• L'aventure de Sacherm (réel)

    Par soumis Sacherm et Monsieur TSM


    Histoire réelle rédigée à la suite de la rencontre de Sacherm avec le couple TSM

    Première PARTIE

    Rédigée par Sacherm


    VENDREDI 27 FEVRIER

    Je recherchais depuis bien longtemps sur le site de sensationSM, une relation BDSM, avec une Maîtresse ou un couple dominant, malheureusement, jusqu'à maintenant tous mes contacts se sont révélés sans réponses.

    Mais voilà un mois, j'ai réussi à entrer en contact avec une Maîtresse, d'un département limitrophe, nous avions un rendez vous de pris, mais un problème de santé, nous a obligé d'annuler celui-ci, de ce fait, nous n'avons pu nous rencontrer, mais le contact n'est pas rompu et une rencontre se profile pour ce mois.

    Ayant peut être actuellement de la chance, ma bonne étoile ne m'a donc pas abandonné, il y a quelques jours, en surfant sur le « chat » je me prends à dire bonjour à Monsieur TSM, qui me répond que mon annonce ne lui plait pas trop, mais le contact se noue. Etonnamment, je me rends compte maintenant que tout c'est fait à l'envers.

    Monsieur TSM m'ayant donné une adresse mail, à laquelle, je m'empresse d'envoyer un profil, ainsi qu'un tableau de mes acceptations, goûts et désirs. Par retour, je reçois un message me demandant si je suis libre le 6 Mars pour une rencontre avec MADAME et des amis à eux, et de fournir un numéro de téléphone afin de pouvoir me joindre, je réponds aussitôt « oui »,  un nouveau message rectifie le tir, me demandant si je suis libre ce Vendredi, ma réponse, « désolé je travaille ce week-end ».

    Hier en début d'après midi, je reçois un appel de Monsieur TSM, au cours de la discussion, je lui dit après réflexion qu'il doit m'être possible de me faire remplacer, (l'envie et le manque de subir depuis si longtemps a été la plus forte), mais que je dois attendre le soir 19h00  pour contacter mon collègue de travail afin de savoir s'il lui est possible de me remplacer au pied levé. La conversation continue et au cours de celle-ci, Monsieur TSM me dit « tu as reçu notre mail n°1 intitulé recherche d'un soumis », je lui répond que « non ou alors, qu'il a dut passer à la trappe », ce qui m'étonne toutefois, il m'en fait donc un envoie, à l'ouverture du message, je m'aperçois que je ne l'avais point reçu, (ce qui me fait dire au début, que tout à commencer à l'envers).

    A la lecture de ce document, je m'aperçois que je suis en relation avec des personnes sérieuses, non vénales et qui conçoivent la relation BDSM, comme je la voie aussi. Donc hier soir, je contacte mon collègue de travail qui accepte de me remplacer, aussitôt, je téléphone au numéro que l'on m'a donné pour signaler que j'ai réussi à me libérer pour cette rencontre.

    Un peu plus tard, un nouveau mail tombe sur ma messagerie, un nom, une adresse, un itinéraire et l'heure à laquelle je dois me présenter et le thème de la soirée : SURPRISE. Il faut vous dire que lors de ma discussion téléphonique avec Monsieur TSM, je me suis ouvert et j'ai plus ou moins décrit comment je conçois la vie de soumis.

    Je me suis couché hier soir excité comme une puce, mais, ce matin au réveil, je suis assailli d'un doute, n'ai-je pas été trop présomptueux de ma résistance et autre, il y a bien longtemps que je n'ai pas subi, de plus Monsieur TSM a bien compris ce que je cherche et j'imagine qu'avec MADAME, ils ont dut me préparer une joli surprise, mais une chose et sûre, je ne suis pas un fantasmeur et je vais assumer, ce soir à 19h00, je serais au rendez vous.

    Il est 15h42. J'ai un gros nœud dans l'estomac,  je viens de prendre un bon bain et de nettoyer mon fondement, avec le tuyau de la douchette.

    17h55, ça y est, c'est l'heure de prendre la route, je préfère partir plus tôt, on ne sais jamais, une crevaison ou autre,  de plus, avec un peu d'avance cela me permet de mieux repérer l'adresse.

    18h40, je suis arrivé, j'ai pu vérifier l'adresse, je suis au bon endroit.

    19h00, je sonne à la porte,  Monsieur TSM m'ouvre, récupère le bouquet de fleur et le présent que j'ai apporté pour Madame TSM, dans la pièce, il y a deux autre personne, je croyais que je serais seul avec eux.

     Monsieur TSM, me présente Madame TSM, qui me tend sa main gantée de noir pour que je la bise, et Isabelle, un soumis féminisé, puis il me prend ma sacoche et mon blouson, me passe une cagoule de cuir, me voilà aveugle,  en même temps, il me dit déjà tu vas être puni pour ce que tu as dit sur Sensation, puis, il enchaîne mes poignets dans mon dos, ainsi que mes chevilles.

    On me fait avancer, on  baisse mon pantalon et mon slip sur les chevilles, puis on me fait mettre à genoux, pour ensuite finir à plat ventre sur un objet, qui je saurais plus tard est une luge, « tu vas servir de table », un plateau est posé sur mon dos, avec  ordre de ne pas bouger, pour ne pas faire tomber ce qui a été posé dessus. J'évite de bouger, n'osant pas imaginer ce qui pourrais ce passer si j'avais le malheur de faire tomber quoi que ce soit.


    Monsieur trouve qu'il manque quelque chose, pour le cas où je viendrais à me perdre, et afin que cela n'arriva, me marque TSM Mr sur la fesse gauche et TSM MADAME sur la droite. Dans cette position, on m'a fait deviner, les objets que l'on passait sur mes fesses, cravache, martinet, fouet. Les muscles de mes bras me tiraient, mais je tenais bon.

    Enfin, l'apéritif se termina et l'on m'enleva le plateau et l'on me fit relever, on me passa une chaîne au cou fermé par un cadenas, aucun collier n'étant assez grand pour mon cou, on me mit une laisse et l'on me guida au piquet ou la laisse fut fixé au mur, je restais debout ainsi, laissant à Monsieur et à Madame, le temps de jouer avec Isabelle.

