• Daryl « régresseuse » professionnelle 

     


    Chapitre 2

    Il paie une « régresseuse » prof et vie de drôles de choses assez Ds SM

    Daryl m'a laissé avec la vieille dame. Elle s'approche du lit avec un sourire « banane » qui m'intrique un peu. Elle prend place près de moi, libère les sangles me maintenant cloué au lit puis m'attire contre elle pour me bercer comme un enfant. Ses étreintes et caresses sont chargées d'affection comme si elle éprouvait quelque chose à mon encontre. Mystère ? Je ne comprends pas cette affection, quelque chose m'échappe.

    Après un long moment « tendresse », elle me libère totalement de mes entraves et me déshabille pour me changer. Ses gestes sont posés, calmes, troublants. Les jambes écartées, je me soulève pour lui faciliter la pose d'une nouvelle couche propre en offrant mon intimité encagé à une mamie. C'est très perturbant psychologiquement, je suis gêné. Je voulais vivre un week-end Ds mais l'impression d'être utilisé m'habite.  

    Après m'avoir posé l'éternelle culotte se fermant avec un cadenas, elle me met un collant blanc en laine puis une robe rose,  l'idée de lui rappeler que je ne suis pas une fille me vient, mais je n'en fait rien et me laisse vêtir. Mes mains sont ensuite entravées sur mon ventre au harnais qui lui pose quelques problèmes, cela doit être la première fois qu'elle le met à quelqu'un cela se voit. La voir ensuite s'étendre sur le lit contre moi en dégrafant son chemisier me surprend. Sa poitrine maintenue par un large soutien-gorge blanc en dentelle est exposée à mon regard puis à mon visage attiré sur son buste. D'une main elle maintien ma tête, de l'autre guide son téton à ma bouche, je vais donc téter une mamie, bien conservée mais une mamie quand même.  

    Un festival d'émotions me submerge, la cage de chasteté, les couches, les vêtements, la mamie, la tendresse, ma soumission à ses jeux qui me dépassent, les entraves, ce sein que mes lèvres titillent, j'avoue ne plus savoir où j'en suis. Tout cela me semble totalement irréel et pourtant, je suis bien là, entravé dans une chambre en train de « manger » le sein d'une dame qui pourrait être ma mère.

    Au bout d'un long moment, la vieille dame me surprend encore en soulevant sa robe pour glisser sa main entre ses cuisses sans aucune pudeur. Non, je ne rêve pas, elle se caresse contre moi ! C'est quoi ce bins ?  

    Quoi qu'il en soit, tout cela est troublant, quand je mordille son téton avec plus de force, elle frémit, plaque ma tête contre son sein en quête de plus, sa respiration s'accélère, sa main coquine aussi. Dans ma cage de chasteté, c'est la bérézina. Mon Popaul commence à se trouver à l'étroit et les POI recommencent à piquer, je hais les POI, bander dans une cage est agréable, avec ces pointes, c'est désagréable parce que cela fait mal. Merde, si je ne peux goutter moi aussi à la jouissance, laissez-moi au moins savourer les plaisirs de l'excitation ! Dans ce moment de révolte mes dents ont du se faire plus incisives, la mamie vient de crier « doucement » en me mettant une baffe, modérée certes, mais quand même. Finalement, elle m'exploite pour son seul plaisir, moi, je n'ai droit à rien, j'ai les « boulles ».

    - Tu m'as fait mal, je n'y arriverai pas vilain ! Dit-elle en me repoussant.

    Elle s'attaque au retrait de mon collant en laine, je l'aide en soulevant mes fesses mais elle ne le retire pas, non elle ne fait que le baisser. La culotte en plastique cadenassée suit le même chemin. Mais que fait-elle ? Oh, elle s'assoie et se calle contre le mur. Ses doigts saisissent mon oreille, me tirent vers elle, les mains entravées mon équilibre est précaire, je m'écroule sur ses jambes. Elle m'attire sur ses cuisses, la position qu'elle veut me faire prendre est sans équivoque possible, la Patou veut donner la fessée au gros bébé, c'est sûr. Tu peux y aller mamie, j'ai ma couche.


