• Je ne supporte pas mais j'aime la confession intime d'une soumise

    Je ne supporte pas mais j'aime


    Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte
    Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne
    Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force
    Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette

    Que de paradoxe me direz-vous et je serai d'accord car j'ai mis longtemps à accepter tout ce qui est ci-dessus. Quand je dis « accepter » c'est de moi dont je parle, pas de lui, accepter que j'aime ça.

    Il est Mon Maître, il peut faire de moi tout ce qu'il veut,
    Il est Mon Maître, je suis sa chienne, sa vide couilles
    Il est Mon Maître, il est dur avec sa soumise mais il me rend heureuse, me comble au-delà de tout ce que j'aurai pu imaginer avant de le connaître.

    Femme soumise attachée

    MON HISTOIRE NOTRE HISTOIRE

    Je suis venue au libertinage puis au BDSM après mon divorce, l'envie de vivre ma vie de femme autrement qu'en élevant les enfants me travaillait l'esprit d'une force difficile à imaginer. Alors je me suis inscrite sur des sites libertins, j'ai baisé plus que je n'ai été baisée car c'est moi qui prenais l'initiative. Si ma soif de sexe, de bites, osons dire les mots, était étanchée, après chaque rencontre, le vide, que dis-je le néant. Le désert affectif, la solitude de la vie.

    Un jour un homme m'a dit « tu es une soumise révoltée, c'est d'un Maître que tu as besoin ». Je l'ai envoyé paître d'une force qui m'a surprise de par la puissance des mots que j'ai utilisés. Moi soumise à un homme ? Impensable !

    De retour à la maison vide, (les enfants étaient chez mes parents) je ne décolérais pas. Je me suis inscrite sur Fessestivites pas réellement pour m'instruire sur les Maîtres et le BDSM mais plus pour les narguer. Et là, je suis tombée sur Le Maître. Des amies m'ont dit que j'avais eu beaucoup de chance de le trouver du premier coup parce que dans le monde du SM, il y a beaucoup de mémaitres.

    Maître T a su me parler avec respect, avec un respect bien supérieur à celui du libertinage, ce fut Sa Force et c'est par son respect qu'il a fait de moi sa chienne soumise. Nous avons longuement échangé par email, au début j'avais peur du SM, pour moi, cela rimait avec violence. Il ne m'a jamais demandé mon numéro de téléphone, par contre lui mettait le sien après sa signature. Quand je lui ai demandé pourquoi il mettait son tel et ne me demandait pas de l'appeler, il m'a répondu : « tu m'appelleras quand tu seras prête », j'ai tout mon temps.

    Lors de nos échanges, il m'a tout appris, enfin, tout est une expression fausse car on ne peut tout savoir, disons qu'il a su m'éclairer avec des mots choisis sur ce monde étrange qui commençait à me titiller pour ne pas dire perturber. Ce mec me vouvoyait, ne me demandait pas de l'appeler, ne me forçait pas la main et surtout m'a répondue un jour alors que je lui demandais s'il me baiserai : « je ne suis pas un queutar en manque, je te baiserai seulement si tu le mérites ». Pour moi qui pendant des mois avais pris les initiatives avec les libertins, ce fut un choc, presque un défi. Au fond de moi j'ai pensé : « je t'aurai comme les autres, tu n'es qu'un mec ». Quelle erreur !

    Un soir, il a gagné et j'ai craqué, ce fut comme si lui parler et entendre sa voix devenait un impérieux besoin. J'ai donc pris le téléphone et je l'ai appelé. Il m'a répondu d'une voix posée très mélodieuse qu'il était ravi que j'ai fait le pas du téléphone en me disant qu'il allait raccrocher parce que je ne lui avais pas demandé l'autorisation. Sur le coup, j'ai cru qu'il plaisantait mais non, il était sérieux. Il m'a dit de lui demander par email la permission de l'appeler ce soir, qu'il me répondrait « oui » avec plaisir et il m'a raccroché au nez ! ! ! Surprenant. Dire que je suis restée sur le cul est un euphémisme.

