• Violée à la banque devant mes collègues

    Violée à la banque devant mes collègues

    Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

    Une de mes anciennes histoires retrouvées sur un disque dur.

    Viol violence et fantasmes
    ………………

    J’étais en train de faire le virement que Madame Michel fait à son petit fils chaque mois quand ils sont entrés. Cagoulés et armes à la main, ils se sont mis à hurler en braquant les clients. Mon collègue a appuyé sur l’alarme et s’est couché jeté à terre en essayant de fuir alors que je levais les mains comme ils le demandaient. Tout est alors allé très vite, ils ont tiré sur mon collègue en le blessant à l’épaule pendant que les clients se couchaient à terre en hurlant.

    « Le fric » criait l’un d’entre eux en me donnant un sac, j’aurai bien voulu lui donner sauf que je n’ai pas accès au coffre et que nous n’avons pas de liquidité à l’accueil. Apeurée je me suis levée en gardant les main en l’air pour lui faire voir qu’il pouvait venir prendre ce qu’il voulait et quand il a fait le tour du comptoir, il a pu constater que je n’avais pas d’argent.

    « Où est le fric » criait-il en me braquant son arme sur la tempe. Je l’ai alors conduit au coffre dont la porte est fermée et dont nous n’avons pas la clé. Je lui ai expliqué comme j’ai pu, il a voulut que je lui donne l’accès aux deux distributeurs. Là aussi, j’ai fait ce qu’il voulait mais nous n’avons accès qu’à la partie technique, tout au plus nous pouvons récupérer une carte bleue, pas accéder à l’argent en l’absence du directeur. Des coups de feu ont été tirés devant la porte de la banque, l’un des gangsters s’est écarté un instant avant de prendre un client comme bouclier et de le forcer à tirer le rideau métallique de la porte d’entrée. C’est là que nous avons compris que la police était devant la porte et que nous étions pris en otage.

    J’ai 21 ans, j’ai eu la chance de pouvoir entrer à la banque avec l’aide d’une amie qui m’a recommandée, il parait que je suis belle comme un cœur, il est vrai que je fais des effets aux garçons mais j’étais loin d’imaginer ce qu’il allait m’arriver et de toute cette violence.

    Pour aller à l’essentiel, la banque a été cernée, les négociations ont commencé et les gangsters se sont installés en nous mettant tous devant la porte d’entrée puis devant la poste du personnel. Nous étions leur bouclier. J’ai alors demandé si je pouvais m’occuper de mon confrère blessé car si j’ai abandonné mes études d’infirmière, j’en ai gardé les notions d’urgence. Ils ont dit oui mais c’est là que l’un d’eux a commencé à me reluquer. J’essayais tant bien que mal de ne pas le regarder mais cela n’a rien changé. Son regard m’affolait car il en disait long sur ses envies. Une fois que j’ai eu terminé de penser la blessure de mon collègue, il m’a plaquée au mur en me disant de ne pas faire la maligne. Son arme appuyée sous ma mâchoire m’affolait, je n’opposais aucune résistance par peur de mourir et là, il a commencé à me tripoter. Sa main s’est insinuée sous ma jupe pour venir flatter ma chouchounette à travers ma culotte. Je l’ai supplié d’arrêter mais il n’en avait que faire.

    Un des gangsters est intervenu en lui criant qu’il y avait autre chose à faire, mon violeur lui a répondu qu’à prendre perpette, autant prendre un peu de bon temps. Sa main s’est alors glissée dans ma culotte pour me masser l’entre jambe avant de fourrer sans plus de précaution un de ses doigts dans ma chatte. Je ne savais pas quoi faire, son arme sous ma mâchoire me tétanisait. Au bout de quelques instant j’ai essayé de lutter et de résister, il m’a quasiment soulevée avec son arme sous ma mâchoire. Sur la pointe des pieds, les yeux en larme, je me suis laissée tripoter sans pouvoir rien faire pour me soustraire à l’ignoble attouchement.

    Il a fait une pause quand le téléphone a sonné puis pendant la discussion avec les flics qui connaissaient déjà le nom du chauffeur de la voiture devant leur permettre de prendre la fuite. Il m’a jetée à terre, je n’ai pas résisté, puis est allé voir à la porte. Ce qu’il a vu l’a convaincu qu’ils étaient faits comme des rats. Ils se sont disputés et ont retiré leur cagoule sans même couper les caméras internes de la banque. J’ai compris à ce moment là, que la journée allait être longue si nous nous en sortions vivants.

