• SM ultra hard à la grecque


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    Laurie avait connu le BDSM avec un ami rencontré sur Fessestivites. A cause de ses sentiments affectifs très forts, il ne parvenait pas à la dominer réellement. C'est d'ailleurs souvent le cas dans des couples adeptes du BDSM. Oh ce n'est pas qu'il n'était pas attentionné et un brin pervers, non, c'est juste qu'il ne voulait pas lui faire mal ou aller trop loin dans l'humiliation. Leur vie de couple devenant « vanille » elle commença à s'ennuyer, faire des fellations sur commande ne l'amusait plus, il lui fallait quelque chose de plus fort, de plus hard que Gérard ne pouvait lui donner. Elle l'avait quitté trois mois auparavant.


    Ce que Laurie voulait c'était vivre des séances comme sur les vidéos avec du fouet, du pony-girl, de vraies fessées, pas de petites claques sur les fesses avant de faire l'amour. Non ce qu'elle voulait c'était du hard, jamais Gérard ne lui avait donné ce qu'elle désirait vivre. Elle avait donc refait son annonce pour trouver Le Maître capable de l'amener vers des sommets jamais atteints. Sauf que des Maîtres il y en avait des tonnes, mais les bons étaient tous pris ou trop loin de chez elle. Et puis il y avait ceux qui se disaient Maître mais qui en fin de compte n'avaient qu'une envie : la sauter.


    Elle sympathisa sur Fessestivites avec un couple adorable, ils correspondaient par email ou en chat privé. Un jour, ils partagèrent avec elle une soirée en cam privée sur le chat. Ce qu'elle vit la mit tellement en émoi que ses mains se dirigèrent naturellement vers son entrejambe. Il y avait depuis une tache sur le fauteuil de son bureau, c'est dire.....


    Ce couple lui proposa de les rejoindre en Grèce où ils passaient leurs vacances chaque année dans une propriété de rêve comportant sur son terrain les ruines d'un ancien temple et une plage privée. Laurie accepta avec plaisir puis cassa sa tirelire pour s'offrir ce voyage au pays des merveilles coquines.


    Lors de son arrivée, la jalousie de Lise était palpable. L'atmosphère était pesante et malgré ses efforts pour rester distante de Paul, le mari pour qu'il n'y ait pas de tension à cause d'elle, rien n'y fit.


    Le soir même, Paul entrava Lise bras et jambes en croix sur la plage avec des pieux plantés dans le sable pour lui donner le fouet en l'obligeant à lécher sa minette. Assise sur une serviette elle lui offrit son intimité à lécher comme le souhaitait Paul. Aux premières loges pour cette séance de fouet et avec une langue aussi habile que celle de Lise, elle s'envola au paradis des plaisirs. La belle soumise fouettée atteignit le subespace et fut laminée par des jouissances paroxystiques très émouvantes pour les yeux de Laurie.


    Le lendemain, ils discutèrent de cette séance, c'est lors de cette discussion que Laurie appris ce qu'est le subespace. Elle avait bien entendu parler de cette histoire de plaisir si intense dans la douleur que les personnes ne désirent pas que cela s'arrête. Elle n'y croyait pas trop mais là, elle venait de voir que ce n'était pas une histoire, c'était bien réel. De fait, elle leur demanda s'ils lui feraient découvrir le fouet et le subespace. A cause de la jalousie de Lise, l'ambiance devint rapidement tendue. Paul trouva la solution pour concilier les femmes : c'est Lise qui fouetterait Laurie demain dans les ruines, lui ne ferait que la vidéo de cette découverte.


    ....................................


    Lise étant rassurée, les tensions s'apaisèrent, elles déjeunèrent toutes les deux tranquillement sur la terrasse en regardant la mer des sensations éprouvées par Lise la veille.


    - Tu sais, j'ai confiance en vous, j'aimerais vraiment vivre une réelle séance de fouet et que tu me pousses jusqu'aux jouissances extrême que tu as vécues hier soir.


    - De toi à moi, c'est quand même assez hard et pour arriver à jouir sous le fouet il faut quand même forcer un peu. Tu risques d'avoir de sacrées marques sur le corps pendant quelques jours. Lui répond Lise.


    - Je m'en moque des marques, elles partiront et puis qui les verra ? Tu sais j'aimerai vraiment le vivre au moins une fois et si je crie stop, ne t'arrête pas, fait-moi vivre ça au moins une fois dans ma vie.


    - Sache que je vais te faire mal pour de vrai surtout au début, tu ne m'en voudras pas ?


    - Je t'en donne ma parole et je te l'écris si tu veux. Comment puis-je t'en vouloir si tu me donnes ce que je désire ?


    - Ok comme tu voudras mais tu le répèteras à Paul quand il se lèvera car je ne voudrais pas qu'il pense que je me venge, l'addition serait trop lourde car ses punitions sont terribles.


    DEUX HEURES PLUS TARD DANS LES RUINES


    Laurie confirma une seconde fois à ses amis qu'elle désirait vraiment aller jusqu'au bout pendant qu'ils l'attachait debout bras et jambes écartées entre deux colonnes de pierre. Elle insista même en disant que même si elle les suppliait, ils devraient aller jusqu'au bout. En leur tenant ce discours, Laurie lutta aussi contre sa peur, elle en avait envie mais une inquiétude sourde montait petit à petit en elle.


    Lorsqu'elle fut totalement entravée, pendant qu'ils installaient le caméscope sur pied, elle se traitait de folle, elle était autant inquiète qu'excitée. Lise s'approcha d'elle avec un long fouet noir à la main. Elle lui caressa le visage d'une main douce avant de l'embrasser tendrement sur la bouche.


    Lise prit le recul nécessaire, lui adressa un baiser du bout des lèvres puis envoya le fouet qui s'enroula autour de la taille de Laurie avant de finir sa course sur ses fesses. Laurie bondit de douleur. « Oh putain » pensa t-elle en constatant que cela n'a aucun rapport avec les jouets BDSM de son ex. Elle se tordit de douleur sous le fouet qui s'enroulait régulièrement autour de son corps. Si quand il passait sur ses seins cela n'est pas réellement douloureux, la fin de sa course dans son dos ou sur ses fesses, c'était vraiment hard. Elle criait et se débattait mais ne demandait pas grâce, elle voulait vraiment vivre la séance jusqu'au bout. Cela en devint un défi pour elle que de connaître cette jouissance quel qu'en soit le prix à payer. Par trois fois, le fouet fini sa course sur les cuisses, et si cela était très douloureux sur le corps, la douleur sur cette zone extrêmement sensible lui paraissait insurmontable.


    Paradoxalement, lorsque Lise fit une pause, elle regretta presque que cela soit terminé.