    Pour jouer son jeu mais aussi pour comprendre ce qu'il m'arrivait, je lui ai demandé par email si je pouvais l'appeler. Sa réponse positive a été immédiate : « Oui avec grand plaisir, j'attendais ton email depuis des semaines». Ce soir là, j'ai pris ma première leçon de soumission avec un simple téléphone.

    Au téléphone il était comme dans ses emails, calme, posé, sûr de lui mais toujours aussi respectueux. Sa voix m'envoûtait et quand il m'a proposé d'aller chez lui prendre un verre, j'ai accepté. Il était 22 heures, quand la grande folle que je suis est montée dans sa voiture pour aller seule au milieu de la nuit rencontrer un Maître.

    Ce soir là, il ne m'a pas touchée, nous avons bu une excellente bouteille de champagne et longuement parlé. Je voyais bien que l'envie de moi était présente mais il contrôlait ses mots, ses gestes avec des yeux brillants et un sourire enjôleur. Il m'a proposé de dormir dans la chambre d'amis à cause de l'alcool en me proposant de devenir Mon Maître dès le lendemain si je le désirai. Il a insisté pour que je ne lui donne pas ma réponse le soir même mais il la connaissait déjà. Un seul ordre m'a été donné en guise d'acceptation.

    - Si tu acceptes d'être ma soumise, je te promets le respect, la sécurité, de la tendresse et de la fermeté. Je te ferai connaître les plaisirs du SM et des jouissances physiques que tu n'imagines pas mais encore une fois, c'est toi qui feras l'offrande, je ne te violerai pas physiquement ni psychologiquement. Ce soir je ne te toucherai pas, je ne te ferai rien même si j'en ai autant envie que toi.

    (Il devait lire dans mes pensées les plus secrètes et les plus inavouables)

    - Si tu acceptes d'être ma soumise, demain matin à 8 heures présente-toi nue aux pieds de mon lit avec un café sucré, remué. Tu es libre d'accepter ou de refuser et rien ne t'oblige à le faire. Je peux me servir mon café tout seul, tu n'es pas ma bonne ni ma mère, mais par cette offrande de ta nudité et de ton acceptation de l'ordre tu feras un pas de plus dans ta soumission vers moi.

    D'un geste il m'a indiqué la salle de bain puis la chambre d'amis et m'a souhaité une bonne nuit. J'étais très perturbée. Le sommeil ne venait pas, son ordre me travaillait autant que cette force tranquille qui se dégageait de lui et son emprise sur moi.

    Qu'ai-je fait ?

    Après avoir tourné et retourné les questions qui me traversaient la tête, à 8 heures précises je suis devenu sa soumise. Depuis nous ne nous sommes plus quittés.

    Ce matin là, il m'a fait l'amour mais pas comme un mec en manque, non, comme un Maître charmeur attentif. Il m'a pris la main avec douceur pour me guider sur le lit en me disant que j'étais très belle, qu'il était fier de moi et de ma force de soumise. Une soumise pour lui est quelqu'un de fort, car il faut du courage pour l'abnégation de son moi et de sa fierté. Et là, après avoir bu son café il m'a dévorée. Mon premier sentiment d'appartenance je l'ai eu ce matin là après les préliminaires savoureux et le début de l'acte sexuel en lui-même.

    J'étais bien, étendue sur le dos offerte à son glaive si délicieux, je savourais ses mouvements puissants et posés quand il a pris mes poignets pour les mettre au-dessus de ma tête. Sa main gauche les a enveloppés et bloqués, il m'a souri, il a déposé un baiser tendre sur mes lèvres avant de me sauter sauvagement sans jamais lâcher mes poignets. Ses mouvements en moi me rendaient folle, ses yeux inquisiteurs et son sourire me faisaient fondre, les mains bloquées je ne pouvais subir que la douce torture de l'amour de mon Maître. J'aurai aimé le serrer dans mes bras, le caresser mais il en avait décidé autrement. Aussi patient en amour que dans sa domination il a attendu que je jouisse pour s'abandonner à son tour.

