• MON MAITRE

    MON MAITRE

    Auteur Ecrivaillon

    Mike est un motard âgé de 40 ans. Sa corpulence correspond bien à son métier de docker même si aujourd'hui tout est mécanisé. Avec son mètre quatre-vingt-dix et sa carrure d'athlète quand il descend de sa moto et retire son casque, le regard des filles est assez éloquent sur ce qu'elles ressentent mais leur chance d'entrer dans son lit sont minimes car il préfère les hommes depuis des années.

    Je l'ai rencontré sur www.fessestivites.com un site où je me suis inscrit à la partie gratuite qui m'a tellement convaincu (et excité) que j'ai pris un abondement à leur site de rencontres qui fonctionne bien et qui permet, chose rare, de mixer les passions et fétichismes.

    Le pied ! Nous avons joué bondage, domination, soumission. J'étais tellement en confiance que j'ai ensuite passé un week-end chez lui sous le prétexte d'un « stage d'éducation SM ».

    Depuis ce fameux week-end où j'ai un peu souffert, je ne suis plus le même et j'appartiens corps et âme à ce docker et Maître alors que je n'étais que bisexuel et non pas gay. Mes attirances ont toujours été claires, vivre avec un homme ne m'avait jamais effleuré même s'il m'est arrivé lors de soirée de prendre du plaisir avec des soumis ou des Maîtres dans le cadre de jeux sexuels et SM. Sa fermeté, sa force tant physique que de caractère en font un gros dominant naturel, sa gentillesse et son savoir vivre en font un Maître de qualité.

    Sa vision de la vie de couple est soit un esclave dévoué et je te rendrai heureux mais ne te loupe pas parce que je te le ferai regretter ou te jetterais au sens propre du terme. OUF !

    Au départ, j'ai conservé mon appartement même si je passais tout mon temps libre chez lui mais lorsque l'entreprise pour laquelle je travaillais a déposé le bilan il m'a proposé de venir vivre chez lui et de devenir sa chose à temps complet. Sa compagnie étant extrêmement agréable au quotidien, les sorties en moto et vacances en sa compagnie grisantes et les soirées coquines sublimes j'ai accepté sa proposition et là, ma vie a totalement changé. Je suis réellement passé d'ami joueur soumis à esclave au sens propre du terme même s'il y a des moments difficiles.

    Je suis sous cage de chasteté en permanence, il ne me libère que rarement mais cela ne m'empêche pas d'avoir une vie sexuelle très riche. La nature ayant été généreuse avec lui, quand il me fait l'amour j'atteins des sommets inimaginables entre ses bras bien que j'aime moins ses exigences matinales. Tous les matins, je dois le réveiller en lui apportant son café et passer sous les draps pour apaiser « la pressions » comme il dit. Au départ se fut dur car si lors des soirées j'ai appris à le boire, le matin au réveil ce fut extrêmement difficile. Pour me contraindre à abdiquer, il m'a mis sous camisole de force et en couche toutes les nuits pour que je n'utilise pas le prétexte des envies naturelles et tous les matins il m'a carrément violé la bouche. Déjà que mes bras ne font que la moitié des siens, sous camisole de force, essayer de lui échapper aurait été une ineptie.

    Ce week-end prolongé où il a décidé de m'apprendre à boire sur commande fut hard, mon estomac s'est rebellé une fois et a restitué mon repas mais je n'ai pas été puni. J'ai eu le choix d'accepter ma « formation » ou de la refuser mais en l'acceptant je savais par avance que même en le suppliant je n'aurai pas d'autre choix que de faire ce qu'il voulait. La discussion devenait tendue, mes envies de progresser et de lui faire plaisir se heurtaient à la résistance de mon corps, quand il m'a tendu les menottes en me disant « attache-toi » en signe d'acceptation, je me suis menotté mains dans le dos comme on se jette à la mer quand le bateau coule. Le vendredi soir, il a organisé une soirée pour moi et a invité deux amis.

