• L'île de la tentation chapitre 6/9

    L'île de la tentation chapitre 6/9

    Par TSM


    8 heures

    Ce matin, le moral d'Aline est au beau fixe malgré les liens autour de son cou et la litière de paille dans laquelle elle est assise. Cette nuit, ses cauchemars sont devenus rêves. Rêves de liberté et rêves d'amour avec cet homme bon dont elle s'est éprise en une nuit.

    C'est la première fois qu'elle atteint le paradis des plaisirs dans les bras d'un homme. Et quel homme ! Il est tendre, doux, respectueux, gentil. Certes, il aime le ponygirl, mais peut-être que cette pratique est courante dans un couple. Après tout, que connaît-elle de la vie ? Rien, à part deux jeunes amants maladroits qui ne lui ont donné aucun plaisir alors qu'avec lui, elle a découvert des sensations qu'elle n'aurait jamais imaginées.

    Régulièrement ses mots reviennent à l'esprit de l'orpheline élevée par la DASS : « Je t'aime », « Tu es le soleil de ma vie ».

    Regrettant son absence, elle se plait à espérer un TREC ce matin, pour qu'ils puissent encore s'isoler sur les chemins sauvages de cette île paradisiaque.  

    En même temps, elle est confuse à l'idée de ne pas être propre et belle pour lui. A l'aube de cette nouvelle journée, elle a fait ses besoins naturels le plus loin possible dans un angle, en prenant exemple sur la façon de procéder de Lucie. Sa gêne préalable à l'expulsion si naturelle mais toutefois d'une façon peu commune, n'a été que de courte durée, le port de la queue de cheval pendant la journée équestre ayant quelque peu assouplit et distendu son fondement toujours enflammé.

    Curieuse, Lucie s'approche puis se penche par-dessus la barrière de bois qui les sépare.

    - Vous vous êtes bien amusé hier soir ? Lui demande-t-elle avec des yeux complices.

    Aline serait particulièrement embarrassée par cette question intime si elle n'était pas contrainte au silence par cette boulle qui clôt sa bouche.

    - Moi, j'aime bien être chevauchée pendant le Pony Night, si tu vois ce que je veux dire. Je trouve que la nuit libère nos pulsions animales et les rend plus fortes, plus sauvages. Une fois, j'ai tellement décollé que j'en ai perdu connaissance et qu'il a.... Chut, quelqu'un vient ! Chuchote Lucie.

    Alan entre dans les écuries d'un pas décidé. Il détache Lucie pour la conduire dans l'allée centrale puis entreprend de faire son box avec d'une fourche et d'une brouette pour transporter la paille souillée. A l'aide d'une éponge savonneuse, il la lave et la rince en s'attardant sur ses formes puis entre ses jambes plus que de raison. Lucie ne semble pas gênée, les cuisses largement écartées, elle le regarde avec des yeux langoureux.

    Aline sent bien qu'il y a une certaine complicité, entre eux, il faudra qu'elle se méfie de cette fille et ne lui fasse pas de confidence sur leur projet de fuite. Oh ? Elle s'agenouille devant lui, peut-être va-t-il leur laver les cheveux ?

    Soudain, Alan dégrafe son pantalon pour en extraire sa verge bandée face au visage de Lucie. Elle ne le fuit pas, bien au contraire et le prend dans sa bouche sans aucune contrainte ! ! !

    Comment se peut-il ? Est-ce une habitude de faire cette chose après avoir été lavée par lui ? Non ! Elle ne fera jamais ça, plutôt mourir ! Particulièrement gênée et inquiète, Aline détourne son regard pour se mettre à prier face au mur blanchi à la chaux.

    Quelques minutes plus tard, des bruits, des gémissements et claquements perturbent sa communication divine. Ne pouvant contenir sa curiosité, elle jette un regard furtif. Oh mon dieu ! Ce n'est pas vrai ! Alan tire sa tête en arrière par les cheveux et la prend debout contre la barrière comme un sauvage en accompagnant ses mouvements brutaux de coups de cravache sur ses cuisses. Le pire, c'est que Lucie ne semble pas le subir ! Elle est cambrée et s'offre à lui en éprouvant du plaisir puisqu'elle lui dit des « oui » comme une folle et sans aucun pudeur !  

    Aline tourne la tête pour fuir cette vision d'horreur, mais les bras liés, ne peut obstruer ses oreilles pour fuir ces ignobles bruits. Les claquements de la cravache deviennent plus forts, plus rapides aussi. Un long râle de plaisir féminin et des cris emplissent soudain les écuries.