    Il est temps de passer à table pour Monsieur et Madame, on vient me chercher et l'on m'installe à celle-ci, assis sur la luge, je dois avoir la tête juste au niveau des assiettes, Madame étant au téléphone, Monsieur en profite pour jouer avec Isabelle, au retour de Madame, on me détacha les mains, afin que je puisse faire circuler le sang dans mes jambes, car celles-ci s'enquilosaient avec ordre de ne pas me caresser. Isabelle fit le service,  on ouvrit la fermeture de ma cagoule et Monsieur, commença  à me donner à manger, puis ce fut au tour de Madame, qui me demanda, si je voulais boire, je répondis affirmativement et l'on me fit boire au biberon, pour le second plat, je dus me débrouiller tout seul, on me mit juste la fourchette dans ma main. Le repas fini, on m'enleva le masque, afin que je puisse finir de débarrasser pendant qu'Isabelle faisait la vaisselle, puis je servi le café à Monsieur et Madame et eu la permission de m'en servir un.

    Madame, me passa un foulard sur les yeux afin de m'aveugler et m'entraîna de l'autre coté de la maison, pendant que Monsieur s'occupait d'Isabelle. Madame, me passa un mort entre les dents et m'harnacha, puis me fit mettre à quatre pattes et m'enfourcha, pour une promenade dans la maison, Madame fit une halte, descendit de son destrier, pour lui lubrifier l'anus et lui poser un plug  fixé avec un bondage de corde, puis renfourcha sa bête pour finir sa promenade.


    Au terme de celle-ci, elle me fit allonger au sol et je pense, pris un réel plaisir à me couvrir les fesses et le dos de cire chaude, puis, elle fit pareil pour mon torse et mon bas ventre après m'avoir fait retourner. Je restais ainsi au sol sur le dos, sans bouger, jusqu'à ce que Madame, vienne racler la cire de mon corps, puis elle me fit mettre debout et me dit : « tu a reçu cinquante gouttes de cire sur le dos, tu vas recevoir cinquante coups de fouet et tu vas les compter ».

    Après les cinquante coups dans le dos, Madame me dit : « as-tu une idée du nombre de gouttes de cire que tu as eu sur la poitrine ? », je répondis : « non madame ! », « donc tu vas compter les coups pour savoir  et je reçu en comptant quarante coups de fouet.

    De temps à autre Monsieur passait s'occuper un peu de moi et vérifiait mon érection, car il désirait me passer une cage au sexe, puis, il me fit mettre debout, en appuis les bras tendu sur le canapé, et au rythme de la musique, fit un duo de cravache sur mes fesses et mon dos, De temps à autre, Madame, ou Monsieur me passaient un rouleau à pointe sur le corps, ou jouaient avec mes tétons, les pinçant ou tirant.

    Monsieur, me fit mettre sur le dos pour essayer une fois de plus d'encager mon sexe, mais cela lui fut impossible, car celui-ci dès qu'on le touchait se mettait au garde à vous, l'heure tournant, il fut temps de terminer. Vu que je devais dormir sur place, Monsieur me fit allonger sur le lit, afin de me mettre une couche, qu'il doubla par une culotte en nylon, afin que je ne fasse pas de saleté pendant la nuit, avant de m'entraver les jambes au niveau du genou par une ceinture et les chevilles par une chaîne reliée aux pieds du lit, mes poignet furent aussi enchaînés à la tête du lit, Isabelle, partie après s'être changée, Monsieur et Madame me laissèrent ainsi et partirent se coucher.

    Au matin, Monsieur est venu me libérer, nous avons un peu discuté, puis j'ai servi le café à Madame et à Monsieur, j'ai demandé l'autorisation d'aller au toilette et de poser ma couche, qui m'a été accordé, j'ai préparé une nouvelle cafetière de café, fait la vaisselle du déjeuner, passé l'aspirateur.

    Comme Monsieur n'était pas satisfait d'avoir pu me mettre une cage, après qu'hier soir il eut trouvé un anneau de cage plus grand, et vu que nous devons nous revoir la semaine prochaine, Monsieur, a bien voulu me prêter l'anneau et sa goupille, pour que je puisse essayer de le mettre et ainsi peut être commencer à m'habituer au port de la cage de chasteté.

    Nous nous sommes quitté, et je suis rentré chez moi. Après plusieurs tentatives pour mettre l'anneau, j'ai enfin réussi, il est maintenant 15h30, voilà plus d'une heure trente que l'anneau entoure mes testicules, pour l'instant, je ne ressens qu'une légère gène, bien sur, il manque l'essentiel « la cage », mais je pense que si j'arrive à m'habituer à l'anneau, Monsieur ou Madame, n'auront aucun mal à me la mettre.

    A suivre ........

    Sacherm

    DEUXIEME PARTIE

    Rédigée par Monsieur TSM


    Sacherm raconte l'histoire de notre première rencontre sans fioriture ni mensonge, la soirée qu'il décrit c'est bien déroulée ainsi. Il n'est pas comme ces pseudos soumis fantômes qui fantasment  et nous plantent régulièrement. 

    Mon épouse et moi-même avons beaucoup apprécié le soumis et l'homme, l'homme pour sa droiture, son savoir vivre et le soumis qui effectivement a de grosses couilles au sens propre et au sens figuré du terme car il fallait oser !

    Effectivement, il m'a lors de l'entretien annoncé que puisque tout était dit par email et par téléphone, nous pourrions débuter sans blabla, café et petits fours en débutant avec du viril sérieux. « OK mon grand » ai-je pensé en raccrochant, mais tu n'as pas intérêt à me faire un caca nerveux parce que je te vire !

    Et bien je puis vous dire chers lecteurs qu'il ne nous a pas déçu bien au contraire et que de caca nerveux il n'y en a pas eu ! ! !

    A son arrivée, je suis rentré immédiatement dans le vif du sujet comme décris et il s'est fait engueuler puis recadrer pour une histoire d'âge. Question ambiance de départ, j'avoue ne pas y être allé de main morte. RIRES

    Cela ne faisait pas 2 minutes réelles chrono montre en main que la porte était fermée qu'il était entravé avec de vraies chaînes, de vrais cadenas avec une vraie cagoule sur la tête. Là nous étions bien dans une domination concrète et sans blabla. Il en voulait, il en a eu non mais ! 

    Le 6 mars 2009, nous avons programmé de l'emmener avec nous et notre soumise Alexandra, pour une grosse soirée privée chez Maître Pierre car je sais maintenant que je peux compter sur lui et sa réelle envie de soumission.


    Le thème de la soirée du 6 mars ?


    Le centre de formation TSM and co démarre une session un peu particulière avec au programme :

    Module d'esthétique

    Module d'éducation physique    

    Module de philosophie  

    Module d'Art plastique    

    Module science et vie

    Module vie sociale   

    Comme l'on peut s'en douter, tout cela n'aura aucun rapport avec une véritable scolarité...sauf le bonnet d'âne et les punitions.

    Le centre affiche complet, les places étant réservées aux soumis réels connus par notre réseau d'ami(e)s.