    Pour me préparer psychologiquement à boire, ils m'ont entravé solidement couché sur une table, ma tête d'un côté mes fesses de l'autre, je n'en menais pas large. Après une semaine de cage de chasteté mes fesses devenaient très gourmandes car source de plaisir de fait, le premier que j'ai bu je m'en suis à peine rendu compte parce que son ami me prenait sauvagement en même temps qu'il déversait sa semence dans une bouche agitée. Le deuxième fut mon Maître pendant que le troisième larron me pilonnait en claquant mes fesses. L'ayant déjà bu et étant dans les sphères de mon masochisme cela ne m'a pas posé trop de problème mais pour le troisième se fut bien plus difficile car je devais être volontaire. Pour forcer un peu ma volonté à pomper un mec qui attendait mains sur les hanches que « j'officie » mon Maître me cravachait sévèrement dès que je ralentissais. J'ai éprouvé beaucoup de difficultés à être volontaire car « violé » on ne peut résister, là il attendait que j'aille le chercher en agitant ma tête. Pour que je savoure bien, en guise de « diplôme » ils m'ont posé un bâillon et un gros plug puis m'ont laissé mariner sur la table pendant qu'ils se vidaient une bouteille de champagne à ma santé. Mike a tenu à me préparer pour la nuit devant les invités en bloquant le plug par un sévère shibari puis en me mettant en couche avant de me passer la camisole de force.

    J'étais mort de honte et épuisé quand ils m'ont couché en se moquant du gros bébé. Je me suis rapidement endormi même si je savais ce qui m'attendais le lendemain, Ma nuit fut peuplée de songes érotiques et de cauchemars. Au petit matin mes fesses poussaient le plug en vain, les articulations de mes épaules se révoltaient, cela devenait abominable. Même si j'avais peu d'espoir, j'ai essayé d'échapper à la « bonne pipe du matin ». Mes tentatives de négociation avec Mike eurent autant d'effet que si j'avais négocié avec une statue de marbre. Il a été gentil parce que dans la dernière ligne droite sous les draps, ses mains m'ont forcée ce qui m'a permis d'entrer un peu dans un délire de viol et contrainte. Ce qui m'a surpris le plus ensuite c'est qu'au lieu de me libérer il s'est totalement occupé de moi de A à Z sans me retirer la camisole de force dont il a juste délié les bras pour soulager mes épaules. Le retrait du plug était à hauts risques mais il n'en avait que faire. Je lui ai indiqué que cela me gênait mais il m'a répondu qu'assumer son rôle de Maître qui prend soin de son esclave était sa vision des choses. On ne discute pas SA vision des choses même si pour certaines choses pourtant naturelles on préfère être seul....

    Après m'avoir lavé et fait un lavement, il m'a ensuite entravé dans son donjon sur un pilori pendant qu'il faisait le ménage à ma place..... Vers onze heures il est venu mettre des poids à mes testicules et des pinces lestées à mes seins. Vers midi, il m'a offert son « apéro » naturel et 100% bio à prendre avec passion si je voulais qu'il retire tous les poids posés sur mon corps. Comme je m'appliquais pour ne plus souffrir son Priape afficha une forme resplendissante, ce qui provoqua en lui des envies. Mes fesses en firent les frais, les poids s'agitèrent pendant mon « viol » et quand il se retira de mes reins pour venir plonger dans ma bouche j'ai fermé les yeux de peur. Sa verge n'avait par chance aucun goût malgré sa longue visite de l'autre côté de mon tube digestif ce qui m'a permis de comprendre pourquoi il m'avait fait un lavement. Je n'aurai jamais imaginé être capable de faire cinq fellations jusqu'au bout en à peine plus de douze heures.