    Comment ce peut ? Comment Lucie peut-elle avoir du plaisir ainsi et crier « oui », « plus fort », « encore » ? Aline a bien entendu parler de masochisme, mais ce qu'elle voit et entend, va bien au-delà bien des définitions du dictionnaire.

    .........................................

    Lucie, équipée d'un harnais de gala, est dans son box. Aline, la gorge serrée et le ventre noué d'angoisse, voit Alan venir vers elle avec un regard pervers.   

    - Aller vient ma poule, on va te faire une beauté !

    Guidée jusqu'au point d'eau de l'écurie, Aline tremble comme une souche. Lorsqu'il entreprend de fixer à sa cheville gauche un gros bracelet, elle s'affole, résiste et lui donne un coup de pied. Sans dire un mot, Alan se redresse, saisit une cravache et cingle ses fesses et ses cuisses. Aline se tord de douleur en poussant des cris étouffés. Vrillée sur elle-même, jambes serrées, elle offre de par sa position sa poitrine à la main d'Alan qui cueille un sein d'un soufflet cuisant.

    - Je continuerai tant que tu ne seras pas devant le poteau jambes écartées ! Aboie Alan en continuant de la cravacher. 

    Laminée de douleurs, Aline prend si vite la pause demandée, qu'elle se cogne le front contre le poteau de bois. La longe de son collier est aussitôt passée dans un gros anneau au-dessus de sa tête. A moitié pendue par le cou, elle tire inutilement sur ses liens pour essayer de se soustraire aux morsures infernales de la cravache. Sa poitrine s'abîme sur le bois rugueux pendant que ses fesses endurent une avalanche de coups. La correction est atroce, les cris et les râles même étouffés, emplissent l'écurie.

    - Tourne-toi et ne t'avise plus jamais de botter ! Lance Alan visiblement satisfait du visage défait de sa victime lorsqu'il détend un peu la longe.

    Saisissant les deux tétons entre le pouce et l'index de ses mains, il commence à les tordre en les pinçant affreusement. Une odieuse chaleur envahit ses bouts de seins qu'il écrase dans un roulement de plus en plus rapide. Il les tire vers le haut, forçant Aline à se mettre sur la pointe des pieds les yeux rivés sur ses seins cruellement tendus. 

    - Et si je te pendais par les tétines ?

    - OOOOOOOOONnnnnnnnnnnnn ! Hurle Aline dans son bâillon.

    - Tu seras bien sage ? Murmure Alan le regard brillant de méchanceté.

    - Ouuu-i Ouu-i !  

    Libérant soudain les deux tétons érigés par la traction cruelle, il observe le mouvement de la fière poitrine qu'il étire à nouveau dès qu'Aline a posé ses talons sur le sol. Ce petit jeu le comble tout comme le visage suppliant de sa jeune victime.   

    Elle est soulagée de le voir reprendre son ouvrage interrompu par le coup de pied malheureux. Les fesses et les seins en feu, Aline n'oppose plus aucune résistance. Il la lave avec l'éponge comme il l'a fait avec Lucie en insistant particulièrement entre ses jambes tenues écartées par une barre.

    - Je mets beaucoup de savon là, parce que ce matin je vais plumer ton petit minou ! Dit Alan en fixant le visage de sa victime pour en apprécier les réactions.

    Aline fait des « non » désespérés de la tête. Même si elle est jeune, prude et inexpérimentée sur ses choses là, elle a compris le sens de ses mots qui sonnent à ses oreilles comme une sentence de mort. Lui, semble se délecter de son visage cramoisi et inondé de larmes ! De sa poche, il extrait un rasoir qu'il ouvre lentement avec un regard brillant de méchanceté devant les yeux apeurés.

    - Faut pas bouger, ça coupe ces choses là !

    La lame froide glisse sur la peau délicieusement satinée de son ventre plat pour descendre vers le triangle érogène. Pendant qu'elle fait son office, Aline tremble de la tête aux pieds mais ne bouge pas d'un cil, même quand il étire ses lèvres intimes pour affiner le rasage.

    En quelques minutes, de la fine toison soyeuse, il ne reste plus qu'un souvenir. Son ventre ressemble maintenant à celui d'une petite fille qui pleure à chaudes larmes sur son sort.

    Pendant le rinçage elle n'a plus honte de rien, comme si sa dignité s'en était allée avec sa pilosité intime. Il écarte ensuite ses fesses pour en nettoyer le délicat petit orifice plissé. Les yeux dans le vague, comme infantilisée elle ne réagit plus et attend la fin de la toilette.

