• La femme d'un ABDL découvre qu'elle est cocue et se venge de son mari soumis

    La femme d'un ABDL découvre qu'elle est cocue et se venge de son mari soumis

    La cocue d'un soumis ABDL se venge est une histoire dès plus classique avec une femme trompée par son mari cherchant des femmes sur des sites de rencontre pour vivre ses fantasmes. Excellent bricoleur René a fabriqué une croix de Saint André pour plaire à sa Maîtresse rencontrée sur Fessestivites, après avoir découvert le pot aux roses sa femme se venge avec une grande perversité.Elle découcre une croix de Saint AndréBlasée, Jacqueline avait accepté après 30 ans de mariage que son mari ABDL aime les couches et la délaisse. Elle s'était aussi faite à l'idée d'une vie sans Amour charnel son mari ne semblant plus intéressé par la chose. Au hasard de la venue d'une de ses copines, elles se rendent au garage pour aller chercher un pot de confiture qu'elle souhaite lui faire goutter. Lorsqu'elle tire la bâche servant de porte, Jacqueline découvre une croix de Saint André trônant fièrement devant ses pots de confiture. La réalité lui saute aux yeux en même temps que son amie d'un naturel gynarchiste commente cette découverte.

    - Tu es cocue, tu vois, moi en étant célibataire je n'ai pas ce genre de problème ni de mauvaise surprise. Les mecs, je les prends et je les jette après usage quand je ne m'amuse pas à les martyriser. Lui dit Maryline.

    - Je ne comprends pas pourquoi cette croix est là et à quoi elle sert ! S'étonne encore Jacqueline.

    - C'est pourtant simple et gros comme un éléphant dans un couloir mais tu ne le vois pas. Ton mari est soumis, il a une Maîtresse qui le domine. Il la gâte et la soigne en lui faisant des cadeaux, cette croix en est la preuve.

    - L'enfoiré va ma payer ça. Il aime les surprises, je vais lui en faire une, tu veux bien m'aider ?

    - Avec plaisir Lui répond Maryline.

    Une femme en colère c'est dangereux, deux c'est pire, surtout quand l'une d'entre elle est gynarchiste. Jacqueline et Marilyne conspirent puis décident de prétexter une surprise à René. Arrivée dans la maison comme si de rien n'était, Jacqueline lui pose un sac sur la tête pour lui faire une soi-disant surprise. Pour apaiser sa méfiance, Marilyne en rajoute en disant qu'il a de la chance d'avoir une femme aussi sympa.

    A l'aveugle avec son sac sur la tête, René se laisse donc conduire vers sa surprise. Elles troublent les pistes en le conduisant dans la maison puis sur la terrasse pour qu'il ne se doute pas qu'elles le conduisent au garage. C'est quand Jacqueline entrave un de ses poignets à la croix qu'il comprend la ruse de sa femme et qu'elle a découvert ce qu'il a fabriquée pour sa Maîtresse. Malgré sa résistance, son deuxième poignet est solidement entravé en un rine de temps.

    René est mal, très mal même, il ne sait que dire car il a compris qu'une sévère scène de ménage s'annonce et là, il va avoir du mal à s'en sortir indemne. Il ment comme un homme inquiet et pris en faute avec une certaine agressivité en prétextant que c'est pour une amie.

    - Une amie, oui mais une amie Maîtresse ! Crie Jacqueline. Pourquoi ne m'en as-tu pas parlé ?

    - Parce que tu es trop coincé du cul ! Répond René furieux.

    - Ah je suis coincée du cul, ah ben on va voir ça ! J'accepte tes conneries avec les couches et je lave tes culottes en plastique sans rien dire, mais je peux aussi te tanner les fesses. Hurle Jacqueline.

    En découvrant le côté infantilisme de René et devant cet échange dès plus irrespectueux envers son amie, Marilyne en rajoute en conseillant à son amie de lui laisser son mari une semaine en stage de soumission. J'en ferai fera un agneau puis un bon soumis obéissant ajoute-elle avec la conviction d'une Maîtresse en colère. Jacqueline emportée par sa colère baisse le short puis le slip de son mari pour le ridiculiser devant son amie.

    Elle va même lui mettre une couche pour l'humilier plus encore, mais devant les propos caustiques de son mari puis les excuses de plus en plus bidons fournies lors de ses réponses, elle voit rouge. Elle confie son mari à Marilyne pour qu'elle joue avec lui comme elle le fait avec les soumis parfois le temps d'aller chercher une couche et le bocal à lavement qu'elle a récemment découvert caché au fond d'une armoire.

    Soumis ABDL lavementRené se sent de plus en plus mal quand Marilyne commence à lui claquer les fesses. Par réflexe d'auto défense il lui envoie un coup de pied, chose à ne pas faire avec une Maîtresse en colère surtout quand on a les bras entravés sur une croix de Saint André. A la recherche d'un instrument pour flageller René à distance, Marilyne tombe sur un martinet de fabrication maison, sans nul doute un autre cadeau pour sa Maîtresse. Et là, les choses s'enveniment vite, très vite même. Sérieusement entrepris à coup de martinet, malgré ses ruades désespérées, les fesses et ses cuisses de René prennent vite de la couleur.

    Plus ou moins maté, il n'a plus vraiment la force de résister, sous les coups redoublés il se laisse sans aucune résistance entraver une cheville. Dans un sursaut de révolte, il envoie le pied pour repousser Marilyne qui l'esquive et lui met un coup de genou dans les couilles. Totalement piégé, il la laisse lui entraver la dernière cheville, s'offrant ainsi sans aucune résistance possible à deux femmes furieuses.

    Jacqueline, revenue avec la couche et le bocal à lavement essaye de reprendre une discussion pour en savoir plus sur cette Maîtresse. A ses questions, Marilyne en rajoute d'autres et lui demande s'il lui lèche bien le cul ou la chatte. René perd pied, répond n'importe quoi, s'emmêle dans ses réponses qui sont souvent accompagnées de grandes claques sur ses fesses maintenant brûlantes. Quand sa femme entreprend de lui fourrer la canule à lavement dans les fesses, il baisse la garde et supplie mais il est bien trop tard pour faire profil bas.

    - Ah je suis coincée du cul, ben tu vas avoir le cul merdeux salop. Crie Jacqueline furieuse en demandant à son amie de lui poser la couche pendant qu'elle va chercher de l'eau.

    René essaye bien de résister un peu mais à chaque ruade, les grandes claques de Marilyne lui brûlent la peau des cuisses car elle n'y va pas de main morte. Entravé en couche sur la croix de Saint André avec la canule d'un gros bocal à lavement dans les fesses, son moral n'est plus dans ses chaussures mais sous ses chaussures. Pour être sûres qu'il n'arrachera pas sa couche, les femmes déchaînées font x et x tours de sa taille avec un scotch d'emballage.

    Jacqueline remplit le bocal à lavement. Elle fait cela très lentement pour qu'il écoute bien le bruit de l'eau, le bruit de sa misère. Cette « misère » va aller au-delà de tout ce qu'il peut imaginer ! ! !

    Planté là par les femmes, il sent l'eau froide envahir lentement son colon. Les coliques ne tardent point. Il résiste par fierté et ne fera pas dans sa couche, jamais il ne leur fera le plaisir de l'humilier ainsi. Dans l'ABDL c'est juste le fait d'uriner qui l'amuse, la chaleur des couches mais jamais l'idée de déféquer dedans ne l'a effleuré.

     

    Soumis ABDL lavement

    Assises devant l'ordinateur de René, les femmes fouillent dans sa messagerie. Jacqueline n'aurait jamais fait cela pour deux raisons, d'abord elle n'y connaît rien en informatique, ensuite elle n'aurait jamais eu l'idée d'aller fouiller dans les affaires de son mari. Etre cocue donne des ailes à la pudeur..... Avec l'aide de Marilyne au clavier, elle découvre les échanges privés et secrets que son mari entretien avec une Maîtresse.

    Les belles phrases et les mots d'amour qu'elle lit lui arrachent le cœur, les larmes montent à ses yeux, ruissellent lentement sur les joues d'une femme broyée par le chagrin et la déception.

    Diplomate, Marilyne parvient à lui expliquer qu'un homme peut écrire ce genre de chose à une Maîtresse sans pour autant l'aimer. A grands coups d'exemples, elle lui parle de BDSM, de soumis venus la voir qui jamais au grand jamais n'auraient quitté leur femme.

    La tromperie de son mari lamine Jacqueline. Elle accepte ses couches par amour, elle aurait aussi accepté qu'il veuille vivre certaines choses SM s'il lui en avait parlé. Elle ne se sent pas l'âme d'une dominatrice mais aurait pu lui accorder quelques plaisirs, ils auraient pu trouver des solutions ensembles.

    - Pourquoi ne m'a-t-il jamais parlé de ça ?

    - Parce que les hommes bien souvent n'ont pas les couilles nécessaires pour cela. Plutôt que d'affronter le regard de leur femme, de leur expliquer qu'ils ont des fantasmes, ils préfèrent ne rien dire et aller ailleurs. Ce n'est pas qu'ils n'aiment pas leur femme, non, c'est qu'ils n'osent pas leur parler, l'image du grand mâle qu'ils ont d'eux les bloque.

    - Peux-tu faire venir cette salope que je parle avec elle à ma façon ?

    - Pourquoi l'insulter ? Elle ne t'a rien fait, c'est lui qui est allé la chercher, qui lui fait des cadeaux. Regarde cette croix dans le garage, il va la lui offrir, je suis certaine que c'est lui qui lui a proposée. Il lui fait des cadeaux, elle lui fait plaisir en SM et il revient à la maison. En fait, ils ne s'aiment pas, ils vivent du SM, chose qui n'a aucun rapport avec l'amour. Par rapport à ce que je lis sur ses emails, je ne pense pas qu'il la baise, leur relation semble purement SM. Il y va elle le domine, il revient heureux à la maison retrouver sa femme. Tu ne vas pas foutre en l'air 30 ans de mariage pour ça, tu peux encore reprendre la situation en main et sauver votre couple.

    - Tu crois ? Demande Jacqueline en buvant les paroles de son amie.

    - Si tu veux, j'essaye de la joindre, je lui parle et on voit mais tu me jures que tu ne lui sautes pas aux yeux ni ne l'insultes, cela ne sert à rien et serait injuste.

    - Elle reçoit quand même mon mari !

    - Oui mais absolument pas comme tu l'entends. Si René allait se faire masser en cachette, casserais-tu la figure de la masseuse ?

    ............

    Marilyne appelle la Maîtresse dont elle a trouvé le numéro de téléphone dans les emails. Elle se présente sous son pseudo de Maîtresse et explique la situation. Encore une fois avec beaucoup de diplomatie, elle parvient à la convaincre de venir chercher la croix de Saint André en lui promettant d'être présente et que tout se passera bien. Jacqueline et la Maîtresse discutent quelques minutes au téléphone, cela rassure la Maîtresse sur ses intentions. L'idée de donner une leçon à un soumis en présence de sa femme l'amuse follement, elle viendra toutefois accompagnée de son mari, sa seule condition.

    Là encore, Jacqueline de comprend pas qu'elle vienne avec son mari. A ses yeux le mari de cette Maîtresse est aussi un cocu. Marilyne reprend ses explications sur la domination féminine en lui expliquant que les Maîtresse couchent très rarement avec leur soumis puis qu'elles prennent leur plaisir autrement grâce au SM.

    Soumis ABDL lavementToujours accroché à sa croix, René se décompose lorsqu'il les entend arriver. Son colon a gagné la bataille sur la résistance de son anus. Il s'est répandu honteusement dans sa couche comme une personne incontinente. L'odeur nauséabonde s'en échappant ne laisse aucun doute sur ce qu'il s'est passé. Lorsqu'il apprend qu'elles ont fouillé son ordinateur, sa gorge se serre. Les filles s'en donnent à cœur joie pour l'humilier en parlant de la couleur de sa couche, en lui disant également qu'il pue le rat mort. Elles poussent même le vice à lui claquer les fesses par-dessus la couche pleine, engendrant des effets sur les liquides quelle contient, effet désastreux sur le moral de René abominablement souillé.

    Son cœur semble s'arrêter quand il apprend qu'elles ont eu sa Maîtresse au téléphone, les quelques détails qu'elles lui donnent ne laissent aucun doute.

    Il est à deux doigts de la crise cardiaque lorsqu'elles lui apprennent que sa Maîtresse va venir en personne chercher la croix qu'il a fabriquée. Comble de l'infamie elles lui laisseront même le plaisir de le délivrer et de la démonter pour qu'elle puisse l'emporter dans sa voiture. Elles le plantent là avec sa misère, pour aller prendre un café. Ni tenant plus, il finit par uriner dans sa couche, augmentant encore les volumes de liquide. Ses yeux commencent à mouiller, fait comme un rat, René ne peut à présent que se lamenter sur son sort.

    Une heure plus tard, il entend les filles passer, son sang se glace dans ses veines lorsqu'une voiture qui se gare devant le garage. Il croit mourir en entendant le son de la voix de sa Maîtresse. Pour parachever son supplice, en affichant une joie perfide d'assister à son supplice Marilyne lui retire le sac qu'il avait encore sur la tête. Le regard des autres en ces moments sont pires qu'un coup de fouet.

    Il vit les pires secondes de sa vie, à être ainsi entravé et exposé avec sa couche souillée comme seul vêtement totalement offert dans sa honte devant cet homme, sa femme, sa Maîtresse puis cette garce de Marilyne.

    Sa Maîtresse le libère puis lui demande de démonter la croix pendant qu'elle va discuter avec sa femme. Une demi-heure plus tard, alors qu'il dévisse les derniers boulons, ils reviennent au garage, la discussion entre femmes semble s'être bien passée. Il est tellement mal dans sa tête, dans son corps et son âme qu'il n'a même plus honte du spectacle qu'il offre à quatre pattes avec sa couche odorante souillée. Il fait le plus vite possible pour qu'ils s'en aillent, pour que cette horreur se termine.

    - Tu as une femme merveilleuse, ouverte à beaucoup de choses mais tu ne la mérites pas. Si tu reviens me voir un jour petit soumis, je sais ce qu'il faut faire pour te punir, sauf que moi je te ferai bouffer le contenu de ta couche en guise de punition. Lui dit sa Maîtresse pendant que son mari charge la voiture. Oublie mon adresse et mon numéro de téléphone, ce n'est pas un conseil, ce sera le dernier ordre que je te donnerai.

    Étant très fine et pas en manque de soumis, la Maîtresse de René joue le jeu des filles en humiliant encore le soumis au « cul merdeux » dans tous les sens du terme avant de quitter les lieux. Marilyne fait de même, il est temps de les laisser seuls.

    La suite de cette histoire ?

    Guidée par Marilyne, avec le temps Jacqueline est devenue une forme de Maîtresse Femme sans pour autant devenir une pure domina. Son plaisir est la fessée, son mari en prend souvent et depuis ce jour là René marche droit car la discipline conjugale à la maison est assez rude.

    TSM journaliste de Fessestivites

    Les photos des mésaventures ABDL et SM de René sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/1_ABDL-infantilisme-Rubber-zentai/albums/5024_La-femme-d-un-ABDL-decouvre-qu-elle-est-cocue-et-se-venge-de-son-mari-soumis.html

    La vidéo des mésaventures ABDL et SM de René sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/3957_La-femme-d-un-ABDL-decouvre-qu-elle-est-cocue-et-se-venge-de-son-mari-soumis.html

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