• Soumis transformé par deux lesbiennes

    Soumis transformé par deux lesbiennes


    Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

    L'annonce

    Soumis aux femmes je suis, soumis aux femmes je suis fier d’être. Ma volonté n’a rien de copulatoire, les servir suffit à me combler.

    Je recherche donc une Maîtresse mais comme je n’aspire en aucun cas à des rapports sexuels, si une lesbienne est intéressée ou un couple de lesbiennes est intéressé par un soumis serviteur, qu’elle n’hésite pas à me contacter.

    Disponible à toutes heures mais pour éviter les plaisantins un entretien téléphonique est obligatoire avant que je me déplace.

    Discrétion et sérieux assurés
    ………………………..

    Après des années de recherches effrénées sur le net, je commençais à désespérer de trouver une Maîtresse. J’ai donc fait un copier coller de mon annonce pour la publier sur Fessestivites, après tout, je n’étais plus à ça près. Deux mois plus tard, je reçu le message ci-dessous dans ma messagerie.

    « Etes-vous réellement sérieux et jusqu’où irez-vous pour me le prouver si j’aspire à vous recevoir comme soumis avec mon amie » ?

    Avant de répondre, j’ai consulté le profil de la personne qui m’écrivait. Elle s’annonçait lesbienne et en couple. Mon cœur se mit à battre la chamade !

    « Madame, je m’estime réellement sérieux, comme première preuve je vous donne mon numéro de téléphone 06 00 00 00 00 appelez-moi à votre convenance pour vérifier que je suis bien disponible. Jusqu’où irai-je pour vous prouver mon sérieux ? Mettez-moi au défi je le ferai et vous adresserai les photos que vous pourriez me demander, mais si ce défi ressemble à une plaisanterie, je ne donnerai pas suite. Comme vous le constatez, tout comme vous pour un premier contact je reste méfiant malgré le sérieux qui me caractérise et l’engagement qui peut être le mien ».

    Sa réponse n’a pas tardée !

    "Soumis, j’aime beaucoup ta réponse, elle ne ressemble pas à ces êtres capables de jurer monts et merveilles sans même savoir à qui ils jurent. Pour la peine, je vais te donner un défi simple à réaliser, tu m’adresseras la photo par email. Si dans 24 heures je n’ai pas cette photo, nos relations en resteront là. Je désire que tu poses torse nu avec un journal dans la bouche comme un chien. Tu devras avoir les mains dans le dos et le mot soumis écrit sur ton torse".

    Je passe sur notre correspondance, pour en arriver au principal, une semaine plus tard, j’étais « convoqué » le vendredi soir chez Maîtresse Aline et sa compagne.

    ………………………………………………………………..

    Une femme bien enrobée, blonde aux yeux bleus m’ouvrit la porte et me fit entrer. Sans même me débarrasser de la bouteille de champagne et du bouquet de fleurs, elle me montra le chemin de la cuisine. Un papier m’attendait sur la table.

    « Met-toi nu, enfile la culotte rose et le tablier, fait la vaisselle et attend que l’on t’appelle » indiquait le texte sur le dos d’une enveloppe usagée. Autant dire que l’entrée en matière me parue rude car la féminisation et le travestissement n’est pas mon truc. Bien décidé à ne pas la décevoir, je me suis exécuté en m’autorisant le fait de mettre la bouteille de champagne au réfrigérateur. La vaisselle faite, j’attendais patiemment dans la cuisine quand Maîtresse Aline m’appela. En entrant dans le salon, je pus découvrir sa compagne, une brune à l’antithèse du profil de Maîtresse Aline, petite, fluette avec un regard sévère.

    - Soumis, ramène ta bouteille de champagne et deux flûtes, elles sont dans le placard de la cuisine, m’ordonna Maîtresse Aline avant de reprendre sa discussion avec son amie.

    A mon retour, je dus les servir avant qu’elles m’imposent la position à quatre pattes comme un chien. Alors qu’elles sirotaient leur champagne, la compagne de Maîtresse Aline se leva pour aller chercher une gamelle de chien dans laquelle elle vida un peu de champagne avant de m’ordonner de laper. J’appris pendant la conversation que la compagne de Maîtresse Aline s’appelle Julie. D’un caractère critique, elle me parut finalement plus que sévère dans ses analyses, mais je ne me permis pas de donner mon point de vue, n’étant pas invité à parler.

