• Un selfbondage d'enfer plug et couche

    Un selfbondage d'enfer plug et couche

    Auteur : écrivaillon avec l'aide de L membre du réseau Fessestivites

    selfbondage icetimer

    Exemple de ice-timer pour du selfbondage

    Quand j'ai reçu un superbe plug de dilatation avec trois boules, de la plus petite à la plus grosse. Avec ses six centimètres, la plus grosse m'a paru un peu excessive par rapport à ce que je peux prendre. La tentation fut grande de l'essayer et comme je m'en doutais, mon petit cul n'est arrivé à prendre que les deux premières. En toute honnêteté je me suis éclaté au sens propre comme au sens figuré, car la dilatation anale génère en moi beaucoup de plaisir et cette satanée troisième boule et devenu un objectif toutefois raisonnable. Pour y parvenir et vibrer plus encore m'est venue l'idée de me faire une séance de selfbondage.

    J'ai donc j'ai fabriqué un gros ice-timer avec les clés des menottes et commencé à préparer le matériel. J'allais m'asseoir sur le gros plug en m'entravant sur une chaise. Afin de multiplier les sensations, deux pinces à linge titilleraient mes tétons. Pour m'interdire le retrait des pinces avant la fin, une fois posées et orientées vers le bas, j'ai prévu un soutien-gorge et un body féminin avec des coussinets en mousse à la poitrine, le tout serait protégé de mes mains par une grenouillère se fermant dans le dos.

    La chaise posée devant la table, fut équipée de quatre sangles, une par cheville, une pour bloquer mes jambe en position assise, une pour me maintenir plaqué contre le dossier de la chaise.

    Au niveau des mains, les menottes bien sur et pour que mes mains ne puissent pas parvenir aux sangle j'ai mis une chaînette par-dessus la table. Pour le réglage, il fallait qu'une fois assis, je mette mes poignets en avant et que la chaîne bloquant les menottes soit assez longue pour que je puisse bouger les mains mais m'empêche de me libérer. Une fois les réglages effectués, sur cette table j'ai posé mon ordinateur portable et mon téléphone sans fil en cas d'urgence puis quelques bières. Cette préparation m'a mis dans un état d'excitation monstrueux. Le temps que le glaçon se fasse mes surfs sur Fessestivites n'ont rien arrangé à mon envie de folies......

    Trois heures d'excitation plus tard

    J'ai commencé par jouer avec le plug en m'interdisant de toucher à Popaul. Une fois partiellement en place, traduire les deux premières boules logées dans mon fondement, j'ai isolé la zone prohibée de devant avec une grosse couche bien serrée. Mon sexe orienté vers le bas était furieux, il désirait monter..... Après avoir mis une culotte en plastique, j'ai donc mis une pince à linge sur mes tétons et le soutien-gorge qui m'empêcherait de les retirer avant la fin de mon selfbondage. Par-dessus le tout, j'ai enfilé le body faisant une épaisseur supplémentaire au niveau des seins puis la grenouillère fermant dans le dos. Chaque mouvement fait agissait sur mes tétons et mon anus en cours de dilatation. Hum et aie car à certains moment cela faisait un peu mal.

    Arrivé à la cuisine j'ai sorti mon saladier d'eau congelée contenant les clés des menottes et la ficelle de sécurité que j'ai attaché aux menottes pour la sécurité de mon selfbondage. J'ai ensuite pris place en douceur sur la chaise maudite sans pouvoir m'asseoir totalement pour cause de plug, la troisième boule et mon anus étant en conflit. Sans tarder et tout en ayant chaud, tout cela me donnant chaud et m'excitant, j'ai serré les sangles maintenant mes chevilles aux pieds de la chaise, puis celle passant sur mes cuisses pour m'interdire de me relever. Une fois bien serrée, j'ai fait de même avec celle qui allait me maintenir trois heure assis le dos bien droit plaqué contre le dossier. Je n'avais pas encore finit mes réglages que le plug profondément enfoncé dans mon cul commença à faire ses effets douleurs / plaisir. La maison étant fermée à clé, mon téléphone accessible en cas d'urgence, fermer les menottes sur mes poignets fut fait comme une urgence. Les clics métalliques me donnèrent encore plus chaud.... à la tête.

    Les bières me firent de l'œil, satisfaire les envies d'être bue de l'une d'entre elle me parut une bonne idée pendant que l'ordinateur s'allumait. Les muscles de mes cuisses essayant de limiter mon assise commencèrent à me faire mal, les relâcher avant d'avoir une crampe fut une nécessité qui se répercuta sur mon anus résistant toujours à la troisième boule du plug pourtant ultra lubrifié. Ouf ouf ouf..... Pendant un moment, j'ai eu l'impression que ma rosette prenait feu pour causse d'importante dilatation. Pour atténuer cette sensation, je ne pouvais rien faire hormis bouger des fesses comme une chienne en chaleur se frottant le cul sur le sol. Et là, j'ai réellement commencé à transpirer puis à me dire que j'avais été présomptueux sur la taille du plug !

