• Féminisation et mésaventures

    Quand le plaisir d’être en femme vous conduit à jouer Outdoor bondage avec des menottes

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    Une lope gay au gîte fétichistes

    Une lope gay devient pire qu’une chienne destinée à la reproduction BDSM.

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  • A gay lope becomes worse than a bitch destined for BDSM breeding.

    A gay lope at the fetish lodge

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  • Ange d’Amour entre les mains d’un prédateur

    Une jeune étudiante un peu coquine, un peu fofolle fait des photos un peu osées pour des paris entre copines. Le surveillant général, un véritable prédateur de jeunes filles les découvre et là, cela ne va plus être un simple jeu de filles. La police arrivera t’elle à temps ?

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  • Lopé et encagé offert pendant un week-end entier

    Une histoire érotique gay sur fond de BDSM et chasteté avec une aventure à hauts risques.

    Une histoire érotique gay sur fond de BDSM et chasteté avec une aventure à hauts risques

    En tant que barman dans un grand club de la région parisienne, j’ai l’occasion de fréquenter des personnes de tous bords. Mon attirance pour la bisexualité et la soumission est connue de quelques clients devenus des amis. Une nuit, vers 3 ou 4 heures du matin, nous prenions des verres avec des noctambules aussi éméchés que moi. Au sous-sol, l’un d’entre eux s’était fait démonter le fion sur un carcan, il avait même été fisté par un mec ayant essayé de lui faire un double fist.

    Entre deux verres, il m’a demandé s’il y avait un trip que j’aimerai réaliser. Le cerveau embrumé, je lui ai parler de mon fantasme d’être lopé et sous cage de chasteté en étant livré à des gays pendant un week-end entier. C’est dire si j’avais bu.......

    Il m’a pris au mot en me disant qu’il pouvait arranger ça, mais qu’il le ferait si j’étais capable d’assumer. Il a payé sa tournée, j’ai payé la mienne, nous étions dans une état déjà bien avancé quand il m’a demandé si j’avais les couilles d’aller jusqu’au bout de mes fantasmes.

    Avec deux ou trois grammes, j’ai évidement relevé le défi, je n’avais peur de rien, j’étais un homme. Le pire est que cette conversation du barman se laissant aller n’était pas privée, les clients présents ont souligné mes propos, entrepris des paris et moi, fier comme Artaban, j’ai promis, juré, défié ces noctambules de la soirée gay organisée ce soir là.

    Un des couples gays présents s’est approché du bar, le soumis a baissé son short en cuir pour me faire voir sa cage de chasteté, une bon45. Son Maître s’est penché en avant vers son sexe comme pour lui faire une fellation, il a attrapé la clé pendue à son cou par une chaîne en or pour ouvrir la cage de son soumis. Quand il l’a retirée pour me la tendre en me disant « chiche », je n’ai même pas hésité. j’étais le roi du sexe, en clair, le roi des C...

    Ils m’ont aidé à la poser sur mon sexe car je n’y arrivais pas. Le Maître du soumis a refermé le cadenas devant tout le monde, et moi, j’étais fier ! Fier de faire voir que j’avais des couilles.

    Le souci est que le lendemain, après deux cachets s’aspirine, la cage de chasteté BON45 était toujours sur moi. Je n’avais pas les clés et pour pisser, après en avoir mis partout, j’ai pris la décision de m’asseoir sur les toilettes.

    C’était un jour férié, le club était fermé, j’étais condamné à la porter jusqu’au lendemain. Le soir, j’étais excité comme un malade, surtout que je venais de surfer sur Fessestivites et d’avoir un contact avec une Maîtresse. Impossible de me palucher. La nuit a été aussi torride que difficile, je ne savais pas que je bandais en dormant. Avec une cage de chasteté, cela pose des problèmes. La journée a été longue, et sortir faire mes courses avec la cage de chasteté me faisait peur. J’avais peur que tout le monde ne la voit.