    - Qu’est-ce qu’on va faire de toi ? Me demanda Julie en me regardant d’un air dédaigneux. Un mec ici, qui l’aurait cru ? Et en plus un poilu !

    - On va en faire notre bonniche mais tu as raison Julie, ses poils sont dégoûtants. Va à la salle de bain, tu as 10 minutes pour me faire partir tout ça, mais tu as intérêt à faire le ménage après car si je trouve des poils dans ma salle de bain, je te massacre. Exécution !

    Etant convaincu qu’elles me testaient, j’avais décidé d’être irréprochable lors de cette première rencontre. Faisant fi des remarques corrosives et de l’absence de communication à mon égard, autre que des ordres, je me suis donc rendu dans leur salle de bain où j’ai trouvé de quoi raser mon corps dans leur douche à la vitesse grand V. De retour au salon, je me suis fait incendier pour mon retard avant une inspection rigoureuse de mon anatomie qui me valut des reproches sur mon rasage. Maîtresse Aline m’ordonna de me pencher en avant et de lui offrir mes fesses. Trois coups, seulement trois coups de cravache mais d’une force telle que j’ai faillis hurler et lui mettre une gifle.

    - Tu l’as compris, on n’aime pas les hommes, si tu veux être notre soumis, il va falloir que tu ressembles à une femme, sans quoi tu ne feras pas de vieux os ici. Me dit Maîtresse Aline en m’attrapant par l’oreille comme si j’étais un gamin.

    - Bien madame, mais la féminisation n’est pas trop mon truc, mon corps ne s’y prête pas.

    Est-ce que l’on t’a demandé ton avis soumis ? Me répondit Maîtresse Aline

    Je me suis excusé platement avant de proposer de les resservir, quand Julie fut soudain mue par une envie de s’occuper de ma personne. Elle se leva pour m’attraper par l’oreille et me conduire dans la maison vers une de leurs chambres. Elle jeta des bas et une robe sur le lit en m’ordonnant de les passer sans tarder puis de revenir me présenter au salon pour la suite du service. J’ai eu envie de partir car la féminisation n’est vraiment pas mon truc tout comme les trois coups de cravache ultra violents et le traitement de ma personne comme un objet mais je m’en suis tenu à mes idées premières. A mon retour au salon, « j’avais l’air d’un con ma mère » ! Julie s’est levée pour m’exhiber et m’humilier en me faisant tourner sur moi-même comme si mon corps ressemblait à celui d’une star au festival de Canne.

    - Avec des talons, une perruque et une touche de maquillage, soumis pourrait commencer à devenir intéressant qu’en penses-tu ? Demanda Julie.

    Maîtresse Aline approuva et trouva cette idée très amusante contrairement à moi. Et là, je suis soudain devenu l’objet de toutes leurs attentions. Elles me firent asseoir et entreprirent de me refaire une « beauté ». J’étais mort de honte. Entre leur mains, je n’étais plus qu’un jouet que l’on manipule, que l’on habille, que l’on maquille, si bien qu’une heure plus tard, je me suis retrouvé perché sur des chaussures à talon haut, maquillé vêtu d’une robe à froufrou et avec un soutien-gorge.

    C’est chiant un soutien-gorge ! Cela gratte, cela serre, cela gêne et son utilité sur moi n’avait qu’un but : m’humilier. Marcher avec des talons hauts me fut très difficile, j’avais l’horrible impression que j’allais m’écrouler à chaque pas. Un bâillement Maîtresse Aline m’annonça que la fin de la soirée approchait mais il n’en fut rien. Elle m’envoyèrent à la cuisine voir si elles y étaient, en clair, de les laisser seules. Quelques minutes plus tard, je fus rappelé auprès de ses dames de nouvelles surprises m’attendaient, cela se voyait sur leur visage. Elles entreprirent de me déshabiller puis me firent enfiler une chemise de nuit de la grand-mère de Julie, avec comme indication que je devais la porter fièrement. Si le vêtement ne me séduisait guère, le vêtement laissait sous-entendre que j’allais dormir ici. Ce fut le cas mais version sadiques.