    Monsieur TSM

    http://tsm-textes.over-blog.com/

    Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour à toutes et à tous,

    Nous voilà de retour de notre superbe week-end Ds SM de la St Valentin. Les valises sont défaites, les accessoires et jouets cruels, sont rangés nous avons la tête pleine de joyeux souvenirs.

    Nous avions décidé d'emmener un soumis avec nous pendant les deux jours.  Il s'appelle belette69 et zone sur www.sensationsm.com 

    Qu'avons-nous fait ?



    Un max de choses sympas comme vous allez le voir avec les photos car nous ne faisons pas que jouer, la nature, le 4X4, la musique et la culture comptent également de nos passions.



    Dès son arrivée, le soumis a pu découvrir un gite très convivial, très agréable avec ses boiseries et son immense cheminée. Nous avons pris un verre en sa compagnie en lui rappelant les règles dites de sécurité pour qu'il ne se sente pas piégé dans un truc infernal. Madame lui a ensuite mis un collier de soumis qu'elle a bouclé avec un cadenas. Il était à la fois rassuré par le cadre et nos attitudes sereines malgré cette première entrave.

    Il est vrai que me voir jouer du piano et de la guitare avec les deux dominatrices vêtues de leurs plus beaux atours qui chantaient en cœur lui permettait de sentir la complicité et l'amitié qui nous lie depuis des années. Des gens normaux, pas méchants mais qui dans quelques instant allaient s'occuper de lui, le prendre en main pour un week-end.

    Lors d'une courte pause musicale, je l'ai conduit à notre chalet pour lui mettre une cage de chasteté après lui avoir fait enfiler un harnais.


    Ce harnais avait pour objectif de maintenir un petit plug dans le creux de ses reins. Au retour, le voir se dandiner tout gêné pour nous servir l'apéritif (qui a duré) amusait les filles qui sans cesse s'amusaient à l'exciter pour que sa verge subisse la crise du logement dans la cage de chasteté. L'une après l'autre jusqu'au repas et pendant le repas, elles l'ont tendrement martyrisé pour le faire monter en pression mais c'était ainsi programmé. Le pousser à bout dans ses envies....

    Comme nous sommes très humains et qu'il n'avait point sa valentine, nous lui avons acheté un petit cadeau pour qu'il ait lui aussi un paquet à ouvrir cette nuit là. Il semble avoir apprécié, ses yeux étaient brillants, humides. Et oui, soumis belette69,  nous avons aussi une qualité de cœur, la gentillesse. 

    C'est dans notre chalet qu'il a commencé à goûter à l'envie de jouer des filles surexcitées. Elles ont commencé par le mettre nu, lui placer une cagoule laissant la bouche libre et l'ont menotté. Pendant qu'avec mon ami d'enfance nous faisions chanter les guitares, elles ont profité de lui dans tous les sens du terme. Sa bouche, ses seins, ses fesses, ses testicules dans un premier temps, puis, complètement entravé sur la petite table de salon du chalet il a goûté à toute la panoplie des gode-ceintures dont nous disposions en me faisant voir qu'il a effectivement des prédispositions certaines pour la fellation..... (virtuelles)

    Dans ses trips (virtuels) annoncés il y avait l'uro et le sperme. Dans la douche il l'a donc vécu la douche dorée des filles qui, (avec beaucoup de gentilessessss) l'ont lavée et savonné sans le libérer pour lui mettre une couche pour adulte et l'entraver comme un rôtis avec du cellophane avant de le coucher aux pieds du lit sur un matelas. La suite il ne l'a qu'entendue. Les amis sont parties et c'était un gros câlin avec Madame TSM, mais comme nous ne sommes pas ingrats, il a eut le droit de savourer le résultat de nos tendres passions avec un face seeting appuyé...


    Le lendemain 

    Il était prévu, ballade en 4X4, tourisme, resto ET... pony-boy dans la forêt puis une autre soirée jeux Ds, SM, féminisation et ....mais cela ne c'est pas passé comme ça tout comme la première partie de ce récit. Pourquoi ?

    Parce qu'en fait, belette69, n'est pas venu. Il a commencé par annoncer une gastro mais qu'il viendrait le samedi puis n'a jamais répondu à mes appels téléphoniques alors que nous ne savions pas si nous pouvions partir faire nos ballades.

    Un email d'excuses de belette69 ? Même pas !

    Un appel téléphonique de belette69 pour s'excuser ? Même pas.

    belette69, que vous trouverez sur sensationsm aurait pu vivre tous ces fantasmes pendant deux jours s'il avait eut le courage de ses prétentions.

    Les deux dominatrices étaient là,

    Nous étions là avec le matériel,

    Sa place pour le gite était réservée,

    Son petit cadeau pour la St Valentin aussi.


    QUELLE GROSSIERE ERREUR !

    Le monde du SM est très fermé, les acteurs réels se connaissent de nom et de réputation. Vous n'auriez peut-être pas du oublier de vous excuser même si vous aviez le cul merdeux.

    Chers soumis, chères soumises, nous sommes réels, sincères et toujours attentionnés avec les personnes que nous recevons, mais à partir de maintenant, vous savez que si vous plantez le couple TSM je l'écrirai dans une histoire que je publierai sur mes blogs.

    Nous avons joué sans vous monsieur belette69, les guitares, le piano, les ballades, le 4X4 et les plaisirs de la vie étaient au rendez-vous. Nous offrirons donc votre petit cadeau à un soumis qui aura le courage de ses prétentions.  

    Je ne dévoilerai pas votre nom réel, rassurez-vous, nous avons un code d'honneur ! 

    TSM

    Pin It

    votre commentaire
  • Témoignage d'un soumis TV venu chez les TSM

    En préambule :

    Nous sommes un couple adepte de la Ds, DD et nous pratiquons le SM. Nous recherchons un soumis attitré pour entretenir une relation suivie et de confiance. Les premières rencontres sont toujours sympas avec le plaisir de la découverte, mais les relations suivies offrent bien d'autres plaisirs avec la confiance qui s'installe.

    Nous avons rencontré en fait deux personnes en une, un homme charmant puis une très jolie TV à apprivoiser. Son approche psychologique de sa double personnalité est originale et fort sympathique en nous constatons encore une fois que les vrais adeptes du BDSM, quelque soit sa forme de pratique, ont une grande richesse intérieure.  

    Son pseudo et son prénom ont été volontairement changés pour préserver son anonymat. Ci-dessous son témoignage.

    TSM

    P.S. Notre annonce recrute soumis est toujours d'actualité, ..... 

    Cela fait longtemps que j'avais envie de faire une photo humoristique.

    Celle-ci est issue d'un des jeux que nous avons pratiqués avec la trés charmante Annabelle.

