• ABCplaisir lance le Discount délais avec des prix de folie !

    "Discount délais" signifie que les délais de livraison peuvent être de 7 jours à 3 semaines environs. (Voir les délais indiqués dans chaque produit)

    Le principe est simple, la patience vous permet :
    1°) D’avoir des remises exceptionnelles et de vous offrir des jouets et accessoires
    2°) De bénéficier de monstrueuses promotions lors des opérations en quantité limitée.



    Menottes_acier_promotion.jpg

    Exemple avec ces vraies menottes en acier ne s’ouvrant pas sans clé à 19.50 la paire ou 30 euros les deux paires. Il n’y en aura pas pour tout le monde, vous pouvez donc les acheter avant même que la livraison arrive.
    Plug_chastete_anale.jpg
    Sur le net ou en boutique le prix de ce plug de chasteté varie de 140 à 200 euros. Là vous pouvez l’avoir à 93,50 euros !


    Machine_a_baiser_2.jpg
    Quel est le prix d’une machine à baiser ? Faites une recherche dans les boutiques du net puis comparez avec ce modèle à 180 euros ! La patience vous fait faire de sérieuses économies !

    La rubrique discount délais de la boutique ABCplaisir est actualisée régulièrement, il peut y avoir 3 articles ou 50 à des prix de folie. A la consulter régulièrement pour faire des économies.


    Discount délais


    http://www.abcplaisir.com/fr_FR/Discount-delai

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  • Soirée BDSM Hard par Maître TSM en chat webcam


    Soiree_BDSM_HARD.1.jpg

    Le vendredi 11 avril 2004 à 21 heures sur le chat webcam soumise Ginou va vivre des sensations très fortes entre les mains de son Maître qui espère la conduire jusqu’à la jouissance SM divine.

    Cette soirée pouvant choquer, les non habitués au SM pur et dur ne devraient pas assister à cette séance qui sera partagée en webcam.

    Que l’on se rassure, la santé de la soumise ne sera pas affectée mais c’est du HARD donc à vous de décider si vous désirez y assister ou pas.

    Si le hard ne vous plait pas, libre à vous de surfer sur les vidéos ou chatter dans une autres salles de chat de Fessestivites.

    Le matériel utilisé ce soir là est offert par la boutique ABCplaisir.com

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  • Maîtresse Enema aime l’uro et le lavement sadique

    Maitresse_Enema_aime_l_uro_et_le_lavement_sadique.jpg

    Par Ecrivaillon

    Lorsque j’ai rencontré Maîtresse Enema sur Fessestivites, n’étant pas totalement inculte, je me doutais bien que mon petit trou du cul serait visité pour ne pas dire nettoyé mais je ne m’attendais pas à tant de perversité ! Dès notre première rencontre elle m’a déstabilisé en me mettant un penilex, sorte de préservatif équipé d’un tuyau puis d’une poche à urine qu’elle a attaché à ma jambe avant de la relier au tuyau du pénilex. A la suite de quoi, elle m’a demandé de me rhabiller puis de lui servir de chauffeur pour ses courses.

    J’ai donc compris pourquoi elle m’avait donné rendez-vous à 14 heures. Maîtresse Enema n’aime pas conduire. Comme beaucoup de femme, elle aime le shoping, nous avons donc visité l’intégralité des boutiques ou presque des galeries marchandes de plan de campagne… Je devais marcher derrière elle à environ deux mètres et porter ses paquets, ce qui amusa ceux qui ont repéré son manège. Lorsque j’ai éprouvé une envie de faire pipi, j’ai bien essayé de négocier un passage aux toilettes qui m’a été refusé puisque j’étais « équipé » et valu une punition pour le soir même. Par contre elle a fait plusieurs pauses pipi en me narguant de ses sourires charmeurs mais aussi sadiques !

    Au bout d’un moment je n’en pouvais plus, pendant que nous faisions quelques courses au supermarché, j’ai craqué et, la peur au ventre, fini par uriner dans le penilex qui a fait son office. J’avais peur qu’il y ait des fuites et de me pisser dessus en plein supermarché à l’heure de pointe. Si le penilex a fait son office, marcher avec une poche à urine pleine attachée à la jambe génère aussi une gêne et des inquiétudes car j’avais peur que la fixation cède. OUF elle a aussi résisté mais comme expérience au milieu de la foule c’est chaud chaud ! ! !

    Arrivés à son logis, Maîtresse Enema m’a fait décharger la voiture et ranger certaines choses avant de m’envoyer à la douche pour « décrasser le cochon » même si j’avais pris une douche avant notre premier rendez-vous. Mon réflexe a été de fermer la porte puis de retirer la poche et le penilex. Elle est arrivée comme une furie en m’indiquant qu’un soumis n’a pas à se cacher et n’a en aucun cas droit à la pudeur avec sa Maîtresse. En guise de punition elle m’a fait m’étendre dans sa baignoire avant de vider la poche à urine que j’avais mise de côté sur mon visage.


    poire_lavement_19.jpg

    Sans même me laisser me rincer, elle m’a forcé à me mettre à quatre pattes pour m’enfiler dans le cul le tube d’une poire à lavement en me promettant les pires punitions si j’avais une fuite dans sa baignoire. J’étais blême ! Avec un demi litre d’eau dans les fesses, prendre ma douche devant une furie ne se privant pas de commentaires sur ma façon de me laver, fut une étape difficile. Et là, elle m’ordonna d’aller me vider le « croupion » aux toilettes sans fermer la porte. Faire devant une Maîtresse qui vous regarde avec un sourire amusé fut assez hard pour moi, surtout pour le bruitage….. Comme Maîtresse n’aime pas la « merde » elle m’a fait remonter dans sa baignoire et collé deux poires à lavement l’une après l’autre avec les même menaces que précédemment de punition en cas de fuite. Re belotte et dix de der, (sauf que le dix de der était loin…) j’ai été accompagné aux toilettes pour la vidange.

    J’ai cru qu’elle était satisfaite du résultat lorsqu’elle m’a ordonné de finir de me doucher et de nettoyer la salle de bain et les toilettes. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’après les lavements, même si l’on a rejeté il y a encore des « restes » et donc encore envie de retourner aux toilettes. Je me suis fait attraper juste au moment où j’allais m’asseoir sur le trône et incendier.

    - Si tu n’es pas étanche du cul, on peut éventuellement te mettre des couches du con, d’abord tu ne m’as pas demandé la permission d’aller aux toilettes et en prime, tu t’y rends sans avoir terminé le ménage des lieux que tu as salis. Tu cherches les punitions ou quoi ?

    C’est donc avec les fesses serrées que j’ai terminé le ménage de la salle da bain et des toilettes avant de demander la permission de m’y rendre et là, elle a tenu à inspecter les lieux comme un contremaître méfiant cherchant la faute quitte à la fabriquer pour avoir le plaisir de punir. Penché en avant sur la baignoire, mes fesses nues ont goûté à la canne anglaise ! Le sifflement annonciateur de douleur ne ment pas, cela fait mal ! Les 10 coups reçus ont laissé une dizaine de marques dont une sur la cuisse qui y est restée au moins dix jours ! ! !

    UN APERO PARTICULIER

    Madame s’est faite servir le champagne que j’avais apporté sans pour autant m’en proposer une coupe. Elle m’a imposé de me mettre à genoux devant son canapé avant de poser ses jolis pieds sur mon dos pour siroter son champagne en téléphonant à une amie. A la suite de quoi, une demi-heure plus tard, elle m’a abandonné un instant en m’intimant l’ordre de ne pas bouger. A son retour, Maîtresse Enema a posé une gamelle devant moi avec du champagne puis a posé derrière moi une bouteille dont dépassait un Clyster Ball enema, sorte de pompe à main permettant d’injecter dans les fesses un liquide pompée dans un récipient via un tuyau.


    Clyster_Ball_enema_lavement.jpg
    La bouteille d’eau pour un lavement d’un litre et demi m’inquiétait fortement ! L’ordre est tombé de laper comme un chien le champagne dans la gamelle pendant qu’elle m’introduisait la canule dans les fesses. Le champagne avait un drôle de goût, je dirai même un goût sérieusement douteux ! ! ! Elle s’est resservi une coupe puis s’est à nouveau installé dans son canapé en posant les pieds sur mon dos. A chaque fois qu’elle trempait ses lèvres dans sa coupe, j’avais droit à une rasade d’eau dans les fesses via le Clyster Ball enema ! Autant dire que j’avais peur d’avoir des fuites et que je serrais les fesses comme un malade.

    Maîtresse Enema s’est soudain levée pour aller chercher la bouteille de champagne et là, ma surprise fut de taille. Elle s’est accroupie devant moi en dévoilant sa tendre intimité avant de pisser dans ma gamelle ! Elle n’a pas vidé totalement sa vessie car elle est allée terminer aux toilettes. En revenant elle a complété la gamelle avec du champagne avant de trinquer avec moi. Cette grande sadique d’une beauté à vous couper le souffle a remué le contenu de ma gamelle avec son index avant de me le donner à lécher. Lorsque je lui ai indiqué que mon colon se révoltait et que malgré mes efforts nous allions à la catastrophe, sa réponse fut très particulière.

    - Finit ton apéro avant d’aller aux toilettes !

    Dire que ce fut difficile est peu dire mais je l’ai fait ce qui m’a valu des félicitations puis un coup de chaleur dans le cœur et la tête ! Une fois être allé me vider aux toilettes, je pensais être tranquille de ce côté-là de mon anatomie, il n’en fut rien.

    « Aimerais-tu lécher le minou de ta Maîtresse » ? Me demanda t’elle en s’agenouillant devant moi jambes écartées ? A la vue de sa vallée intime aussi délicieuse que la totalité de son anatomie, ma réponse a été positive sauf qu’elle m’imposa un deal sans me laisser savoir ce qu’il contenait.

    - Ok, alors je vais encore m’amuser avec toi et tu vas tout accepter sans rouspéter et, si tu es méritant, je te laisserais me lécher ce qui sera un honneur pour toi car je ne l’accorde quasiment jamais aux soumis.

    Maîtresse Enema m’a planté à nouveau la canule de son Clyster Ball enema avant de m’injecter une nouvelle bouteille d’eau. Le pire fut après quand elle a sortie une couche pour adulte et m’a demandé de m’étendre sur le dos pour me la mettre. Mort de honte je m’apprêtait à refuser quand elle m’a rappelé notre deal en précisant que si je n’avais pas de parole, c’était la porte immédiatement. Mûrissant des envies de la revoir, abdiquer était mon seul choix, l’âme en peine je me suis donc laissé faire tout en la maudissant.

    La couche posée, elle m’a enjambé en restant debout au dessus de mon visage. Ne portant pas de culotte, la vue me fit oublier la couche un instant, ses cuisses fuselées admirablement dessinées par la mère nature donnèrent un sacré coup de pied à mon échine même si elle était pleine. Mon sexe replié dans sa couche l’aurait bien déchirée mais il était comme muselé. Quand elle s’est baissée et mise à genoux sur mon visage, un doux parfum de féminité enivra mes neurones. De la pointe de la langue je me suis aventuré entre ses délicates lèvres intimes, elle ondula aussitôt puis se replaça pour mieux profiter de l’instant. Dans un réflexe câlin, mes mains se sont mises à la caresser, je planais sur un nuage quand un coup de poing dans mon ventre explosa net mon rêve de par ce qui est soudain sorti sans crier « gare » dans ma couche.

    Vider ainsi mes entrailles dans une couche castra net la magie et mon érection. J’étais mort de honte pendant qu’elle cherchait ma langue s’étant mise en pause au moment du tsunami du bas. Ses pinces digitales sur mes pauvres tétons innocents accompagnèrent un ordre clair net et précis : « lèche-moi » ! Si en d’autres temps j’ai rêvé d’un facesitting avec une Maîtresse, là je n’avais qu’une envie, foncer à la salle de bain ! L’ordre est tombé d’ouvrir la bouche et de boire sans en perdre une goutte, sous peine de représailles. J’ai donc pour la première fois bu du champagne doré à la source de la vie. Il était un peu salé mais entre ses mains, j’aurai léché un paquet de sel entier pour qu’elle continue de me laisser savourer ses trésors féminins.

    Maîtresse Enema a mis un terme à mes délices pour m’envoyer me laver en m’accordant 10 minutes douche et ménage de la salle de bain compris. Tel un gros bébé tout merdeux dans sa couche, la queue basse et les joues blêmes, je suis donc allé à la salle de bain où j’ai découvert avec surprise que la couche était propre, seulement mouillée de l’eau de mon lavement.

    Cette dominatrice si perverse m’a ensuite rapidement raccompagné vers la sortie en m’indiquant que je semblais être un bon soumis et qu’elle me rappellerait sûrement pour d’autres moments plus chauds si j’avais envie de revenir. Il va de soit que j’ai répondu positivement malgré les gigantesques moments d’humiliation qu’elle m’avait fait subir, allez donc savoir pourquoi ?

    Ecrivaillon

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  • Selfbondage sur ordre du Maître qui participe


    Une idée de jeu de bondage et de selfbondage pour couple

    AUTEUR Ecrivaillon


    bondage_selfbondage_20.jpg

    Mon Maître est très pervers, il me fait des tonnes de misères pour me rendre folle. Si nous sommes venus sur Fessestivites, c’est parce qu’un jour, nous sauterons le pas des rencontres et je ne doute pas qu’il m’arrivera des choses folles puis, semble t'il, pour les vraies / boonnes/  mauvaises idées que mon Maître y trouve. Quand je dis qu’il est très pervers, c’est parce qu’il s’amuse à m’obliger à m’attacher toute seule, donc à faire du selfbondage, puis à patienter parfois jusqu’à deux heures avant de venir me dominer ou me baiser comme un fou.

    Il m’adresse un texto pour me prévenir que j’ai reçu des ordres par email. Je dois à chaque fois préparer le matériel qu’il a demandé puis installer l’ordinateur portable en chat privé afin qu’il puisse me voir et me surveiller en webcam.

    Comme je dois couper le son de l’ordinateur et mettre ma webcam en plein écran, je ne sais donc pas ensuite s’il est seul ou pas à me regarder puisque je ne vois pas qui se connecte dans le salon privé qu’il crée sur le chat de Fessestivites. Par contre c’est sympa de se voir évoluer sur l’écran…… Imaginer d’être vue me gêne tout autant que cela m’excite, je dois avoir un côté exhibitionniste refoulé.

    La semaine dernière, il avait préparé sa surprise sadique dans le garage. Vers 17 heures, j’ai reçu l’ordre de prendre nos cordes pour le shibari qui ne brûlent pas puis des menottes pour aller dans le garage où je devais m’entraver en culotte avec un petit haut avec une jambe attachée en l’air, l’autre entravée repliée puis me menotter. Il précisait que pour la jambe que je devais attacher en l’air, il fallait que je me fasse un shibari à la cheville et qu’une corde déjà en place m’aiderait à la faire remonter et à la bloquer.

    Rien que de lire son message j’étais excitée. J’ai donc pris l’ordinateur portable que j’ai installé sur l’établi avant de me connecter sur le chat webcam de Fessestivites. Il était déjà connecté, ayant le code de notre salon privé, je m’y suis connecté de suite avant d’allumer la webcam. L’ordre habituel est tombé, « coupe le son et mets ta fenêtre de cam en plein écran ».

    Il avait tout prévu, y compris de mettre des draps pour cacher le bazar et un morceau de moquette sur le sol pour que je n’ai pas froid. Lentement comme il aime, j’ai commencé par attacher ma jambe gauche repliée sur elle-même avant de fermer les menottes sans réfléchir comme une idiote ! Idiote parce que je n’avais pas terminé d’exécuter ses ordres ! ! ! ! Les mains menottées dans le dos, je suis quand même parvenue à faire un shibari à ma cheville puis à l’attacher à la corde attachée au plafond. Quand j’ai tiré sur l’autre brin, ma jambe est montée et la surprise fut qu’elle ne redescendait pas, le truc d’attache qu’il avait mis au plafond en empêchait le retour. J’ai donc tiré encore un peu pour voir et me suis retrouvée avec la jambe tellement haute que mes cuisses faisaient comme un V grand ouvert.

    Question sécurité en selfbondage, il faut savoir que mon Maître travaille à 5 minutes à pieds de la maison, donc les risques encourus sont très limités puisqu’il n’utilise pas la voiture et n’a qu’à traverser un champ en jachère pour arriver à la maison en cas de souci. S’il devait courir, il serait là en deux minutes maxi ce qui me rassure énormément.

    J’attendais donc en faisant dérouler mes fantasmes coquins dans ma tête tout en ne sachant pas si quelqu’un d’autre me voyait, ni quand il arriverait et encore moins ce qu’il me ferait en arrivant.

    Je commençais à trouver le temps long quand soudain j’ai entendu des voix. Mon sang n’a fait qu’un tour et je me suis affolée. Tirer sur les entraves ne servait à rien mais c’est un réflexe….Quand le portail électrique s’est mis en route pour remonter, j’étais rassurée parce qu’il faut la télécommande, c’était donc lui, mais inquiète car le portail donne sur la rue. Etre vue attachée et en petite tenue par les voisins me traumatisait un peu. Finalement il ne l’a qu’entre ouvert pour passer dessous et le refermer. Et là, il a sortie une canne anglaise que je ne connaissais pas de dessous le drap cachant le bazar.

    La canne anglaise sous le pied cela fait mal, mais il n’a pas été trop fort contrairement à la cuisse de ma jambe maintenue tendue en l’air et à mes fesses. J’avais beau me tortiller pour essayer d’esquiver les coups, encore un réflexe inutile, je ne pouvais que subir et râler. (Je suis une râleuse) En guise de punition pour avoir râler, il est allé chercher un bâillon qui force la bouche à rester ouverte. Il dit que ce type de bâillon n’est pas dangereux puisque quoi qu’il arrive, on peut respirer par contre, il fait énormément baver et j’ai horreur de ça.

    Après m’avoir martyrisée un bon quart d’heure, il m’a plantée là en me souhaitant une bonne soirée ! Si je ne l’ai pas cru, je savais qu’il allait me laisser poireauter un bon moment. Le problème c’est que nous les femmes, on a souvent envie de faire pipi et là, je n’y étais pas allé depuis plusieurs heures. Le sol froid aidant, malgré la moquette et le petit chauffage soufflant qu’il avait installé avant de partir, mon envie devenait de plus en plus pressante…… N’y tenant plus, morte de honte j’ai fini par me pisser dessus en espérant qu’il n’y ait que lui qui le voit à travers la webcam.

    Quand Monsieur s’est enfin décidé à venir s’occuper un peu de sa soumise, il a commencé par se moquer de moi en me traitant de pisseuse puis en m’indiquant que la prochaine fois, il me ferait porter des couches ! Je n’aime pas les couches n’y l’ABDL, chacun fait ce qu’il veut mais ce n’est pas mon truc du tout. Connaissant mon Maître, je n’ai absolument rien dit car si je l’avais supplié de ne pas me faire ça, j’étais sûre qu’il le ferait.

    Et là, Maître a sorti son sexe en érection, me voir me débattre pour essayer de ne pas être dans ma pisse avait du l’exciter. Il a simplement écarté ma culotte et m’a baisée comme un sauvage ! (Et comme j’aime car quand je suis attachée j’aime la baise hard, je grimpe aux rideaux à chaque fois) En guise de conclusion, Maître est venu jouir dans ma bouche en essayant de viser dans le gros rond du bâillon bouche ouverte en me privant du plaisir de sentir vibrer sa belle queue entre mes lèvres.

    Le lendemain ma voisine m’a regardée d’un drôle d’air, d’après Maître, elle n’a rien pu voir puisqu’il a fait attention, d’après lui c’est parce que je suis « un peu » bruyante quand je jouis.

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  • Bondage sadique pédagogique

    Laurie a rencontré Maître Paul sur Fessestivites, dès la première rencontre elle a su qu’elle ne pourrait rien lui refuser. Son respect rime avec fermeté, son assurance avec écoute, sa vigueur avec son charme auquel elle ne peut résister. Si bien qu’en très peu de temps, elle a été initiée en fessée, en shibari, le martinet et les fouets l’ont déjà faite « danser » et presque jouir. Il reste pourtant quelques points sur lesquels il souhaite la faire évoluer comme boire son sperme.

    Maître Paul lui a promis qu’un jour elle l’aspirerait d’elle-même, aspirer, quel drôle de mot pour boire du sperme !

    Vendredi dernier, elle s’est rendue chez son Maître pour y passer un week-end d’initiation lui a-t-il indiqué. Installé confortablement dans son canapé devant la table basse sur laquelle il avait déposé un paquet cadeau puis deux fluttes et une bouteille de champagne, Maître Paul lui a demandé de se mettre nue avec lenteur et élégance car il aime la voir évoluer nue. On peut comprendre ce désir, Laurie est un pur chef d’œuvre de la mère nature avec des courbes exceptionnelles à semer le trouble même dans un monastère.

    Une fois nue, elle a été autorisée à s’asseoir à ses pieds en position 6, la position connue grâce au film Histoire d’O mais existant depuis des lustres. Après lui avoir baisé les mains, Laurie a eu le droit d’ouvrir le cadeau lui étant destiné. Les mains tremblantes elle l’a ouvert avec précaution pour y découvrir un rosbud.

    - Ceci est pour toi, cela te permettra de penser plus à moi lorsque nous ne sommes pas ensembles. Viens t’allonger sur mes genoux, je vais le mettre à sa place.

    Etendue sur ses genoux comme si allait prendre une fessée, Laurie lui a offert ses fesses sans aucune inquiétude, Maitre Paul sait ce qu’il fait, elle ne risque rien, hormis évoluer dans son masochisme et sa soumission. Avec douceur il fait pénétrer le rosebud dans son petit œillet légèrement contacté malgré les demandes de Paul, pour finir de s’y loger. La magnifique pierre bleue brille entre ses délicieuses courbes fessières. Une fois posée, elle est autorisée à aller se voir dans le miroir de la salle de bain puis à venir prendre une flutte de champagne.

    Pour fêter ce petit cadeau dont elle est très fière, ce soir là ils sortent au restaurent, où ils parlent d’avenir, une volonté de vie commune est déjà en leur tête d’amoureux. Cette soirée idyllique risque d’être un peu difficile pour Laurie, il l’a prévenue qu’en rentrant il allait lui faire vivre quelque chose de nouveau qui serait peut-être difficile pour elle.

    Dès leur arrivée à l’appartement, Maître Paul lui demande de se dévêtir et l’abandonne un instant pour aller chercher des cordes pour lui faire un shibari. En un rien de temps, Laurie est attachée à genoux, ses jambes liées ne lui permettent plus de se lever, les bras dans le dos sont légèrement bondagés mais elle ne comprend pas pourquoi il lui pose une paire de menottes avec un sourire pervers posé sur les lèvres.

    Il l’abandonne à nouveau pour aller chercher du matériel, dont une chaise qu’il pose devant elle avant d’y accrocher un godemiché percé dont dépasse un long tuyau. Maître Paul s’installe dans le canapé pour entreprendre de se branler en la regardant droit dans les yeux. Laurie se doute que cette attitude cache quelque chose mais sans parvenir à deviner ses intentions. Cette belle verge qu’il caresse de plus en plus vite, elle aimerait tant s’en occuper, la choyer et l’avoir en elle, mais son Maître semble avoir décidé autrement.

    La conclusion arrive sans trop tarder, mais il éjacule dans un bocal en prenant soin de ne rien perdre de son sperme. Il referme son pantalon sans tarder pour aller chercher une bouteille de lait dont il remplit le bocal contenant son sperme avant de l’attacher avec une ficelle qu’il fait passer dans un anneau fixé au plafond. A son extrémité il accroche les clés des menottes de Laurie puis il les leste en calculant pour ne pas se tromper.



    Bondage_sadique_pedagogique.jpg

    - Tu vois Laurie, ce soir je me suis privé de toi par amour parce que tu as besoin d’être formée pour apprendre à boire mon sperme. Regarde, je vais maintenant mettre dans le bocal le tuyau qui est enfilé dans le godemiché qui est attaché à la chaise devant toi. Tu vas devoir sucer cette bitte en plastique et aspirer pour vider le lait qui est dans le bocal. Quand tu auras tout bu, mais vraiment tout…. les clés de tes menottes tomberont sur le sol et le bocal remontera. A ce moment là, tu pourras ramper jusqu’à elles pour te libérer et venir me rejoindre dans ma chambre. Je ne t’oblige à rien, c’est toi qui décides de me boire ou de passer la nuit attachée sans moi. Bonne nuit.

    A cet instant, Laurie le déteste pour ce vice qu’il a en lui et pourtant, c’est aussi pour cette perversité qu’elle l’aime, lui seul est arrivé à lui faire vivre des choses folles et à lui faire connaître des jouissances titanesques. Maître Paul l’a laissée là, face à elle, face à cette répulsion qu’elle a pour le sperme, face à ce gode qu’elle va devoir sucer en aspirant ce qu’elle a toujours évité et refusé. Elle sait qu’il ne cèdera pas, si elle ne boit pas, il ne la délivrera que le lendemain en étant sûrement déçu. Le décevoir serait pour elle une honte telle qu’elle en pleurerait, mais…… aspirer du sperme lui semble réellement impossible. Quel dilemme !

    « Je ne dois pas le décevoir », « je dois y arriver » se répète sans cesse Laurie devant se godemiché qu’elle ne se sent même pas capable de prendre sans sa bouche. Au bout d’une heure et avec les larmes aux yeux, elle approche ses lèvres du godemiché puis, comme un désespéré se jette par la fenêtre, le prend dans sa bouche en aspirant pour boire l’horrible liquide. A début il n’y a que de l’air, cela va encore mais lorsque le liquide se répand dans sa bouche, elle a un haut le cœur. Ce haut le cœur n’est que psychologique, car dans le bocal il n’y a que du lait, au moment d’éjaculer, Maître Paul a pris son sperme dans sa main sans le verser dans le récipient. Elle n’y a vu que du feu, contrairement à la poche du pantalon de Paul où il s’est essuyé prestement.

    Laurie peine à boire, des larmes coulent sur ses joues quand elle pompe ce gode maintenant comme si sa vie en dépendait. Le bocal se met à monter vers le plafond, comme si elle faisait un sprint, elle aspire encore avec l’énergie du désespoir. Lorsque les clés lestées de poids tombent enfin sur le sol, elle rote en ayant l’impression d’avoir des odeurs de sperme dans la bouche, quelle horreur. Elle se couche sur le côté et rampe jusqu’aux clés et se libère assez facilement. Laurie retire les cordes de ses jambes le plus vite possible, il lui tarde d’aller rejoindre son Maître.

    - Je suis fier de toi Lui dit Maître Paul lorsqu’elle se glisse dans les draps contre son Maitre.

    - Cela a été très dur Maître, vous n’imaginez pas à quel point, j’ai failli vomir plusieurs fois.

    - Je ne comprends pas pourquoi, il n’y avait que du lait dans le bocal !

    - Salop ! Je vous déteste lui crie Laurie en se jetant sur lui pour l’embrasser, ou plutôt pour le dévorer de baisers.

    TSM

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