    Mais ce n'était pas vraiment une pause. En fait, il vinrent la tourner pour qu'elle vive la suite qui comme l'indiqua Lise « va devenir intéressante ». Elle l'embrassa à nouveau sur la bouche et lui murmura à l'oreille : « Accroche-toi ma belle, c'est maintenant que tout va se jouer ».


    Entravée bras et jambe en croix, face à la mer et à Lise, Laurie se traita mentalement de folle. Le premier coup enroulé finit sa course sur son sein gauche. Sous la douleur saisissante, elle se vrilla dans ses entraves avant de pousser un hurlement de bête que l'on égorge. Sans lui laisser le temps de se remettre, Lise continua de la fouetter sans relâche en laissant maintenant des stries rouges sur sa poitrine et son ventre plat. Au bout d'un moment, elle eut l'impression de perdre la tête, elle souffrait oui, mais cela devenait bon. Sous les coups suivants, elle se mit à convulser, son corps agité de tremblements insurmontables. Son sexe se mit à couler mais elle ne put ni le voir ni le sentir, elle était à présent dans une autre dimension.


    Paul s'approcha et fit signe à Lise de lever le pied, Laurie était partie, ce n'était plus la peine d'appuyer les coups. Quand elle commença à s'effondrer, à ne tenir debout que par ses entraves, Paul intervint pour la soutenir en ordonnant à Lise de la délivrer. Il la prit sur son épaule pour aller l'étendre sur une serviette de plage ou il l'allongea avec douceur.


    Tout en reprenant son souffle, elle les remercia, puis se mit à pleureur. Ses nerfs lâchaient, son corps encore agité de tremblements. Quelques minutes plus tard, Lise se glissa entre ses cuisses pour venir titiller de sa langue la perle clitoridienne cachée au cœur de son écrin. Lise poussa presque aussitôt un hurlement et serra les cuisses en repartant une nouvelle fois au paradis des plaisirs. Cela devint trop fort, trop puissant, elle repoussa son amie en criant « Stop, stop, je n'en peux plus, s'il te plaittttttttttttttttttttt ! »


    EPILOGUE


    Une heure plus tard, quand elle fit l'état des lieux dans la salle de bain, elle se traita de givrée, de malade mentale en voyant les marques sur son corps. Laurie ne regretta rien bien au contraire........


    Ecrivaillon


     La vidéo est ici


     http://www.fessestivites.com/f/videos/210286-SM-ultra-HARD-a-la-grecque


    Les photos sont ici


     http://www.fessestivites.com/f/articles/6283-SM-ultra-HARD-a-la-grecque


    Accéder au forum BDSM


    http://forums.fessestivites.com/bdsm-et-ses-declinaisons/


    Où acheter un vrai fouet


     http://www.abcplaisir.com/fr_FR/Fouet-whip/Fouet-whip


    Faire des rencontres BDSM


    http://www.fessestivites.com/fr_FR/Rencontres

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  • Encagé, féminisé godé par sa femme

     

    Auteur Ecrivaillon

     

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    Louis rêvait de rencontrer une Maîtresse pour vivre ses fantasmes de soumission. Comme beaucoup d’hommes, il surfait en cachette de sa femme sur Fessestivites. A défaut de trouver la Maîtresse de ses rêves les plus fous, lire des histoires érotiques ou voir des vidéos pornos titillait ses neurones coquins et, quand l’excitation devenait trop forte, la veuve poignet lui permettait d’assouvir ses envies. Trouvant ainsi son équilibre sexuel, il délaissa son épouse jugée « trop vanille » pour comprendre.

    La problématique quand on n’a qu’un ordinateur à la maison, c’est la discrétion surtout quand on a des choses à cacher. Une nuit, Laurie se leva pour un besoin pressant et découvrit le pot aux roses ! Son mari les yeux fermés se branlait de bon cœur. Lorsqu’elle s’approcha discrètement, la vidéo motivant cet enthousiasme sexuel tournait encore sur l’écran avec une dominatrice qui était en train de jouer avec son soumis sous cage de chasteté.

    - C’est quoi ce truc qu’il a sur le sexe ? Demanda Laurie amusée de le surprendre dans un moment aussi coquin.

    Louis fit un bond sur le fauteuil dans lequel il aurait bien aimé se fondre. Le flux sanguin de l’appendice masculin fit volte face pour prendre la direction du visage de son propriétaire. En clair, il débanda et rougit comme un gamin piégé en train de faire une bêtise. Une discussion tendue eu lieu, madame n’appréciant pas trop la chose surtout que leur dernier câlin datait d’au moins deux mois. Pressé de s’expliquer mais aussi de répondre à la curiosité de son épouse, il dut lui présenter en image ce qu’est une cage de chasteté. C’est ainsi que Laurie découvrit les fantasmes de soumission de son mari.

    - Si ce truc t’excite à ce point achète-en une, comme ça, nous serons deux à nous amuser ! Lui dit Laurie avant d’ajouter qu’il devrait sortir les poubelles une fois son affaire terminée.

    L’ambiance n’étant plus, Louis décida de sortir les poubelles sur le champ pour fuir la conversation. A son retour, son épouse surfait gaiement sur Fessestivites et tout particulièrement sur son profil. Comme le lecteur peut s’en douter, à son retour ils ne prirent pas la direction de la couche conjugale !

    ………………

    Contrairement aux idées reçues, les femmes peuvent être aussi très coquines, c’est ce que découvrit Louis en voyant son épouse surfer une bonne partie du week-end sur ce site maudit que peut être Fessestivites dans cette situation ! Elle explora grandement le forum chasteté autant pour comprendre que par curiosité. La cage de chasteté fut commandée le soir même sur ABCplaisir.

    Un mois plus tard

    Louis devenait fou, fou d’amour, fou de désir, fou furieux aussi parfois quand elle s’amusait avec les clés accrochées à son cou le samedi soir en lui indiquant qu’elle était fatiguée. L’appel du sexe pousse parfois l’homme encagé à des réactions originales dans sa recherche de plaisir détourné. Ne pouvant prendre du plaisir par devant, il commença à jouer avec son derrière, traduire par se mettre des trucs entre les fesses en empruntant des sous-vêtements à sa femme. Etant méticuleuse dans ses rangements, Laurie se rendit compte que certaines choses n’étaient pas comme elle les avait rangées. Maligne, elle fit quelques repères y compris dans le tiroir où elle rangeait un vieux sextoy avec d’autres bricoles très féminines. Son instinct ne l’avait pas trompé, son mari se servait de son sextoy en cachette et de ses sous-vêtements !!!

    Sur les forums de Fessestivites elle trouva une partie de la réponse à ses interrogations en lisant cet article. Cage de chasteté pourquoi des sous-vêtements féminins ?
    http://forums.fessestivites.com/bondage-et-contraintes/cage-de-chastete-pourquoi-des-sous-vetements-feminins-t1990.html

     

    Comme sur cette page il y a un lien vers les vidéos portant sur les cages de chasteté, elle cliqua par curiosité. Deux heures plus tard, ses doigts coquins s’insinuaient sous sa jupe pour masser délicatement le bouton des plaisirs à travers le fin rempart de dentelles. Elle venait de se découvrir une attirance pour le gode ceinture. Bien décidé à essayer, elle en commanda un aussitôt sur ABCplaisir sans en toucher un mot à son mari.

    Le samedi suivant, alors qu’ils allaient se coucher, elle l’interpella pour lui mettre une robe.

    - Mais que fais-tu chéri ? Demandé Louis très étonné.

    - Je sais que tu me chipes mes culottes alors tant qu’à faire, je vais t’aider à te féminiser puisque cela t’amuse. Et puis tant qu’à faire, on va aussi jouer avec le sextoy que tu utilises en cachette. Comme il est gros pour un cure-dent j’imagine sans trop de peine l’usage que tu en fais. Laisse-toi faire, j’ai envie de m’amuser.

    Laurie lui enfila une robe noire et lui retira son short avant de le pousser sur le lit pour aller chercher le sextoy et du lubrifiant. Louis était à la fois très gêné mais aussi très heureux de découvrir que sa femme pouvait devenir Maîtresse.

     

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    - A quatre pattes fesses en l’air petite femelle, j’ai envie de toi, lui ordonna Laurie très amusée par cette situation causasse.

    Le pauvre Louis grogna, quémanda le retrait de la cage de chasteté, chose qui lui fut refusée d’un « non » catégorique. Sa petite rondelle étoilée n’en menait pas large quand elle entreprit de la visiter. Elle finit par céder sous la poussée généreuse, elle profita de cette ouverture pour enfoncer le sextoy profondément qui glissa tel un missile qui fend l’air.

    - Et bien, tu es très ouvert toi ! S’étonna Laurie. Tu dois jouer souvent en cachette petit coquin. Ce n’est pas bien de cacher des choses à sa Maîtresse, tu seras puni pour ça.

    Sentant qu’il se décontractait de plus en plus, submergée par une envie phallique, elle saisit son gode ceinture caché dans son tiroir à chaussure et l’enfila sous les yeux ébahis de son mari. Bien décidée à pousser le vice jusqu’au bout, elle lui enfila la perruque chipée à une copine pour que la féminisation soit totale. Chaque fois que Louis voulait dire quelque chose elle le coupait dans ses élans en lui rappelant qu’il n’avait pas à faire des choses dans son dos.

    Si les voies du seigneur sont impénétrables, la voix de sa Maîtresse lui permit de sentir certaines choses et sa voie anale de comprendre qu’elle s’éclatait en le sodomisant. Au début, elle manquait d’agilité pour la chose, mais cela ne dura point. Louis se fit « ramoner » par une furie décidée à en découdre avec son petit cul, si bien qu’il finit par éjaculer dans sa cage pour cause de prostate bousculée.

     

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    Il écopa d’une semaine de cage de chasteté supplémentaire pour avoir fauté puis dut à son tour donner du plaisir à sa femme avec sa langue et le sextoy nettoyé. La semaine qui suivit, Louis fut obligé de porter des sous-vêtements féminins pour aller travailler en guise de punition pour avoir chipé les vêtements de sa Maîtresse.

    Ecrivaillon

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    http://www.abcplaisir.com/fr_FR/Cage-de-chastete

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    LA VIDEO EST ICI RUBRIQUE CHASTETE

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  • Hogtie in sex tortur


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  • Antoine et Pascale (Homme fessé)

    Auteur : un membre du réseau Fessestivites publié par Ecrivaillon

    Il lui dit que cette fois c'était trop. Elle y était allée trop fort. La correction avait largement dépassé ses limites. Il garderait des marques sur les fesses et les cuisses pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Elle le regardait de haut, son ceinturon toujours à la main, une expression de déception mêlée de colère sur le visage. L'anxiété l'envahit aussitôt. Il leva la main par réflexe pour intercepter la gifle qui allait, il en était sûr, tomber. Mais elle se détourna simplement de lui.

     Madame, je...
     Tais-toi. Je me dévoue pour toi, pour t'apporter cette éducation que tu recherches, et lorsque je m'exécute, tu trouves le moyen de te plaindre. On en a fini tous les deux. Rentre chez toi, tu n'auras plus de nouvelles de moi.
     Non ! S'il vous plaît, je ferai des efforts, je vous le jure ! C'est simplement, cette fessée, elle était vraiment trop forte, et je...
     Je t'ai dit de te taire !

    Il s'exécuta. Son regard désemparé cherchait celui de sa fesseuse, Pascale, qui semblait réfléchir. Paniqué, il se demanda si cette fois-ci, il l'avait définitivement perdue. Elle se détournait de lui, parfois. Elle connaissait son angoisse de l'abandon. Elle l'avait utilisée pour le punir lorsqu'il devenait nécessaire pour lui de changer d'attitude. Elle en avait usé et abusé, au point de le rendre fou, dépendant, acceptant tout ce qu'elle lui imposait pour ne pas être rejeté. Un jour, Pascale l'avait utilisée à bon escient. Mais pour comprendre cela, il fallait remonter quelques mois plus tôt.

    Antoine était un beau jeune homme d'une vingtaine d'années. Etudiant sans le sou, collectionnant les petits boulots pour joindre les deux bouts et perdant peu à peu pied dans ses études, il avait peu à peu plongé dans les méandres d'une vie de plus en plus glauque, jusqu'au soir où il avait rencontré Paul, dans un bar de la rue des Martyrs. Paul avait la quarantaine, la peau abîmée, une barbe de trois jours et des yeux verts laiteux. Paul l'avait dragué. Antoine n'était jamais sorti avec un garçon. En réalité, il n'avait connu qu'une fille, et cela n'avait pas duré bien longtemps. Devant son refus, Paul lui avait proposé trois billets de 50€ en échange d'un peu de bon temps. Le jeune homme n'était pas en position de refuser. Son loyer impayé depuis plusieurs semaines, son propriétaire menaçait de le mettre à la rue. Il avait suivi Paul jusqu'à une ruelle sombre, et empoché les billets. Malgré le dégoût premier, Antoine était tombé bien trop bas pour faire marche arrière. Il retourna donc dans la rue des Martyrs, le jour suivant. A la fin de la semaine, son retard de loyer était payé.

    Depuis ce soir-là, il échangeait le soir dans les bars ses « services » contre de l'argent. Profitant de son physique avantageux, son corps d'adolescent était passé de mains en mains, de chambre en chambre. Il ne pouvait compter le nombre de clients qui avaient joué avec ses cheveux bouclés qui lui donnaient l'air d'un chérubin tombé du paradis. Il ne savait combien de doigts avides avaient exploré le moindre recoin de son intimité, s'infiltrant entre ses fesses blanches et rebondies. Mais il n'y en avait jamais assez Alors qu'il en était réduit à récupérer des morceaux de sandwiches entamés dans les poubelles de la gare du Nord, une dame d'une cinquantaine d'années l'avait repéré. Elle s'appelait Pascale et elle était enseignante. Habillée d'une façon très sobre, un tailleur beige et des escarpins, sa douceur mêlée d'autorité, son inquiétude pour lui l'avaient bouleversé. Ses cheveux châtains étaient retenus en un chignon strict, et de petites lunettes rondes cachaient des yeux noisette qui inspiraient la confiance. Elle était assez grande, et très mince, sa poitrine compressée dans son tailleur. Elle l'avait invité au restaurant, et malgré ses réticences, la faim avait été plus forte, et il l'avait suivie. Alors qu'il dévorait une pizza royale, elle l'avait observé, sans rien dire. Au moment de payer, il lui avait proposé des relations sexuelles pour la « rembourser ». Son regard choqué avait réveillé en lui un sentiment de culpabilité refoulé.

     C'est comme ça que tu vis ? Lui demanda-t-elle d'une voix faible.
     Oui, Madame, avait-il répondu.
     Où sont tes parents ? Ne peuvent-ils pas t'aider, au lieu de te laisser à la rue ?

    Antoine baissa les yeux. Ses parents, il avait coupé les ponts avec eux depuis bien longtemps. Comprenant qu'elle mettait les pieds en terrain miné, elle avait continué sans attendre sa réponse.

     Je veux bien croire que tu rencontres des difficultés, mais ne pourrais-tu pas faire cent fois mieux ? Tu m'as l'air d'un jeune homme intelligent. Tu pourrais faire des études, et te trouver un bon travail.

    Antoine lui expliqua qu'il était inscrit en deuxième année de licence d'informatique. Il avait caressé l'idée de passer un concours professionnel suite à cela, mais le manque d'argent avait eu raison de ses ambitions.

     Nous sommes en octobre. Il n'est pas trop tard.
     Pas trop tard pour quoi ? Je dois tout de même vivre, je ne peux pas me permettre de seulement étudier, protesta Antoine.
     Je vais te faire une proposition, Antoine. J'accepte de te prendre sous mon aile, de veiller à tes besoins. En contrepartie, tu vas t'engager à te remettre à tes études et à réussir ton concours. Je t'aiderai à rattraper ton retard.

    Le jeune homme, toujours dans sa logique de prostitution, la regarda d'un air suspicieux, croisant les bras. Surprenant ce geste défensif, Pascale lui sourit.

     Je n'attends rien de toi. Simplement, sache que je suis une enseignante sévère.
     Sévère de quelle manière ? Demanda-t-il.
     As-tu déjà reçu la fessée, Antoine ?

    Pascale était une adepte de la fessée comme outil éducatif. Si elle ne pouvait pas l'utiliser sur ses élèves, elle l'avait souvent regretté et avait espéré pouvoir un jour la pratiquer sur un véritable étudiant qui aurait besoin d'une main ferme pour s'en sortir. Et Antoine correspondait selon elle tout à fait à ce critère.
    Le jeune homme était resté bouche bée, n'osant répondre à la question. Il se demandait s'il avait en face de lui une perverse, une sadique qui lui proposait de lui faire subir des sévices en échange de son obéissance. Il avait déjà entendu cela, de la part de ses « clients », mais n'avait jamais accepté pour autant.

     Ne t'en fais pas. Je te parle uniquement de fessée dans le sens « éducation ». Je n'attends rien d'autre de toi.

    Antoine ayant toujours l'air confus, elle fronça un peu les sourcils.

     Réponds à ma question, alors. As-tu déjà reçu la fessée ?
     Non, Madame.
     Eh bien, débrouille-toi pour m'obéir et ne jamais avoir à la recevoir.

    Sur ces paroles, ils échangèrent leurs numéros de téléphone en se promettant de se revoir bientôt. Pascale lui signa un chèque au nom de son propriétaire avec ordre d'aller le donner le lendemain. Elle lui donna ensuite suffisamment de liquide pour acheter de la nourriture pour la semaine, en lui faisant promettre d'être capable de le faire durer jusqu'au dimanche, jour où elle lui en donnerait à nouveau. Si elle apprenait qu'il avait utilisé l'argent pour autre chose, elle le punirait sévèrement.

    Il hocha la tête, pensant toutefois qu'elle ne pourrait pas le savoir s'il désobéissait. Sa soirée avait été la plus « normale » qu'il ait vécue depuis bien longtemps. Il n'avait pas eu à faire quoi que ce soit de dégradant, il avait bien mangé, on lui avait parlé comme à un être humain. Certes, certaines propositions le laissaient perplexe, mais il était décidé à profiter un maximum de Pascale et de ce qu'elle pouvait lui apporter.

    Cependant, dès la première semaine, rien n'allait pour Antoine. Pascale lui annonça qu'il allait devoir adopter dès le lendemain des horaires un peu plus conventionnelles. Plus question pour lui d'aller traîner rue des Martyrs la nuit. Elle lui téléphonerait à 7h le lendemain et il avait intérêt à être prêt à partir à l'université. Il devait être couché à 23h. Il rentra chez lui et se mit au lit. Cependant, il fut incapable de s'endormir avant cinq heures du matin. Lorsque son réveil sonna, il l'éteint et se retourna machinalement, se rendormant presque aussitôt.

    La vibration de son téléphone le réveilla. Incapable de savoir depuis combien de temps il sonnait, il le saisit et vit quatre appels manqués de Pascale. Il était 7:18. Il jura. Il avait presque oublié cette rencontre qui dans sa tête, tenait plus du rêve que de la réalité. Il rappela le numéro.

     Bonjour Madame, balbutia-t-il d'une voix pâteuse.
     Bonjour Antoine. Ne me dis pas que tu es toujours au lit. Ce que je t'avais demandé était pourtant simple.

    La voix était cassante. Le jeune homme essaya de se justifier, mais ses prétextes sonnaient faux. Pascale lui ordonna de passer chez elle à 14h. Elle lui donna l'adresse, quelque part dans le 8ème. Il lui assura qu'il y serait.

    La matinée passa à une vitesse surréaliste. Il se traita de fou, se demandant bien pourquoi il irait chez une folle qui l'avait menacé de le fesser. Mais le souvenir de la pizza de la veille était encore présent. La possibilité de pouvoir vivre sans avoir à se prostituer occupait ses pensées. Stressé, il utilisa une partie de l'argent qu'elle lui avait confiée pour s'acheter un paquet de tabac et fuma quelques cigarettes. A 13h, il prit le métro en direction de chez sa bienfaitrice. A 13h40, il était devant la porte d'un immeuble. Il fuma encore quelques cigarettes pour faire passer le temps, puis il sonna à la porte. Pascale descendit lui ouvrir.

    Elle le dévisagea, ainsi que les mégots écrasés à ses pieds.

     Comment t'es-tu procuré ce paquet de tabac, Antoine ?
     Je... Je l'ai acheté Madame.
     Et avec quel argent ?

    Antoine ne répondit pas, se sentant tout à coup très bête. Pascale le saisit par le bras et l'entraîna à sa suite dans l'escalier en marbre.
    Ils entrèrent dans un appartement haussmannien. Peu habitué à un tel luxe, Antoine n'en croyait pas ses yeux. Mais il n'eut pas tôt fait de s'extasier que Pascale lui ordonna d'enlever ses chaussures.

     Je n'ai pas l'intention de me prendre des coups de pieds dans la figure. Obéis.

    Comme dans un rêve, Antoine se vit obéir. Pascale le saisit alors par l'avant-bras, et le conduisit jusqu'au rebord d'un canapé, le penchant en travers de ses genoux. Le jeune homme, choqué, se laissa faire, incapable de faire le moindre mouvement.
    Les premières claques tombèrent sur son jean, et il se dit que ce n'était finalement pas grand chose comparé à ce qu'il avait vécu avec ses clients de la rue des Martyrs. Les claques s'enchaînèrent et il se crispa un peu quand la chaleur commença à envahir son postérieur. A moment donné, Pascale tira sur la taille de son jean, et il la laissa procéder par habitude. Sur son boxer, les claques se firent tout de suite plus mordantes. Il serra les poings, fermant les yeux. Pascale appuya un peu plus les gifles, et il se sentit étrangement contrit, comme un enfant pris en faute.

     Pourquoi suis-je en train de te donner une fessée, Antoine ?

    Surpris par la question, il rouvrit les yeux. Une claque tomba sur sa cuisse et il gémit.

     Réponds à ma question.
     Parce que... Parce que je ne me suis pas levé ce matin, Madame.
     Et ? Continua-t-elle en claquant l'autre cuisse.
     Parce que j'ai acheté du tabac avec l'argent que vous m'aviez donnée !

    A partir de là, le boxer d'Antoine alla rejoindre son jean, autour de ses chevilles. Il serra les fesses, mais la main dure et ferme de Pascale s'abattit encore quelques minutes. Lorsqu'elle s'arrêta enfin, il commença à se relaxer, mais soudain, un coup sourd s'abattit sur sa fesse droite, le faisant sursauter.

     Quelques coups de brosse devraient te permettre de te souvenir que l'argent que je te donne ne doit servir qu'à t'acheter de la nourriture ! Gronda-t-elle. Pas question que je finance un drogué !

    Les coups de brosse étaient très douloureux, la honte et la culpabilité envahissaient Antoine, qui se mit bientôt à sangloter. Au bout d'une vingtaine de coups, Pascale interrompit son traitement et passa une main réconfortante dans le dos d'Antoine, ce qui eut pour effet de déclencher de nouvelles larmes, car il avait très peu connu d'affection par le passé. Elle continua ainsi jusqu'à ce qu'il se calme, puis lui ordonna de se rhabiller. Les fesses rouges et bien chaudes, elle lui demanda alors de lui parler de ses études, et de lui expliquer le concours qu'il préparait. Ils passèrent l'après-midi à déterminer un programme de révision, puis elle l'invita à rester pour le dîner, avant de le chasser à 21:30 afin qu'il fut au lit à l'heure prévue.

    Sur le chemin du retour, Antoine se posa beaucoup de questions sur cette expérience. Il avait eu mal, il avait eu honte, alors pourquoi se sentait-il si bien, si soulagé, réconforté ? Il se rendit compte que jamais personne n'avait ainsi veillé sur lui, ni ne lui avait donné de limites. Une sorte de plaisir malsain l'envahissait, et sa main se dirigea naturellement vers son entrejambe, avant qu'il ne se fustige en réalisant ce qu'il faisait. Honteux, il comprit qu'il avait ressenti de l'excitation à être ainsi cadré puis réconforté. Peut être que Pascale allait être autre chose pour lui que cette dame qui lui remplissait son frigo et payait son loyer.

    Après le premier jour, Antoine se leva toujours à l'heure le matin, attendant même avec impatience la discussion téléphonique journalière avec Pascale. Il retourna sur les bancs de la fac, et commença à travailler, certes, avec plus de difficultés que ses camarades, mais avec toute la volonté dont il était capable.

    Un vendredi soir, cependant, il se rendit compte qu'il était déjà à court d'argent de poche de la semaine. Se refusant strictement à aller en demander davantage à Pascale, il ouvrit ses placards, qu'il trouva désespérément vides. L'habitude de manger à sa faim était trop ancrée, mais cette semaine-là, il avait mal géré son budget. Après un long moment d'hésitation, il prit son blouson en cuir et ses pieds retrouvèrent naturellement la direction de la rue des Martyrs. Là, il croisa un ancien client qui le reconnut aussitôt. Un peu anxieux, il le suivit néanmoins dans une ruelle. Il repartit avec assez d'argent pour acheter à manger et du tabac.

    Malheureusement pour lui, lorsqu'il arriva devant son immeuble, il découvrit Pascale qui l'attendait.

     Tu ne répondais pas sur ton téléphone, je suis donc venue voir si tout allait bien, dit-elle pour tout accueil.
     Je vous remercie pour votre inquiétude, mais tout va bien, répondit le jeune homme, un peu trop anxieux.
     Tu es sûr ? Tu as l'air étrange.
     Je vais bien, je vous assure.

    Il tenta de la doubler pour monter chez lui, mais elle l'arrêta et renifla sa veste.

     Tu as fumé.

    Il n'y avait rien à répondre. Elle avait déjà tout compris. Elle le précéda chez lui, et il n'eut pas tôt fait de poser son sac de course qu'elle fondait sur lui. Elle lui donna une raclée trois fois plus lourde que la première, sortant même la brosse à cheveux de son sac à main et lui en donnant jusqu'à tant que ses fesses soient bleues. Antoine pleura, se retenant de hurler seulement pour ses voisins, mais se doutant qu'aucun d'eux ne pouvait ignorer ce qu'il se passait. Comble de la honte, elle le fit se mettre au coin pendant qu'elle lui faisait la morale.

     Je me démène pour te faire changer de vie, et tu craques pour quoi ? Un paquet de cigarettes ? Tu n'as pas honte ?
     Mais Madame, je n'avais plus d'argent pour acheter à manger ! Protesta Antoine, éperdu.
     Tu... Pourquoi n'es-tu pas venu me trouver pour me le dire ? Et d'abord, comment se fait-il que tu n'avais plus d'argent ? Tu avais acheté du tabac ?
     Non Madame, je vous le jure ! J'ai mal géré mais je n'avais pas acheté de tabac avec votre argent, juste avec celui que j'ai gagné ce soir !

    Le regard qu'elle lui adressa lui transperça le cœur, tellement elle avait l'air dégoûtée par ses pratiques, par le fait qu'il y soit retourné. Antoine se mit à pleurer.

     Puisque tu préfères tes amis de la rue des Martyrs à moi, je pense que nous n'avons plus rien à nous dire, Antoine.

    Elle fit mine de partir. Le jeune homme, bouleversé, pleura la nuit entière. Il tenta de l'appeler à plusieurs reprises, mais elle ne répondit pas. Il lui laissa des messages, promettant de ne plus y retourner, d'être sage, d'obéir. La nuit suivante, il n'avait plus de larmes à verser, mais était complètement déprimé. Abattu, il ne put sortir de chez lui pendant deux jours. Le troisième, son téléphone sonna. N'en croyant pas ses yeux, il répondit.

     As-tu compris la leçon, Antoine ?
     Oui, oui Madame, j'ai compris ! Jura-t-il, sentant l'espoir revenir.
     Je veux bien te reprendre sous mon aile, mais à une condition. Dorénavant, tu ne tricheras plus. Tu m'obéiras et tu ne transigeras plus sur le principe même de notre relation.
     C'est promis, Madame ! Je vous le promets.

    Il lui confia ensuite à quel point cette expérience avait été douloureuse pour lui. Elle l'écouta, conservant un ton froid et sec, puis elle lui donna une punition, des lignes à copier. Il s'exécuta, presque reconnaissant.

    Les semaines qui suivirent furent une longue remontée à la surface pour Antoine. Il cessa désormais de fréquenter la rue des Martyrs, afin d'être sûr de ne pas être tenté. Il s'astreint à une discipline de fer, et progressa rapidement dans ses études. Cependant, les punitions tombaient encore, au moindre de ses manquements, et se faisaient de plus en plus sévères. Antoine les redoutait. Il se demandait jusqu'où elle irait. Un jour, elle utilisa une sorte de longue tige avec une poignée recourbée, qu'elle abattit sur ses fesses une dizaine de fois, lui laissant à chaque fois des marques profondes. Il ne put se retenir de hurler. Une autre fois, elle sortit d'un de ses tiroirs une lourde ceinture de cuir qui s'avéra être tout aussi douloureuse. Cependant, malgré ces traitements, il n'arrivait pas à se résoudre à cesser cette relation. La première feinte d'abandon l'avait laissé profondément dépendant de sa pro-fesseuse. Après tout, elle le nourrissait, elle le réconfortait, l'écoutait, elle l'aidait dans ses cours, elle était ce qui se rapprochait le plus d'un parent pour lui. S'il la perdait... Il retomberait dans les affres de sa vie passée, et bien pire.

    Un jeudi soir, il avait rendez-vous avez elle. Anxieux, il apportait avec lui son dernier devoir surveillé. La note n'était pas bonne. Perturbé par la dernière punition qu'elle lui avait donnée, où elle l'avait battu jusqu'à ce qu'il ne puisse plus se relever, puis l'avait jeté dehors, où il avait passé plus d'une heure à sangloter sur le paillasson sans pouvoir faire le moindre geste, il n'avait pas pu se concentrer en cours, et ses résultats s'en étaient ressentis. Il ne comprenait pas. Il lui avait simplement dit qu'il faisait de son mieux et qu'elle ne pouvait pas s'attendre à ce qu'il soit le meilleur, il y avait des élèves bien plus intelligents dans sa classe. Cette déclaration l'avait mise dans une fureur noire. En réalité, réalisait Antoine, elle le terrifiait.

    Tout en se rendant sur place, il se demandait si ce qu'elle lui faisait subir était bien du domaine de l'éducation. A grands garçons, grandes punitions, lui répétait-elle, mais il s'étonnait tous les jours un peu plus de la cruauté qui semblait aller croissant en elle. Si au départ, elle semblait concernée par sa douleur, aujourd'hui, son visage était de marbre alors même qu'il hurlait de douleur. Le plaisir coupable qu'il ressentait lors des premières fessées avait presque disparu. A présent, les claques ne suscitaient en lui que douleur et effroi. Ces pensées tournaient en boucle dans sa tête alors qu'il attendait l'heure du rendez-vous, en bas de l'immeuble, à tel point qu'il dépassa l'heure prévue. Pascale finit par descendre le chercher. Comble de l'humiliation, elle tenait la lourde brosse en bois à la main. Elle tendit la main pour le saisir par l'oreille, mais il eut un mouvement de recul. Sa réaction n'étonna pas que Pascale. Le jeune homme se sentait détaché, comme si la situation n'avait rien de réel. Quelque part au fond de lui, il sut que c'était terminé.

     Tu as vu l'heure ? Tu crois que j'ai toute la nuit à t'accorder ? Si c'est le cas, tu te mets le doigt dans l'oeil, mon garçon.
     C'est fini, répondit-il simplement.
     Qu'est-ce que tu racontes ? Qu'est-ce qui est fini ?
     Vous et moi. Notre arrangement.

    Pascale le dévisagea, puis lui agrippa le bras, tentant de l'entraîner à sa suite. Mais contrairement à toutes les fois où il s'était laissé battre sans réagir, il résista, ne bougeant pas d'un pouce.

     Qu'y a-t-il, mon garçon ? Tu as peur que je te punisse pour ta mauvaise note ? Tu sais que quand on fait des bêtises, il faut en assumer les conséquences !
     Non. Je n'ai pas peur. Je n'ai pas peur de vous, prétendit-il.

    Sur ces paroles, il se dégagea de sa prise et tourna les talons.

     Tu ne peux pas faire ça ! Tu ne crois pas que je t'ai donné tout ça gratuitement ? Tu m'es redevable !
     Je ne vous dois rien ! Répondit-il sans se retourner.
     Rends-moi mon argent ! Hurla-t-elle en retour.
     C'est une maigre compensation à ce que vous m'avez fait subir.

    Sa voix était tellement pleine de haine qu'elle en tremblait, mais il était allé trop loin pour faire demi-tour. Pascale semblait sous le choc.

     Tout ce que j'ai fait, je l'ai fait pour toi... souffla-t-elle.
     Vous l'avez fait pour satisfaire votre sadisme. Mes clients étaient plus tendres que vous.
     Tu reviendras.

    Il ne dit rien, et se retourna. Il plongea son regard dans les yeux noisette durs qui l'observaient. Elle semblait à la fois désespérée et sûre d'elle. Troublé, il lui tourna le dos et disparut dans la nuit.

    A peine arrivé chez lui, il commença à trembler de tous ses membres. Monter les marches jusqu'à sa chambre de bonne fut un calvaire. Il faillit tomber à plusieurs reprises. Ses mains agitées mirent de longues minutes à guider la clef jusqu'à la serrure. Quand enfin il parvint à entrer, il s'effondra de tout son long sur le sol. Comment avait-il pu ? Il était seul, à présent. Il l'avait perdue. Il l'avait quittée. Abandonnée. Se traitant de tous les noms, il se tourna sur le dos. La douleur de son postérieur, consécutive à la correction qui avait eu lieu quelques jours plus tôt, se rappela à lui. Les larmes jaillirent et il pleura, s'étouffant, toussant, pleurant encore. Mais personne ne vint le réconforter.

    Il ne put aller en cours le lendemain. Prétendant une maladie, il resta au lit, serrant compulsivement la couette entre ses doigts glacés. Parfois, il se saisissait de son téléphone d'une main tremblante, mais se retenait de composer le numéro. Elle le maltraitait. Oui, mais il y était habitué. Oui, mais il l'aimait.

    Le weekend s'écoula comme dans un cauchemar. Il ne se nourrissait plus, dormait beaucoup, pleurait. Il redoutait le moment où il devrait retourner en cours. Et si elle était là ? Et si elle l'attendait ? Il l'espérait tout au fond de lui. Avait-il exagéré la situation ? Le stress de son échec lui avait sûrement embrumé l'esprit. Oui, mais il y avait les marques, sur son corps. Etaient-elles à la hauteur de sa faute ? Qui était-il pour en juger ?

    A la fac, ses professeurs s'inquiétèrent de son état et lui recommandèrent d'aller consulter un médecin au plus vite. Il hocha la tête distraitement. Ne put comprendre le moindre mot du cours d'informatique du matin. Son professeur finit par le renvoyer chez lui. Comme dans un rêve, il marcha au hasard, et ses pas traîtres l'emmenèrent dans le 8ème. Elle était à la fenêtre lorsqu'il arriva. Il était trop tard pour faire demi-tour. Alors, il grimpa les marches de l'immeuble, et trouva porte ouverte. Il pénétra dans l'appartement. Elle était là.

    Il se laissa faire alors qu'elle le prenait dans ses bras, dans une étreinte réconfortante. Il se laissa aller, sanglotant comme un enfant, s'excusant de tout et n'importe quoi. Ils restèrent ainsi pendant plus d'une heure, elle chantonnant une berceuse, lui s'accrochant à son tailleur comme à une bouée de sauvetage. Il ne se tendit même pas lorsque la main de Pascale glissa vers le bouton de son jean. Il la laissa descendre l'habit jusqu'à ses cheville. Il se retourna de lui-même sur le canapé, offrant ses fesses.

    Il était prêt.

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  • Une femme flic fessée sur un parking


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    Karine s’est levée du mauvais pied ce matin sans même savoir pourquoi, ce n’est absolument pas sa façon d’être, elle est si joyeuse en temps normal. A peine arrivée au commissariat, elle comprend que la situation n'est pas prête de s'arranger : son équipier déprime, il vient de se faire jeter par son épouse, vingt ans de vie commune s’envolent. Elle essaye tant bien que mal de lui remonter le moral quand ils sont appelés en intervention pour une voiture garée sur un emplacement de livraison, le chauffeur furax menace de détruire la voiture s’ils ne viennent pas.

    Ils partent donc tous les deux dans une voiture de police, gyrophare allumé pour aller plus vite, lorsque le portable de son coéquipier sonne. C’est son épouse, la crise de couple continue mais laisse apparaître que les choses peuvent s‘arranger entre eux.

    - Ca te dérange d’y aller toute seule et de me couvrir pendant que je vais essayer de sauver mon couple ? Demande son coéquipier en lui assurant que cette intervention est banale et qu’en plus, quand ils arriveront, le chauffeur-livreur ou la voiture ou même les deux seront déjà partis.

    - Si quelqu'un l'apprend, on est mort, mais tu me revaudras ça, n'est-ce pas? Lui rétorque-t-elle en feignant la mauvaise humeur, alors qu'en réalité elle espère tout autant que lui que les choses vont s'arranger. Par contre, la seule chose que je te demande c’est de laisser ton téléphone portable ouvert pour que je puisse t’appeler et te prendre au retour.

    Karine dépose son coéquipier à un arrêt de bus avant de se rendre seule à la brasserie « Les étoiles ». A son arrivée, elle constate qu’il y a bien une voiture garée sur l’emplacement de livraison mais que le camion est parti. Le conducteur en infraction arrive sur ces entrefaites et monte dans son véhicule en la poussant comme un simple objet afin de monter à bord. Karine voit rouge, elle aurait pu se limiter à faire un peu de morale au conducteur indélicat mais son attitude irrespectueuse l’horripile, pire encore, au lieu de l’écouter et de lui présenter ses papiers comme demandé, il met le moteur en route en l’envoyant « chier » au sens propre du terme. Une altercation éclate, l’homme est dès plus irrespectueux, Karine pose sa main sur son arme de service en réitérant ses injonctions de couper le moteur et de présenter ses papiers.

    - Il y a longtemps que tu ne t’es pas pris une fessée toi, fais pas chier va plutôt t’occuper des voleurs ou tu vas t’en prendre une ! Aboie le conducteur menaçant avec un doigt pointé vers elle.





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    Voyant qu’elle n’est pas prête à céder et libère son arme de son étui, le conducteur coupe le moteur et sort du véhicule en indiquant que ses papiers sont dans le coffre du véhicule. Lorsqu’il ouvre brusquement la portière, il la surprend en lui en donnant un coup dans les chevilles générant une douleur et un moment d’inattention. Ce moment va coûter cher à Karine ! En une fraction de seconde, il saisit son bras armé, le plaque dans son dos avant de lui arracher son arme de service qu’il pose sur le toit de son véhicule.


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    - Tu vas te prendre la fessée que tu mérites emmerdeuse ! Crie le conducteur.

    Pour Karine, l’inconcevable lui saute aux yeux en lui broyant l’estomac de peur quand, en un rien de temps, elle se retrouve plaquée contre le véhicule avec la tête à l’intérieur fesses offertes par-dessus la portière et les poignets bloqués dans son dos. Cet homme ne va pas lui faire ça ? Ce n’est pas possible ! ! ! Quand la première claque s’abat sur son fessier, elle croit rêver, ou plutôt, faire un cauchemar, à la suivante, elle prend conscience de la gravité de la situation et surtout de sa condition. Si elle savait à qui elle avait à faire, elle ne le l’insulterait pas, ne lui promettrait pas des représailles et de la prison. Sauf qu’elle ne sait pas qui est le conducteur. Elle se débat avec rage et s’emporte avec un choix de mots très « romantique » des plus surprenants pour une aussi jolie jeune femme. Parmi c’est « jolis mots » l’un d’eux ressemble à la description d’un « métier » ne correspondant pas à l’image que se fait le conducteur de sa maman…… (Fils de …. si vous aviez besoin d’un éclairage)

    - Je vais t’apprendre la politesse petite conne ! Aboie soudain le conducteur en la sortant du véhicule pour la plaquer contre lui afin de lui bloquer les bras et d’entreprendre d’ouvrir son pantalon de service.

    Karine a soudain très peur car contre la force herculéenne du conducteur, ses gestes de défense sont totalement inutiles. Quand elle sent qu’il ouvre le bouton de son pantalon et s’attaque à la braguette qu’il descend avant de la déculotter, son sang ne fait qu’un tour. Avant même qu’elle n’ait le temps de réagir, elle se retrouve dans la position initiale, la tête dans le véhicule, le ventre sur la portière et cette fois, les fesses à l’air !!!!!!!!! Elle se met aussitôt à hurler puis lui dit que s’il la viole elle le tuera.

    - Tout faux petite emmerdeuse, je ne suis pas un violeur et encore moins un tueur, je vais juste te donner la fessée que tu mérites pour avoir insulté ma mère.

    Et là, une grande claque s’abat sur ses fesses en terme de ponctuation. Plutôt que de baisser sa culotte, il s’en sert pour en faire un string et libère le joli joufflu de Karine de son fin rempart de tissu pour mieux le fesser. Les claques qui s’abattent sur son fessier sont régulières et fortes, sans violence, non, c’est juste une véritable fessée qu’il lui donne, un peu comme celles qu’elle a reçues étant enfant.


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    Cette copieuse fessée la met au bord des larmes, tant elle est sévère, mais aussi parce qu’elle lui rappelle celle de son père intraitable quand il la fessait. Elle essaie malgré tout de résister et de donner des coups de pieds avec ses rangers, le conducteur la fait un peu plus rentrer dans le véhicule et lui bloque les jambes. La fessée est dès plus cuisante, réelle, sérieuse, méthodique et sans haine. Le conducteur cherche réellement à la punir et la fait craquer puis pleurer à chaudes larmes.

    La chose faite, il l’a sort de son véhicule, la pousse sur le sol où elle s’écroule puis il récupère les balles de son arme de service qu’il jette dans le parking avant de jeter son arme par-dessus les arbres en lui indiquant : « pendant que tu iras récupérer tes jouets de grands, tu ne feras pas de connerie ».

    Le conducteur monte dans son véhicule et lui jette à la figure son carnet de contraventions en lui indiquant : "Tiens petite, c’est pour que tu fasses tes devoirs ce soir". Karine se lève aussitôt et le menace avant même d’avoir remonté son pantalon. Le conducteur ressort du véhicule et lui plante un décor particulier.

    - On va faire simple ma belle. Je sais qui tu es, ton nom, ton prénom et ton adresse, Si tu veux que je te redonne une fessée continue comme ça, je viendrai te la donner ce soir chez toi. J’ai dans l’idée que tu aimes ça pour continuer à m’agresser verbalement. Pour info « petite » tu mouillais pendant que je te fessais alors si tu veux que je recommence je passe ce soir chez toi. Tu peux aussi faire venir tes potes du commissariat chez moi et essayer de me faire mettre en taule sauf que je serai dehors en quelques semaines et que toi tu ne changeras pas de nom ni d’adresse.

    Karine ne comprend rien à ce qu'il raconte et cela se lit sur son visage. Comment cet homme pourrait-il la connaître? Il lui disait vaguement quelque chose, l'avait-elle vu au commissariat? IL avait tout à fait le profil d'un "client". Comprenant ce qu'il se passait dans la tête de sa "victime", l'homme poursuivit.

    - Tu ne me reconnais pas, n'est-ce pas? Pas très physionomiste pour une flic! Pour info j’habite au dessous de chez toi et c’est moi que tu fais « chier » avec ta musique le soir. Autre info plus amusante, avant même que tu te sois rhabillée et que tu ais récupéré les balles et ton flingue j’aurai téléchargé la vidéo surveillance du parking, c’est mon métier. Sache que la brasserie « Les étoiles » est un de mes clients et qu’avec mon iPhone je vais télécharger la vidéo originale. Tu veux que je la diffuse sur le net et que tes pots de travail la voient ?

    L'horreur s'affiche alors sur le visage de Karine. En un instant, elle s'imagine les conséquences qu'une telle vidéo pourrait avoir sur sa carrière, celle de son coéquipier, et les moqueries de ses collègues si elle songeait seulement à porter plainte. Toute sa crédibilité s'envolerait.

    - Vous n’oseriez pas !

    - La télécharger si ! Le diffuser non sauf si ce soir tu me fais le plaisir de venir prendre un verre à la maison. Promis cela sera sans arme, sans chantage ce n’est pas mon monde et sans fessée, sauf si tu en mérites une d’ici ce soir.

    EPILOGUE

    Se traitant de folle, Karine se rendit au rendez-vous fixé avec une angoisse si forte qu’elle lui broyait les « tripes » quand elle a osé appuyer sur le bouton de la sonnette. Elle se demandait pourquoi elle faisait cela. Il avait raison, elle avait mouillé alors qu'il la fessait. Mais il l'avait aussi traitée avec un manque de respect flagrant. Il détenait une vidéo qui pourrait foutre en l'air sa carrière toute entière. Après tout, elle n'avait pas vraiment le choix. Henri le conducteur la reçut avec élégance, lui offrit un verre de champagne et lui remit une clé USP en lui indiquant : « C’est la vidéo de ce matin, je n’en ai aucun double et j’ai effacée celle du client. Sache que je ne suis pas un Maître chanteur, juste un fesseur qui a recadré sa voisine qui met la musique trop fort ».

    Depuis cette date, ils se sont revus, il y eu bien d’autres fessées, un bébé verra le jour dans six mois mais c’est une future histoire de discipline domestique, enfin je crois.

    TSM


    Toutes les photos sont ICI

    Rappel à la loi : user de violence sur un fonctionnaire de police est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.



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