• J'ai osé avec 4 hommes

    J'ai osé avec 4 hommes

    Mon copain m'avait plaquée, mon cœur était mort, mon corps profitait des hommes sans histoire de cœur. J'avais 23 ans, brune 1m65, 60 kilos ce qu'il faut là où il faut et j'aime le sexe. L'idée de découvrir le BDSM me titillait tout comme d'être une fille soumise que l'on baise quand on veut où l'on veut. Cette idée m'aurait permis de m'éclater sans histoire de cœur mais fallait-il encore ne pas tomber dans un piège avec des fous. Fessestivites m'a permis d'entrer en contact avec un homme qui annonce clairement être marié en indiquant qu'il organise des soirées chaudes pour des filles gourmandes sachant vivre.

    Stéphane est à la fois directif et à l'écoute, respectueux et ferme dans ses propos, il sait parler aux femmes tout en étant rassurant sur ses intentions. Sans être vulgaire, il sait également les sonder pour aller chercher au fond de nous ce qui ne s'avoue pas au premier venu, nos envies de sexe et nos fantasmes. Avec lui, les mots coulent dans la décontraction, les choses sont si simples qu'on accepte rapidement de lui donner notre téléphone et de le rencontrer dans un lieu public comme il propose spontanément. Il a plus de deux fois mon âge mais pour un plan baise, un homme mûr c'est bien et comme il est grand et costaud cela laisse imaginer des choses surtout quand il vous promet d'assurer votre sécurité lors d'une telle rencontre.

    Lors de la première rencontre, il m'a clairement indiqué vouloir vérifier que j'étais bien celle que j'indiquais, une fille pas farouche qui sait ce qu'elle veut. Pour qu'il organise quelque chose avec moi et pour moi, je devais le lui prouver sans quoi, il ne m'en voudrait pas mais nous en resterions là et il jetterait mon numéro de téléphone. Il m'a expliqué qu'il ne pouvait faire déplacer des gens pour rien si je n'étais pas celle que je lui disais. J'ai donc accepté de le suivre au parking pour y vivre ma première chaleur. Il prenait son temps pour m'allumer et ne cherchait pas à me faire monter dans sa voiture et quand il m'a demandé d'écarter les jambes, j'ai eu un petit moment d'hésitation mais je l'ai fait. Sa main s'est insinuée sous ma jupe pour me masser le sexe à travers mon string, en même temps son regard clair et son sourire malicieux m'ont fait monter d'un cran dans l'excitation.

    - Toujours décidée à t'éclater petite coquine ?

    « Oui monsieur » lui ai-je répondu doucement comme si l'on pouvait nous entendre. Il m'a ouvert sa portière de sa voiture et invitée à monter. Quelques minutes plus tard, quand nous sommes entrés dans un entrepôt dont il avait les clés je me suis traitée de folle. Toujours avec le même calme, il m'a invitée à descendre mais cette fois, loin des regards, ses mains sont devenues plus entreprenantes. L'ordre de lui faire voir mes seins est tombé pendant que sa main s'insinuait dans mon string, j'ai donc retiré mon chemisier et mon soutien-gorge pour les lui offrir.

    - Je vais te baiser, montre-toi chienne et soumise et je te monterai ton plan cul avec des hommes. Crois-moi tu vas t'éclater avec eux, ils vont te baiser sans relâche pendant des heures comme tu ne l'as jamais été. Mais fais-moi voir que tu es une bonne salope. Suce-moi pour commencer. M'a dit Stéphane en ouvrant son pantalon pour sortir un sexe déjà bien fier.

    Je me suis accroupie pour faire ce qu'il me demandait, sa main accompagnait ma tête mais sans la forcer. Au fur et à mesure que je le suçais, il est devenu plus directif en me traitant de bonne salope. Comme convenu, il a sorti un préservatif qu'il a enfilé sous mes yeux puis il m'a relevée et plaquée contre la voiture. J'avais la tête et les mains sur le capot chaud, les fesses offertes quand il m'a prise en douceur. Quelques secondes plus tard, je me faisais défoncer comme une chienne et s'était bon, torride. Entre ses mains, je devenais une véritable salope comme il dit. Prestement retournée puis soulevée je me suis retrouvée couchée sur le dos jambes écartées. Pendant qu'il me possédait, une de ses mains caressait mes seins l'autre mon clitoris avec un savoir faire qui ne laisse pas de marbre. J'ai pris un pied pas possible dans cet entrepôt. J'aurai aimé que cela dure des heures mais il en a décidé autrement. Pendant que je me rhabillais, il m'a tendue une petite bouteille d'eau en me souriant, un geste de courtoisie que j'ai apprécié, qui change de l'attention que les hommes nous portent après nous avoir baisée.

    - Je te dépose au parking et je fille à mon rendez-vous et si tu veux que je te monte un plan cul comme prévu, je suis d'accord. Tu es vraiment une chouette fille qui mérite d'être connue et d'être heureuse.