     

    Rencontre d'Annabelle

    L'histoire commence par un petit message éléctronique qui s'afficha un jour de décembre, sur un écran d'ordinateur. Il s'ensuivit une discussion agréable et conviviale qui déboucha sur une rencontre. Il serait possible, de relater les différentes impressions et ressentis d'un de ces acteurs, mais le but de cette lettre n'est pas ici.

    Je me permet de relater ce récit, car je pense connaître une des protagoniste. Annabelle .

    Apres son échange avec TSM, elle devait lui adresser une fiche renseignée. Sérieuse et honnète, je vis Annabelle  s'atteler à la tâche. Elle était là, réfléchissant à ce qu'elle pouvait répondre. Elle commenca méthodiquement à répondre déjà les reponses négatives, puis celles qu'elles n'apréciainent pas de trop. Pour le reste, que pouvait elle répondre? Objectivement, elle était de nature soumise, et se voyait mal dire j'aime, j'aime pas. Dire honnètement, non, ceci je ne peux pas car je ne pourrais me voir ainsi, d'accord, mais pour le reste?

    Il est bien difficile de répondre ainsi. En effet, les dominants on aussi leurs désirs, leurs envies. Nous avons aussi des fantasmes, peut être inavouables ou que l'on n'ose pas dire. Il y a tant de paramètres, son état physique, psychique.

    Mais, ce qui compte le plus, c'est avec qui l'on est. Pour Annabelle , je sais que pour elle ce qui compte c'est la confiance, la complicité, se sentir bien avec les personnes. Je sais qu'ainsi, pour elle, les limites disparaissent pour s'ouvrir sur un espace de liberté. Annabelle , n'est pas une personne qui dit non. Tout du moins, saut si pour elle cela reste insurmontable, mais elle aura l'honneteté de le dire avec gentillesse. Elle aime aussi découvrir. Mais elle aime avant tout appartenir, se savoir aimée et offrir tout ce qu'elle a de mieux.;

    Après avoir répondu à cette fiche, elle commenca sa préparation. Elle ne se posa pas la question de savoir, si cette rencontre se terminerait par un jeu ou pas. Elle se devait d'être prête à s'offrir, à s'abandonner tout simplement.

    Elle commenca par plusieurs lavements afin d'être propre au plus profond d'elle même. Elle prit sa douche, se parfuma d'un lait de toilette odorant. Puis elle enfila une paire de bas noirs à larges jarretieres. Elle mis son corset de cuir et son string noir à fleur rouge. Elle hésita à mettre sa petite cage de chasteté, mais y renonca. En effet, ce n'était pas à elle de le faire. Elle se pinca un peu les tetons afin de les faire ressortir pour mieux y accrocher les petits cables fins de son collier en chainette. Annabelle , aime se faire belle, travailler le détail afin d'être séduisante et de provoquer le désir. Elle hésita à prendre les cuissardes ou les bottes rouges. Elle mit tout de suite de coté les escarpins dont les talons étaient encore bien trop hauts pour elle. Elle se décida enfin pour les bottes rouges à talons métalliques. Elle rangea sa valise, en y glissant divers accessoires.

    Elle se sentait bien, heureuse, elle était déjà elle même. J'étais d'ailleurs très étonné de la voir ainsi, elle qui était parfois si timide ou tout du moins si réservée. Mais TSM, l'avait bien aidé. Celui ci l'avait rapidement mis en confiance durant leur échange sur le net et au téléphone. Il était très agréable, avenant et joyeux.

    Arrivée, Monsieur fit entrer Annabelle . Ces trois personnes se saluèrent puis discutèrent devant un verre. Je vis alors qu'Annabelle  se sentait tres bien et que déjà elle était prête à s'offrir. Pourquoi donc si vite? Il faut dire que ce couple était si agréable et simple. Je voyais un couple très complice, Madame semblait très douce et un peu réservée, Monsieur quant à lui était plus exubérant. Ils se complétaient à merveille. Annabelle  avait envie de défaire quelques boutons de chemise afin de faire deviner son collier et montrer son envie. Mais ceci aurait été des plus déplacés.

    Après quelques discussions, et alors que Monsieur commençait à faire chauffer le repas, Madame demanda à Annabelle  d'aller se changer. Mon dieu, qu'elle bonheur, était ce possible. Annabelle  ne se fit pas prier, elle désirait tant se montrer et le sséduire. Madame l'accompagna dans la chambre et pour ne pas lui faire trop peur, elle la laissa se préparer.

    Annabelle  quitta rapidement son pantalon et sa chemise. Elle mit ses bottes rouges, puis sa petite jupe noire. Elle prit sa perruge et sa trousse de maquillage et se dirrigea vers la salle de bain. Là, elle se poudra légèrement le visage appliqua un contour des lèvres puis le rouge à lèvres. Ensuite elle poàsa sa perruque et se coiffa. Elle se regarda une derniere fois, puis alla se présenter, tout en esperant aussi bien séduire Madame que Monsieur.

    Je me rappelle le bonheur d'Annabelle , quand Madame lui carressa les cheveux et lui dit qu 'elle était belle. Un instant magique. Puis Madame lui mis le collier.

    Le repas commenca tout en poursuivant la discussion très agréablement. Annabelle  aida à débarrasser la table avec Monsieur.

    Puis Monsieur demanda à Annabelle  de prendre appui avec ses deux mains sur le rebord de l'évier. Annabelle  s'exécuta. Il lui fixa alors une chaine reliée du robinet à son collier et lui demanda de faire la vaisselle.

    La suite de l'histoire sera racontée plus tard. Cependant, à ce stade il est bon que je dise certaines choses car qui d'autre que moi pourrait dire ce que ressent Annabelle, à part elle même, mais elle est bien trop timide pour l'exprimer.

    Cette rencontre et ce qui s'en est suivi, a été un merveilleux moment de plaisir non simulé. Le plaisir d'être soi, d'une autre façon. Le plaisir d'avoir rencontré des personnes agréables amicales conviviales mais aussi tendres. De merveilleux joueurs qui ont pris soins d'Annabelle, de lui apporter beaucoup de plaisir et je l'espère d'en d'avoir pris également.

    Mais également, le plaisir de s'abandonner, de s'offrir de vouloir appartenir. Le plaisir de se laisser aller aux envies, aux plaisirs des dominants, de leur offrir son corps mais aussi une partie de soi. Devenir ce que l'on veut bien que vous soyez.

    Donc se fut un très grand moment de bonheur entre vos mains. E t si d'aventure Annabelle  répond à votre recherche, n'hésitez pas. Elle existe et serait ravie d'être à vous.

