• Sandrine abusée et baisée dans une caisse

    Sandrine abusée et baisée dans une caisse

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    Auteur : Ecrivaillon

    En se confiant, Sandrine va vivre la peur de sa vie.

    A 30 ans, Sandrine est une sacrée coquine et si quelqu’un la traite de « salope » elle répond « et fière de l’être ». Lorsqu’elle est arrivée sur Fessestivites fin 2011, elle s’y est plu et a décidé de rester sur ce site où il y a des personnes de tout horizon et surtout un mélange des pratiques. Un brin lasse du libertinage et ne désirant toujours pas se mettre en couple, elle a commencé à explorer d’autres voies comme la fessée et le BDSM.

    Elle ne cache pas son attirance pour les rapports sexuels sous la contrainte en postant des commentaires sur les vidéos de viol, de pseudo maltraitance de filles. Les gangs bangs BDSM organisés par Organisations84 l’attirent, elle aimerait beaucoup être dominée par Maître TSM avant d’être baisée entravée sans possibilité de fuite mais n’ose pas se jugeant encore trop « jeune » dans le BDSM.

    Sur le chat, elle s’est trouvé des affinités avec MaitreC le C signifiant « cool » d’après lui. Il indique même aimer initier les filles et les conduire dans la réalisation de leurs fantasmes. En vérité le C de son pseudo signifie aussi « cul » ou « cruauté » car pour lui le BDSM signifie sexe et abus mais ça, Sandrine va le découvrir bien trop tard. Lors des échanges privés par la messagerie et par téléphone ils conviennent d’un scénario où elle sera enlevée, bousculée mais pas trop puis abusée sexuellement comme dans les vidéos qui l’excitent.

    Le jour J elle se présente à l’adresse indiquée vêtue d’une simple robe d’été à petit prix avec rien dessous. Dans leur scénario il est prévu qu’il lui arrache ses vêtements, elle a donc prévu de quoi se vêtir après le week-end de stage qu’il a programmé pour elle. Devant la porte d’une menuiserie assez rustique, elle se traite de folle, de tarée et n’ose pas entrer. Soudain son téléphone portable sonne et la fait bondir, tant elle est tendue.

    - Bonjour Sandrine, je vois par la fenêtre de mon bureau que tu es arrivée. Entre car après je fermerai le portail afin que nous ne soyons pas ennuyés, car il faut être prudents, la zone industrielle est déserte le week-end.

    Le fait qu’il lui parle de prudence la rassure, elle enclenche la vitesse, débraille trop vite tant ses jambes tremblent et fait crier les pneus sur le goudron. Bientôt ce sera elle qui criera mais elle ne se doute pas à quel point. Elle descend de sa voiture puis pénètre dans le hangar par la porte entrouverte comme prévu. Même si les choses qu’elle va vivre sont organisées, Sandrine prend peur quand MaitreC lui saute dessus pour lui passer un gros sac de jute par-dessus la tête. Aveuglée et affolée elle commence à crier, à dire stop mais il est trop tard puisqu’ils avaient convenu qu’il ne devrait pas écouter ses suppliques.

    Le sac de jute lui bloquant les bras, il est facile pour MaitreC de lui lier les poignets dans le dos avant d’entreprendre une « étude de la marchandise » comme il se plait à le dire. Ses grosses mains massent sans vergogne sa poitrine avant de s’aventurer sous la robe pour fouiller entre ses cuisses qu’elle serre de toutes ses forces en suppliant. Prestement retournée, presque soulevée elle se retrouve fesses à l’air sur la hanche de son bourreau. Sa main en forme de battoir s’abat fortement sur ses délicieuses rondeurs fessières pour une « fessée de bienvenue ». Sandrine se débat mais en vain, hormis s’épuiser elle ne peut que subir une copieuse fessée.

    - Puisque tu veux jouer les effarouchées, on va donc employer les grands moyens pour te faire plier salope !

    Prestement portée dans le hangar comme un sac de pomme de terre que l’on jette sur l’épaule elle est conduite devant une caisse en bois dont il manque le dessus et l’arrière. Ce qu’elle ne peut voir en s’y logeant sans résistance c’est qu’il y a un trou pour y passer son cou. MaitreC plaque aussitôt un tasseau derrière sa nuque, prend sa visseuse et le visse en quelques secondes. Avec ses mains de menuisier, déchirer la robe et la lui retirer est un détail, Sandrine est maintenant nue dans une caisse avec un sac de jute en guise de cagoule.

    MaitreC prend le dessus de la caisse qu’il visse en deux temps trois mouvements avec sa visseuse professionnelle. Le bruit de la visseuse affole Sandrine qui crie qu’elle ne veut plus, qu’elle veut partir. Une fois qu’elle est bien enfermée agenouillée dans la caisse avec la tête et les fesses dehors, il attrape son palan qu’il fixe à cette sorte de cage et la fait monter d’un mètre au dessus du sol. La caisse se balance un moment avec une proie traumatisée et tremblante.

    Avec douceur il lui retire le sac servant de cagoule, la lumière violente force Sandrine un fermer les yeux un instant avant de les rouvrir pour découvrir le théâtre de l’enfer dans lequel elle s’est jetée toute seule.

    - Cela fait plusieurs fois que tu me dis que tu ne veux plus et que tu veux partir mais je te rappelle que nous avons conclu un accord. Quand tu m’as indiqué que tu voulais vivre cette expérience de gré ou de force, je t’ai mise en garde en te disant de réfléchir car une fois la chose promise lancée, je ne reviens jamais sur les engagements. En te demandant de me le confirmer par email, je t’ai laissé le temps de la réflexion. Tu m’as écrit je te cite : « je veux vivre ce stage BDSM avec du sexe forcé, même si je crie ou ne veux plus forcez-moi, c’est mon fantasme ». Tu peux donc supplier, crier, hurler si tu veux, je ne reviendrai donc pas en arrière. Tu vas déguster crois-moi. Lui indique MaitreC avec une voix calme et posée mais froide. J’ai invité du monde, tu seras ma pute ce week-end, une pute qui va se faire troncher de force. Tu pourrais me sourire quand je te dis des choses comme ça, cela doit te plaire non ?

    Comment sourire quand on comprend que l’on est piégée et que l’on va faire la pute ? Comment sourire quand on a peur de mourir ?

     

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    Pour l’obliger à sourire, MaitreC attrape des crochets de lèvres et un crochet de nez qu’il a acheté sur ABCplaisir. Une fois la sangle passée derrière sa tête, il pose les crochets à la commissure des lèvres puis les règles sans douceur. Le sourire qu’elle affiche n’est pas son plus beau, bien au contraire, c’est le sourire forcé physiquement d’une fille en larme. Le crochet de nez placé dans ses narines lui tire la tête en arrière et lui déforme le visage. Soudain Sandrine disjoncte et marmonne comme elle le peut un flot d’insultes qui ne plaisent pas à MaitreC, mais alors pas du tout. Pour la punir, il lui place des pinces lestées sur la langue avant de la laisser seule un instant.

    Sandrine mesure maintenant l’étendue de sa déchéance, du piège dans lequel elle s’est jetée. Outre la douleur de ces pinces sur sa langue, elle bave lamentablement, son maquillage dessine des rus prenant leur source sous ses magnifiques yeux bleus pour passer en de multiples points sur ses joues étirées. Dans son champ de vision apparaît soudain un black nu comme un vers avec un gourdin de chair à la main. Il se place derrière la caisse, frotte son gourdin de chair contre ses fesses, traumatisant bien plus encore Sandrine convaincue qu’il va la déchirer s’il l’a sodomise. Le black prend la commande du palan pour la faire monter un peu, pour que sa chatte soit à la bonne hauteur. Il enfile un des préservatifs posés sur un établi avant de se poser à l’entrée de la vallée des plaisirs qui lui est offerte. Le gros gland fouille un instant entre ses lèvres intimes à la recherche de la faille dans laquelle il s’engouffre sans pitié mais sans brutalité. Après quelques mouvements doux, il entreprend un martèlement sauvage qui arrache des cris de douleur à Sandrine, lors de ce coït viril, les pinces posées sur la langue se balancent et lui font un mal de chien. Elle crie « ince, ince, ince » sans discontinuer pour lui faire comprendre le problème en espérant qu’il les lui retire.

    MaitreC et le black ne sont pas des bourreaux, ils ne font que réaliser son fantasme de viol mais à ce moment là, Sandrine est convaincue du contraire. Quand il comprend le problème, le black se retire puis vient retirer les pinces de sa langue avec une extrême douceur.

    - Toi tu as du mal parler à MaitreC, je te les retire mais évite ce genre de chose car s’il est gentil, il peut très vite te faire regretter d’être née si tu lui parles mal.

    Le black n’attend aucune réponse et vient prendre son plaisir dans sa chatte qu’il qualifie de très accueillante. Le gourdin de chair s’active au bout de quelques minutes dans la grotte commençant à s’épanouir malgré les peurs de Sandrine, elle est ainsi, plus c’est rude plus elle aime et là elle est servie car elle se met à jouir presque sans discontinuer pendant qu’il la laboure. Lorsqu’il vient en elle, ils sont tous les deux à bout de souffle, il la remercie puis lui donne une claque amicale sur la fesse avant de quitter les lieux.

    Combien de mecs vont venir se demande Sandrine un peu inquiète, est-ce qu’il respecteront le fait que je ne veux pas être sodomisée ? Les minutes s’égrainent lentement quand on se pose ce genre de questions en étant enfermée dans une caisse avec les orifices offerts. Soudain MaitreC apparaît, il est nu, son sexe turgescent est déjà recouvert d’un préservatif, il vient prendre sa part de plaisir. De la même façon que le black, il la prend doucement avant de se lancer dans une chevauchée fantastique pour une chatte aussi gloutonne que gourmande. A cet instant précis, ce n’est pas d’être piégée dans une caisse qui ennuie Sandrine, c’est qu’elle bouge au fur et à mesure qu’il la baise. A la recherche de son plaisir physique, il accélère et ralenti en fonction de la montée de sève. Sandrine s’envole chaque fois qu’il accélère et la burine à toute vitesse, jusqu’au moment où, ni tenant plus, il s’abandonne à la jouissance qui est d’ailleurs simultanée à une des énièmes jouissances de Sandrine.

    La chose faite, il se retire et la laisse là, suspendue dans une caisse avec une foule de questions. Quand elle le voit apparaître vingt minutes plus tard, il a dans les mains une bouteille d’eau et un gant de toilette. Avec beaucoup de douceur il lui retire les crochets étirant ses lèvres et son nez avant de lui passer le gant tiède sur le visage. Il lui fait boire un peu d’eau en lui indiquant qu’il a un autre projet pour elle. Epuisée Sandrine demande si elle peut faire une pause, la réponse est négative, une fille violée et abusée ne demande pas de pause.

    En guise de tourments il veut la rendre folle, folle de plaisir. MaitreC installe une perche derrière la caisse, y fixe un vibromasseur Magic wand qui plaque contre l’intimité féminine déjà bien chahutée. Au moment où il le branche, Sandrine pousse des cris de peur dont il n’a que faire, dans quelques minutes ce sera des cris de plaisir. Sous les vibrations aussi magiques qu’intenses, le plaisir ne tarde pas à pointer son nez, le coté sadique de la chose est qu’elle ne puisse se soustraire de l’engin quelques secondes quand elle jouit. Derrière son écran d’ordinateur MaitreC s’éclate à la regarder et à l’écouter grâce à sa caméra de surveillance. Une demi-heure plus tard, il estime qu’il est temps d’arrêter pour éviter l’accident cardiaque.

    EPILOGUE

    Décrochée, portée jusqu’à un bain chaud, Sandrine ressemble à une véritable loque tant elle est épuisée. Il ne la quitte pas des yeux, on ne sait jamais elle pourrait s’évanouir. Il la rassure sur les tremblements qui surviennent parfois de façon inopinée, c’est ce qu’il appelle le retour sur terre, cela va passer. Mise en peignoir et à nouveau portée jusqu’à son logis, il l’étend maintenant dans son canapé et lui propose une coupe de champagne pour fêter son premier viol. Comme le lecteur s’en doute, Sandrine n’a pas porté plainte, elle s’est juste lovée contre lui pour ronronner avant de fermer les yeux et de sombrer dans les bras de Morphée.

    Ecrivaillon

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