    J’ai repris mon service à 21 heures comme d’habitude le lendemain, le Maître et son soumis ne sont arrivés que vers 23 heures. J’avoue que l’attente était cruelle, cruelle pour rien. Pour rien parce que quand je lui ai demandé de me retirer la cage de chasteté, il m’a rappelé que je m’étais encagé et ce que j’avais juré devant tout le monde. Je devais donc être son soumis un week-end entier ou il ferait savoir à tout le monde que je me dégonflais. Comme l’idée de tester la soumission avec des gays me titillait, j’ai accepté. Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il m’est arrivé.

    Mais alors pas du tout ! ! !

    Pendant les trois jours précédant le week-end, j’étais comme fou avec cette cage de chasteté. Même mes fantasmes devenaient délirants et extrêmes. J’ai pu me faire remplacer le samedi soir, ils sont venus me chercher le vendredi à 3 heures du matin, l’heure de fermeture du club. Arrivé chez eux, j’ai du me mettre à poil et boire cul sec un grand verre de whisky tant j’étais bloqué. Master Fred m’a posé une chaîne autour du cou puis des menottes sur mes poignets mains dans le dos. Il a appuyé sur mes épaules pour m’obliger à me mettre à genoux et a sorti sa bite pour que je le suce. Cela ne m’a pas posé trop de problème, je l’avais déjà fait une paire de fois quand j’étais plus jeune, mais là, c’était différent. Là, j’étais soumis et cela changeait tout.

    Il m’a défoncé la bouche en arrachant presque mes cheveux. Il y a des fois où son gland tapait le fond de ma gorge et me provoquait. J’ai bien cru qu’il allait éjaculer dans ma bouche, et bien non. Quand il s’est arrêté de me défoncer la bouche, son soumis est venu mettre un préservatif sur sa bite de bonne taille. Il m’a attrapé par le bras pour me coucher sur leur banc à fessée avant de me lubrifier l’anus. Sans plus attendre, il est venu profiter de la bouche du barman givré s’offrant à eux.

    Si je m’étais déjà mis des trucs dans les fesses, j’ai pu découvrir la vraie sensation de la sodomie. Quand son gland s’est enfoncé en moi en poussant les murs sans trop me faire mal, j’ai vraiment senti sa queue qui s’enfonçait lentement et profondément. Plaqué contre le banc à fessée, je n’ai pas pu m’avancer et j’ai du la prendre bien à fond à en avoir mal.

    Il m’a littéralement ravagé le fion à en faire perdre la tête, au point que, je n’ai même pas senti que son soumis c’était vidé dans ma bouche. C’est dire si j’était dans les nuages cotonneux des sensations bien trop fortes pour une première. Quand ils m’ont relevé, j’étais dans un état de délabrement avancé. Ils m’ont mis une laisse pour me conduire à leur chambre et me coucher par terre aux pieds du lit sur une couverture jetée à même le carrelage. Ouf, dodo !

    Au petit matin, j’avais une envie de pisser monumentale. C’est soum888 qui m’a accompagné aux toilettes où j’ai enfin pu libérer ma vessie, assis, même porte ouverte devant lui. Il m’a ensuite conduit par la laisse dans leur chambre, a soulevé le drap pour me guider vers la bite mole de son Maître en me disant : « il adore être réveillé comme ça ». J’avoue qu’en guise de café, c’est dur ! ! ! ! La prochaine fois qu’ils viennent au club, dans le whisky coca de son soumis, j’y mets du sel et du poivre....

    La chose mole a pris forme, elle est devenue dure comme du marbre. Maître Fred a passé sa jambe au-dessus de mon corps pour emprisonner ma tête entre ses cuisses. Quand il a attrapé mes cheveux, j’ai compris ce qu’il m’attendait. Il s’est mis à agiter ma tête comme si c’était une branleuse. J’essayais de ne pas m’étouffer ou vomir quand un jet a percuté ma gorge. Que je tousse ou pas, rien ne l’a arrêté, j’ai du tout avaler et rester avec son chibre dans la bouche. Et ça, cela a duré longtemps car il s’est endormi comme ça. Le chibre est devenu nouille.