    Annabelle


    CONCLUSIONS par TSM

    Lors de cette soirée, nous avons échangé puis joué avec son corps et son âme jusqu'à deux ou trois heures du matin et éprouvé beaucoup de plaisirs. Je lui laisse donc le plaisir de dévoiler ce qui s'est passé et ce qu'il a ressenti lorsque nous avons joué avec son corps,

    "Devenir ce que l'on veut bien que vous soyez". Cette phrase est forte de sens non ?

    OUI, nous voulons bien volontiers cela, mais n'est-ce pas ce que l'on appelle le respect ?  

    OUI il est bien possible que nous nous revoyons pour affiner cette relation Ds avec Annabelle et pourquoi pas que nous trouvions affinités amicale avec son coach masculin.


    Pin It

    votre commentaire

  • Périple, souffrances et bonheur ©

    (Cette histoire vraie est diffusée avec l'autorisation des Maîtres et Maîtresses)

     

    Cette histoire vraie a débuté le samedi 17 mai de l'an de grâce 2008 après des prises de contact multiples et à rebondissement qui m'ont fait douter du sérieux de mon interlocuteur rencontré sur http://www.sensationsm.com/. Mon naturel têtu positif m'a incité à poursuivre la relation virtuelle qui m'a finalement conduit au Cap d'Agde, ville magnifique bien connue pour ses excentricités mais aussi son ouverture aux gens à l'esprit large, ouvert et non castrateurs de liberté de penser ou d'être.

      Avant même le premier contact visuel j'étais beaucoup déçu. (à tord) Le mec qui s'annonçait comme dom ne se donnait même pas la peine de descendre de sa voiture pour me dire bonjour. Pour moi, soit il se prenait pour le Maître absolu de tous les temps, soit c'était un vulgaire conard !  Je me suis quand même approché du véhicule indiqué, pour me pencher sur la portière afin de m'obliger, au sens propre du terme, à des obligations de politesse. Le conard en question n'en était pas un, bien au contraire comme j'ai pu le découvrir plus tard, c'est un homme fort et grand qui a malheureusement rencontré un prédateur de la route qui l'a condamné à passer le reste de sa vie sur une chaise roulante.

      Rencontrer cet homme a été pour moi une leçon de vie en une période affective difficile. Je venais de me faire virer par une Maîtresse d'Amour que j'ai aimé à la folie. Maître Pierre est intelligent, vif d'esprit, il a un courage et une capacité extraordinaire à surmonter son handicap et un caractère certain. Même assis sur sa chaise il domine la vie, les évènements, pratique le SM, la plongée sous marine et une foule de choses que peu de « mobiles » ne s'aventurent à faire. Cet homme exceptionnel qui ne domine pas que les évènements, m'a accepté cette après-midi là comme soumis. Nous nous sommes donc découvert chez un couple adorable d'une grande gentillesse. Du troisième sexe, belle et fine d'esprit, cette magnifique femme a un sacré caractère, lui marcher volontairement sur un orteil ne doit être sans conséquence ! Son complice de vie s'est avéré être du même moule, un Maître adorable mais à la poigne FERME !

      « Oh putain con », il y avait bien deux Maîtres et une Maîtresse pour jouer avec moi comme me l'avait indiqué Maître Pierre. Lorsque les jeux ont débuté, le rideau se baissait proportionnellement en temps à ma peur qui montait. Ce n'est pas mathématique c'est ainsi point fin.

    A ce moment la, alors que je dégustais les bottes de Maîtresse Yohana, truc qui ne me botte pas plus que ça aussi jolies que soit les bottes qui doivent bien botter, je me suis demandé en tremblant comme une souche si j'étais inconscient ou kamikaze !

      Histoire de me mettre à l'aise, alors que j'étais déjà nu, ils m'ont passé un bandeau sur les yeux, sûrement pour que je ne sois pas gêné d'être conduit à m'agenouiller pour exposer mes fesses de telles manière, que mon pertuis bien ouvert exposait sa petite rondelle plissée terriblement contractée et cela juste au dessus, de ma cage de chasteté pendante. Sans trop entrer dans les détails, une succession de bruits claquants emplirent rapidement la pièce. Ces « tortionnaires » savants géraient à merveille la montée en douleur et les cuisantes sensations qu'ils m'imposaient. Au bout de quelques minutes, ils m'ont indiqué qu'en cas de soucis, je pouvais dire le mot STOP, mais moi, vautré dans l'expression de mon masochisme que je ne voulais pas le dire le mot indiqué. Au bout d'un moment, j'étais à bout de souffle mais le rebelle qui sommeille en moi s'opposait fermement à la formulation du petit mot si facile à prononcer quand on n'est pas emporté par le jeu.

      Ils ont alors eu la sagesse et l'intelligence de m'accorder une pause flagellation salvatrice non demandée avant que je ne m'évanouisse, pour passer une autre activité non enseignée en Art plastique : la décoration corporelle aux bougies sur peau rouge striée ! L'épiderme  brulant très attentif aux gouttes de cire chaude, incitait son propriétaire à couiner en s'agitant. Cela les contraint donc à prendre quelques sages précautions pour ne pas ruiner le pauvre canapé innocent. La reprise de la décoration artistique s'est donc faite en alternance avec d'autres gentillesses pour mon fondement, gentillesses qui ont permis à Maître Pierre d'apprécier ma richesse intérieure malgré une petite porte ovale récalcitrante. Entre l'usage combiné (et non pas con biné) d'un spéculum puis d'un gode et de la cire décoration, le soumis rebelle poussant des gémissements de truie perturbée se refusait intérieurement à prononce le mot « stop » car son cerveau embrumé sans une goutte d'alcool surfait sur des nuages cotonneux.

      La déco n'a pas du leur plaire, car ils ont ensuite entrepris de le défaire à l'aide d'un truc métallique, mais je les en remercie vivement car pour retirer soi-même la cire dans son dos, c'est plutôt délicat lorsque l'on n'est pas contorsionniste. Perfectionnistes, ils ont ensuite tenu à fignoler le nettoyage à l'aide de plusieurs martinets avant de m'inviter me mettre debout pour faire face à Maître Pierre. Alors que je m'exécutais, le carrelage bougeait sous mes pieds et conserver l'équilibre fut délicat.

      Et là, mesdames et messieurs les jurés lecteurs, Maître Pierre m'a retiré ma cage de chasteté. J'ai cru un instant que j'allais avoir droit à une récompense pour ma bravoure, mais il n'en fut rien, le grand Maître s'est mis en tête de jouer à sa façon de la cordelette avec mon service trois pièces. Ferme sans être sauvage ni cruel, il est parvenu à ses fins et moi à la fin de mes limites une demi-heure plus tard sous ses « flagellantes » attentions de mes précieuses et de mon périscope au bout hélas trop sensible.