    Rachid, mon violeur était désespéré et agressait verbalement ses acolytes qui lui ont demandé de se calmer en arabe, du moins, est-ce ce que j’en ai compris. Après avoir tourné en rond et qu’ils aient fouillé la banque en jetant tout par terre, Rachid est revenu vers moi. « Autant prendre un peu de plaisir avant de mourir m’a-t-il dit en descendant la braguette de son pantalon. Son arme posée contre la tempe, j’ai essayé de le supplier mais en vain, je n’ai pas résisté quand il a attiré ma tête sur son sexe mou. Mon collègue blessé couché à terre assistait à ma déchéance en comprenant que je n’avais pas le choix. Il a baissé les yeux pendant que je faisais une pipe malgré moi.

    Aussi surprenant que cela puisse paraître, Rachid s’est mis à bander alors que sa propre vie était en jeu. Je me serai bien volontiers passé de ses commentaires élogieux sur la façon de sucer qui a fait rire ses acolytes. Moi je n’avais qu’une envie, en finir pour sauver ma vie et retourner avec les autres mais il en a décidé autrement. Attrapée par les cheveux, j’ai été conduite au comptoir sur lequel il m’a obligée à me coucher. Quand il a arraché ma culotte j’ai compris que rien ne me serait épargné.

    Son sexe bandait dur entre mes jambes, d’une main il a entrepris de le guider entre mes lèvres intimes et quand il a trouvé ce qu’il cherchait, il m’a pénétrée d’un seul coup. Mon cri de douleur et de désespoir n’est pas passé inaperçu mais personne n’a bougé pendant mon viol, que pouvaient-ils faire avec des armes pointées sur eux ?

    Rachid m’a possédée comme un malade en indiquant que j’étais une bonne chatte bien étroite, ses commentaires m’ont fait aussi mal que sa bite. Les clients et mes collègues de travail me regardaient, ils ne voyaient que mon visage mais comprenaient tout, sans besoin d’avoir un dessin. Quelques minutes plus tard il se vidait en moi et me polluait en poussant des cris de porc que l’on égorge.

    Je ne pleurais pas, j’étais sans voix, comme tétanisée quand un de ses pots a fait le tour du comptoir pour prendre sa place en disant qu’après tout quitte à mourir, autant prendre du bon temps. Lui aussi m’a pénétrée sans ménagement, regarder Rachid l’avait sûrement excité. Par contre, tout en me baisant il a tenu à me retirer mon chemisier et mon soutien-gorge pour jouer avec mes « mamelles ». A ce moment là, je n’étais plus qu’un pantin de chair, je n’avais pas droit à la pudeur ou au respect. Quand il s’est retiré pour poser son gland sur mon cul j’ai essayé de résister, le coup de crosse qu’il m’a donné sur la tête a refreiné mes réfutations. Si j’ai déjà été sodomisée et y ais pris plaisir, sa brutalité m’a fait extrêmement mal. Le téléphone a encore sonné, le chef a répondu mais je ne saurai dire ce qu’il c’est dit, j’étais ailleurs à ce moment là.

    Il m’a sodomisée comme un malade en criant que j’avais un « bon cul de salope» avant de se mettre lui aussi à beugler en me polluant. Quelques minutes plus tard, il m’a raccompagnée si l’on puis dire, avec les autres, j’étais nue, mes vêtements ayant été arrachés. Un client m’a passé son blouson pour que je puisse me couvrir. Du sperme coulait de mon sexe, je l’ai regardé sans même essayer de m’essuyer.

    Quatre heures plus tard, le chef a eu aussi envie de moi et m’a appelée. « Salope vient me soulager » ! Cria t’il sans plus de considération. J’ai résisté quand il m’a attrapée par les cheveux, un client est intervenu et s’est pris un coup de crosse dans la figure avant de s’écrouler sur le sol le nez en sang. Le chef m’a obligée à le sucer devant tout le monde, sa fierté consistait à sortir sa bite de ma bouche et à la remettre comme si son vernis social se limitait à son sexe. A quatre pattes devant le comptoir et devant tout le monde, je me suis ensuite faite prendre en pleurant toutes les larmes de mon corps.

    Soudain il y a eu un éclair puis un bruit assourdissant, des coups de feu ont éclaté, Rachid s’est écroulé devant moi avec un énorme trou sanguinolent au milieu du front. On m’a attrapée et portée dehors dans une ambulance où j’ai perdu connaissance.

    Quand je me suis réveillée sur un lit d’hôpital, mon épaule était bandée jusqu’à mon sein gauche, j’ai pris deux balles dans la poitrine. Ma mère en larme me regardait sans savoir que dire hormis que les gangsters étaient tous morts, que c’était bien fait pour eux et que justice avait été faite.

    Ecrivaillon

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