• Le devoir conjugal

    Dans cette histoire érotique, une Maîtresse impose, d’une drôle de façon, le devoir conjugal à son mari soumis sous cage de chasteté.

    Le devoir conjugal

    Nous écoutions avec ma Maîtresse, qui est également mon épouse, un reportage à la télévision. Il était indiqué que la notion de devoir conjugal est mise à mal, lorsque la jurisprudence sanctionne. La jurisprudence ne s'arrête pas là : en 1992, les tribunaux précisent que la présomption de consentement des époux peut être combattue pour prouver qu’il y a eu v i o l. Le journaliste précisait que certains éléments de preuve sont néanmoins évidents : tout acte de v i o l e n c e commis en vue d'extorquer un coït, par exemple, permet de prouver l'absence de consentement. Le partenaire à l'origine de la v i o l e n c e tentera parfois de minimiser les faits ou de suggérer que ces pratiques font partie des pratiques sexuelles du couple.

    En rigolant, j’ai dit que si on ne peut pas baiser sa femme quand on veut, à quoi bon s’encombrer d’une épouse.

    Pour moi ce n’était évidement que de l’humour et surtout, une petite provocation visant à faire comprendre à ma Maîtresse que je n’aurai rien contre une petite fessée.

    - Tu peux répéter ? M’a demandé mon épouse.

    - Ben oui quoi, quand on a envie de baiser, le devoir conjugal c’est dans les deux sens non ? Certes, avec ma cage de chasteté, je ne peux pas puisque c’est toi qui a les clés. Si je ne l’avais pas, il y a des fois où, tu passerais à la casserole !

    - Tu me baiserais si je n’avais pas envie ?

    - Non chérie, tu sais que je t’aime trop pour faire ce genre de chose. Mais bon, entre époux, ce n’est pas du v i o l puisque on s’est dit « oui » devant le maire.

    - Tu m’as bien dit « oui » devant le maire ? M’a demandé mon épouse avec ses yeux bleus brillants de colère, tout en attendant ma réponse en se pinçant les lèvres avec les dents.

    A ce moment là, j’ai compris qu’elle n’avait pas goûté ma plaisanterie douteuse. J’ai essayé de la rassurer sur le fond de ma pensée mais en vain. Tous mes propos étaient détournés. A cela se rajoute que, la sentant en colère, je m’empêtrais dans mes réponses.

    Que n’avais-je pas dit là ! ! !

    - Bien ! Mon petit soumis d’amour trouvera donc normal de se mettre à quatre pattes devant le canapé pour venir me lécher la chatte et me faire jouir.

    Je me suis donc exécuté avec plaisir, pour moi, mon épouse avait envie de jouer. J’adore lui brouter le chaton et la faire jouir, la voir heureuse et prendre du plaisir me comble toujours de joie. Marianne mit plus de temps que d’habitude pour arriver à prendre son pied, j’en avais même mal à la langue. A la suite de quoi, nous sommes allés nous coucher, elle satisfaite et moi avec la bite « compressée » dans sa cage de chasteté.

    En rentrant du travail trois jours plus tard, un colis dans la boite à lettre attira mon attention. Par curiosité, j’ai donc ouvert ce colis sans inscription de société hormis un nom et un prénom. Quelqu’un avait du lui adresser quelque chose. A l’ouverture du dit carton, la facture de la boutique ABCplaisir.com me sauta aux yeux.  Je compris immédiatement qu’elle avait commandé des sextoys. Hummm, il avait donc du jeu dans l’air.

    A l’intérieur j’ai pu découvrir qu’elle avait commandé un gode ceinture. Sur la facture, j’ai pu lire qu’il s’appelait le « Gode ceinture strapon excellence ». Comme j’avais encore dix jours de chasteté imposée par punition, j’ai imaginé qu’elle comptait me le mettre pour que je lui donne du plaisir en la baisant avec ce truc par dessus ma cage de chasteté. Ce scénario nous avait bien amusé quand nous l’avions découvert sur une des vidéos érotiques de Fessestivites.