    En guise de récompense, après le repas il m'offrit une ballade en moto mais ne me retira pas ma cage de chasteté. La cage et les vibrations de la moto générèrent des envies d'uriner fréquentes ce qui me valut de me faire traiter de gonzesse et une grosse fessée sur le bord de la route puis la promesse de port de couche à chaque sortie. Une moto en panne sur le bord de la route me permis d'esquiver une séquence fellation au cinéma le soir (merci à la solidarité des motards) et un repas chez le couple hétéro non joueurs. A peine arrivé à la maison, les hostilités reprirent par une séquence SM pendant laquelle j'ai un peu dégusté pour lui avoir cassé les pieds avec mes pipis de gonzesse. Ce jour là, il a eu l'idée de me féminiser et m'a commandé des fringues sur ebay pendant que sous le bureau j'officiais en bon esclave. Le coucher se fit à nouveau pour moi sous camisole de force et couche et le matin fut aussi « délicat ».

    Le dimanche il y a des puces à Marseille, nous y sommes allés en moto mais cette fois, il m'imposa le port de la couche. J'avais l'impression que tout le monde me regardait et quand il acheta ma première chemise de nuit pour un euros, si j'avais pu me fondre dans le goudron du parking, je l'aurai fait car les gens qui vendaient toutes les merdes du grenier de la grand-mère ont compris. Ce jour là, j'ai vraiment détesté mon Maître et je le lui ai dit. Il était enchanté de l'apprendre et cela m'a valu des promesses de formations..... Après le repas, quand il m'a ordonné de préparer nos maillots et des serviettes puis de retirer ma couche j'étais blême car la cage se voit sous un maillot. Nous avons pris la route vers une destination inconnue qui me terrifiait car elle ne pouvait être pour moi qu'une épreuve supplémentaire. Au départ il n'a pas été trop méchant avec moi-même s'il m'a été difficile de me baigner sur la plage de Port Saint Louis avec ma cage de chasteté à peine masquée par mon maillot. Nous sommes ensuite partis dans les dunes du fond de la plage près du Rhône et là, sous les regards amusés des voyeurs j'ai du intégralement nu avec ma cage de chasteté bien visible lui faire une fellation. Si le mordre avait été sans conséquence, je l'aurai mordu au sang.

    J'ai compris en arrivant à Marseille que nous n'allions pas à la maison. Il a pris la direction de la Rose ce qui m'inquiéta car quand Mike a une idée quelque part, il ne l'a pas ailleurs et comme ma « formation » n'était pas terminée....

    C'est avec sa prudence habituelle qu'il s'engagea dans l'allée d'une superbe villa retirée à Plan-de-Cuques. A peine arrêté et casques posés, il me posa mon collier et me fit entrer dans un garage m'ordonna de me mettre nu puis m'attacha debout par le cou à une chaine pendue au plafond. Nous ne pouvions qu'être chez des adeptes du SM car les accessoires posés sur un gros congélateur étaient sans équivoque possible. Deux minutes plus tard sans que nous ayons vu quelqu'un, il me plantait là après m'avoir menotté mains dans le dos et m'avoir aveuglé avec une cagoule s'arrêtant juste sous le nez. L'attente fut aussi longue que cruelle pour mes neurones. Je fus tiré de mes pensées par des coups de martinets et de cravaches, il en pleuvait de partout, sur mes fesses, mon buste, mes cuisses, mon dos hormis encaisser et essayer de garder l'équilibre je ne pouvais rien faire. A ce moment là, je n'avais aucune idée de combien ils étaient et si je n'avais pas une confiance absolu en Mike, j'aurais vraiment eu très peur. La séquence dura un moment, mon corps était en feu, ma cage de chasteté ballotait dans tous les sens.

    - Une salope bien battue suce mieux quand elle a pris une bonne raclée ! Me dit le mec qui me fit boire un whisky coca ultra tassé. J'espère que tu vas t'appliquer parce qu'ici on ne plaisante pas. Suis-je clair ?

    - Oui monsieur.

    - On répond oui Maître.

    - Non monsieur, je n'ai qu'un Maître, c'est Mike.

    - Mais c'est qu'elle a du caractère la petite salope. Humm, on va s'éclater. Me répondit le mec en me collant une grande claque sur les fesses qui me fit faire un bon en avant.