    Pendant la journée, j’ai eu de nombreux privilèges. Boire un café, me doucher sous surveillance, manger sans les mains sous la table, faire la sieste couché sur une couverture dans un coin du salon avec, par chance, les mains libres. La chaîne du collier de la lope, elle était quand à elle fixée au radiateur.

    Les privilèges ont continué le soir.

    Bocal_a_lavement_enema_2_litres_1_.jpg

    Bocal à lavement 2 litres en acier inoxydable

    Mon fessier a été choyé et lavé en profondeur. Après m’avoir remis sur le banc à fessée, ils ont suspendu un gros bocal à lavement en ferraille avant de m’enfoncer la canule dans l’oignon. Ils m’ont menacé de me faire lécher par terre s’il tombait quelque chose !!!!! Autant dire, que j’ai serré les fesses comme un malade ! Après m’avoir libéré, marcher avec deux litres dans le bide sans fuir pour aller aux toilettes, c’est compliqué !!!!!!! Ils ont refait l’opération « décrassage » deux fois, j’étais honteux de leur commentaires et surtout vidé, ce truc cela épuise.

    Dormir avec une couche sur la couverture près du canapé a été ensuite un gigantesque plaisir malgré la couche de ..... sécurité.

    Les privilèges suite !

    Douché et parfumé, j’ai été habillé par soum888 avec des fringues à lui. Oh je dis fringues au pluriel, en fait ce n’était qu’un Jockstrap et dentelles d’ABCplaisir !

    Jockstrap_et_dentelles_8_.jpg

    C’est sûr qu’avec ça, l’invitation à consommer sans modération était carrément sur moi !

    Pour la soirée, les missions de soum888 étaient d’assurer l’accueil et le service des amis de Maître Fred. Il avait annoncé une soirée dépucelage à ses amis de Fessestivites. L’enfoiré ! ! ! Mes missions étaient aussi très simples, assurer le bien être des invités et d’être leur jouet.

    Je ne sais dire combien de paire de chaussures j’ai du embrasser en guise d’accueil, mais beaucoup. Ensuite ce fut des pieds et des bites et même des fesses sous la surveillance de Maître Fred armé d’une cravache. Il appelle ça, présenter ses respectueux hommages....

    Paradoxalement, j’étais bien dans ma tête même je me sentais humilié d’être traité moins bien qu’un chien. Ben oui quoi, les chiens ça sent les culs, mais que quand ils ont envie. Dans leur grande amabilité, ils m’ont offert à boire pendant qu’ils picolaient sévère. La bière en gamelle, quand on a très soif, finalement c’est très bon. Il y a eu des mélanges dans ma gamelle c’est sûr, car à un moment j’étais pompette. Un des soumis s’est fait fesser copieusement avant de se faire fister. Et une fois qu’il avait la main enfoncé dans le cul jusqu’au poignet de son Maître, un autre a repris la fessée avec une cravache. Le soumis bramait tout ce qu’il pouvait même la bouche pleine.... La bière ça donne envie de pisser, je pense que certains ont profité de lui parce qu’à certains moments, il était très silencieux.

    Maître Fred a pris la parole pour annoncer la perte de mon pucelage, façon pluriel puisque l’a veille il m’avait « essayé » pour tester la lope. Quand j’ai demandé un verre pour fêter ça avec eux, en fait chercher du courage, ils ont été « « « adorables » » » et m’en ont donné plus qu’un via les soumis. Chacun d’entre eux a du me donner la becquet avec un peu de ce qu’il avait dans son verre. Pour un barman, être servi par la bouche des soumis en guise de verre, c’était original d’après eux.....

    Entravé solidement sur le banc à fessée, j’ai été bien préparé mentalement en recevant une « « petite fessée » » au paddle en devant sucer des bites en silences. J’avais le feu au cul au sens propre du terme mais, encore un paradoxe, je n’ai jamais supplié ou demandé d’arrêter, cela ne me venait même pas à l’esprit.

