• Petticoat sissy découverte dans ses jeux

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    J’ai vécu l’expérience d’être découvert dans mes fantasmes et jeux intimes les plus secrets. Marié depuis presque 20 ans avec une femme toujours aussi belle malgré ses 55 ans, j’en ai 50, je m’éclatais dans mes digressions vestimentaires en faisant un peu de ménage à la maison pour avancer ma femme suite à un repas de famille à la maison.

    Rien de gênant à cela me direz-vous sauf que je m’étais vêtu de ma robe de sissy, que je portais une cage de chasteté et que pour moi, Nadège ne rentrerait pas à la maison avant 18 heures voir plus.

    Profitant de mon RTT pour m’éclater dans ma superbe robe de sissy, je chantais à tue tête en passant l’aspirateur sur du Bob Marley à fond la caisse sur la chaîne hifi quand j’ai vu la porte d’entrée s’ouvrir !

    Ce n’est pas long à s’ouvrir une porte !

    Même si ce n’est pas long, dans ma tête il s’est passé quatre millions de choses. Laisser tomber l’aspirateur et partir en courant dans la chambre pour me changer le plus vite possible n’était pas possible car je voyais déjà son premier pied délicieusement botté, ses pieds, je les ai beaucoup regardés ce jour là ! ! ! Comme le lecteur peut s’en douter, cette situation est très embarrassante. La première question qu’elle m’a posée vous pouvez la deviner aisément « qu’est-ce que tu fous habillé comme ça ».

    Vous répondriez quoi vous ?

    Que la date du carnaval a été déplacée en janvier ? Que vous avez fait un pari avec un ami qui n’est pas là pour le voir ? Que ….. ? Heu !

    Loin d’être dépourvue d’intelligence, ma femme a rapidement tirée ses conclusions et que je lui avais caché des choses. Elle a commencé par m’interdire d’aller me changer, interdire est un bien grand mot, disons que je ne me sentais pas de lui refuser quoi que ce soit. Pendant la discussion qui a suivi, je n’ai regardé que ses pieds car je n’osais pas la regarder en face, j’avais peur d’un scandale, qu’elle me quitte, en clair j’étais mal. Ma plus grosse surprise est qu’elle m’a juste reproché de lui avoir caché mes délires.

    A la suite de quoi, après d’autres confuses explications, Nadège est venue se lover contre moi comme pour me rassurer et me faire passer comme message qu’elle n’était pas fâchée. J’étais blême car elle risquait de découvrir que je portais aussi une cage de chasteté. C’est ce qui arriva quelques minutes et bisous amusés plus tard (les siens étaient amusés) quand elle a soulevé ma robe pour voir ce que je portais dessous……

    Les collants blancs et la petite culotte assortie ne masquaient en rien ma cage de chasteté. Là ce fut pire encore dans la descente aux enfers car entre deux gloussements de rire la belle voulut la voir et en savoir plus. Elle m’attira vers le canapé où elle prit place en me laissant debout devant elle pour baisser ma culotte afin d’étudier la nouveauté de son contenu. Je peux vous jurer que dans un pareil instant vous ne savez pas quoi faire de vos mains, que votre cerveau perd 80% de ses facultés de réflexion.

    Je dus lui expliquer le fonctionnement d’une cage de chasteté, la rassurer en lui disant que cela ne fait pas mal. Mes joues étaient aussi rouges je pense que les étiquettes de bouteilles de coca, je transpirais à grosses gouttes sous ma robe satinée de sissy quand la question qui tue est arrivée.

    - Si je comprends bien quand je ne suis pas là tu te travestis puis quand tu as fini de t’amuser à jouer la grande fille tu retires la cage de chasteté pour te branler ?

    Et là comme un con, je lui ai expliqué qu’il m’était arrivé une paire de fois de le faire histoire de délirer.

    - Je trouve que tu as beaucoup d’équipement et le soin du détail vestimentaire pour une personne qui ne l’a fait que deux fois ! Où caches-tu tout ça ?

    Lorsque je lui indiqué que c’était dans une cantine sur la mezzanine du garage sa requête fut de vouloir la voir et là, j’ai cru mourir par anticipation sous les yeux du futur bourreau de ma pudeur. La cantine en métal contenant bien d’autres objets…… j’ai bien essayé de différer mais vous connaissez les femmes, quand elles ont une idée en tête elle ne l’ont pas ailleurs. Devant mon refus elle s’est levée pour se rendre dans le garage en m’ordonnant de la suivre. ET MERDE ! ! ! Dans la dite cantine malgré mes réfutations elle trouva deux autres robes, des collants un gode ventouse et deux plugs, autant dire que j’étais encore plus mal.

    Nadège estima à haute et intelligible voix qu’une explication plus approfondie devenait obligatoire. En prof sadique (elle est enseignante) elle ne m’autorisa pas à m’asseoir contrairement à elle confortablement installée dans le canapé. Rester debout devant elle me donnait réellement l’impression d’être un ado devant justifier une absence à ses parents ou au directeur d’école.

    - Il va falloir que tu arrêtes de me mentir car je ne supporte pas ça dans le sens où si je perds la confiance que j’ai en toi et donc en mon mari nous allons aux gros soucis. Donc « une paire de fois » disais-tu sauf qu’il y a en tout trois robes et des jouets dont le comprends aisément l’usage qui ne ressemblent en rien à notre petite vibro rose qui est dans le tiroir de la table de chevet. En clair tu as une vie parallèle cachée que je découvre après 20 ans de mariage. Une question se pose, m’as-tu trompée ?

    Totalement pris au piège je n’ai pas eu d’autres choix que de lui dévoiler que j’avais des fantasmes de féminisation et de soumission puis que je n’avais jamais osé lui en parler de peur qu’elle me quitte. A la suite de quoi j’ai juré sur tous les saints de la terre que je ne l’avais jamais trompée et là, sa réponse me fit pleurer.

    - Quel crédit puis-je accorder à un homme qui m’a cachée tant de choses et qui en plus vient de me mentir ?