    - Aujourd'hui, c'est dimanche, alors on va te faire belle pour ton amoureux ! Lui dit la femme qu'elle n'avait pas vu arriver dans son dos.

    Cette sorcière qui l'a faite courir en la cravachant, s'est déguisée avec un ensemble de cuir noir brillant, de hautes cuissardes assorties à un body corset qui soutient sa poitrine sans la masquer. Pour parachevez sa tenue, un chapeau haut de forme rouge avec du tulle de la même couleur et un cache cou vermeil. L'effet est des plus surprenant mais Aline n'est plus étonnée de rien.

    Dans ses mains, elle tient des cuissardes, un superbe harnais rouge parsemé de clous dorés et un «clou de tête» avec de longues plumes rouges. Elle pose ses affaires puis fait asseoir Aline pour la coiffer et la maquiller. La mise en place de la queue de cheval dans son adorable petit postérieur avant la fermeture du harnais, ne se réalise pas sans tentatives de discutions, mais la cravache agitée sous son nez a rapidement raison de ses réfutations. Le lubrifiant n'apaise pas ses douleurs mais facilite le passage de ce cône froid qui lui arrache un cri lorsque la partie évasée s'enfonce dans ses reins.  

    Sa poitrine est mise en valeur par un soutien-gorge ouvert, assorti à un large tour de cou. Sa tête est ornée du clou et ses jambes moulées par les cuissardes noires à talons hauts.

    Rapidement attelée à un chariot dans la cours, elle est conduite à la villa par la conductrice qui la guide sans brusquerie mais corrige le moindre de ses écarts de la pointe d'un long fouet dont une partie est rigide.

    Une quinzaine de personnes discute sur la terrasse dallée et comme l'on peut s'en douter, son arrivée ne passe pas inaperçue. Henri semble fier d'elle et la complimente sur son exceptionnelle beauté. Aline, heureuse de son compliment en oublie un peu la gêne de son exhibition. 

    Lucie, conduite par Alan, arrive au petit galop. Son arrivée est aussi particulièrement remarquée. Sa taille est ceinte par une large ceinture si serrée, qu'Aline se demande comment elle peut encore respirer. Sa poitrine généreuse agrémentée d'un tatouage de cheval qui rue porte des larges anneaux fixés dans ses tétons percés.

    Complètement dans son rôle, elle racle le sol d'une de ses bottes ferrées en ruant légèrement. Aline comprend qu'il s'agit d'une exhibition du club lorsque d'autres ponyboys et ponygirls arrivent en tenues de parade. Deux hommes en harnais tirent un gros chariot guidé par une femme debout armée d'un gros fouet. Un autre double arrive quelques minutes plus tard, mais ce sont deux femmes harnachées avec des tenues vulgaires qui tractent un chariot conduit par un homme tout de cuir vêtu.


    Les ponygirls portent des bas noirs, qu'elle drôle d'idée en cette période se dit Aline. Tout ce qu'elle voit, dépasse son entendement. Henri s'apprête à monter dans le chariot de sa belle et constate qu'elle a été battue.

    - Qui c'est qui t'a fait ça ? C'est Bernard ? Demande Henri en caressant son adorable fessier zébré par la cravache.

    Aline fait « non » de la tête.

    - C'est Alan ?

    Aline fait « oui » de la tête.

    - Conduit-moi à lui ! Demande Henri avec une voix cassante qui ne laisse pas entendre de réfutation en s'asseyant dans le chariot. 

    Aline exécute son ordre, contourne les attelages en s'inquiétant de la suite des évènements. Arrivé devant son bourreau du matin, elle s'arrête en frémissant.

    - La prochaine fois que tu la touches, je te tue ! Dit Henri avec une voix calme posée et glaciale.

    Alan de répond pas à cette menace. Elle sent bien que les hommes s'affrontent du regard un instant puis Henri claque les rênes pour qu'elle avance. Aline, fait un écart en démarrant pour faire passer la roue du chariot sur les nu-pieds de celui qui l'a tant faite souffrir depuis son arrivée.


    Guidée d'une main ferme, l'attelage quitte la villa pour s'enfoncer dans la végétation luxuriante du Sri Lanka. En chemin, il contemple avec ravissement ses fesses striées sans la moindre once de graisse pour altérer ce chef d'œuvre ciselé par la main de mère nature. Cette exceptionnelle beauté fessière est sublimée par une courroie rouge et cloutée d'œillets dorés. Elle en sépare les magnifiques lobes et bloque la queue rouge qui balance au rythme des pas.

