• Louis et son kit d’auto bondage fesses-tivites

    Louis et son kit d’auto bondage fesses-tivites

     Je m’appelle Louis, j’ai 33 ans et je me suis adepte de jeux BDSM. Depuis des lustres je navigue de site en site mais trouver des personnes avec qui partager et vivre mes envies est assez difficile. Pour vivre mes passions, je pratique l’auto bondage depuis des années, mes trucs et délires deviennent de plus en plus sophistiqués et surfer me permet de trouver des idées nouvelles que je mets en pratique pour mes plaisirs solitaires.

     Au détour d’un virage sur le net, je suis tombé sans me faire mal sur fessestivites.com qui propose pas mal de trucs pour jouer en couple ou seul. Leur boutique propose des cadenas à combinaison dont ils gardent la combinaison, cela permet de s’encager ou s’enfermer dans des couches pendant un temps défini sans pouvoir se libérer. J’ai testé le kit cadenas + couche c’était rigolo bien que lorsque j’ai du me pisser dessus je n’étais pas fier….. Finalement je n’en suis par mort et j’avoue avoir trouvé grisant de ne pas pouvoir échapper à cette contrainte.

     La semaine dernière, ils ont lancé un nouveau kit d’auto plaisir original qui m’a séduit, en grand malade mental j’ai du être leur premier client. Pour 35 euros leur kit contenait : 

    •  Une couche + un insert
    • Un pénilex (dispositif qui ressemble à un préservatif mais pour uriner)
    • Une poche à urine (pour personne incontinente avec un raccord et un tuyau)
    • Trois suppos à la glycérine

     Le kit avait pour objectif de permettre de jouer l’incontinent et de générer l’humiliation et des jeux d’uro en sous-entendant via des exemples de jeux sur d’autres pages du site qu’il était possible d’en détourner l’usage à des fins érotiques. Comme j’aime aussi l’auto bondage et les idées nouvelles j’ai sauté sur l’occasion pour me monter un délire.

     Le samedi soir après quelques bières, histoires et photos d’hommes martyrisés, je me suis mis les trois suppos à la glycérine dans l’anus puis j’ai posé le pénilex sur ma verge. Le raccord posé et le tuyau de la poche à urine fixé, j’ai posé l’insert dans la couche que j’ai enfilé avant de la bloquer par mon maillot de bain. C’est donc avec mon gros « cul » et la poche coincée dans le maillot que j’ai préparé mon autobondage pour la nuit.

     

    • Une corde aux pieds du lit pour maintenir mes jambes.
    • Une chainette en haut du lit pour maintenir mes menottes dont les clés seront dans la cuisine.
    • Le cadenas à combinaison que j’avais acheté chez fessestivites le mois dernier pour mes délires en couche.
    • Bon bâillon boule que j’ai percé pour y faire passer un tuyau pour boire ou jouer uro.
    • Par précaution j’ai mis des serviettes de toilettes sur le lit et mon téléphone portable.

     Pour la gestion du temps de bondage, j’avais décidé de la confier au soleil, traduire qu’une fois la lumière éteinte, je devrai attendre que le soleil se lève pour pouvoir voir les chiffres du cadenas à combinaison et me libérer. Le soleil se levant tous les jours, le risque était donc nul.

     Pinces ou pas pinces ? C’est la question que je me suis posée car porter des pinces sur les seins toute la nuit est quand même assez hard. La dernière bière du condamné ma poussé à prévoir des pinces, (la salope…)   

     Je me suis donc assis sur le lit jambes écartées afin de lier mes chevilles. J’ai coupé le tuyau de la poche d’urine que j’ai fixé à mon bâillon et, excité comme un fou puis légèrement alcoolisé, j’ai posé les pinces à linge sur mes tétons. Hummmm. Avant d’éteindre la lampe de chevet, j’ai vérifié que tout était ok question sécurité. Le téléphone était à porté de main, les volets étaient ouverts ce qui me permettrait de voir les chiffres du cadenas, la porte de la maison était fermé, la bouteille de gaz fermée.