    A bout de souffle et à moitié bourré pour cause de suroxygénation due à la respiration trop rapide et avec de plus en plus mal aux muscles des cuisses, m'asseoir totalement fut une obligation. La partie évasée du plug ne passait pas totalement mon anus, la douleur intense me poussa à donner un coup de reins pour la faire passer, chose que je fis courageusement et surtout parce que je n'avais plus le choix. J'ai crié tout seul au moment du coup de feu dans mon cul, avant de savourer d'immenses plaisirs liés au soulagement de mon anus glissant vers la partie moins large du plug et à la sensation d'être totalement comblé. Ma vessie a rendu l'âme, là aussi pendant que je m'abandonnais dans ma couche, agiter les fesses comme une chienne en chaleur généra de sublimes sensations.

    Bien que mon anus me fasse encore un peu mal, j'étais vraiment bien, cette impression d'être « plein » était dès plus grisante. Pour tuer le temps en savourant ces effets aussi magiques que pervers, je me suis mis à surfer. Les histoires et vidéos allumèrent plus encore ses nonnes de malade mental pendant une heure malgré les douleurs commençant à pointer leur nez au niveau de mes tétons. La glace emprisonnant les clés de mes menottes commençait à peine à fondre, j'ai essayé de retirer les pinces à seins mais en vain, longueur de la chaîne me permettait à peine de toucher ma poitrine du bout d'un doigt.

    La deuxième bière me fit de l'œil, j'ai cédé à ses appels en en vidant un peu sur le glaçon contenant les clés des menottes pour le motiver dans sa fonte. La révolte du trou du cul se faisait sentir, pour la mater, hormis faire la petite chienne en bougeant les fesses, je n'avais aucune échappatoire si ce n'est que de prendre la dernière bière que j'ai encore partagée avec le glaçon une heure plus tard.

    Bien plus tard, avec d'énormes précautions, mes doigts gelés finirent par arracher la clé des griffes de la glace. Si libérer mes cuisses fut facile, me contorsionner pour ouvrir la sangle me maintenant assis généra des douleurs au niveau de mes tétons et des « émotions » anales.... Une impression de chaleur me submergea à nouveau, impression partagée avec la couche par un pipi généreux mais contrôlé afin de ne pas tout lâcher d'un coup et générer des fuites. Hummmm. Me pencher sur le côté pour libérer mes chevilles engendra là aussi son lot d'émotions anales, pour cause de variations du poids de mon corps assis sur le plug.

    Une fois libéré des entraves, je me suis levé avant de me tenir au buffet pour cause d'étourdissements. Avec prudence j'ai pris la direction de la chambre pour qu'en cas de malaise je puisse m'étendre rapidement sur le lit. Marcher produisit de drôle de chose dans mon petit trou devenu grand ! Attraper dans mon dos la fermeture éclair de la grenouillère fit un mal de chien à mes tétons, ma poitrine se tendant dans le geste quand mes mains atteignirent ma nuque. La grenouillère retirée, le body me posa un gros souci. Après l'avoir détaché entre les jambes, il me fallait soit le faire passer par-dessus ma tête, soit agiter mes épaules pour en extraire mes bras.

    Dans les deux cas, ma poitrine allait se tendre et mes tétons en faire les frais. Mes prévisions furent juste question tension, j'en ai profité pour retirer en même temps les bretelles du soutien-gorge que je n'ai pas tardé déplacer sur mon ventre puis à faire tourner sur mon corps malgré les douleurs pour le détacher. Avec patience et longueur de temps, bien mieux que la force et la rage, j'ai ouvert le plus lentement possible les pinces à linge pour libérer mes tétons. La patience en ces moments délicats est recommandée.

    Etendu sur le dos dans mon lit, j'ai baissé la culotte en plastique et ouvert la couche pour retirer le plug. Collé ! Il était collé ! Encore une fois avec patience et lubrifiant, (cela change ta phrase si connue, désolé Jean de la Fontaine mais pas le choix) je suis parvenu à le faire tourner sur lui-même puis à l'expulser. AHOUUUUUUUUUUU ! Une fois libéré, mon anus s'est mis à se contracter comme un vagin en pleine jouissance. Mon sexe commençant à couler tout seul, je n'ai pas eu d'autres choix que de l'aider......

    La jouissance m'ayant terrassé, j'ai refermé la couche, remis la culotte en plastique pour m'endormir comme un bien heureux.

    FIN

    Ecrivaillon

    Note de l'auteur : merci à L de ses conseils éclairés, sans lui ce texte serait bourré de choses illogiques et manquerait cruellement de réalité.

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