    Quelques minutes plus tard, du haut des palmiers, les écureuils s'étonnent de voir un homme serrer dans ses bras une femme attachée à un chariot. Débarrassée de son mors, elle se donne à lui dans un baiser, fougueux, passionné. Aline déguste les lèvres d'Henri comme le calice de la vie. Ce n'est pas sa liberté qu'elle achète mais bien de l'amour de jouvencelle qu'elle donne.

    Il ne résiste pas à l'envie de croquer les deux beaux fruits butant contre sa poitrine. Il les prend dans ses mains en les caressant habilement, puis embrasse du bout de ses lèvres brûlantes les petites pointes de chairs auréolées qui offrent une douce résistance aux assauts de sa langue gourmande de ces fraises des bois encore sensibles des horribles pincements d'Alan. Le vent caresse son buste humide des baisers gourmands et ses épaules nues à la peau frémissante de désirs. Etre debout, presque nue, le corps pris dans ce harnais avec ses poignets bloqués aux bras du chariot, trouble Aline soumise aux désirs de son homme.   

    Prise par le magnétisme de l'instant, minaudant les yeux énamourés, elle croise et décroise ses longues jambes comme en attente de perspectives érotiques.

    - Fait-moi l'amour, mon corps tout entier a besoin de toi !

    - Ce soir ma puce, ce soir, il faut que nous rentrions maintenant ! Dit Henri.

    - Non, pas encore, détache-moi et laisse-moi te serrer dans mes bras.

    - Ma puce, demain je vais devoir partir de bonne heure pour te sortir de là. C'est beaucoup plus compliqué que je ne le pensais. Il va falloir que tu me fasses confiance et que tu sois patiente. 

    Comme un grand coup de chaleur dans l'échine elle reçoit ses mots en plein harnais.

    - Ne me laisse pas ici, s'il te plait ! Emmène-moi avec toi ! Pleurniche Aline aux yeux embués.

    - Si l'oiseau des îles que j'aime veut bien m'épouser dans la tradition de ce pony club fou, elle pourrait bientôt s'envoler pour roucouler dans ma résidence secondaire en Jordanie.


    .......Silence................


    ..........Emotions.............


    .............Tremblements.............


    ...................Larmes de bonheur.............


    - Tu m'aimes à ce point ?

    - Oui ! Je suis profondément amoureux de toi. Tu peux refuser ma demande en mariage, mais ma vie t'appartient déjà. Je....

    - Mais, tu n'es pas marié ?

    - Je suis en train de divorcer.

    Le dialogue des langues câlines est soudain muet, mais tout comme le silence, il vaut son pesant d'or.

    - Dois-je en conclure que c'est oui ? Demande Henri essoufflé par le torride baiser.

    - Libère mes bras si tu n'as pas peur de te faire manger ? Répond Aline.

    - Rentrons avant de faire une bêtise qui pourrait compromettre nos projets ! Répond Henri qui a du mal à faire taire son envie de gourmandises érotiques.

    ..................................

    10 heures 30


    Près de l'immense cour dallée de la villa, des obstacles de concours hippiques ont été installés. Du côté de la réception des sauts, des tapis de sport sont prévus pour éviter les blessures en cas de chute.

    Henri explique que ce ponyplay s'appelle le Saut d'Exposition. Le pony est guidée par son conducteur courant à ses côtés. A chaque passage, les barres sont légèrement relevées, le gagnant sera celui qui sautera le plus haut.

    Aline regarde étonnée pendant près d'une heure les concurrents humains bras déliés, sauter à tour de rôle les obstacles sous les applaudissements des spectateurs. Prise d'une irrésistible envie de faire plaisir à Henri, elle fait des signes de la tête pour lui faire comprendre qu'elle désire participer. A l'école, elle était la meilleure de sa classe au saut d'obstacle, elle peut faire largement mieux que ces hommes bedonnants ou Lucie qui semble t'il va surclasser les ponygirls présentes aujourd'hui malgré sa taille étranglée.

    Etonné dans un premier temps, il refuse en prétextant qu'il ne veut pas qu'elle se blesse mais devant l'insistance et ses clins d'œil, il finit par céder et la dételle. Rapidement déchaussée, elle est conduite au départ, les poignets libérés des contraintes. Son premier parcours est très remarqué et applaudi.