      La suite ne fut que du bonheur, soirée ultra sympa entre amis avec apéro, resto, discussions et quelques provoc de ma part, dont une a agacé Maître Gégé, le conjoint de Maîtresse Yohana qui m'a aussitôt imposé un collier de cuir dans le restaurent bondé. Et oui, le soumis rebelle se croyait tranquille mais c'était sans compter sur l'adaptabilité immédiate de Maître Gégé !   

    Un sentiment de bien être m'a submergé tout le long le chemin du retour et une impérieuse envie de les revoir me taraudait.

      Mardi 21 mai Acte 2

     

      Les coups et les douleurs sont comme les goûts et les couleurs et l'impérieuse envie de les revoir me taraudait. Je n'ai donc pu résister à la tentation d'adresser à Maître Pierre un petit mot fait d'une page de débilités à prétention humoristique. Je ne sais si c'est parce qu'il n'a pas apprécié mes débilités et souhaitait me corriger pour cette impertinence ou s'il éprouvait simplement l'envie de me revoir, mais le soir même, j'étais invité à le rejoindre en sa tanière pour une soirée en tête à tête.

      Je n'étais pas ce soir là au maximum de mes capacités de soumis joueur, mais avec la finesse qui le caractérise, Maître Pierre m'a rapidement mis à l'aise puis invité à m'asseoir confortablement intégralement nu sur une chaise. Oui, mais pas n'importe quelle chaise ! Adepte du détournement de fonds, pardon d'objets, il m'a très gentiment bondagé sur une chaise qui s'avère être un fauteuil roulant percé pour les commodités des personnes handicapées. C'est terriblement troublant ! ! ! Les jambes relevées jusqu'aux épaules et les bras solidement liés derrière le dossier, mon intimité n'avait plus rien d'intime et allait devenir l'objet de ses inspirations sans aucune gêne grâce à la forme du siège ouvert.

      Dans le bondage que j'adore, l'attente est un catalyseur d'émotions, au bout de quelques minutes je m'y abandonnais bien volontiers. Mes tempes bourdonnaient, ma tête s'échauffait, la vue occultée je ne pouvais que confier à mes esgourdes, pardon mes oreilles, le décryptage des sons et des déplacements de Maître Pierre.

      Les pinces tactiles auxquelles vos tétons ne peuvent s'échapper (ou ne le veulent) comptent de mes grands plaisirs mais hélas, Maître Pierre apprécie un modèle de pinces à sein métalliques qui rendent les petits ergots à la couleur fraise des bois terriblement sensibles pendant deux jours au point d'interdire à mes propres pinces tactiles le plaisir de les caresser lorsqu'ils se mettent à darder. Son soumis entravé et totalement offert à ses turpitudes a eu le choix entre accepter de porter ses pinces et accepter de porter ses pinces. Le soumis, afin d'être agréable à son Maître, décida donc d'abonder dans son sens en choisissant de porter ses pinces. 

      Ainsi équipé et bondagé, le soumis pu apprécier de multiples manipulations de sa verge et de ses testicules, mais il savait maintenant par expérience, que cela ne serait point pour une récompense. Maître Pierre entrepris de faire disparaître mes testicules récalcitrants et d'en assurer le maintien interne à l'aide d'un lacet qu'il manie à merveille. Le bondage du sexe n'était pas de mes goûts, mais s'il continue ainsi je finirai par apprécier malgré la sensibilité de ces zones fragiles car au bout d'un moment, c'est chaud, chaud, chaud. 

      Comme chacun sait, le bondage comporte quelques inconvénients pour la circulation sanguine. Maître Pierre qui en a conscience s'attela donc à gérer cette problématique à l'aide d'une cravache toute neuve et d'un martinet. Entre le bondage de son sexe, les pinces à sein et les multiples flagellations, le soumis entravé se mit à transpirer à grosses gouttes tant il avait chaud même à poil mais c'est sûrement parce qu'il planait et se rapprochait du soleil. Un des ses commentaires m'a fait frémir mais cette fois, je n'ai absolument pas relevé ni provoqué vous allez très vite comprendre pourquoi. Je vous livre la phrase mot à mot :

      « Ainsi équipé et offert sur ton fauteuil, cela serait amusant de te promener au Cap d'Agde ».

    OUF, OUF, OUF !

      Une telle phrase chez Maître Pierre ne saurait supporter de provocation sans de GROS risques.

      Une pause salvatrice me fut accordée. Libéré du fauteuil infernal je pus nettoyer le carrelage de mes généreuses transpirations et servir du champagne à mon Maître qui décida alors de changer de jeu. De son sac à jouets, il sortit un corset et une jupette de couleur rouge, découpée de façon si provocante que même une none centenaire s'enflammerait.  

      Si l'habit ne fait pas le moine, ces vêtements féminins m'ont transformé et quand Maître Pierre m'a traité de chienne et de « salope » j'étais totalement d'accord avec l'image décrite par ces mots crus qui résument à merveille les sentiments et émotions que je ressentais à ce moment là. Le gag est que je me suis même surpris à tortiller du popotin et à me cambrer pour faire ressortir mes fesses ! Cette attitude féminine provocante au possible n'a pas échappé au Maître qui flatta encore généreusement ma croupe de sa cravache avant de m'indiquer une position qui convenait à merveille à la chienne que je devenais. A quatre pattes, mon p'tit troufignon mignon s'exposait et ce qui devait arriver arriva. La cheminée fut ramonée à l'aide d'un goupillon qui devait bien faire trois doigts de large. Maître Pierre trouva le conduit trop étroit à son goût et m'indiqua, en bon pédagogue, que l'élève aurait des devoirs à faire à la maison.

      Après quelques photos de la salope de chienne, cette dernière fut quelque peu châtiée et y éprouva à cet instant tant de plaisir qu'elle aurait bien remercié le Maître de sa bouche mais il ne le lui demanda point. Comme il est de très mauvais goût d'abuser de l'hospitalité de son hôte, la garce bien éduquée n'en fit rien. Lorsqu'en fin de soirée, elle dut se déféminiser pour se masculiniser, Maître Pierre lui indiqua que cet été au Cap d'Agde elle serait ainsi vêtue offert en pâture aux mâles errants désireux de consommer du popotin. Si cette idée me fait très peur, j'avoue aussi qu'elle me grise terriblement. 

      Mon Maître parviendra t'il à faire de moi une chienne salope soumise à promener travestie je n'en sais rien, (Ce n'est pas de la provoc) mais j'avoue qu'entre mes jambes, cela réagit très fermement. Est-ce du à ces pensées saugrenues ou aux devoirs à faire à la maison que j'ai commencé hier soir en me plaçant un plug dans les fesses comme demandé ou les deux ? Qui vivra verra.....