    Ses doigts crochètent le bord de la couche, la tire sur le haut de mes fesses pour en faire un string mais l'épaisseur de la ouate ne l'aide pas. La garce ruse, je sens que sa motivation est grande, d'une main, elle maintien la couche, de l'autre me claque une fois, deux fois, encore et encore. Je crie mais elle s'en moque. MAMIE, la montée en douleur génère le plaisir, là tu me fais mal. « Putain con », elle y va gaiment, le collant bloque mes jambes, les mains entravées j'ai bien du mal à lui échapper et comme elle a remonté ses genoux, je ne parviens pas à rouler. « Salo.. » C'est au tour de l'autre fesse de se faire claquer, c'est une fessée « unifesse » en quelque sorte, l'une après l'autre. En clair, c'est une vrai fessée qu'elle me donne, même si j'aime bien ces pratiques, donner et recevoir, là j'en prends une réelle et sans aucun plaisir. Les draps subissent les effets de ma rage, de ma douleur, je les mords en fronçant les yeux, échappatoire inutile mais il m'aide à supporter la gigantesque fessée qu'elle me donne.

    Frapper semble avoir apaisé sa colère, sa main se fait maintenant coquine et joue l'exploratrice sous la couche après m'avoir fait rouler sur ses genoux. Les doigts crochètent mon service trois pièces encagé, l'agitent, le serrent, « aieee » quelle poigne mamie, doucement....

    - Tu m'excites toi, c'est torride ce truc, je ne me suis jamais autant amusée ! Fait-toi pardonner, fait-moi plaisir ! Me dit-elle en soulevant sa jupe puis en écartant les jambes pour dévoiler à mes yeux son jardin secret sans pudeur.


    Au confluent des deux cuisses rondes, une toison sombre très fournie mais finement taillée laisse apparaitre entre les lèvres brillantes qu'elle écarte sans vergogne, son clitoris dressé et son vagin poisseux. Devant mon manque de réaction, elle m'attrape par les cheveux pour guider mon visage sur son intimité qui présentement n'a plus rien d'intime. Je rampe tant bien que mal pour venir vers elle, à mon approche elle me plaque sur son bas-ventre en me criant « bouffe-moi j'ai envie ». 

    Ma langue se met au service de son clitoris dressé comme l'obélisque et lui arrache aussitôt des gémissements d'un effet saisissant. Elle sent bon tout en étant gouteuse.... comme me le rapportent mes papilles gustatives. L'hommage buccal semble lui faire plaisir mais être insuffisant pour assouvir ses envies, un désir irrépressible de participer à son plaisir, d'accroître encore la sensation voluptueuse en se caressant elle-même lui vient brusquement. Patou me pousse vers sa grotte engluée, pose un doigt sur son clitoris fortement érigé pour le masser continûment en un frottement lent et circulaire en me plaquant contre son ventre comme si elle voulait y faire entrer mon visage.

    La mamie devait être une femme gourmande en amour à moins qu'elle n'essaye de rattraper le temps perdu, je ne saurai dire, mais avachie sur le dos, jambes grandement écartées, elle ne m'offre pas son ventre, elle me l'impose avec une force surprenante en criant soudain, « mets-y ta langue, mets-y la langue, prends-moi de ta langue, oui, oui, ouiii, plus fort, ouiiiii »

    En moins de cinq minutes, c'est à la fois une tornade et un tsunami que je prends dans la figure la tête bloquée entre ses cuisses serrées à m'en écraser les oreilles. Agitée de contraction, elle se cambre, « s'enfuit », se cambre avant de s'écrouler et de rester inerte. Si je n'entendais pas sa bruyante respiration, je la croirai morte. Et bien Mamie, il y avait du retard question plaisir ! Cette pensée non formulée comme l'on peut s'en douter, me renvoie à ma condition. Mes fesses emmaillotées sont encore chaudes, mon Popaul souffre de la crise du logement et se fait rappeler à l'ordre dès qu'il exprime mes émotions, je suis entravé entre les cuisses d'une sexagénaire que je ne connais pas et qui vient d'abuser de moi après avoir été exhibé et traité comme un bébé.

    Dans quoi me suis-je encore fourré avec ma soif de découverte, ma soif de vivre tous mes délires et fantasmes sans exception ou presque ? Cette soif de découverte m'a conduit à vivre des choses complètement folles mais en même temps, m'a permis de découvrir des sensations et des plaisirs inédits. Après ce week-end régression, je vais avoir matière à écrire, à pondre des histoires que je vais publier sur mon blog en passant encore une fois pour un fou en liberté ! Mais peu m'importe, je ne regretterai rien en quittant ce monde. Ce songe ranime soudain ma conscience. Et si j'étais tombé chez une folle, une tarée ? Le cadre et mes fantasmes délirants perdent soudain de leur saveur.

    La mamie sort de sa torpeur, semble gênée et me repousse prestement. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle remonte ma culotte cadenassée, la ferme, me remet le collant en laine puis me sangle sur le lit sans oublier de me remettre la fameuse sucette à sangle. Elle tourne les talons, s'approche de la porte puis revient vers moi pour me donner un baiser sur la joue et murmurer un « merci » en rougissant comme une ado.

    Elle quitte les lieux de son forfait sans tarder, la porte de la chambre est fermée, je suis seul avec mes songes, mes interrogations sur mon devenir pendant ce week-end. Que va-t-il m'arriver encore ?

    Une heure plus tard, alors que je commence à trouver le temps long, Daryl entre avec la grosse dondon blonde avec son visage d'ange et sa généreuse poitrine. Oh mon dieu, faite de grâce qu'elle n'ait pas envie de faire un « face-setting » ou je vais mourir étouffé.

    - Patou m'a dit que tu avais été sage, alors je vais te laisser maintenant en compagnie de Léa qui va s'occuper de toi jusqu'au diner. Elle est adorable alors ne t'avise pas de l'embêter ou tu auras rendez-vous avec la canne sur le chevalet de punition qui avait l'air de t'inquiéter tout à l'heure. Me dit Daryl avant de me laisser encore une fois seul avec une inconnue.


    La dondon me libère rapidement des entraves du lit sans pour autant détacher mes bras et se précipite presque sur mon collant en laine pour me le baisser. C'est avec le même empressement qu'elle me délivre de la culotte cadenassée puis me retire la couche. Léa s'allonge entre mes jambes pour saisir la cage de chasteté avec des yeux gourmands. Elle semble fascinée, je ne saurai dire si c'est la CB 3000 ou mon service trois pièces qui la passionne, mais elle le tourne dans tous les sens. Ses mains chaudes et ses attouchements ne me laissent pas insensible, ma verge prend de l'ampleur, les POI s'enfoncent cruellement dans ma chair sans pour autant freiner mon érection.

    Si les mains féminines sur cette partie de notre anatomie sont agréables, la présentement j'ai vraiment mal. Mon sexe ne pouvant se déployer pleinement tire sur mes testicules et les POI profondément plantés dans ma verge sont abominablement douloureux. J'en viens à regretter la carapace ouateuse protégeant aussi des agressions et bouge les jambes pour essayer de fuir. L'équivalent d'un quintal s'abat sur mes pieds, mes jambes ne peuvent plus bouger, je ne peux que supplier et râler en essayant de formuler mon problème. Avec cette grosse sucette fortement plaquée sur mes lèvres et l'épaisse tétine, mes propos sont presque incompréhensibles.

    - Ben alors, normalement les gros bébés ne crient pas quand on les touche là, tu me trouves moche parce que je suis grosse c'est ça ? Tu es comme tous ces mecs qui ne veulent que des filles avec des petits culs et rien dans la tête ? C'est bien ça ?

    Mes « non » désespérés de la tête de semble pas apaiser sa soudaine colère. J'ai beau essayer de lui faire comprendre que mon problème n'est pas la taille de son cul mais que j'ai mal, elle s'emporte et me broie les testicules de la main.

    - Ah oui, ça fait mal, oh, peuchère il a mal aux « coucouilles » le bébé, mais dans un moment, il va avoir mal ailleurs s'il n'est pas sage...... Alors maintenant, il va prendre sa tétée sans râler comme un gros bébé sage et après on ira prendre le bain ! Dit-elle en me retirant ma sucette après avoir lâché mes testicules reconnaissants.

    Sur ces mots, elle soulève son tee-shirt, apaise son énorme soutien-gorge pour offrir à mon regard un sein de chez sein. Les douleurs résiduelles de mon services trois pièces m'insistent à coopérer sur le champ et à téter goulument comme si j'avais faim. Après quelques minutes de tétée, je trouve finalement fort agréable cette généreuse poitrine. C'est doux, confortable et j'aimerai bien y toucher mais je n'en ai pas la possibilité quel dommage.

    - Allez, vient on va au bain ! Dit-elle soudain en se retirant pour se vêtir.

    Prestement levé par la poigne ferme de Léa, me voilà parti derrière elle comme un enfant trainé par la main. Daryl nous rejoint à la salle de bain avec les clés de la cage de chasteté et du harnais. Debout dans la baignoire, je suis libéré, dévêtu et lavé par Léa sous le contrôle de Daryl qui me remet le tube de la CB3000 avant que mon Popaul n'exprime sa reconnaissance. Séché et ramené nu au salon, elles me font m'étendre sur une grande serviette posée sur l'immense table en chêne. Daryl prend place dans un canapé pendant que Léa prend visiblement beaucoup de plaisir à me sécher puis à me passer du lait de bébé sur les fesses. Soudain, l'idée saugrenue de lui parler de constipation lui vient, Daryl nous abandonne un instant pour revenir avec un suppositoire. Et merde, c'est quoi ce truc ? Devant le regard sévère des filles, je les laisse me relever les jambes pour leur exposer ma petite rondelle étoilée peureusement contractée. Léa décachette le suppo puis me le met avec semble-t-il beaucoup d'intérêt pour mon petit derrière. Elle l'enfonce profondément dans mon anus et l'accompagne de la moitié de son index m'arrachant un gémissement de douleur car à sec sans prévenir, cela n'est point agréable.

    Dans les minutes qui suivent je suis à nouveau en couche et vêtu cette fois, d'une longue robe en flanelle rose avec un Dingo sur le devant L'éternel harnais posé, mes poignets sont à nouveau entravés en ne me laissant que peu d'amplitude pour les mouvements. Descendu de la table avec précaution, je suis conduis dans une des pièces que je ne connaissais pas encore. C'est une nurserie avec une table de gynéco et des potences médicales dont je ne comprends la raison et un parc à l'ancienne avec des barreaux de bois et des jouets de bébé. On m'y fait pénétrer et me demande de m'asseoir. Encore une fois j'abdique mais tout cela ne m'amuse plus.

    Ce n'est plus de la Ds ou du SM comme j'aime mais de l'infantilisme pur sans aucun intérêt pour moi. Assis dans ce parc avec ces jouets de bébé, je me sens « con » de chez « con ». Je ne juge pas, à chacun ses plaisirs, à chacun ses fantasmes, là je ne suis plus dans les miens mais un soumis ne se révolte pas.

    Daryl débarque avec un appareil photo, le bébé prend des poses et s'amuse un peu à faire le pitre mais sans plus. Léa parle à l'oreille de Daryl qui acquiesce aussitôt en souriant. On me sort du parc et me fait allonger sur une couverture posée à même le sol. Mes jambes sont liées, mes yeux occultés par un bandeau. Mes oreilles captent les bruits comme des radars pour essayer de comprendre ce qu'il se trame, ce qu'il va m'arriver. J'ai perçu un bruit de porte que l'on ouvre et que l'on referme mais n'arrive à deviner ce qu'elles font et manigancent. On me retire ma sucette et bloque ma tête dans une espèce de boite en bois dont mon visage semble émerger d'un rond. Je comprends soudain ce qu'il m'arrive quand une chatte parfumée et trempée se pose sur mon visage. La boite est un WC mobile comme je l'ai vu sur le net. Quelle horreur, je ne suis pas uro !

    Je me débats aussitôt en criant que je ne supporte pas l'urine, un pied se pose sur mon sexe encagé et m'intime l'ordre de me calmer et de lécher pour remercier ma nourrice. En temps normal j'aime le « face-setting », mais ma crainte qu'elle urine castre mes plaisirs. Léa me rassure et me promet de ne point le faire si je m'applique. Mon investissement pour la dégustation de sa minette est immédiat. Le nez plongé dans les profondeurs humines, ma langue se fait virtuose pour séduire l'ergot sensible féminin. Au bout de quelques minutes, les pétales épanouis ruissellent, la belle a les sécrétions généreuses et fortement épicées.

    Ni tenant plus, elle s'agite sur mon visage, ripe soudain pour offrir mon nez à son croupion et ma langue à sa grotte intime pendant que des doigts s'agitent prestement au dessus de moi. Malgré l'épaisseur du bois, je perçois du fond de ma caisse, une mélopée annonçant la proche venue d'une heureuse conclusion. Comme parcourue de spasmes et de soubresauts incontrôlables elle rue sur mon visage, une marée de plaisir inonde sa caverne intime, s'il n'y avait point ce WC portable je m'étoufferai entre ses fesses plantureuses. Le visage et la langue dans un marécage, je l'entends crier son bonheur à gorge déployée sans aucune pudeur. Elle se prend un pied d'enfer, tous ses orifices se contractent, soudain plus rien, elle est tombée ou roule sur le sol je ne sais pas, seul des râles me permettent de comprendre qu'elle est encore là.

    A suivre

    TSM

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