• Selfbondage en couple j'aime me sentir prisonnière

    Selfbondage en couple j'aime me sentir prisonnière

    Selfbondage J'aime me sentir prisonnière, pourquoi je ne sais pas mais j'aime ça. Peut-être est-ce à cause des livres d'Histoire de l'école ou des photos et vidéos de selfbondage que j'ai vu sur le site du réseau Fessestivites.

    Mon mari qui n'est pas très branché BDSM est parfois ravi, parfois furieux quand je vais trop loin. Mes plus grands plaisirs sont quand il profite de la situation quand il rentre et me découvre entravée et offerte. Il y a des fois où il me prend comme un rustre avant de me laisser toute pantelante de désir dans mes entraves si je n'ai pas atteints l'orgasme pendant son « viol ». Le mot « viol » n'est pas adapté parce que nous sommes mari et femme et c'est pour moi la réalisation partielle de mes fantasmes que d'être baisée ainsi soi-disant de force.

    Une fois je suis allée bien trop loin dans mon selfbondage, j'aurai pu mourir étouffée car je m'étais mise une corde autour du cou. Dans mes mouvements elle s'est serrée et là j'ai eu vraiment très peur. Je pense que s'il était rentré une heure plus tard, je serai morte. Quand il est rentrée et s'est rendu compte de la situation, il était furieux. Une fois libérée, en guise de câlin je me suis prise une fessée, c'était la première fois qu'il me fessait et il n'y est pas allé de main morte. Je ne lui en ai jamais voulu car il n'aime pas trop mes selfbondage et a eu très peur. J'aimerai bien qu'il me fesse ou me fasse du SM quand je suis entravée, mais ce n'est vraiment pas son truc. Il tolère mes folies parce qu'il a compris que pour moi c'est comme une drogue, j'aime vraiment me sentir prisonnière et à sa merci.

    Jusqu'à la semaine dernière, j'ai toujours refusé la sodomie et quand j'ai lu sur Fessestivites qu'il y a beaucoup d'hommes qui aiment ça, j'ai décidé de lui offrir ce plaisir. Dans l'entrée de la maison, un message original l'attendait devant la porte. En entrant il ne pouvait pas le louper, la chaise étant en plein milieu du couloir.

    « Mon chéri, ce soir je t'offre la petite porte que je t'ai toujours refusée. Je t'en prie, va doucement parce que j'ai peur d'avoir mal. Ta victime ne peut plus t'échapper, elle est entravée sur le lit ».

    Rien que de lui écrire ça et d'imaginer qu'il allait abuser de moi, je mouillais comme jamais malgré une pointe d'inquiétude. Pour me rassurer, j'ai callé mon gros vibro entre mes jambes de manière à ce qu'il enflamme mes sens et me rende folle avant son arrivée. Si j'étais super excitée, ma première sodomie se passerait sûrement mieux. Pour m'offrir à lui, j'ai mis mes cordes à chaque angle du lit avec un noeud coulant dans lequel une fois que mes mains ou me chevilles passées, en tirant sur les cordes, j'allais vraiment être à sa merci. Comme presque tous mes rituels je me suis bâillonnée avec une petite culotte roulée en boule dans ma bouche puis plusieurs morceaux de gros scotch pour m'interdire de la recracher.

    Pour que mon gros gode vibrant ne puisse glisser et me priver de plaisir, je l'ai aussi attaché. Après avoir testé mes réglages, j'ai entravé mes chevilles et allumé le gode vibrant et je me suis allongée. Mon état d'excitation était tel, que j'étais à deux doigts de jouir quand il est entré en contact avec mon sexe. Sans tarder j'ai rapidement passé mes poignets dans les cordes attachées aux coins du lit et j'ai tiré dessus.

    Etendue sur le ventre, fesses offertes avec les membres en croix attachés très courts, je ne pouvais que très peu bouger et donc échapper à mon bourreau. Avec toutes ces idées dans la tête, attachée et le vibro en bonne place, j'ai rapidement atteint le plaisir. Le premier orgasme m'a terrassée, laminée par la vague titanesque, j'aurai bien fait une petite pose mais le vibro n'en savait rien..... En tirant sur mes poignets j'arrivais à peine à en limiter les effets. Soumise au plaisir divin, j'y suis rapidement retournée pour d'autres moments tout aussi jouissifs. Le temps me paraissant long, trop long, j'ai essayé d'attraper le téléphone qui me sert aussi de sécurité et là, j'ai pris peur en constatant mon erreur : il était trop loin pour que je l'atteigne.

    Mon mari est rentré plus tard que d'habitude, j'étais épuisée, les lèvres de mon sexe et mon clitoris étaient en feu. Je n'étais plus vraiment dans le trip ni le souhait de mes fantasmes fous. Il est venu me voir, vérifier comme à son habitude que je ne m'étais pas trop exposée au danger mais avec une attention particulière qui m'a fait chaud au cœur quand il murmuré à mon oreille : « je t'aime » avant de me laisser plantée là. J'aurai aimé lui crier que je souhaitais reporter mon cadeau, mais le bâillon me l'interdisait.

    Une demi-heure plus tard environ, il est entré dans la chambre et m'a sourie avant de monter sur le lit. Avec patience il a lubrifié mon anus en essayant de le détendre, quand un peu de lubrifiant a coulé sur mon sexe, cela m'a soulagée car un vibro trop longtemps posé au même endroit cela irrite. Malgré mes tentatives de réfutation et mes muettes plaintes, il a joué mon jeu et mon fantasme avec conviction. J'ai même eu droit à quelques claques et les fesses et insultes qui comme chacun sait, n'en sont pas dans ces moments de complicité.

    J'ai clairement bien compris « que la salope allait se faire enculer » et autres quolibets tout aussi romantiques..... Quand il a commencé à forcer ma petite porte j'avais mal et l'impression que mon anus s'enflammait. Etendu sur moi et rivé au plus profond des mes reins, il s'est amusé à me tirer les cheveux, à me bousculer comme les autres fois en me disant des mots crus.

    Est-ce d'être attachée et réellement sans aucune possibilité de fuite ou une fougue que je ne lui connaissais pas qui m'a faite décoller mais passé quelques moments difficiles, j'ai fini par entrer dans la bulle secrète et mes fantasmes inavouables. Quand il a senti que mon anus se décontractait, il m'a carrément défoncée. Je ne savais plus où j'étais, je perdais la tête, j'étais emportée par ces moments de plaisir qui sont si forts qu'ils font presque mal.

    Pour la première fois j'avais vécu de réelles sensations de viol quand il a commencé à me sodomiser mais sans la peur avant de sombrer dans un état second où plus rien ne compte que le coït sauvage et contre nature. J'ai eu mal à l'anus pendant presque deux jours mais je garde un souvenir impérissable de cette aventure et si j'ai bien compris ces mots, cela ne sera pas la dernière si je continue de prendre le risque de m'offrir à lui ainsi.

    Il est seize heures, écrire cette confession m'a excitée comme une puce, j'ai deux heures devant moi, l'appel des cordes est très fort.

    Patricia

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