    La discussion dura un petit moment auquel elle mit un terme en me disant qu’elle me croyait à propos de ma fidélité. Je pense que mes larmes y furent pour quelque chose car elle m’attira à elle pour me faire un gros câlin pendant lequel elle ne se priva toutefois pas de me traiter de fou, de me reprocher de ne pas lui avoir parlé de mes délires surtout après 20 ans de mariage.

    Et là, en guise de conclusion de la discussion, elle me demanda la clé de ma cage de chasteté avant de m’ordonner de continuer le ménage en soubrette pendant qu’elle allait prendre un bain pour se remettre de ses émotions. En compagnie de l’aspirateur peu bavard je me suis posé à mon tour mille questions sur l’avenir, sur le regard que ma femme allait avoir sur moi à partir d’aujourd’hui. Le ménage terminé je me suis aventuré à la salle de bain où ma belle se prélassait dans son bain laissant juste apercevoir ses seins émergeant de la mousse dont elle abuse volontiers. La vision me donna un coup dans l’échine ou plutôt dans la cage dont les clés étaient posées sur le lavabo.

    Après quelques échanges cette fois plus décontractés et lui avoir frotté le dos, elle m’ordonna d’aller préparer le repas pendant qu’elle allait surfer pour s’enrichir sur mon attitude et les cages de chasteté.

    Elle tomba sur un putain de site nommé Fessestivites.com où elle trouva aisément matière à alimenter ses réflexions et répondre à ses questionnements. Je fus même invité à aller voir des photos puis un post sur le forum BDSM où elle venait de trouver des tonnes de conseils puis l’article suivant : Les fantasmes des hommes sous cage de chasteté

    Elle me fit la lecture en me posant des questions et en me demandant si cela correspondait à mes fantasmes inavoués. Mes réponses furent franches mais très adaptées car tout lui dévoiler en une fois ne m’était pas possible

    Et là, ma vie a changé du tout au tout, notre couple a pris un sérieux virage qui allait me conduire à de bien cruelles expériences que je vous raconterai au prochain chat pitre, pardon chapitre.

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  • Si tu veux lécher ma chatte un jour, commence par mes pieds.

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    - Si tu veux lécher ma chatte un jour, faudra commencer par mes pieds et mon cul.

    C’est la réponse qu’a eu petit soumis sur le chat de Fessestivites. Cela faisait un moment qu’il essayait de discuter avec elle mais elle se mettait en absent pour surfer tranquille et regarder les profils sans être dérangée. Ne désirant pas louper une occasion, il lui a répondu qu’il acceptait tout à fait ces conditions et qu’il accepterait même d’être sous cage de chasteté si elle le désirait.

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    Cage de chasteté

    Maîtresse Dana a fini par accepter de lui téléphoner en masqué, petit soumis était aux anges, soignait son vocabulaire et ses propos pour ne pas trop en faire dans sa tentative de séduction. La rencontre a fini par se faire quinze jours plus tard, petit soumis l’ayant invitée au restaurant pour lui proposer un lieu neutre et lui démontrer sa dévotion.

    Ce jour là, entre la poire et le fromage, il lui a remis les clés de sa cage de chasteté en lui promettant qu’il n’avait pas de double.

    « Et comment feras-tu si tu as un souci ? Lui avait demandé Maîtresse Dana.

    - Je vous adresserai un email et espérerai que vous me la rendiez, je suis vraiment prêt à prendre des risques pour être votre soumis et vous prouver mes intentions."

    Séduite par ses propos puis les conversations soutenues de cet homme, Maîtresse Dana accepta de garder les clés et lui confia son numéro de téléphone en lui indiquant qu’il n’avait le droit de l’appeler qu’en cas de réelle urgence, faute de quoi, elle ne serait jamais sa Maîtresse. Pendant une semaine, il lui envoya un message par jour tous les matins pour lui souhaiter une agréable journée et surtout sans rien demander. Elle ne répondit à aucun pour le tester, pour voir s’il utiliserait son numéro de téléphone mais il n’en fit rien malgré les cent mille questions qu’il se posait. Un vendredi soir il reçu cet email.

    « Petit soumis, je suis fière de toi dans le sens où tu ne m’as pas téléphoné même si je n’ai répondu à aucun de tes messages. Dans aucun de tes emails tu n’as demandé quelque chose ni tenu des propos débilitants. En conséquence de quoi, j’accepte de te recevoir demain soir chez moi pour te tester encore un peu. Je veux que tu sois à 18heures précise à l’angle de la rue de Rivoli et du Boulevard Sébastopol, je te téléphonerai pour te guider. Peut-être te garderais-je pour la soirée, donc prévois d’être libre. A demain soir si tu en as toujours le courage ».

    Petit soumis aux anges répondit « vos désirs sont des ordres, je serai présent à l’heure indiquée au lieu indiqué ». Il y fut même deux heures plus tôt pour être sûr de ne pas louper ce rendez-vous de rêve. A 35 ans, M.Dana est une femme magnifique qui attire bien des regards, petit soumis en rêve la nuit. S’il se dit qu’il a touché le gros lot de la loterie nationale, il n’est pas au bout de ses peines…...

    A l’heure indiquée Maîtresse Dana l’appelle puis le guide dans les rues pour le conduire aux pieds de son immeuble. Petit soumis soudain très timide monte les deux étages avec sa bouteille de champagne et son bouquet de fleurs à la main. Comme indiqué, la porte en chêne est ouverte, il entre et la referme derrière lui, il est enfin chez une reine.

    Les choses ne tardent pas, elle prend le bouquet de fleurs puis la bouteille et lui ordonne de se mettre nu dans l’entrée de l’appartement, il est blême mais s’exécute. Traité comme un chien il est guidé au salon et là, une surprise l’attend. Maîtresse Dana n’est pas seule, une autre femme plus âgée mais tout aussi ravissante est assise dans un magnifique canapé en cuir rouge.

    - Je te présente petit soumis, ce sera peut-être mon soumis s’il est méritant, pour l’instant il est en phase test, son avenir est entre ses mains ou plutôt au bout de sa langue ! Indique Maîtresse Dana en s’asseyant dans le canapé. Vient retirer mes chaussures et lèche-moi les pieds.