    Pour moi, Marianne avait donc envie de jouer sur le comble de la chasteté, en ne m’imposant que le geste du coït et non pas le plaisir de la sauter. Ou plutôt, lui faire l’amour en des termes plus sympathiques qui, de vous à moi, reviennent au même.   

    Le soir même, juste après le repas que j’avais préparé comme d’habitude puisque cela fait partie de mes obligations de soumis, elle m’a demandé de lui brouter le chaton. Ce qui m’a surpris, c’est que quand elle me demande ça, en règle générale c’est qu’elle est déjà excitée. Là, rien, elle était toute sèche. Cela n’a pas duré, ma langue a fait en sorte d’humidifier la zone à choyer ».

    - Lève-toi et va te pencher sur la table du salon ! M’a ordonné ma Maîtresse avant de venir me mettre un bandeau sur les yeux.

    Je m’attendais à prendre une fessée pour avoir été « mauvaise langue ». Cela lui arrive parfois, non pas qu’elle ne soit pas satisfaite de mes services, mais parce qu’elle a envie de me martyriser. Quand son doigt a déposé du lubrifiant sur mon anus et s’y est enfoncé j’ai compris que le gode ceinture strapon excellence était pour moi !

    Marianne sait que je ne suis pas très porté sur l’anal. J’ai déjà accepté de porter des plugs ou qu’elle s’amuse un peu avec cette partie de mon anatomie, mais cela n’est pas vraiment mon trip. J’ai bien essayé de lui faire comprendre que je n’avais trop envie de son nouveau jouet, sa réponse n’a pas tardé et m’a ramené à l’émission de télévision ! ! ! !

    - Puisque la notion de devoir conjugal ne peut pas être mise à mal d’après toi, tu ne verras aucun inconvénient à te faire baiser. Et puis, à quoi bon s’encombrer d’un mari soumis si on ne peut pas le sauter ! M’a dit Marianne avec sa voix froide des mauvais jours.

    - Ce n’est pas pareil !

    - Comment ça ce n’est pas pareil. Tu m’as déjà sodomisée, maintenant c’est ton tour. Et pour cette mauvaise réponse, demain tu iras travailler avec des collants sous tes vêtements.

    - Je vais avoir trop chaud !

    - Penses-tu que cela a une importance pour moi ? Ecarte les fesses salope et rend-toi utile ! M’a répondu Marianne en me claquant les cuisses.

    Heureusement que nous avions déjà un peu joué avec mon petit trou, car elle n’a pas été douce. La pénétration a été trop rapide pour que je puisse éprouver du plaisir. Cette garce a joué au macho précoce. Alors que je commençais à ressentir les agréables sensations de la possession, elle s’est plantée au fond de moi en criant : « oh putain que tu es bonne ». Deux secondes après, elle se retirait de mes reins, jetait le préservatif par terre et m’obligeait à remercier avec ma bouche, le sexe qui m’avait, soi-disant, rendu heureuse. Si finalement le gode ceinture strapon excellence est « excellent » car ferme mais pas dur puis d’une longueur raisonnable, ABCplaisir aurait du faire en sorte qu’il n’ait pas un goût « caoutchouc » ! ! !

    Marianne a pris la direction de la chambre en m’envoyant me laver les fesses. A mon arrivé, sur le lit il y avait une chemise de nuit en satin.

    - C’est pour ma petite salope d’amour ! M’a indiqué ma Maîtresse.

    Si nous avons déjà joué autour de la féminisation, ce soir là je n’étais pas vraiment motivé pour quoi que ce soit. Et malgré la mauvaise humeur ambiante et palpable, elle m’a ordonné de lui donner du plaisir avec ma langue de macho. GRRRR

    Le réveil indiquait six heures quand j’ai senti ses mains sur mes fesses et surtout, un doigt lubrifier mon anus. J’ai dit « non » sa réponse a été claire !

    - Ce n’est que du devoir conjugal d’après toi, si tu oses refuser, je rajoute six mois de cage de chasteté et je prends un amant !

