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Le cerveau de Lucy acquiert des pouvoirs quasi illimités.
Le cerveau de Lucy acquiert des pouvoirs quasi illimités.
Cette histoire n'a aucun rapport avec le film Lucy de Luc Besson qui est diffusée dans les salles de cinéma depuis le 6 août 2014 et que nous vous recommandons.
La plupart des humains n'utilisent que 10 % de leur cerveau, mais suite à un accident de la route et aux électrochocs réalisés aux urgences pour faire redémarrer son coeur, le cerveau de Lucy a changé. Elle parvient à lire et entendre les pensées des personnes qu’elle croise et qui s’acharnent à la maintenir en vie puis à essayer de réparer les dégâts occasionnés sur son corps par un prédateur de la route roulant à 180 kilomètre heure au lieu de 90.
Ce qu’elle entend dans leur cerveau est une véritable torture psychologique, « elle ne s’en sortira pas, si elle s’en sort elle sera un légume, ….. ». La médecine fait des prouesses tout comme le chirurgien tentant de sauver ses jambes. A près douze heures d’opération, Lucy se retrouve aux soins intensifs, où peu à peu, elle retrouve les sensations de son corps et surtout les douleurs. Elle est envoyée dans un centre spécialisé pour les graves accidentés de la route afin d’y suivre une rééducation fonctionnelle. Ne parvenant pas à parler, le personnel soignant se fit à ses réactions physiques pour tirer des conclusions.
A la lecture de son dossier, l’infirmier Tony est convaincu que celle magnifique jeune femme ne parlera plus jamais et sera un « légume ». En grand pervers il profite de la situation lorsqu’il est chargé des toilettes pour laisser courir ses mains plus que de raison. Il pratique même la palpation de ses seins magnifiques en forme de poire n’ayant nul besoin de soutien-gorge lorsqu’elle se déplaçait. Autant dire que la toilette intime est un véritable calvaire pour Lucy percevant toutes les pensées lubriques de l’infirmier allant jusqu’à doigter ses orifices pour qu’ils soient « propres ».
Une nuit, profitant de deux arrêts maladies dont un frauduleux, il se retrouve seul pour gérer une vingtaine de patients. Outre l’enfer de la situation et de la peur générée par les pensées du personnel soignant, Lucy subit un viol de la pire espèce, le viol d’une handicapée.
SIX MOIS PLUS TARD
Lucy a retrouvé l’usage de ses délicieuses jambes, elle marche encore avec des béquilles mais n’arrive pas à parler mais elle parvient maintenant à écrire. Devenant autonome pour les gestes de la vie quotidienne, les médecins estiment qu’elle peut rentrer chez elle et suivre les soins en externe.
UN AN PLUS TARD
Après des mois de galère, Lucy a retrouvé toutes ses facultés. Elle passe à l’hôpital pour remercier le personnel puis laisse une boite de chocolat avec une très jolie lettre à l’attention du chirurgien. A la suite de quoi, elle se rend au centre spécialisé pour les graves accidentés de la route pour remercier le personnel soignant en demandant à voir le prénommé Tony…..
L’infirmier est mort de peur lorsque le directeur du personnel lui demande de venir dans son bureau pour revoir Lucy. Il s’attend au pire, à perdre son travail et à aller en prison. Rien de ce à quoi il s’attendait ne se passe, bien au contraire, Lucy tient à le féliciter et à dire à son chef que Tony par sa gentillesse, ses gestes et son écoute silencieuse a réussi à lui redonner envie de vivre et de se battre. Le directeur est aux anges, fier de son équipe il ne décèle rien et ne s’oppose pas à ce qu’il ait une discussion privée pendant laquelle elle lui donne son numéro de téléphone en lui indiquant qu’elle aimerait beaucoup le revoir avant de quitter rapidement les lieux en prétextant que son taxi l’attend.
L’infirmier Tony croit rêver, une fille digne de poser sur les magasines de charme lui fait du rentre dedans malgré le fait qu’il l’ait violée !!! Il attribue cette absence des faits à une pathologie cérébrale et accepte deux jours plus tard une invitation au domicile de Lucy lui proposant une petite soirée dînatoire.
Fier comme Artaban, avec une fierté poussée à l'extrême frisant l’arrogance, Tony se rend donc au rendez-vous fixé convaincu d’une soirée sexe hors norme. La belle le reçoit vêtue d’une robe courte très échancrée afin de mettre le feu aux neurones coquins de l’enfoiré qu’elle va briser sous peu. Parvenant à lire et entendre les pensées des personnes qu’elle croise, Lucy s’amuse à jouer avec son ex violeur en le provoquant juste ce qu’il faut pour qu’il ne perde pas pieds. Pendant l’apéritif, elle prétexte même d’avoir un problème pour masser le bas de son dos et lui demande, lui qui l’a connue nue, s’il acceptera de lui passer une crème et de lui faire un massage, chose qu’il accepte avec un sourire ravi. S’il savait ……
Pendant le repas, Lucy s’amuse à le faire parler de ses fantasmes, qui n’en a pas lui dit-elle, puis à jouer de ce qu’elle entend dans la tête du pervers pour l’emmener à se confier en guidant ses pensées. A la fin du repas copieusement arrosé au champagne, elle insiste pour lui faire goûter le rhum planteur qu’elle fait elle-même, en lui disant qu’un homme aussi fort que lui ne peut qu’apprécier. L’alcool masquant le GBH (Drogue du violeur) qu’elle est parvenue à se procurer, l’infirmier boit et prétexte dans sa crise de modestie savourer le breuvage même s’il lui fait mouiller ses yeux, pour l’instant d’une façon naturelle…..
Quelques minutes plus tard, il perd de sa superbe puis s’arrête de parler, l’oiseau est pris au piège. Lucy prend son temps pour lui retirer son pantalon en le faisant rouler sur le canapé-lit qu’elle vient d’ouvrir. Elle place un coussin sous sa tête, non pas pour une question de confort mais pour que l’on voit bien son visage quand elle va faire des photos compromettantes. De son frigo elle sort des carottes, une courgette et du beurre comme lubrifiant avant de prendre la papier qu’elle a préparé bien à l’avance en rêvant de cet instant.
Pour que l’on ne reconnaisse pas son intérieur, elle tend des draps autour du canapé qu’elle recouvre également avant de s’occuper de son violeur. Sur les photos qu’elle prend, on voit l’infirmier avec les légumes plantés dans l’anus puis le papier posé bien en évidence où l’on peut lire « cul disponible pour toutes et tous » puis son numéro de téléphone. A l’hôpital cela va faire jaser…..
Les photos réalisées, elle écrit « cul disponible pour tous » au feutre sur le dos de son violeur avant de lui enfiler une culotte en dentelle achetée au marché puis des bas résilles. Après avoir refait une série de photos, elle lui enfile son pantalon, remets ses chaussures puis l’aide à se lever. Le faire marcher jusqu’à sa voiture est difficile mais elle y parvient et l’installe sur le siège arrière.
Dix minutes plus tard, elle est en route vers « le bois » avec ses accessoires dans le coffre. La vengeance va être terrible.
La suite est ici
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