        Mercredi 22 mai

      J'ai été convié hier chez Maîtresse Marie, une soumise exceptionnelle qui a reçu comme cadeau après 12 années de soumission et de fouet, le droit de se prendre un soumis. J'ai eu l'immense plaisir qu'elle débute en domination avec moi, mais après avoir passé deux soirées avec elle, je peux vous affirmer que ses longues années d'expérience de soumise font qu'elle n'a pas grand-chose à apprendre pour devenir une experte ! 

      L'objet de ce rendez-vous était que je l'aide à installer le carnet informatique de gestion à distance de soumis. Ce programme génial a été mis au point par un ami polyvalent résidant en Belgique. L'ayant déjà utilisé deux années lorsque j'appartenais à Maîtresse Véro, j'avais proposé à Maîtresse Marie de lui paramétrer et de lui apprendre les principes de son fonctionnement. Convaincu que ce carnet informatique était pour un autre soumis que moi, je lui ai donné toutes les ficelles même les plus perverses. Au fil du temps, pendant le paramétrage informatique, ses questions s'orientaient sur ma personne, j'ai donc commencé à lever le pied sur mes conseils d'enfoiré soumis jaloux qui se venge sur un concurrent inconnu. (J'avoue beaucoup apprécier Maîtresse Marie et que j'espérais secrètement être l'élu).  

      - Ne recule pas, je sais que tu as compris avant que je te parle. C'est trop tard pour faire marche arrière, continue la programmation et profite que tu es sur ma session de Maîtresse pour saisir tes obligations de demain !

      - ................. (Les mots m'ont manqué, je n'ai pas pu parler ce qui est rare chez moi)

      La belle Maîtresse Marie savait de par la complicité qui avait été la notre lors des deux soirées précédentes, (correctif : deux nuits SM précédentes) que j'accepterai bien volontiers de m'offrir à elle en soumission. L'après-midi et la soirée furent très sages et dépourvues de jeu mais elle nous permit de faire plus ample connaissance puis d'aborder mes limites et ses exigences. Leur donjon est donc resté clos ce soir-la. SNIF et le fouet de Maître Gilles a qui je dois beaucoup de choses comme la réalisation de mon fantasme de ponyboy et la découverte du fouet n'a point sifflé.

      Maîtresse Marie et Maître Pierre acceptent tous deux de se partager TSM, un soumis polyvalent passionné de la pratique SM et Ds et pire encore dans cette immense chance, de le laisser libre. DONC :

      Si par aventure, une adorable polyvalente, bonne pâtissière, grande, blonde aux yeux bleus, forte poitrine, cheveux longs, ayant de l'humour, 30/40 ans et 160 de QI désirait construire une vie de couple avec un polyvalent en alternant, pause câline, amour et jeux, elle doit savoir que je suis ouvert à toute proposition sérieuse parce le jeu sans l'amour manquera toujours de saveur.

     

    Extrait de mon journal au 24 mai 2008

    Extrait de mon journal en date du mercredi 28 mai 2008

      Mardi 29 mai, j'ai eu l'immense chance de passer une sublime soirée en compagnie de ma Maîtresse. Devant son Maître et une autre soumise, après m'avoir gentiment fustigé simplement pour le plaisir de jouer avec un jouet heureux de l'être, dans sa grande mansuétude, elle m'a accordé quelques caresses. Je garderai gravé à jamais dans ma mémoire, la délicieuse courbe de ses reins sous mes mains accrochées à sa taille fine et gracieuse. Quelques mots sur cet instant magique.

      J'étais à ses genoux, agrippé à sa taille, elle me donnait du martinet, quand mes mains ont glissé par inadvertance sur son extraordinaire chute de reins délicieusement dessinée par la mère nature. Mes doigts se délectaient de ce chef d'œuvre pendant que mon visage posé sur ventre plat transmettait à mon cerveau embrumé les délicieuses vibrations de son corps en mouvement. Cet instant fut pour moi l'élixir du bonheur malgré l'échauffement . D'autres évènements illuminèrent la soirée au point que le soleil irradiait dans la maison malgré la nuit assombrie pas les nuages percés mais ils ne se racontent point.

      Sur le chemin du retour, la banquette arrière subissait mes doigts jouant machinalement « Tristesse » de Chopin, pendant que mon cœur se lamentait d'une nuit bien trop courte en compagnie de Maîtresse Marie. Mes yeux mouillés se perdaient dans le paysage qui défilait totalement insensible de leur mouillement.

      Le pire m'attendait le lendemain.

      Mercredi 29 mai  2008

      24 ans, belle comme un cœur, blonde, les yeux bleus, un humour extraordinaire, coquine sans jamais être vulgaire, c'est une fille exceptionnelle d'une ouverture d'esprits peu commune.

      OUI, cette perle blonde existe, je l'ai rencontrée et j'ai même souffert le martyr 3h30 de ses fins et jolis petits doigts agiles ! Pour ne point dévoiler son identité, je l'appellerai Mélodie, mot commun pour un musicien comme moi qui confond parfois rêve et réalité. Là présentement, c'était bien la réalité le miroir de la salle de bain ce matin me l'a confirmé !

      Pierre mon vénéré Maître désirait faire épiler son soumis pour jouer à la poupée Barbie grandeur nature et tant qu'à faire en public s'il vous plait. Il m'a convaincu avec force et moyen qu'une poupée n'a pas de poils sur le torse ni sur les jambes et qu'il conviendrait de plumer son soumis ! Cet homme extraordinaire est un surdoué en terme de communication, il ne cherche à convaincre personne, il emmène les personnes à le suivre. Pour preuve, l'esthéticienne Mélodie dont la description alléchante a du générer quelques lubriques pensés aux lecteurs et lectrices ! Elle se déplace au domicile de mon Maître pour non pas soigner son apparence, mais simplement alléger ses traits en retirant ça et là sur sa personne, quelques pilosités et cela peu lui importe la partie du corps où elle se trouve.

      Le mercredi 29 mai Mélodie, très motivée, s'est présentée vers vingt-et-une heure au logis de Maître Pierre où je l'attendais tremblant de peur. Lorsque la porte s'est ouverte, ce n'est point Mélodie que j'ai vu en premier, mais un molosse pressé d'entrer qui n'avait que faire de ma présence sur son passage ! La belle est entrée avec un sourire radieux et m'a fait la bise ce qui m'a permis de constater qu'elle avait plus de savoir vivre que son caniche gavé aux hormones de croissance. Afin de la recevoir tranquillement sans être gêné par son soumis, Maître Pierre le pria de se mettre nu et l'entrava solidement sur un fauteuil roulant percé pour les commodités des personnes handicapées. Ils entreprirent alors de discourir sur de multiples sujets aussi divers que variés en me laissant poireauter trente minutes sans même que je participe à leur conversation, non pas que cela m'aurait pas déplu mais bâillonné l'expression de mes sentiments et avis ne parvenaient point à leurs oreilles.