    La cavalerie ayant décidé de charger, la prise de ma pastille a commencé. Se faire sodomiser à la chaîne devant du monde c’est quand même très humiliant, au moins au début.... Après, on est dans un autre monde. Ils étaient une douzaine, je suis incapable de dire combien m’ont sauté. Par chance, c’était des habitués de la baise en série, ils m’ont lubrifié le fion régulièrement, sans quoi, cela aurait été horrible.

    LA SURPRISE ???

    La surprise est arrivée par un coup de sonnette. Lorsque la personne est entrée, Maître Fred est venu immédiatement me mettre une Cagoule uro sexe sur la tête.

    Cagoule_uro_sexe_hard.jpg

    Cagoule uro sexe

    Après l’avoir ajutée et bien serrée, je n’entendais plus grand chose. J’avoue que cela m’a bien aidé à me sentir encore plus « la chose » ou le jouet. Toutefois, un doute m’habite (sans jeu de mot) depuis cette soirée.

    J’ai l’impression d’avoir reconnu la voix et d’avoir été baisé par mon patron. Si c’est bien lui, il est monté comme un âne, pardon, un cheval. Si j’avais bien apprécié les autres « consommateurs » lui ce fut dur, dur, et même rude. J’ai eu mal du début à la fin ou presque. Cette queue était très grosse et très longue, elle butait au fond de moi comme un marteau piqueur.

    A travers la cagoule, j’ai entendu d’autres cris, je n’étais pas le seul à déguster ce soir là. Ce qui est sûr, c’est que je n’ai pas bu que du sperme cette nuit là, il y a des fois où s’était trop liquide. Quand ils m’ont détaché et porté pour pouvoir disposer du banc à fessée, j’ai bien apprécié le repos du guerrier vaincu. Couché à même le sol dans un coin du salon, je me suis endormi. Le réveil a été un peu rude avec le retrait de la cagoule remplacée par un bandeau.

    Etendu sur le dos, j’ai du lécher les culs des invités en guise de bises. Pour me motiver, Maître Fred procédait à une pédagogique persuasive en m’écrasant les précieuses avec un

    CBT écrase testicule. Je peux vous dire qu’avec ce truc, on en oublie où va sa langue ! ! ! Quoi qu’il en soit, le soir, enfin la nuit, avant d’être couché au pieds du lit avec une couche par sécurité, j’ai pu prendre une douche et le laver les dents. Merci Maître Fred !

    Maître Fred et Soum888 ne sont pas ABDL, la couche c’est juste par sécurité, et j’ai compris le pourquoi le lendemain avec quelques traces de « freinage manqué ». Il est vrai qu’avec ce que j’avais pris, le « joint torique » n’était plus très efficace. Quoi qu’il en soit, ces messieurs ont voulu profiter de moi jusqu’au bout du week-end, surtout Soum888 qui a profité de l’occasion pour s’accorder des plaisirs multiples, autant sexuels que punitifs, jusqu’au moment où son Maître lui a imposé de me faire une gâterie. Ah enfin car ils m’ont retiré la cage en plus du reste !

    J’avoue qu’en rentrant chez moi, je ne me suis pas caressé, je ne pensais qu’à dormir. Ce type de plan, c’est aussi tuant que jouissif, c’est à vivre au moins une fois car c’est très « perturbant ». Quoi qu’il en soit, je suis toujours à la recherche d’une Maîtresse, les femmes, même sadiques, c’est plus mon trip.

    Il y a un petit hic quand même, au club, il y a des fois où je dois porter le fameux Jockstrap et dentelles qu’ils m’ont offert, sans quoi, ils menacent, gentiment, de me refaire un plan dans un sauna gay. J’avoue hésiter.....

    FIN

    Cette histoire est totalement fictive. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.

    TSM

    Tous les accessoires présentés sont comme par hasard de ABCplaisirABCplaisir.jpg

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