    Ils entreprirent de me libérer pour remplacer aussitôt mon collier par un autre avec une chaine et des menottes intégrées dans le dos où ils fixèrent mes poignets rendant mes fesses sans défense. Toujours à l'aveugle ils me firent marcher à l'extérieur, l'air frais me fit du bien mais j'avais peur. Cette peur grandit soudain lorsqu'ils me firent descendre dans une piscine où ils m'attachèrent par le cou à l'échelle. J'avais pieds mais je n'étais pas rassuré. Un mec vient s'asseoir et attira ma tête entre ses jambes vous avez compris pourquoi. La fellation ne sembla pas à son gout, il me repoussa puis plongea ma tête sous l'eau ! La peur me vrilla le ventre car le jeu prenait une tournure qui ne me plaisait pas. Dès que j'eus la tête hors de l'eau j'ai appelé Mike et on me répondit qu'il m'avait laissé en stage pour la nuit ce qui me glaça le sang. Quand le mec m'attira à nouveau entre ses jambes, je mis toute mon énergie à faire ce qu'il attendait de moi quand un autre plongea dans la piscine et vint se lover contre mon dos.

    Son sexe bandait même dans l'eau presque froide, ce n'est pas à mes fesses qu'il en voulait mais à mes tétons qu'il entreprit de martyriser comme une brute. J'avais beau me « défouler de la tête et de la langue » l'homme ne venait pas, j'étais fou de rage et de douleur sous les pinces digitales de plus en plus féroces. A force de volonté je suis parvenu à faire craquer l'homme que je suçais comme un fou, sa semence généreuse accompagna les soubresauts de sa verge qu'il enfonça profondément au point de me provoquer à en vomir. Un autre pris sa place, plongea ma tête dans l'eau puis se fit sucer pendant que les autres s'amusaient dans la piscine. Au troisième j'ai dit avoir froid, il m'indiqua que j'aurai le droit de sortir quand j'aurai terminé. C'est donc sans aucun plaisir que j'ai « officié » longuement jusqu'à la conclusion. Ces peaux de vache m'ont sorti mais séché à coup de serviette me faisant regretter d'avoir dit que j'avais froid. J'ai du ensuite m'agenouiller sur une serviette et en sucer un autre mais celui-là, fut un plaisir parce que c'était mon maître d'Amour.

    Je ne garde pas un bon souvenir de ce « module de formation » parce que j'ai souvent eu peur au sens propre du terme mais je sais maintenant que quoi qu'il arrive Mike veille sur moi comme il me l'a toujours promis. Je n'ai jamais vu les gens chez qui nous étions, car ils ont pris les mêmes précautions qu'à l'arrivé.

    Le soi-même, mon grand gourmand de Maître m'a demandé de lui faire l'amour avec passion et c'est avec passion et tendresse que j'ai mangé chaque parcelle de son corps. Entre mes mains et sous ma langue sa verge vibrait de plaisir mais à mon tour je jouais avec lui en retardant la conclusion le plus possible ce qui m'a valu un qualificatif commençant par un S. Au petit matin, sans aucune contrainte ni accessoire hormis ma cage de chasteté je suis passé sous les draps après lui avoir apporté son café du matin.

    La fin de la formation fut gratifiante à la façon de Mike qui outre la cage de chasteté me fit mettre une couche et un pantalon dont il remplaça la ceinture par une chaine et un cadenas pour m'empêcher d'avoir du plaisir en jouant avec mes plugs. La journée fut longue avec une seule couche qui eut des fuites qu'il aperçût dès son arrivée. Comme à son habitude il assuma sans broncher ni gêne ma toilette et me libéra de ma cage le temps de me laver. Ma gratification promise mais inconnue prit la forme d'un gros câlin fait avec beaucoup de douceur et de tendresse. Il retira le cadenas de la cage de chasteté et me fit à son tour une fellation qui me rendit FOU. Mike ne se retira pas quand ma verge tendue à rompre se mit à exploser. Ce fut comme Hiroshima, mon corps était pris de convulsions j'ai cru l'ombre d'un instant que j'allais mourir d'une crise cardiaque.

    Ca c'est un Maître ! ! !

    Ecrivaillon

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