    Mort de honte à cause de la présence d’une femme les regardant, toujours à quatre pattes comme un chien petit soumis s’approche pour retirer les chaussure de sa Maîtresse. Elle le rabroue immédiatement en lui indiquant de le faire avec les dents sans les abîmer. Il s’exécute donc avec beaucoup d’attention avant de poser ses lèvres sur le dernier pied resté en l’air. Il n’est pas fétichiste du pied féminin mais prêt à tout pour devenir le soumis de cette sublime Maîtresse.

    Petit soumis découvre avec Maîtresse Dana qu’un pied de femme peut être délicieux à lécher quand on en tombe amoureux, il se surprend même à apprécier de les prendre dans sa bouche un à un, à passer sa langue entre les orteils. Avec sa bouche, il finit par faire l’amour aux pieds de cette divine maîtresse qu’il vénère déjà. Maîtresse Dana apprécie grandement sa douceur mais aussi le fait que jamais les mains ou la bouche du soumis ne dépassent ses chevilles. Elle lui impose de se mettre sur le dos pour pouvoir poser ses pieds sur lui, sur son visage et se faire lécher la plante des pieds.

    Même si le sol est froid, petit soumis a chaud dans son corps et dans sa tête, il est sur une autre planète. L’amie de Maîtresse Dana est invitée à tester la douceur de sa bouche, il est étonné de cette proposition mais encore une fois ne réfute pas et s’exécute avec conviction. Ses pieds gainés dans des bas noirs sont légèrement parfumés mais il n’en a que faire, il apprécie même le léger parfum de transpiration en les choyant avec une telle élégance que cela en est très érotique à voir.

    - Tu vois, ce petit soumis rêve de me lécher la chatte, son trip est le facesetting mais il sait que pour accéder à mon chaton, il va devoir faire des efforts. Es-tu prêt à me lécher le cul comme tu me l’as promis ? Demande Maîtresse Dana

    - Oui maîtresse demandez-moi ce que vous désirez, je le ferai.

    - Des promesses, des promesses !

    - Mettez-moi à l’épreuve je ne vous décevrai pas. Répond aussitôt petit soumis.

    Maîtresse Dana peut être cruelle et extrêmement perverse quand l’envie lui vient ou quand elle teste un soumis. Elle se lève pour se rendre aux toilettes et s’arrange pour que la porte soit ouverte quand elle tire la chasse d’eau. Elle n’y a rien fait, elle s’amuse juste à tester le petit soumis. A son retour, elle lui indique qu’elle a besoin d’une langue douce en guise de papier toilette en lui faisant voir ses magnifiques fesses qu’aucun rempart de tissu ne protège.

    - Lèche-moi le cul si tu espères un jour lécher mon chaton, c’est aussi ma condition et tu le savais avant de venir. Tu disais juste avant que j’aille faire mes besoins « demandez-moi ce que vous désirez, je le ferai » alors prouve-le !

    Petit soumis est blême ! Il n’a aucune affinité avec les excréments, cela ne compte pas de ses fantasmes, mais alors pas du tout. Dans le salon, le silence devient pesant, au plus il attend au plus ce silence devient lourd et pèse sur la balance de sa sortie. Les regards se croisent et se défient, Maîtresse Dana aime ça ! Elle aime sentir les hommes perdre pieds !

    - Maîtresse je vous ai indiqué que je n’étais pas scato ! Murmure petit soumis en déconfiture.

    Maîtresse Dana lui décroche aussitôt une gifle en lui demandant si par ses propos il est en train de lui dire qu’elle a le cul sale ? Petit soumis est très mal, très très mal dans sa tête. Il se voit déjà viré comme un mal propre alors qu’il rêve de cette femme depuis le premier contact.

    Il baisse les yeux et s’approche des pieds de Maîtresse Dana qui fait demi-tour et lui présente ses fesses en soulevant sa jupe. Si les courbes et les cuisses le rendent fou de désir, ce qu’il s’attend à trouver entre les fesses de cette divine Maîtresse le dégoutte au plus au point. Décidé à tenter le tout pour le tout pour avoir sa chance, il commence à embrasser les délicieuses fesses, elle l’attrape soudain par les cheveux et lui plaque le visage dans sa raie des fesses en lui ordonnant de tirer la langue.

    Désespéré il s’exécute en s’attendant au pire et même à vomir avant d’avoir la surprise de ne rien trouver de dégouttant, bien au contraire, un léger parfum de savon remonte à ses narines. Sa langue entreprend maintenant de fouiller, de laper en ce délicat pertuis et même à en titiller le cratère camouflé avec conviction.

    - Tu vois, ça c’est un vrai soumis ! Indique Maîtresse Dana à son amie.

    - Tu es une sacrée garce quand tu t’y mets.

    - Oui mais un soumis se doit d’être méritant et de prouver qu’il a les couilles de ses prétentions. Aux pieds le chien, cela suffit pour aujourd’hui, mon cul est bien propre.

    EPILOGUE

    Petit soumis a eu le droit de se lever et de servir le champagne et même d’en boire un peu dans une gamelle. Il était fou de joie lorsque devant son amie elle lui a indiqué être fière de lui et qu’elle acceptait de le tester sur un mois. Mois qu’il dut passer intégralement sous cage de chasteté en léchant les pieds de sa Maîtresse étendue sur son lit le soir avant qu’elle n’éteigne la lumière pour dormir avec son chien couché sur la descente de lit.

    Comme petit soumis n’a jamais râlé

    Comme petit soumis n’a rien demandé

    Comme petit soumis n’a jamais loupé un rendez-vous

    Comme petit soumis n’a jamais tenté de toucher sa Maîtresse

    Maîtresse Dana l’a pris en soumission et pour fêter ça, elle lui a retiré sa cage de chasteté puis accordé un facesetting et le droit de se caresser sous ses yeux pendant qu’il la léchait avec passion.

    Depuis cette date il habite une cage dans un immeuble à l’angle de la rue de Rivoli et du Boulevard Sébastopol. Elle le fait parfois sortir de sa cage la nuit mais ça c’est une autre histoire.

