sur un sexe ne se contrôlant pas. Une heure après, j’étais sous cette putain de ceinture de chasteté, qu’il a achetée sur ABCplaisir. Je l’avais portée déjà un week-end et je savais ce qu’il m’attendait. On dort mal, c’est inconfortable et en plus, au bout de quelques heures, c’est excitant. Etre excitée c’est bien, mais c’est aussi très bien de pouvoir éteindre le feu.... Lui ne s’est pas privé de se faire plaisir, et sans même me faire participer !!!!

Il faisait exprès de me provoquer en regardant des vidéos BDSM et sexe sur Fessestivites, en se masturbant devant moi, nue sauf la ceinture en train de faire du ménage. Maître s’amusait à me provoquer en me disant « regarde comme je bande bien, c’est dommage de ne pas en profiter..... ». Le samedi soir, il a tenu à ce que nous allions au restaurant. Sous ma robe la ceinture ne se voyait pas, mais j’étais quand même tendue. Lorsque nous avons quitté le restaurant, il s’amusait à me caresser les fesses dans la rue et à relever ma robe. J’étais très gênée et en même temps, je l’avoue cette petite exhibition m’excitait. Arrivé à la maison, il m’a attaquée avec le magic wand sur la ceinture de chasteté, tout en me dévorant les tétons comme j’adore. Ce pervers s’amusait comme un petit fou, en m’excitant à mort tout en sachant, que je n’arriverai pas à jouir. Ma nuit a été difficile, un à cause de l’inconfort, deux à cause des rêves érotiques.

Le dimanche ne fut pas mieux, Maître a encore joué le sadique. Moi je pensais que dimanche soir, j’allais enfin pouvoir.... quand il me ferait l’amour. Et bien non ! Je lui ai rappelé que mon train pour Paris était à 7 heures le lendemain et qu’une bonne nuit de sommeil, me ferait du bien.

- Tu pourras dormir dans le TGV ma chérie, j’aime trop te sentir chaude comme la braise ! M’a répondu mon Maître en recommençant de me harceler. Autant dire que ma nuit fit difficile.....

La surprise est arrivé le lundi matin, quand il m’a dit qu’il avait envoyé les clés de ma ceinture de chasteté à nos amis parisiens et que je devais passer chez eux à midi, pour être libérée. Là, j’ai commencé à le haïr. Je ne doutais pas un instant que Carole, ne m’épargnerait pas de ses commentaires. Entre soumises, on s’adore mais on se martyrise aussi un peu, chaque fois que l’occasion nous est donnée. C’était donc une nouvelle expérience que Maître désirait me faire vivre, aller à Paris en TGV sous ceinture de chasteté sans lui.

Si dans le train personne n’a rien vu, je ne suis pas convaincue que les couloirs du métro et surtout les escaliers, elle n’ait pas été aperçue. J’ai pu remettre l’enveloppe hautement confidentielle sans souci à la bonne personne, avant de reprendre le métro pour aller déjeuner chez Franck et Carole. Ils m’ont accueillie chaleureusement comme toujours, ce sont des gens formidables. Je m’étonnais qu’ils ne me disent rien et que Carole, ne profite pas de la situation. Au bout d’un moment, je leur ai demandé les clés.

- Quelles clés ? M’a demandé Franck.

- Eh bien, celles de la ceinture !

- Quelle ceinture ! M’a demandée Carole.

- Oh l’enfoiré, Maître ne vous a rien envoyé et ne vous a pas prévenus ?

- Prévenus de quoi ma puce ? Qu’est-ce que tu nous caches ? M’a demandée Carole.

- Heu, de rien, désolée !

- Non, non, tu nous caches quelques choses !

- Et merde, oui ça !

Je me suis levée et j’ai soulevé ma robe pour qu’ils puissent voir ma ceinture de chasteté. Je leur ai expliqué que Maître, m’avait dit que c’est eux qui devaient avoir les clés.

- Désolé, je savais juste que tu venais déjeuner avec nous ce midi, mais c’est tout. Ton Maître ne nous a pas envoyé de clés ! M’a répondu Franck avant d’ajouter, quelles n’étaient peut-être pas arrivées, ce qui m’a traumatisée.

Les larmes au bord des yeux, j’ai appelé mon Maître qui là m’a tuée, en me répondant qu’il avait oublié de leur envoyer. Quand Carole a appris ça, elle était pliée de rire et, comme à son habitude, a profité de la situation. La garce ! Elle a voulu voir la ceinture de plus près, m’a dit que j’avais du être très vilaine, pour que mon Maître m’oblige à la porter. Et pire encore, elle est devenue très câline..... Oui elle et moi, on s’entend bien, même en position horizontale, mais en étant sous ceinture, cela ne m’amusait pas.

Ils ont été adorables, comme toujours, et pour m’éviter de reprendre le métro, ils m’ont emmenée à la gare en voiture. Sauf que dans leur carrosse, Carole s’est mise derrière et s’est amusée à me tripoter les seins tout le long du trajet. je crois que si je n’avais pas eu cette putain de ceinture de chasteté, je serai passée derrière pour lui faire sa fête. Quand je suis descendue de leur voiture, mes tétons pointaient tellement qu’ils se voyaient à travers mon soutien-gorge. Cette excitation ne m’a pas vraiment quittée pendant le voyage. Chaque fois que je bougeais sur le siège du TGV, mon sexe réagissait. Le vieux schnock assis à côté de moi, n’avait pourtant rien d’excitant tout comme le trajet. C’était bizarre comme sensation.

Arrivée à la gare de Marseille, mon Maître, tout sourire, m’attendait avec un bouquet de roses rouges posé sur le siège avant de la voiture. Quand il m’a proposée d’aller dîner au restaurant, je l’ai mordu. Pas très fort rassurez-vous. J’étais une bombe sexuelle ambulante devant le marchand de pizza où nous avons fait une étape. Rien que de serrer mes cuisses sur cette ceinture de chasteté, me faisait grimper dans les tours. Si bien que quand nous sommes arrivés à la maison, il fallait à tout prix qu’il me la retire.

Et, comme à son habitude, Maître m’a imposée de lui demander en y mettant les formes d’usage. Vous savez, le genre de phrase du type, « oh grand Maître, si votre seigneurie.... » Dans l’état où j’étais, j’étais prête à lui dire tout ce qu’il voulait. J’ai aussi du avouer que j’étais une sorcière ce qui m’a value « le supplice du Pal », traduction, l’obligation de m’empaler sur son « auguste » membre.

La sorcière a bien aimé le supplice du Pal.

Fin

TSM

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Note de l’auteur :

J’avais une petite heure de libre et une idée d’histoire érotique autour de la ceinture de chasteté. Désolé si je n’ai pas eu le temps de la « travailler », mais je ne doute pas, que, n’étant pas sous ceinture de chasteté, votre imagination coquine a dû gambader un peu. :-)