    En écoutant ça, j’ai cru défaillir et que le lit se dérobait sous mon corps. Marianne était vraiment en colère. Cette menace n’était vraiment pas à prendre à la légère. J’ai donc abdiqué quand elle m’a demandé de me coucher sur le ventre avec les oreillers sous moi pour bien exposer mon fondement à ses envies de devoir conjugal.

    Les fesses en l’air, je n’ai donc pas eu d’autres choix que de lui offrir la voie de mes reins. Le matin au réveil, j’ai trouvé ça vraiment HARD ! Le pire dans cette histoire, c’est que mon sexe encagé bougeait et se frottait dans l’oreiller sous ses coups de reins qui me faisaient mal. Malgré la douleur anale, l’agitation de ma cage de chasteté a commencé à générer d’agréables sensations. Et c’est encore là que Madame La Marquise Sadique et Cruelle s’est arrêtée en me disant encore une fois : « oh putain que tu es bonne ».

    Ses délires phalliques apportaient un plaisir unilatéral, de mon côté, c’était à la fois douloureux et frustrant. Pour Marianne, cela avait l’air excitant. Si bien que j’ai du passer sous la couette pour la faire jouir avant qu’elle ne parte travailler. Je l’aurai tuée !

    Je suis serveur dans un restaurant qui ne fonctionne que le midi. Cela me permet de gagner correctement ma vie mais sans plus. Le reste de l’argent nécessaire au foyer vient de la paie de Madame qui est ingénieur. De fait, dans l’organisation logique, c’est moi qui fait les courses et les repas pendant la semaine puisqu’à 16 heures, j’ai fini ma journée. Depuis que je suis sous cage de chasteté, elle a rajouté le ménage..... pour que nous puissions passer plus de temps ensemble le week-end.

    Le soir même, à peine arrivée et sans être passée à la salle de bain, elle m’a menotté mains dans le dos avant de m’imposer un  broute minou quelques minutes. Et, encore une fois, m’a poussé vers la table de mes supplices pour me sodomiser en me demandant ce que je pensais du devoir conjugal. Et puis elle m’a encore laissé sur ma faim en me demandant si j’avais mis des collants pour aller travailler comme demandé.   

    - ..... J’ai oublié !

    - En guise de punition, tu feras le ménage à fond ce week-end, vitres y compris en étant vêtu comme une « bonne femme », expression qui semble être de tes mauvaises habitudes. Tu assumeras le devoir conjugal deux fois par jour jusqu’à lundi. Comme cela risque de m’exciter de te voir faire la soubrette, si j’ai d’autres envies tu devras également les satisfaire, soit avec tes fesses soit avec la langue. Si tu respectes à la lettre mes consignes et ... fais bien ton devoir conjugal, tu pourras me baiser dimanche soir !

    EPILOGUE

    Pour moi, «  tu pourras me baiser dimanche soir » signifiait qu’elle allait me retirer ma cage de chasteté ! J’ai donc fait le ménage et le service habillé en femme avec un soutien-gorge inutile en prime. Ce truc c’est désagréable à porter ! Enfin passons, venons-en faits suivants.

    Elle m’a baisé deux fois par jour sans jamais chercher à me donner du plaisir.
    Elle a joui six fois pendant le week-end.   
    Elle m’a donné une fessée pour avoir oublié la vitre de la salle de bain.

    ET LE SOIR ........... elle m’a mis le gode ceinture à la taille et demandé de la baiser avec le sextoy. Je devenais fou, fou admissible sans problème dans un hôpital psychiatrique quand je l’ai baisée. Pendant ce rapport, elle me triturait les tétons en m’obligeant à s’occuper des siens. Elle me disait que j’avais une bite inépuisable et que je remplissais vraiment bien « mon devoir conjugal ».
     
    Le lundi matin, quand je me suis levé pour aller travailler avec le cul en compote, sur la table de la cuisine il y avait un papier et les clés de ma cage de chasteté. Sur le papier il était indiqué que je pourrai me masturber quand j’aurai fait 100 lignes de « La pénétration sexuelle commise en l'absence de consentement de son épouse est inadmissible ».

    FIN

    TSM

    Cette histoire est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ou n’existant pas encore est purement fortuite.

    Ce sextoy gode ceinture est sur ABCplaisir.com

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