      Pour faciliter l'accès aux zones que l'on n'expose pas sur le quai de la gare, Maître Pierre effectua un bondage coloré très artistique de mon service trois pièces. Les testicules rentrés délicatement de force dans leur emplacement d'origine furent bloqués par un jeu d'élastiques savamment tressées sous les yeux amusés de Mélodie préparant de la cire et des accessoires qu'au moyen-âge les inquisiteurs auraient sûrement apprécié.

      L'attente du condamné à mort doit être longue ! J'ai pu ressentir ce qu'ont du ressentir ces pauvres hommes et femmes que l'on a laissé moisir avant de les étêter ou de les occire peu nous importe après tout les moyens, la conclusion étant identique.

      Moi j'attendais patiemment sans bouger (et pour cause) que l'on vienne m'occire en m'enduisant de cire. L'avantage du fauteuil roulant est qu'ils ont pu déplacer le sujet à leur convenance pour remonter les parties inférieures sur la partie supérieure d'une table, afin d'éviter au joli bourreau blond d'avoir à se baisser sur sa victime. Et là, à l'aide d'une machine spécialement prévue pour enduire le corps de cire, Mélodie a commencé à m'arracher quelques poils non sans faire des remarques humoristiques sur le fait que ce n'était qu'un début et que si je râlais pour si peu, la suite allait être follement amusante. Si j'avais pu, je l'aurai mordue.

      Si le bondage offre de multiples plaisirs et permet de s'évader sous une soi-disant contrainte, là présentement cet assujettissement pour une femme, jeu sur lequel j'ai tant fantasmé n'a plus été un doux fantasme après dix bandelettes de cire. Non, il n'y avait même aucun plaisir et que de la douleur. J'avais tant peur de l'épilation, que j'ai moi-même ce jour là apporté le matériel nécessaire à mon Maître pour qu'il m'aide à assumer ma décision. Si les menottes ne se sont pas cassées ce jour là, elles ne se casseront JAMAIS ! Cette adorable « garce » s'arrêtait pour discuter ou râler après Pierre qui voulait parfois la motiver à l'aide de sa cravache.

      Par provocation avec une petite envie soudaine de jouer elle aussi, Mélodie s'est offert une petite « vengeance » sur ma personne en retirant délicatement et avec lenteur une bandelette qui s'obstinait à arracher un à un mes poils. GRRRRRR ! La boule du bâillon a résisté à une puissance de 1000 kg au millimètre carré tellement je mordais de rage et de douleur devant son plus beau sourire et ses yeux rieurs.

      La suite fut tout aussi délicate ! Libéré sous promesse de bonne conduite, je fus conduit sur un lit. L'espoir de m'y étendre pour me reposer ou mieux encore câliner avec la tortionnaire n'a duré que deux furtives secondes.

      - Aller, lève les jambes et fait-moi voir tes fesses ! Me demanda Mélodie avec son éternel sourire charmeur et ses yeux amusés. 

      Je me suis donc retrouvé comme un  bébé que l'on va langer avec les gambettes en l'air offrant à son regard ma vallée secrète qu'elle examina attentivement comme si elle voulait voir mon âme par le petit orifice si étiré qu'il aurait pu l'exposer.

      - Ne Bouge pas !

      Comme Maître Pierre veillait au grain, je n'ai pas bougé jusqu'au moment où elle a tenté de boucher l'orifice délicatement plissé ainsi que ses proches berges. Devant mes réfutations appuyées de mots pas très courtois, Mélodie a cédé à l'envie de goûter aux plaisirs d'une dominatrice et s'est saisie de la cravache pour la tester sur mon matricule grandement exposé. A partir de ce moment là, je n'ai plus juré de la nuit ! Une heure et demi après, mon corps avait perdu la totalité de sa pilosité, mais que l'on se rassure, je n'ai pas passé d'annonce promettant une récompense à celui qui la trouverait à cause de ma peur qu'il cherche à la remettre et qu'il faille recommencer !

      Il me restait encore à découvrir la plus affreuse des douleurs que je n'avais jamais connue auparavant, une douleur bien plus forte que le fouet qui est déjà abominable. Ayant remarqué que des mini-troncs d'arbres noirs sortaient de mes oreilles, elle y a coulé de la cire. Cette dernière s'est marié pour le meilleur et pour le pire avec tous les polis, aussi bien les gros que les petits. Le retrait de cette cire « just maried » a été abominable, insupportable, intolérable, impensable. La cruelle mélodie n'a absolument rien changé dans son attitude, elle tirait sur les mariés pour que cela vienne coûte que coûte malgré mes cris de cochon que l'on égorge.

      Dans son exceptionnelle gentillesse, Mélodie m'a ensuite enduit de corps d'huile de ses petites mains qui doivent être douce mais hélas, là présentement, je n'étais pas en capacité de les apprécier pleinement tellement ma peau était sensible.

      Le comble pour ma pudeur fut, lorsque je fus rhabillé. Histoire d'immortaliser les plaisirs de mes tortionnaires et quelques scènes mémorable du gallinacé soumis en train de se faire déplumer, les photos prises furent chargées sur l'ordinateur. Jusque là, pas de soucis, la belle Mélodie faisait partie des icônes que vous ne retrouverez jamais dans un pieu livre d'histoires cochonnes. Si, si, vous savez bien, il y a des photos pornos dans ces livres d'histoire, on y vous un mec maso qui sur sa croix était le clou d'un grand spectacle

      Je m'égare ! Revenons-en à ma pudeur déjà mise à mal, qui implosa totalement lorsque Maître Pierre décida de montrer à Mélodie le diaporama des soirées précédentes où l'on me voit dans des postures « légèrement » osées et très mal vêtu avec des tissus féminins colorés qui n'ont pas pour objectif de cacher mais d'attirer l'attention. OUF !

    Bisous, bisous et puis j'allais partir, ben non ! Et merde ! J'avais omis de ranger les lieux, politesse bien naturelle oubliée qui me fut rappelée à la façon d'un grand Maître. AIE !

    Depuis cette période, j'ai l'immense chance de partager le chemin de vie de Maîtresse Marie, nous vivons au quotidien nos passions et notre amour. 

    TSM

     

    Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique