• Soumise violée sous camisole de force

    Soumise violée sous camisole de force

    Laurie ex soumise L déprime depuis que son compagnon l'a laissée tomber pour une jeune soumise perverse qui lui a fait tourner la tête. Elle a tout perdu, son homme, son Maître, la maison où elle s'épanouissait depuis 15 ans. Sans travail puisqu'elle l'aidait dans l'entreprise, Laurie est à la rue.

    Hébergée par un Maître respectueux du réseau Fessestivites, elle essaye par tous les moyens de s'en sortir. Maître Hervé n'abuse pas de la situation, il ne lui propose ni de participer aux soirées ni de coucher avec lui. Depuis plus d'un mois ils fonctionnent comme frère et sœur. En la voyant sombrer dans une sévère dépression, Maître Hervé lui a conseillé d'aller voir un psy pour obtenir une aide. Comme il est toujours de bons conseils, elle s'est donc rendue chez un psychiatre et lui a tout expliqué en long, en large et en travers de sa vie. II sait donc qu'elle est soumise et d'un naturel maso, points qu'il a creusé lors de la dernière séance.

    Le psychiatre Henri est un monstre mais ni elle ni Maître Hervé ne pouvaient s'en douter.

    Adepte de BDSM depuis de longues années, mais rejeté par toute la communauté pour son sadisme excessif Henri s'est engouffré dans la tête de sa patiente en état de faiblesse qu'il manipule à souhait. Comme elle trouve une oreille attentive en lui et une patience d'ange pour le paiement de ses honoraires, Laurie s'épanche plus que de raison lorsqu'il creuse sa sexualité en guise de psychothérapie. Si bien qu'un jour, elle lui avoue avoir fantasmé sur l'idée de se faire carrément violer et humilier dans des endroits sordides par des dizaines d'hommes. Si elle avait vue les dessins pervers qu'il griffonnait ce jour là sur son bloc note, Laurie se serait enfuit à toutes jambes.

    Au lieu de fuir, elle accepte de sortir avec lui le soir même en lui promettant de ne rien dire à son ami Hervé car un psychiatre n'a pas le droit d'avoir des relations privées avec une patiente. Elle l'appelle donc et prétexte une soirée chez une amie chez qui elle restera peut-être pour la nuit.

    Une heure plus tard, Henri conduit Laurie dans un grand restaurent où ils prennent l'apéritif loin des regards dans un parc luxuriant. Sans aucune méfiance, elle se baisse pour ramasser le paquet de cigarette que son psy vient de faire tomber. Lors de cet instant prémédité, Henri verse une poudre dans le verre de sa victime. A la fin du repas servit rapidement à sa demande, Henri aide sa victime à monter dans sa voiture car elle est épuisée, épuisée mais amoureuse.

    Soumise violée sous camisole de forceLorsqu'elle ouvre les yeux, Laurie est dans une pièce aux murs matelassés. Quand elle essaye de bouger, elle constate qu'elle est entravée nue dans une camisole de force. Ses appels de détresses restent sans effet, personne ne vient. Soudain, un long moment plus tard deux infirmiers entrent dans cette ex salle réservée aux fous en crise. En guise de réponse à ses questions, ils se mettent à la tripoter, à la traiter de salope quand elle tente de résister. Après une série de gifles dès plus appuyées, elle est obligée de céder à ses violeurs qui l'étranglent lentement pour l'obliger à les sucer.

    L'un deux l'attire à lui brutalement puis plaque les lèvres contre les siennes et l'embrasse avec violence avant de diriger sa tête vers son sexe bandé en lui arrachant presque les cheveux. Le gland violacé vient appuyer contre ses lèvres et s'enfonce dans sa bouche avec une certaine brutalité. Il la tient fermement par les cheveux et lui impose des mouvements sauvages. Il tente même de lui faire engloutir l'intégralité de son membre sans être gêné par les haut-le-cœur qui la secouent sous les coups lents et répétés de son gros gland contre la luette. Rejetée en arrière comme un déchet que l'on jette, sa bouche est forcée par l'autre infirmier tout aussi doux. La bouche déformée par ce mandrin, elle hoquette et pleure sans que ses larmes n'attendrissent ses violeurs.

    Soumise violée sous camisole de forceLorsqu'ils entreprennent de retirer la sangle de la camisole passant entre ses jambes, Laurie comprend que rien ne lui sera épargné. Ses suppliques restent vaines et trouvent un écho effrayant.

    - Ne fais pas la mijaurée, parce qu'une queue comme ça, ça se refuse pas non ? Ici, tu n'es qu'une chatte, un cul et une bouche dans lesquels on va souvent jouir.

    Les mots agressifs hurlés par les colosses la figent de peur. Mise à genoux puis la tête écrasée dans la mousse recouvrant le sol, elle sent l'infirmier se placer derrière sa croupe offerte. Elle ne peut accepter ce qu'il va se passer, s'en est trop. Elle tente en vain de se débattre mais placé entre ses genoux écartés de force, l'infirmier ajuste sa verge sur la vulve offerte et la pénètre violemment. Laurie se débat et se tord sous la brute puis se met à hurler. Le second infirmier lui écrase les yeux avec ses doigts pour lui faire comprendre qu'elle doit se taire. Laurie pousse de petits gémissements plaintifs pendant qu'il la prend à grand coups de reins, gémissements interprétés comme du plaisir par ses violeurs.

    - Tu vois que tu aimes salope !

    Pendant le va et vient sauvage de son violeur, le second infirmier use et abuse de la bouche de Laurie dont il soutient la tête par les cheveux. Entre leurs mains elle n'est plus qu'un pantin de chair dont ils s'amusent à leur guise. Un troisième infirmier arrive mais il ne sera pas son sauveur bien au contraire, il vient chercher sa part de « viande fraiche ».

    Soumise violée sous camisole de forceL'infirmier caresse ses fesses et rapidement, commence à titiller l'orifice interdit. « Non pas là crie t'elle en comprenant tout de suite que le doigt préparait le chemin à son pire cauchemar, la sodomie refusée jusqu'à présent même dans sa vie de soumise. Devant ses ruades désespérées, elle est jetée sur le dos, ses jambes maintenues ouvertes ne peuvent que s'agiter lorsque l'infirmier pousse son Priape au centre de l'orifice étroit. Le rectum élargi à outrance à peine mouillé par un brin de salive résiste fièrement. Elle se met à hurler lorsqu'il cède sous la pression et d'absorbe d'un coup toute la bite qui s'enfonce en elle jusqu'à la garde. Ses yeux exorbités par l'effroi reflètent la douleur intense ravageant ses reins vierges jusqu'à présent.

    L'un après l'autre ils labourent le rectum à grands coups de reins, obligeant Laurie à appuyer sa tête contre le ventre de ceux qu'elle suce pour se maintenir en position sous peine de s'étouffer quand elle est à genoux. Ils rient à chaque fois lorsqu'elle se débat sous les nouvelles pénétrations.

    Baisée ou enculée profondément, totalement vaincue elle suce maintenant les queues qui se présentent à elle sans réfuter ou même essayer de résister. Elle se sent plus que jamais esclaves sans âme ni raison, ballottée, retournée, utilisée sans aucune considération, elle n'est plus qu'un réceptacle. Une heure plus tard, elle pense son calvaire terminé lorsqu'une fois leurs affaires faites et dûment avalées ils lui remettent la sangle ventrale de la camisole de force.

    « A demain salope » lui lance le dernier des infirmiers en fermant la porte. Laurie sait maintenant qu'elle a vraiment tout perdu, l'honneur, la dignité, le respect, qu'elle a moins de valeur qu'une prostituée qui peut refuser un client trop brutal ou sale.

    Dans son bureau, Henri s'est branlé devant l'écran de surveillance de la salle pendant son viol sans pour autant parvenir à bander réellement. Depuis qu'il a été mordu pour avoir maltraité une soumise, ses érections limitées ne lui permettent plus de savourer les plaisirs de la vie.

    Epilogue

    C'est encore une fois Maître Hervé qui a réussi à la sauver par son insistance auprès de la police et cela grâce à ses relations sans quoi Lucie serait morte aujourd'hui. Au départ, la police refusait d'enquêter car Laurie est majeure et il n'avait aucun lien de famille avec elle. C'est le téléphone portable de Laurie qui l'a sauvée. Tombé entre les sièges de la voiture du psychiatre, il a permis une géo localisation correspondant soit à son domicile soit à son cabinet. Ce médecin interrogé affirmait ne pas avoir de nouvelle de sa cliente par contre son téléphone était toujours là où il allait ! 24 heures plus tard, la batterie du portable totalement déchargée n'aurait plus permis une géo-localisation. Félicitations à Maître Hervé pour son acharnement.

     

    TSM journaliste de Fessestivites

    Les photos sont ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/albums/4194_Violee-sous-camisole-de-force.html

    La vidéo est ici

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/2719_Violee-sous-camisole-de-force.html

    « Elle aime qu'on fasse l'amour en collantsCocu arrête de te branler et va mettre ta cage de chasteté »

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