    Sous les draps, lovée contre lui je ronronnais comme une chatte en chaleur, sauf que je ne l'étais pas physiquement alors que mentalement.......

    Le samedi fut une journée de discussions et de promenade. Nous avons fait un détour chez moi pour que je prenne des vêtements propres avant d'aller dans un resto dès plus agréable dans les calanques. Alors que nous regardions la mer assis sur des rochers, il m'a annoncé toujours avec le même calme que le soir même j'aurai ma première punition pour avoir jouis le matin dans ses bras sans lui demander l'autorisation.

    Ce ne fut pas une réelle punition mais une grisante découverte.

    Nous étions dans son salon quand il m'a demandé de lui servir un apéritif puis il m'a interdit de m'asseoir. Je devais rester debout à côté du canapé sans bouger et attendre ma « punition ». Quand il m'a attirée sur lui, j'ai compris que j'allais prendre ma première fessée d'adulte. J'avais peur d'avoir mal mais je me motivais pour ne pas le décevoir. C'est lui qui ne m'a pas déçue !

    Il a commencé par caresser mes fesses par-dessus ma robe avant de la remonter doucement comme pour faire durer le plaisir et faire languir ma peur. Je me souviens avoir bondi sous la première claque qui en fait n'était qu'une caresse. Lentement mais sûrement, il m'a fessée. Ces claques sur mes fesses étaient lentes et très modérées, il alternait d'une fesse à l'autre sans jamais s'arrêter. Au bout d'un moment, une impression de chaleur m'a envahie, cela piquait mais c'était bon je l'avoue sans aucune pudeur. Il a du sentir cette évolution de mes sensations car il alternait claques et caresses, ce qui me rendait folle d'excitation. Allongée sur ses genoux fesses à l'air, fessée comme une gamine j'ai commencé à planer dans le monde du plaisir dans la douleur, un plaisir nouveau que je ne connaissais pas.

    J'avais un peu mal mais en même temps, je ne voulais pas que cela s'arrête. Il m'a ensuite annoncé que je n'aurai qu'une seule claque punitive pour ma première punition. Celle-là par contre je l'ai sentie passer et comme je n'avais pas dit « merci Maître » j'en ai pris une seconde du même acabit, là je n'ai pas oublié de dire « merci Maître ».

    Ma « punition » terminée, étendue sur ses genoux, j'ai sentie des picotements délicieux sur mon épiderme fessier. C'était chaud, c'était bon, ainsi offerte, je n'avais pas envie de bouger, de casser la magie de ma première fessée.

    C'était il y a un an et je me souviens de tout comme si c'était hier.

    Aujourd'hui,


    Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte
    Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne
    Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force
    Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette

    Traduction

    Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte quand j'ai fait des bêtises mais ce n'est pas battre dans le sens de la violence conjugale. Cela me permet de grandir en tous points.

    Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne parce qu'à ses pieds j'en suis une mentalement alors que je n'aurai jamais imaginé cela.

    Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force quand il me livre les yeux bandés et les mains attachées dans un gang bang.

    Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette quand il s'occupe de moi dans le domaine du plaisir BDSM.

    Il est Mon Maître, il peut faire de moi tout ce qu'il veut,

    Il est Mon Maître, je suis sa chienne, sa vide couilles

    Il est Mon Maître, il est dur avec sa soumise mais il me rend heureuse, me comble au-delà de tout ce que j'aurai pu imaginer avant de le connaître.

    Merci mon Maître

    Votre soumise

    TSM Journaliste de Fessestivites

    « Folsom Street Fair en CalifornieSoumis ABDL forcé d'assumer »

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