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    Deux jours plus tard, Stéphane m'adressait un texto en me demandant si j'étais toujours partante pour quatre hommes et si oui, de lui indiquer mes disponibilités. Si avec lui la rencontre avait été excellente, j'avais encore besoin d'être rassurée. Je lui ai demandé s'il serait là, il m'a répondu « je suis toujours là pour une fille qui se confie à moi, puis-je t'appeler ». Comme j'étais à la maison, j'ai répondu oui, l'entretien téléphonique que l'on a eu ma totalement rassurée et j'ai dit « oui » à la grande aventure.

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    Il était là. Il ne me voyait pas de l'autre côté de la rue avec mon petit sac et des vêtements de rechange au cas où, je n'osais plus avancer. Quand mon téléphone a sonné et que j'ai vu que c'était lui j'ai répondu « j'arrive » avant d'oser traverser la rue. Nous avons un peu discuté pendant le trajet, il m'a dit que j'allais m'éclater, qu'il connaissait bien les quatre hommes, qu'ils étaient sérieux et respectueux. Pendant le trajet, il a tenu à ce que je lui donne mon string chose que j'ai faite sans problème.

    - Là où nous allons, l'endroit est un peu lugubre mais tu ne risques rien. Il n'y aura que nous et je serai là en permanence. Concentre-toi sur toi et sur le sexe des hommes qui vont te baiser, oublie le lieu et éclate-toi comme une bonne petite salope.

    Nous sommes arrivés quelques minutes plus tard dans les ruines d'une vielle maison qui devait servir à un artisan car des poutres en béton laissaient entendre qu'une activité industrielle avait eu là. Un bungalow hors d'âge et trois hommes nous attendaient. Quand je suis descendue je n'étais pas fière, j'avais peur, ma seule source de courage était le sourire enjôleur de Stéphane. Il a pris une couverture et un sac dans le coffre de sa voiture et m'a pris la main comme un enfant que l'on conduit chez le docteur. Une fois dans le bungalow, il a étendu la couverture sur un lit puis m'a embrassée en me caressant les fesses. « Tu vas t'éclater » a-t-il murmuré à mon oreille en retirant mon tee-shit et mon soutien-gorge pendant que les hommes entraient.

    - Elle est à vous messieurs, préservatif obligatoire, pas de SM ni de claque, Sophie est une salope qui débute, à vous de lui donner envie de recommencer. A dit Stéphane en ouvrant une bouteille de champagne.

    Il m'a offert une flutte de champagne que j'ai presque bue cul sec pour me donner du courage. Une fois avalée, Stéphane voyant mes hésitations ma prise dans ses bras pour me conduire aux hommes afin qu'ils commencent à me toucher. Leurs mains m'ont électrisée, elles flattaient mes fesses, mes seins, on me touchait de partout en même temps. Conduite sur le lit et mise à quatre pattes, j'étais à eux pour deux heures. Même si j'avais un peu peur, l'excitation est rapidement montée, j'avais vivre mon fantasme de chienne soumise au sexe de plusieurs hommes en rut.

    J'ai commencé à sucer l'un d'entre eux pendant qu'un autre frottait son sexe sur mes fesses en disant que j'avais un très beau cul. Stéphane leur a donné du gel et a posé un rouleau de sopalin pour qu'ils n'en mettent pas partout. Quand un doigt m'a lubrifiée et pénétrée j'ai fermé les yeux et je me suis concentrée sur la bite que je suçais. Le premier à me prendre était doux au départ, mais cela n'a pas duré. A quatre pattes comme une chienne je me suis faite baiser pendant un long moment en suçant deux bites l'une après l'autre pendant qu'on me malaxait les seins. C'est devenu très bon, fabuleux, divin d'être ainsi offerte. Et puis ils m'ont retournée et mise sur le dos.

    L'un d'eux a mis mes bras au-dessus de ma tête puis les a enjambés avant de venir au dessus de mon visage pour que je le suce. Le nez sur sa raie des fesses, je ne loupais rien de son anatomie. Quand le suivant m'a soulevée les jambes, mon réflexe a été de redescendre mes bras pour les tenir mais c'était impossible, celles de l'homme sur moi les bloquaient. A cet instant là, je ne pouvais plus rien faire hormis me faire baiser, être leur chose, leur chienne. Le mec m'a prise aussitôt en remontant mes jambes les plus haut possible. Celui que je suçais les a attrapées pour les bloquer, putain ce que j'ai pris mais qu'est-ce que c'était bon.

    Pendant deux heures j'ai sucé des bites pendant que d'autres me prenaient. A la fin je n'en pouvais plus. J'avais la chatte en feu mais en même temps c'était divin. Ils n'ont jamais essayé de m'enculer parce que je ne voulais pas, j'avais dit non à la sodomie, finalement j'aurai du dire oui car dans une aventure comme celle-là, cela doit être planant.

    Stéphane les a arrêtés au bout d'un moment, il m'a donné un peignoir puis nous a servit du champagne. Les hommes m'ont félicitée à leur manière en me traitant de bonne salope, et le pire c'est que pour le mot salope pour une fois j'étais d'accord.

    Cette expérience restera à jamais gravée dans ma mémoire, la tentation de recommencer me titille et si je le refais, ce sera avec Stéphane qui se fait appeler organisation84 car il sur www.fessestivites.com m'a accompagnée, respectée, baisée, protégée et a tout fait pour que je m'éclate.

    C.. surnommée Sophie pour ce récit.

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