     Le clic de la première menotte a fait monter mon adrénaline et ma verge qui, tendue à rompre dépassait presque de la couche. Le deuxième clic du condamné m’a mis en transe et fait transpirer. J’étais piégé, prisonnier à la merci d’une femme sadique qui allait profiter de ma condition pour m’utiliser comme toilette et me martyriser les seins pour que je la déguste jusqu’à plus soif….. Comme chacun sait, la bière donne des envies mais dans mes délires et fantasmes je résistais à la tigresse en essayant de me soustraire. Lorsque je me suis mis à rouler sur le côté la pince à linge posée sur mon téton gauche s’est déplacée pour pincer plus que prévu le pauvre téton innocent. OUFFFFF

     Les bras menottés au-dessus de la tête, j’étais condamné à attendre ou à essayer de l’arracher en me frottant dans les draps au risque de faire pire…. Je me suis donc abstenu pour essayer de me recentrer sur mes fantasmes. Ma vessie fit cause commune avec mon téton gauche pour me mettre au pied du mur de mes délires, un premier jet d’urine s’est engouffré dans le tuyau. Le deuxième jet poussa le premier et c’est ainsi que je me suis retrouvé confronté à la tigresse qui m’ordonna d’avaler. (Ou de tremper mon lit) J’ai donc fait face à mes folies et j’ai bu aussi vite possible que le permet un bâillon. Mon anus de son côté commençait à chauffer, la glycérine faisant son effet, la matière fécale commençait à vouloir s’échapper. Le réveil n’annonçait que 23h15 la nuit allait être longue !

     La somnolence est arrivée sans crier gare, tout comme la matière fécale dans ma couche car lorsque l’envie de faire pipi m’a réveillé, j’ai bien senti entre mes fesses que quelque chose n’allait pas. La problématique des muscles ! ! ! En relâchant ma vessie, quitte à boire encore et encore, ne pas relâcher mon sphincter anal fut difficile. Je me suis rendu compte que l’urine froide est moins forte en goût que la chaude mais au réveil, c’est quand même hard. Mes tétons me faisaient un mal de chien, mon anus se révoltait, ma vessie ne tenait plus et mon estomac commençait à menacer. Reprendre le contrôle de tout ça vers 2h45 fut assez difficile.

     4h30, la tigresse de mes fantasmes est revenue à la charge pour m’obliger à boire ce que je n’avais pas voulu boire avant. Cette fois en pleine crise de délirium ce fut bon je l’avoue, mes narines captaient presque les fragrances pigmentées de son sexe. Après l’avoir bu avec passion, je me suis assoupi jusqu’à 6h13, heure ou un rayon de soleil taquin est venue titiller mes yeux et là, j’ai compris que les fragrances pigmentées de la soit disant tigresse émanaient de ma couche…. Ouvrir le cadenas à combinaison et me libérer de la chaîne maintenant mes menottes fut aisé, retirer une des pinces à linge de mes tétons fut HARD. Un self service musclé à travers le pénilex m’a permis de retirer la seconde en souffrant un peu moins mais en absorbant un peu d’urine au passage. Ce fut une véritable implosion pour ne pas dire une explosion balayant tout sur son passage.

     Le bâillon retiré, mes mâchoires me firent payer une addition musclé et musculaire avec quelques gouttes en prime. Pour détacher mes chevilles m’asseoir a été une obligation. Berk ! Aller comme ça avec une grosse couche à la cuisine prendre les clés des menottes m’a obligé à marcher en canard tout comme pour aller à la salle da bain où une longue douche salvatrice m’a remis sur pied. Après un passage aux toilettes pour faire mes besoins de manière conventionnelle j’ai enfin pu m’offrir un café en repensant à toutes ces folies.

     Fin de l’épopée avec le kit de fessestivites. 

     Louis

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