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  • Sadique et cruelle garce



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    Depuis qu’il a emmené son épouse sur Fessestivites, Jean ne la reconnaît plus. Son but avoué était de lui donner envie qu’elle devienne sa Maîtresse, qu’elle le domine de temps en temps histoire de mettre un peu de piment dans leur relation disait-il, en vérité, c’était tout simplement pour réaliser ses propres fantasmes.

    Pour Louisa ce fut une révélation, l’ouverture totale à la débauche et à la luxure. Son enfance dans une famille d’accueil rude et stricte ne lui a pas permis de découvrir les plaisirs de la vie, à peine sortie de l’école son rôle était pire que celui d’une « bonne » car en plus de l’exploiter, ils se complaisaient à la persécuter psychologiquement. Le jour de ses 18 ans, ils lui ont parlé de mariage puis lui ont présenté un homme plus âgé qu’elle. Ce n’est pas son charme qui fit tourner la tête de Louisa mais sa gentillesse. La douceur et le respect qu’il dégageait firent qu’elle se laissa embrasser sur le chemin du retour d’un restaurant, son premier restaurant, sa première sortie en ville comme un être « normal ». Six mois plus tard elle était mariée à Jean qui la conditionna psychologiquement pour qu’elle devienne une « bonne épouse »

    Elle connut donc ses premiers émois avec son mari et se révéla être « gourmande » et surtout gloutonne de câlins, les câlins qu’elle n’avait pas eu pendant son enfance. La vie n’étant pas toujours un long fleuve tranquille, ils ne purent avoir d’enfant, Jean étant stérile, chose qui le perturba énormément et généra secrètement en lui après sa dépression, le sentiment d’être inférieur. Les méandres de la psychologie dans des cas comme celui-là peuvent générer des réactions de violence, d’alcoolisme pour s’auto détruire, ou bien d’autres attitudes. Chez Jean ce fut la soumission.


    Pendant près des années il surfa en cachette sur des sites pornographiques où il trouva matière à apaiser son esprit et son corps manuellement en solitaire. Lorsque l’idée d’orienter la sexualité de son épouse lui est venue, il commença par la fessée qu’il lui donna avant de lui demander de lui en donner une petite pour voir ce que cela fait. Contrairement à ce qu’il s’imaginait et redoutait, Louisa adora lui donner une bonne fessée. La sexualité de leur couple évolua donc dans le monde de la fessée, il lui en donnait des petites et elle lui en donnait des sévères en échange. La « chose » ne perturbant pas son épouse, il s’aventura à lui faire découvrir Fessestivites où l’on trouve des articles, des histoires et des vidéos avec la thématique Maîtresse / soumis. C’est sur le forum BDSM que Louisa passa le plus de temps en l’absence de son mari refusant depuis toujours qu’elle travaille.

    Pour Louisa, surfer sur Fessestivites c’était un peu comme faire voir un catalogue de jouets à un enfant, l’envie d’aller dans le magasin la titillait de plus en plus. S’étant instruite sur le sujet Femdom, elle proposa un soir à son mari de l’attacher pour lui faire des choses. Lors de cette première fois, elle ne lui fit rien de plus que s’il avait été libre, la seule différence était qu’il était attaché mais pour Louisa fut une deuxième révélation.

    Elle n’était plus soumise de la vie, elle la dominait, elle décidait. Extrêmement chipie elle poussa Jean dans ses retranchements en arrêtant la fellation juste avant l’explosion pour s’offrir un cunnilingus assise sur son visage. Pour Jean ce fut merveilleux, il réalisait son fantasme de soumission si bien qu’il s’investit totalement à la tâche puis, une fois libéré la serra très fortement dans ses bras en lui indiquant qu’elle avait été merveilleuse.

    Prenez une gourmande de sexe frustrée dans sa jeunesse, offrez-lui une bonne dose de perversité en la conduisant sur Fessestivites et ajoutez ensuite des câlins et des compliments, la recette de ce cocktail peut donner des réaction psycho-chimiques surprenantes. C’est exactement ce qu’il se passa dans la tête de Louisa, avec en prime de l’argent et un mari toujours prêt à acheter des tonnes de sex-toy et accessoire sur ABCplaisir.com pour continuer à donner les moyens à sa femme de lui faire ce qu’il avait envie.

    SIX MOIS PLUS TARD
    En vacances au Cap D’Agde découvrirent le libertinage et le Clair Obscur où Jean céda à son épouse de plus en plus persuasive et fit un tour dans le cercueil sur lequel elle prit un malin plaisir à boire un verre en le titillant puis soudain, le termina assise sur la partie ouverte du cercueil au dessus de son visage !!!!! Louisa devint rapidement « disjonctée » au point qu’il dut la freiner, en lui rappelant que son métier de juge ne lui permettait pas de s’exposer tenu en laisse dans les rues même au Cap D’Agde. Elle se vengea le soir même au gode-ceinture en lui explosant le fondement strié a la canne anglaise.

    Au retour de ses vacances très révélatrices pour Louisa, elle décida d’introduire un homme dans leur relation. Bien souvent c’est l’homme qui initie le candaulisme, chose que les femmes n’apprécient pas toujours au départ….. puis parfois s’en accommodent bien pour soi-disant faire plaisir à leur mari…. Là, ce fut donc le contraire mais Jean, éperdument amoureux de sa femme et de sa Maîtresse accepta avec peine. L’ex frustrée des plaisirs de la vie devenue gloutonne ne tarda point à trouver un mâle adepte du cuckold sur Fessestivites. La première soirée candaulisme BDSM se déroula simplement, elle attacha son mari sur une chaise et s’envoya en l’air sur le canapé sous ses yeux. L’amant de passage parti, elle le libéra et le dévora à son tour.

    SIX MOIS PLUS TARD

    Louisa devenant de plus en plus sadique et cruelle imagina un plan cocufiage démoniaque après avoir vu des vidéos cuckold candaulisme très BDSM sur Fessestivites. Elle demanda à un des amants de passage de lui fabriquer une forme de caisse cercueil comme celui du Clair Obscur avec quelques variables très perverses. Le jour de l’anniversaire de Jean, elle lui fit la surprise en dévoilant le cercueil installé dans le salon.

    - Un cercueil comme cadeau d’anniversaire, ne penses-tu pas que tu fais un peu fort ma chérie ?

    - Ce n’est qu’une partie de ta surprise petit soumis, mets-toi nu et installe-toi à l’intérieur. Lui répondit Louisa en lui pinçant les tétons à travers sa chemise.

    Jean abdiqua comme toujours et s’allongea nu dans la caisse en bois où elle commença par lui faire un bondage de couilles avec une corde dont elle laissa un long morceau à l’extérieur. A la suite de quoi elle calla la tête de son mari avec des serviettes pour qu’elle dépasse de la caisse après lui avoir mis un bâillon bouche ouverte. Elle referma le couvercle du cercueil BDSM en passant la corde par un trou prévu à cet effet. Histoire de s’amuser un peu, elle prit place sur le visage de son mari puis tira sur la corde ce qui eut pour effet de tirer sur les couilles bondagées et de générer de gémissement plaintifs bien réels.

    « Lèche la chatte de ta Maîtresse » ! Criait Louisa particulièrement en forme ce soir-là.

    Pendant cette première partie de son plan BDSM, Jean malgré ses plaintes bandait dur et s’éclatait mais son plaisir fut coupé net lorsqu’il entendit la sonnette et vit le fessier de son épouse disparaître. La tête bloquée dans sa caisse, son champ de vision était limité mais il put apercevoir un jeune homme et entendre la conversation. Louisa le dominait lui aussi ! Il dut se mettre nu et se branler pour bien bander, le juge commençait à s’affoler car son épouse devenait de plus ne plus hystérique. Soudain il vit son épouse monter sur la caisse au dessus de son visage puis un sexe très en forme sans préservatif au-dessus de son visage. Quand il vit qu’elle allait se faire sauter au-dessus de lui il hurla « préservatif », Louisa lui répondit qu’il venait de lui remettre son test HIV et qu’il serait puni pour ne pas s’en être douté.


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    Aux premières loges, Jean put voir la belle bite fouiller entre les lèvres intimes de sa femme puis la pénétrer lentement. Après un court moment de chevauché, elle ordonna (le mot est bien choisi) au soumis cocufieur de faire une pause puis de se retirer. Louisa assise sur la tête bloquée de son mari s’offrit un facesitting en le motivant à l’aide de la corde attachée à ses précieuses. Prête à jouir, elle se releva et ordonna au soumis de la baiser à nouveau.

    Les couilles du soumis ballottaient juste au dessus du nez de jean en le frôlant parfois mais quand son épouse se coucha littéralement sur le cercueil elle lui servirent de lunettes ! ! ! N’étant pas du tout bisexuel il n’apprécia pas le cadeau mais du se résigner à attendre que sa femme soit rassasiée

    Il savait pertinemment que sa femme pouvait être sadique et cruelle, mais elle fut une véritable garce quelques minutes plus tard quand elle prit place sur son visage pour se faire lécher la chatte gluante de sperme et de mouille. Le bâillon bouche ouverte ne lui permit pas d’esquiver les gouttes de sperme mais il refusa de lécher jusqu’au moment où ses couilles bondagées furent étirées très fortement.


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    Pour avoir osé résisté à son cadeau d’anniversaire, elle s’acharna à faire bander le soumis à nouveau en le suçant et en l’obligeant à se branler puis, en grande perverse prit le relais dans la dernière ligne droite de la branlette pour diriger les jets de sperme sur son visage. Le juge était comme fou dans son cercueil, entravé, enfermé et avec un bâillon bouche ouverte il ne put rien faire pour éviter un jet de sperme qu’il dut avaler. Le jeune soumis fut rapidement congédié Louisa ayant maintenant envie de son mari. Lorsqu’elle retira le couvercle du cercueil, au lieu de le libérer elle joua avec le sexe et les couilles bondagées de son soumis avant de s’empaler dessus pour le chevaucher comme une folle à la recherche d’autres orgasmes dont elle ne se privait plus depuis plus d’un an.
    Se faire chevaucher les couilles bondagées fut assez douloureux pour Jean mais il ne put résister à la montée de sa jouissance qu’elle lui fit lécher cette fois sans le bâillon ouvert. Il refusa mais dut encore abdiquer sans quoi elle lui faisait passer la nuit dans le cercueil après lui avoir arraché les couilles.

    Et là, la chose faite, elle l’abandonna toujours attaché pour aller chercher une bouteille de champagne et deux fluttes en cristal. Avant de le libérer elle lui annonça qu’elle était fière de lui et lui donna du champagne à la becquée. L’idée lui vint d’enfourcher la bouteille de champagne et de l’agiter en elle avant de s’asseoir à nouveau sur son visage. Comme l’on peut s’en douter, il y eu du champagne de partout mais cela amusa beaucoup Louisa qui recommença deux fois pour trinquer avec son soumis.

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    RAPPEL DES EVENEMENTS A VENIR 


    Le 3 novembre Gang Bang BDSM à Pélissane


    Animation Organisations84


    Le 8 novembre soirée fessée éducation anglaise au show biz


    Animation Maître TSM


    Le 12 décembre soirée fetish initiation BDSM à La Lanterne


    Animation Maître TSM


    ANNIVERSAIRE BOUTIQUE ABCplaisir = cadeau


    ABCplaisir.com

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  • Urinoir féminin le pisse droit de Maîtresse Béart


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    - Je crois que je suis encore tombée sur un souminateur* ! Dit soudain Maîtresse Béart, un nom de dominatrice choisi il y a des années en référence à l’exceptionnelle beauté de cette actrice dont Laura est fan.

    * souminateur : expression caractérisant un soumis se croyant sur Les 3 suisses et pouvant commander la domination désirée comme sur un catalogue.

    - Ah bon, encore un, mais tu m’avais dit qu’il te semblait bien celui-là. Lui répond Maîtresse Yasmine, une dominatrice expérimentée et cruelle, elle aussi à la recherche de chiens sans collier pour leur servir de larbin. Vire-le j’en ai peut-être trouvé un.