    Maîtresse Aline et Julie posèrent des bracelets à mes poignets et à mes chevilles puis un collier de chien avant de m’ordonner de me mettre à quatre pattes pour me conduire à leur chambre à coucher. Une petite merveille, superbement décorée avec un magnifique et immense lit à baldaquin, leur chambre ressemble à une reconstitution historique de la maison de Barbie version lupanar. Elles m’invitèrent à passer sous leur lit et à m’étendre sur le ventre bras et jambes en croix. A l’aide de cordes, elles entreprirent de fixer mes poignets et mes chevilles mais grande chance pour moi, m’accordèrent d’aller aux toilettes avant afin de soulager ma vessie prête à exploser.

    A mon retour, je fus prestement entravé sous le lit avant d’être abandonné là. Je commençais à me poser des questions quand au bout d’un long moment elles sont revenues pour se coucher. Julie m’annonça que si je ronflais, je risquais gros ce qui ne me rassura point. Et là, elles se couchèrent et firent l’amour le plus simplement du monde en se moquant totalement de ma présence. Les entendre et les sentir câliner au-dessus de moi me mit dans tous mes états, malgré l’inconfortable position. En guise de participation, elles me jetèrent leurs petites culottes à renifler silencieusement…. J’avoue qu’encore une fois, que ce qu’elles prirent pour une humiliation combla mes sens olfactifs car j’aime le parfum du corps des dames.

    Ma nuit fut aussi inconfortable qu’érotique, car être attaché à la merci de deux femmes compte de mes fantasmes. Au petit matin, Maîtresse Aline se leva pour aller aux toilettes puis me délivra en murmurant d’aller préparer le petit déjeuner et d’attendre tranquillement à la cuisine. Elle m’autorisa à prendre un petit déjeuner puis me congédia de la main.

    Une heure plus tard, Maîtresse Aline m’appela en réclamant le petit déjeuner. Ayant prévu le coup, deux minutes plus tard je pénétrais dans leur chambre avec un plateau. La nature humaine étant ce qu’elle est, les voir assises toutes les deux côte à côte dans leurs déshabillés vaporeux mit le feu aux poudres sous la ceinture que je n’avais pas ayant toujours sur moi la chemise de la grand-mère. Aline s’en aperçue et m’incendia avant de s’en plaindre à Maîtresse Aline qui la rassura en lui disant que si elles me gardaient, je porterai une cage de chasteté ce qui bloquerait ce genre de dérapage naturel.

    - Ca te plairait de nous voir nues hein gros porc ? Me demanda Julie.

    - Il me plaira ce qu’il vous plaira mesdames, je ne suis pas là pour mon plaisir mais pour votre bien être. Leur ai-je répondu à la volée pour éviter de dire une ânerie.

    - Tu es mielleux ! Me dit Maîtresse Aline, mais c’est une excellente réponse. Si tu restes avec nous, tu auras l’occasion de nous voir nues bien plus que tu ne l’imagines, mais il faudra le mériter. Après avoir desservit, tu iras me faire couler un bain, je l’aime très chaud, file !

    Pendant que le bain coulait, je fis la vaisselle du matin avant d’être appelé à la salle de bain. A mon arrivée, Maîtresse Aline s’y trouvait nue, je fis volte-face pour ne point la regarder et lui demander ce qu’elle désirait. Elle m’ordonna d’entrer et de me mettre à genoux. Dans la position demandée, mes yeux se trouvaient en bonne place si j’avais été voyeur mais je fis très attention à les garder baissés afin de ne pas attirer son courroux. Sans aucune gêne quant à sa nudité, elle prit place dans la baignoire en m’ordonnant de venir laver ses pieds, chose que je fis avec une attention particulière. Une demi-heure plus tard, elle m’ordonna de les lécher. Ma langue leur fit l’amour avec une extrême douceur,

    - Mais il te fait l’amour ce porc ! Cria soudain Julie dans mon dos.

    - Non, il fait l’amour à mes pieds et j’avoue que sa façon de faire et très agréable. Répondit Maîtresse Aline

    - Prend-le dans ton bain tant que tu y es ! Pesta Julie.

    - Tien, c’est une idée ça, on va le laver à ma façon. Clama Maîtresse Aline en sortant du bain avant de m’ordonner d’y entrer.

    Quand on vous propose d’entrer dans une baignoire, après vous êtres mis nu, votre premier réflexe est de vous y allonger, chose que je fis et qui me valut deux tonnes de reproche. Je dus y prendre place à quatre pattes où je fus lavé par deux furies. En guise de rinçage elles m’obligèrent à m’allonger sur le ventre dans la baignoire pleine d’eau, en mettant mes mains dans le dos. Trente secondes plus tard, elles étaient sur moi et m’y enfoncèrent totalement. La tête sous l’eau j’ai pris peur et je me suis débattu mais coincé sous leurs corps je ne pus faire grand-chose hormis mettre de l’eau de partout et battre des pieds dans leurs produits.