    Les jambes fuselées d'Aline cache une puissance certaine. Henri souffle en courant auprès d'elle, en s'interrogeant sur les bienfaits de ce jeu sportif pour son cœur emballé. Si elle n'avait pas cette p.... de queue dans les fesses, Aline pourrait faire bien mieux encore. En lui proposant de participer, elle l'avait un peu oublié cet accessoire douloureux et très gênant dans l'effort.

    Comme elle l'avait présagé, les ponyboys sont rapidement déclassés tout comme les deux ponygirls qui ne pouvaient pas sauter bien haut avec leurs grosses cuisses. Lucie n'est pas décidée cette fois à la laisser gagner, elle a un rand à tenir devant cette foule en délire. Henri en nage, a un mal fou à suivre sa pouliche dans ce duel. Les obstacles sont maintenant d'une bonne hauteur. Lucie est passée de justesse au premier et a fait tomber le deuxième.

    Dans la prise de vitesse, Henri ne peut pas aller aussi vite qu'Aline le désire, d'un coup de tête, elle arrache les rênes de sa main et passe allégrement les obstacles sans son conducteur pour revenir à lui en souriant avec des yeux pétillants de fierté sous un tonnerre d'applaudissement !

    ..................................

    12 heures

    Autour d'un apéritif grand luxe, les débats sont accès sur le jeu et sur cette jeune pouliche d'une exceptionnelle beauté. Henri, légèrement ivre fait boire du champagne à Aline sans lui retirer son mors. Complètement euphorique, prise par l'amour, la joie d'avoir gagné et grisée par le champagne, Aline se laisse aller avec insouciance en son ponyplay dans l'hilarité la plus totale.

    Elle joue la comédie, elle surprend, elle est joyeuse, espiègle, funambulesque, personne ne résiste à sa séduction. Dépassé par les évènements, Henri lui souffle quelques mots à l'oreille, l'attelle et la raccompagne aux écuries.

    Aline est naturellement belle, mais quand elle se fait féline et provocante, elle devient simplement irrésistible. Pendant qu'il retire ses cuissardes, elle le regarde avec un air d'appel au viol sur son visage et les yeux mi-clos. Ni tenant plus, pris d'une impérieuse envie de sexe sauvage, il retire le mors et l'embrasse passionnément. .

    Rapidement retournée pour être plaquée contre la barrière du box, il retire la queue rouge, ouvre l'arrière du harnais et prend sa ponygirl qui n'attendait que ça. Son fourreau intime tout émoustillé l'accueille avec délice. Sa poitrine fait l'objet d'un malaxage sans retenue et de petits pincements faisant vibrer les seins tièdes et jaillir les pointes comme des dards.

    Délaissant les appelants enflammés, il claque soudain ses fesses tendues vers lui. Attachée et complètement nue, Aline s'abandonne sans réserve au plaisir déferlant malgré les soufflets insistants qui chauffent ses charmantes rondeurs. La douleur est là, mais c'est le plaisir qui domine. C'est comme si une braise ardente montait de ses reins, jusqu'à son esprit en perdition affective et émotionnelle.

    Le bas du harnais se décroche lentement libérant un peu les poignets d'Aline qui glissent presque naturellement vers son sexe nu depuis se matin. Ses petits doigts agiles font émerger le bouton des plaisirs en déployant les pétales de chair gluante de sécrétions intimes. D'où me vient ce plaisir d'être ainsi malmenée se demande t'elle en le titillant frénétiquement.

    Il fesse et fouraille comme un perdu, elle marmonne de longues onomatopées noyées au milieu de ses grognements de plaisir et de ses plaintes. Elle pousse soudain, un cri de bête aux aboies qui résonne longuement avant de se muer en gémissements.


    Saisissant les cheveux blonds qui volettent sur le dos à la peau satinée, il tire sa tête en arrière et s'enfonce profondément dans les reins cambrés pour rapidement s'abandonner en une puissante jouissance qui n'en finit plus. 

    Les sensations et les émotions étaient si fortes, qu'Aline pleure de bonheur en s'excusant d'être heureuse à en pleurer. Henri, malgré ses idées perfides en est particulièrement ému. Les bras qu'il a complètement libérés étreignent son cou si fortement, qu'il en ressent les battements de son cœur qui bat la chamade. Il enlace par la taille et l'embrasse passionnément puis se perd dans ce baiser.

    .............................................

    Henri est sorti du box où elle est séquestrée mais après un dernier bisou, par elle quémandé. Il s'interroge. Et si cette fille était celle qu'il a toujours cherchée ?

    A suivre

    TSM

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