    - J’hésite à le virer parce qu’il est certifié sur Fessestivites, ce qui nous prouve qu’il existe et semble sérieux.

    - Alors fais-le venir pour qu’on le teste et qu’on s’amuse un peu avec lui, s’il nous emmerde, nous lui ferons la misère et il regrettera d’avoir des couilles. Lui répond Yasmine, une véritable adepte du ballbusting, réputée pour avoir le pied « lourd ».

    - Ce qui me titille c’est qu’il s’est dévoilé en insistant un peu trop sur mon champagne doré, je crois plutôt qu’il a plus envie de me mater et de me bouffer la chatte que de boire le « nectar de sa Maîtresse », une de ses expressions récurrentes.

    - As-tu vu ce qu’ABCplaisir a sorti cette semaine ?

    - Non, c’est quoi ?

    - Un truc pour pisser debout, tu le plaques contre ta chatte et tu pisses comme les mecs. Remarque c’est pratique quand les toilettes sont dégueulasses et cela peut aussi servir pour ceux qui veulent boire notre pisse.

    - C’est amusant ça ! Répond Maîtresse Béart en se glissant entre les jambes de Yasmine pour déposer de doux baisers lesbiens dans la vallée des plaisirs féminins avant de s’attarder sur le clito ne demandant qu’à être titillé.

    - Tu veux boire ma pisse ? Répond Yasmine étonnée.

    - Non, je te veux toute entière ! Lui répond Maîtresse Béart avant de devenir plus entreprenante avec son amie.

    Cinq minutes plus tard, les belles convolent en justes câlins saphiques dans leur chambre en un concert de vibromasseurs magic wand et de tendres caresses.

    ……………………

    Loïc n’en croit pas ses yeux, après des années de recherche sur internet, ce n’est pas une Maîtresse qu’il vient de trouver mais deux Maîtresse sur Fessestivites ! ! !

    Elles vivent en couple mais sont bisexuelles d’après les profils et recherchent un soumis pour les servir dans le cadre d’une relation régulière. Il répond donc avec les formes d’usage à toutes les questions qu’elles lui posent, indique ses limites puis ses deux numéros de téléphone pour qu’elles puissent constater qu’il est sérieux et réellement disponible.

    Le pauvre !

    Le pauvre parce qu’il n’a aucune idée de ce que peuvent faire deux femmes dominatrices ensembles quand elles ont décidé de s’amuser avec un soumis.

    ……………

    Le jour du rendez-vous, il se présente à l’adresse indiquée et attend à l’arrêt de tram avec, comme demandé, un bouquet de roses devant son visage. Les voyageurs le regardent amusés attendre sans monter dans le tram. S’il exécute cet ordre surprenant malgré son immense gêne, c’est parce qu’il est convaincu qu’elle l’observent, mais comment savoir où elles sont et qui elles sont sur cette grande place entourée de brasseries ? Deux tramways plus tard, deux femmes l’accostent et le félicitent, timide de nature, il rougit comme une écrevisse encore en vie se demandant si elles savent qu’avant de cuire des écrevisses, il est préférable de les châtrer ! C'est à dire retirer l'intestin ou "boyau" qui va du coffre à la nageoire caudale à l'intérieur de la queue.

    Invité à les suivre en marchant deux mètres maximum derrière elles, ils parviennent à la porte d’un immeuble où Yasmine compose de code sur le digicode et attend. Patient de nature, Loïc attend aussi ce qui est sa première erreur.

    - Ducon, c’est moi qui ouvre la porte ? Lui crie Maîtresse Béart.

    - Il commence mal celui-là, tu vas avoir du travail avec lui si tu veux que nous le gardions. Ajoute Maîtresse Yasmine amusée de la mine déconfite de Loïc et de ses excuses.

    Arrivé dans un majestueux appartement richement meublé d’un immeuble Haussmanniens Loïc est invité à se mettre à l'aise, traduire par « à poil » et à quatre pattes aux pieds du canapé le temps que les filles vaquent à leurs occupations. A leur retour, elles lui confient le service avec une bouteille de champagne bien frais, celui du soumis étant jugé trop chaud. Et là, l’inquisition féminin commence par un véritable interrogatoire visant à le déstabiliser pour savoir réellement quelles sont ses intentions.

    Soumis Loïc est perturbé car elles s’amusent comme des folles de ses réponses et réactions. Soudain, les complices lui tendent leurs bottes à lécher, un dilemme se pose au soumis, par lesquelles commencer ? A genoux devant deux magnifiques paires de jambes croisées délicieusement bottées, il n’a d’yeux que pour ce qu’il essaye d’apercevoir.

    - La larve, au lieu de mater nos cuisses, lèche ! Lui indique Maîtresse Béart après lui avoir donné une gifle retentissante.

    Dépité et surpris, il lèche aussitôt les bottes de Maîtresse Béart même s’il n’est pas fétichiste du pied. Maîtresse Yasmine l’insulte aussitôt en lui demandant si les jambes de Maîtresse Béart sont pus belles que les siennes pour avoir la priorité du léchage de botte.

    - Mais non Maîtresse, elles sont ravissantes, je vous prie de bien vouloir m’excuser. Répond Loïc en baissant les yeux.

    - Quoi tu dragues ma copine alors que tu ne veux pas lécher ses bottes ? Demande Maîtresse Béart.

    A ce petit jeu, le pauvre Loïc ne sait plus où donner de la tête, car elles le poussent à l’erreur et s’amusent à en provoquer sans cesse. Pour ses erreurs à répétition, elles lui posent une paire de pinces à sein japonaises qu’elles s’amusent à tirer de la pointe des pieds qu’il ne lèche pas, n’ayant qu’une langue pour lustrer quatre bottes. Les rires donnant soif, la bouteille de champagne ne dure point. Si les bulles s’évaporent, le précieux breuvage, lui, descend et suit à parcours commun à tous vers une poche naturelle appelée vessie qu’il convient de vidanger de temps en temps.

    - Alors comme ça tu rêves de boire mon champagne dorée ?

    - Ah oui Maîtresse, ce serait un honneur. Répond Loïc.

    - N’aurais-tu pas plutôt envie de mater et bouffer ma chatte ?

    - Ah non Maîtresse, mais si vous m’autoriser à la lécher, je me ferai un plaisir de faire l’impossible pour vous donner du plaisir.

    - Petit prétentieux, penses-tu que ta langue puisse parvenir à me donner du plaisir ? Bon tu as assez dit de bêtises comme ça, allonge-toi par terre, je vais t’offrir mon champagne même si tu ne le mérites pas.

    Soumis Loïc est ravi, il va pouvoir boire le champagne d’une ravissante Maîtresse et le voir couler d’une source dissimulée dans l’antre des plaisirs féminins. Il se plait même à espérer un facesitting et qu’elle le force à lécher la dernière goutte en se servant de lui comme papier toilette. Ces pensées coquines ne tardent point à engendrer un gonflement entre ses jambes et à étirer ses testicules devant un véritable appel pour la botte de Maîtresse Yasmine.

    - Hum, des couilles bien tendues, prêtes à s’offrir pour souffrir ! S’exclame aussitôt Maîtresse Yasmine.

    Lorsqu’il voit Maîtresse Béart enjamber son visage, Loïc devine plus qu’il n’aperçoit sous la dentelles noire d’un brésilien les formes d’une chaton bien formé en ses pensés et prêt à ronronner sous les caresses de sa langue.

    ET LA !

    Et là, surprise ! Surprise car Maîtresse Béart se saisit de l’urinoir féminin le pisse droit acheté sur ABCplaisir qu’elle plaque contre sa conque vaginale en même temps qu’elle en écarte la protection en dentelle.

    Il se trouva fort dépourvu
    Quand le chaton disparut
    Pas un seul petit morceau
    De lèvre ou du vermisseau.
    Ne s’offrit à sa vue
    Il aurait bien crié famine
    Chez la Maîtresse voisine
    Mais apprécia le danger
    De se faire castrer
    Le délicieux peton
    Jouant déjà avec son marmiton

    L’urinoir féminin s’approcha de sa bouche qu’il ouvrit grand pour recevoir le précieux breuvage quelque peu salé et parfumé ! ! ! La Maîtresse ayant un accessoire lui permettant de pisser droit, il n’avait point d’excuse pour en laisser s’échapper sur le parquet.

    - Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
    Eh bien! Dansez maintenant.

    Lui indiqua Maîtresse Yasmine en motivant le soumis de multiples petits coups de botte dans ses précieuses ridicules en de fortes circonvolutions autour du point central toujours aussi tendu. Le point central ne resta pas tendu très longtemps lorsque la Maîtresse lui assena un coup plus appuyé le faisant bondir puis recracher et renverser du champagne dorée.

    La colère de Maîtresse Béart fut sans pareil, elle l’incita à lécher le parquet à coups de fouet avant d’éconduire le pauvre soumis de la même façon avec ses vêtements sous le bras.

    Le soumis, honteux et confus,
    Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.

    Ecrivaillon (en délire aujourd’hui)

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  • Le club libertin de la peine BDSM slave


    Le_club_libertin_de_la_peine.jpg

    Le patron du club libertin de la peine a des idées très perverses et une imagination débordante. Comme tous les clubs, il y a un bar, des coins feutrés pour les plaisirs intimes, un jacuzzi et une piscine mais Peter a emménagé des lieux et accessoires supplémentaires.

    La pièce noire, appelée black room, est équipée d’un grand trou dans la façade dans lequel il est possible d’y passer une tête. Sur la partie extérieure se trouvent des bracelets pour attacher la personne penchée en avant qui a la tête bloquée dans la pièce noire à la hauteur des sexes. Prendre un verre en voyant se dandiner un homme ou une femme bloquée la tête dans cette sorte de pilori mural, permet d’imaginer que de l’autre côté la bouche est utilisée. Il n’est pas rare que des Maîtresses libertines y mettent leur soumis et les forcent à la bisexualité car dans le noir, certains hommes en mal de femmes sont moins regardants.

    Dans un des recoins du bar se trouve une sorte de banc à fesser particulier. Si les fesses sont à la bonne hauteur pour de multiples choses, du côté où se trouve la tête de la personne qui y est installée, une caisse en bois permet d’enfermer la tête de la victime. Une fois attachée sur ce banc à fessée servant surtout à baiser, la fille ne peut voir les libertins venant se servir d’elle. Ma Maîtresse m’y a installé une fois, aucun homme n’a profité de mes fesses, par contre une femme s’est éclatée avec le gode ceinture prêté par le patron. Cette libertine s’est éclatée et a du réaliser un fantasme car j’en ai pris plein le c…. en plus d’une bonne fessée donnée par ma Maîtresse en guise de conclusion.

    Deux cages verticales fermant à clé permettent d’y enfermer des hommes ou des femmes nues pendant que le Maître ou la Maîtresse libertine va « s’occuper » dans d’autres zone du club. Une fois, en guise de punition ma Maîtresse m’y a laissé toute la soirée avec ma cage de chasteté bien visible et un gors rosebud dans les fesses que je devais écarter en permanence pour faire voir que j’étais « comblé ». C’est ultra inconfortable car on passe la soirée debout sans pouvoir bouger. Un fois j’y ai vu un mec en couche, s’il n’était pas très fier il a eu au moins l’avantage de ne pas avoir à se retenir des heures comme moi la fois où j’y ai passé la soirée.

    Ce club à dominance libertine est évidement équipé de petites alcôves sombres avec des lits recouverts de latex pour que les libertins et libertines puissent s’ébattrent à leur convenance. L’un des lits est équipé d’une chaîne et d’un bracelet dans chaque angle, des femmes y vivent souvent leur fantasme d’esclavage sexuel ou de viol. Un pilori sert sensiblement à la même chose au fond du couloir nord, juste à côté de la cabine du sling et de la balançoire équipée d’un gode en son centre.

    Dans les douches sans porte, il est fréquent de voir sur une zone dédiée à cela, des personnes allongées sur le sol, parfois elles sont enchaînées, parfois elles sont libres et volontaires. Dans cette zone de la douche, on peut assister à des douches dorées ou à des femmes piétinant des hommes étendus.

    Dans les toilettes mixtes, certaines cabines n’ont pas de porte, d’autres ont des trous dans les murs à la hauteur du sexe d’un homme debout. On y trouve également trois chaînes équipées de collier dans lequel, des soumises ou des soumis uro assurent les fonctions de papier toilette pour les gouttes coquines s’étant aventurées sur les chairs délicates. Il y la chaîne des hommes et la chaîne des femmes puis la chaîne des bisexuels, elles sont différenciées par les lettres H F ou B pour « bisexuel ».

    L’une des cabines des toilettes est réservées aux dames, elle est équipée d’une latrine spéciale sans chasse d’eau, c’est une forme de chaise facesitting permettant de régler la hauteur de la tête de la personne se trouvant dessous. Le corps de la personne se trouvant enfermée dans cette chaise spéciale est entravé ou libre de l’autre côté du mur dans la grande salle meublée de petits canapés, tables et plantes vertes géantes éclairées par des lumières vertes. C’est magnifique.

    Revenons sur cette fameuse chaise-toilette-facesitting ! De petits panneaux en font la publicité dans le club de façon à ce que les hommes seuls aimant lécher des minettes puissent y trouver plaisir. Un code spécial permet d’informer la dame venant se faire lécher le minou parfois propre, parfois après un câlin, des fonctions de la personne dessous, à savoir uro ou juste lécheur. Ce code ressemblant aux affichettes se trouvant sur les portes des chambres d’hôtel est à revoir !!!!!!

    Ma Maîtresse samedi avant décidé de me martyriser un maximum. Elle m’a offert un verre en gamelle à même le sol avant de m’enfermer nu avec juste ma cage de chasteté comme vêtements pendant une heure dans une des cages. Lorsque Maîtresse est venu me chercher ce fut pour enfermer ma tête dans fameuse chaise-toilette-facesitting. Elle a entravé mes membres avant de venir se faire manger le minou en faisant une fellation à un homme qui allait sûrement devenir son amant d’un soir. A peine étaient-il partis, qu’une femme d’un certain âge est venue profiter de la place. Elle a bien failli m’étouffer avec son gros fessier parce qu’elle n’arrêtait pas d’appuyer sur la pédale faisant remonter mon visage dans son intimité d’un âge « avancé ». Je n’ai pas pu me contenir et je l’ai engueulée en lui disant que me tuer ne lui donnerait pas une jouissance plus intense, bien au contraire.

    La salope !!!!! Pire encore mais je n’ose pas l’écrire….

    Cette salope a tourné l’affichette permettant aux dames de savoir si elles devaient se limiter à se faire lécher ou si elles pouvaient également soulager leur vessie. Elle a fait le tour de la cabine pour aller accrocher les pinces sur mes tétons. J’ai cru que c’était ma Maîtresse et bien non, c’était cette salope qui venait mettre en place le dispositif « chasse d’eau » traduction, quand la dame assise sur votre visage tire sur une chaînette, cela tire vos tétons et vous indique que vous aller devoir boire et avaler !!!!!!!

    Je me plaisais à rêver qu’une jeune et jolie minette viendrait m’offrir son minou à déguster quand une femme, sûrement dominatrice, cela se sent à la façon de faire, vint prendre place sur cette fameuse chaise-toilette-facesitting. Elle s’offrit une dégustation durable, traduire qu’elle prit son temps quand soudain, elle tira sur la chaînette pour m’indiquer qu’elle allait pisser sauf que je ne suis pas uro !!!!!!!!

    Devant mes réfutations, elle tira deux fois plus fort sur la chaînette, se leva, me mit une gifle à décorner un bœuf puis repris place en me conseillant de ne pas en perdre une goûte si je ne voulait pas qu’elle aille s’occuper de mes couilles après avoir fini. A moitié sonné avec la peur au ventre qu’elle aille mettre la même claque à mes précieuses, j’ai donc ouvert la bouche en espérant ne point perdre de son « précieux champagne ». Ce fut dur, très dur même mais je suis arrivé à tout boire sans vomir, la dominatrice sachant doser le volume lâché pour me permettre d’avaler sans m’étouffer. Lorsqu’elle eut fini je lui ai expliqué que je n’étais pas uro du tout, elle ma juste répondu « et bien tu progresses, c’est bien » avant de remettre l’affichette sur dégustation only. OUF

    C’est fou ce que l’ambiance des clubs libertins, surtout celui-là, donne des ailes aux femmes. Quelques minutes après son départ, une femme ultra mince est venue se faire déguster le chaton. Alors que je me disais en essayant de caller ma tête pour ne pas trop souffrir de ses os pointus, un goût amer très particulier titilla mes papilles gustatives. La belle venait de baiser sans préservatif !!!!! Par chance le volume est moindre qu’une femme qui urine mais quand même. Pendant qu’elle se branlait, le sac d’os m’offrir également son anus à lécher mais par chance il était inviolé et propre ce qui m’a permis de savourer de la langue une bonne vingtaine de minute plus tard, les contractions anale d’une femme qui jouit.

    Lorsque Maîtresse revint, elle s’offrit une petite minette de principe en m’indiquant qu’elle s’était faite défoncer et avait besoin de réconfort. J’étais heureux pour elle et j’appréciais de retrouver ma minette à moi, enfin, la minette de ma Maîtresse d’Amour dans lequel je me noie de plaisir.

    EPILOGUE

    Je n’aurai pas du lui raconter le coup de la salope et que la dominatrice sadique m’avait fait boire car elle m’a répondu : « si tu y es arrivé une fois pour une étrangère, tu peux y arriver pour moi ».

    Depuis elle m’a fait fabriquer une chaise-toilette-facesitting que j’ai bricolée en découpant les pieds d’une vieille chaise dont j’ai adapté l’assise et elle l’apprécie beaucoup, un peu trop à mon goût mais bon, ai-je le choix ?

    Ecrivaillon

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