    Maîtresse Aline sortit ma tête de l’eau pour me permettre de respirer en m’incendiant pour mon manque de confiance. Que répondre à cela ? Ma tête replongea aussitôt pour un temps que j’ai trouvé très long mais elle m’en ressortit quelques secondes plus tard.

    - Rince-toi, éponge tes conneries et fait le ménage de la salle de bain, tu as 15 minutes.

    Pour ne pas les gêner avec ma nudité, j’ai donc enfilé la chemise de nuit avant de les rejoindre au salon où une surprise de taille m’attendait. Julie avait trouvé des vêtements amples et plus ou moins extensibles dans les vêtements de la grand-mère. Je dus les enfiler ainsi qu’un corset des temps anciens qu’elles se mirent à serrer comme des malades si bien que ne parvint pas à mettre les escarpins qui m’étaient destinés.

    - Ce sera ta tenue pour la journée, ce matin nous sortons mais j’ai caché tes vêtements et tes papiers. Si tu veux t’échapper tu le peux, mais ce sera ainsi vêtu. Rassure-toi, je ne vais pas te voler ton sac, je veux juste m’assurer que tu seras réellement la bonne que je veux trouver à notre retour. Démerde-toi comme tu veux mais fais-nous un bon repas pour midi. M’indiqua Maîtresse Aline

    - Sois sage ! Ajouta Julie vêtue comme une déesse avant de claquer la porte derrière elles.

    Arfff ! OUffff. Dur dur ! Je sais, il n’y a rien de français dans ces mots, mais reconnaissez que pour une première rencontre et pour un homme qui n’a aucune attirance pour la féminisation, la marche était haute ! Cette saloperie de corset m’a énormément gêné, pour me baisser je n’avais pas eu d’autre choix que de me mettre à genoux. Allez aux toilettes fut une étape délicate, surtout pour remonter la culotte de grand-mère……

    Elles sont revenues vers 11h30 et ont apprécié les parfums de ma cuisine. Enfin un compliment. Maîtresse Aline se rendit aux toilettes faire un gros pipi, si j’ai ce détail c’est parce qu’elle a laissé la porte ouverte.

    - Soumis vient ici, tu vas avoir droit à ta récompense ! M’ordonna Maîtresse Aline

    Je me suis donc approché des toilettes en gardant les yeux baissés pour ne pas la gêner mais elle ne le semblait pas du tout !!!! Elle se leva, fit demi-tour en me disant : « lèche la goutte, c’est ta récompense ». Heuuuuuuuuuuuuu ! Je me suis donc mis à genoux derrière elle et j’ai tendu la langue quand soudain, sa main a attrapé mes cheveux pour me plaquer contre son intimité odorante, mouillée et un brin salée.

    - Je suis satisfaite de tes services, Julie va te rendre tes vêtements et tu vas pouvoir rentrer chez toi. Si tu veux devenir notre bonniche, tu as maintenant un aperçu de ce que nous sommes et voulons. Par contre, si tu reviens, nous exigeons que tu ais une cage de chasteté et des vêtement de bonniche que tu devras acheter. Nous te donnerons les adresses pour les vêtements. A toi de voir ce que tu décides. J’attends une amie, presse-toi d’aller te vêtir et de partir. Tu me donneras ta réponse par email.

    Quelques minutes plus tard, je quittais leur domicile mais j’étais si perturbé que j’ai mis un quart d’heure pour retrouver ma voiture. Quand j’ai ouvert mon sac pour prendre une cigarette, il y avait une enveloppe à l’intérieur. Je l’ai décachetée pour voir ce quelle contenait. Il y avait un papier et un billet de 50 euros. Sur le papier il était indiqué : « je joue sur toi, les 50 euros seront ma participation pour la cage de chasteté, ne me déçois pas ». Le papier était signé Maîtresse Aline.

    J’avoue que je m’interroge mais quelque chose me dit que malgré la féminisation qui m’ennuie je vais leur céder. Allez donc savoir pourquoi ?

    « Femme seule plaisir solitaireEntre fantasme, réalité et curiosité rendez-vous chat webcam jeudi 31 octobre »

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