• Pauvre Slave BDSM chez TSM

     

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    Un jeune coupe dialoguait avec nous sur le chat, beaucoup de questions très pertinentes nous étaient posées sur le BDSM. Un certain nombre portaient sur la douleur et peut-on réellement prendre du plaisir dans la douleur. Ma soumise très malheureuse….. (insatiable) me dit en rigolant « nous pourrions leur faire une démo » avec un sourire allumeur posé sur les lèvres.

    Nous leur avons proposé une cam, pour faire plus ample connaissance, ils ont décliné très poliment en nous expliquant que la profession de monsieur lui impose une interdiction totale d’être vu sur un site de rencontres comme Fessestivites. Ils étaient super sympas et ultra courtois en tenant par exemple à indiquer « Madame au clavier » ou « Monsieur au clavier » quand nous changions d’interlocuteur. Nous leur avons indiqué qu’ils pourraient laisser leur cam fermée, que nous ne leur en voudrions pas, ils étaient ravis.

    Le temps que l’on prépare le matériel, ils ont fait venir une fille qui se cache derrière un profil masculin pour ne plus se faire agresser par les « savent pas lire les annonces ». Un faux profil donc que nous avons pardonné car elle nous l’a avoué très vite lorsque je discutais avec elle en parallèle du jeune couple. Une cam éclair avec elle nous a permis de constater qu’elle disait vraie, ce mec est bien une femme, RIRE. Vous me connaissez, je ne me prends pas au sérieux et j’aime dire beaucoup de bêtises.

    Moi : je veux bien devenir gay en vous voyant mademoiselle mais promis, je ne dévoilerai pas le subterfuge.
    Elle : vous avez intérêt sans quoi je dirai que vous êtes gay passif.
    Moi : chercheriez-vous une bonne fessée ?
    Elle : la fée sait qu’elle ne risque rien, vous êtes trop loin.

    De gros délires et des jeux de mots se mêlaient, le courrant passait bien. Le BDSM interpellait « Elle » mais la charmante peinait à comprendre certaines choses comme prendre du plaisir sous le fouet ou le martinet. Comme ce couple et cette fille/homme appréciaient l’humour et étaient capables de différencier BDSM sérieux et délire collectif, nous leur avons proposé de leur faire une petite exhibition sur le chat.

    Apparaître sur le net ne nous pose aucun souci, j’ai donc calé le camescope pour faire une vidéo pour Fessestivites. Sur cette vidéo amateur il est possible de constater que j’improvisais mais que le plaisir dans la douleur « modérée » est bien réel en BDSM.

    Nous allions donc faire une exhibition pédagogique (rire) pour survoler plusieurs pratiques parmi celles que nous avions abordées sur le chat SAUF QUE, il était pour moi hors de question que je ne rajoute pas quelques surprises à ma soumise trop heureuse d’avoir une « petite séance » par elle initiée. Non mais, qui c’est le Maître ? !

    Quand j’ai demandé à ma soumise de sortir la chaise uro, elle n’a pas compris du tout où je voulais en venir, cet accessoire ne collait pas avec la conversation portant plus sur du SM que de la DS. Et là en grand sadique, je lui ai indiqué « ce soir tu découvres la scato ». Ses yeux sont devenus vitreux un instant, (j’adore) ses lèvres se sont crispées pour dessiner une grimace avant de se transformer en grand sourire, la belle avait compris que je plaisantais, la scato n’est pas du tout dans mes trips.

    (Entre nous : Il est bien de temps en temps de leur faire peur non ? )

    Quoi qu’il en soit, elle ne comprenait pas les raisons de la présence de la chaise uro posée sur ma table un peu spéciale j'en conviens et cherchait à savoir à quoi elle allait bien servir.

    - C’est pour que cela soit plus confortable pour toi, surtout pour tes coudes ! Fut ma réponse.

    Cette réponse bidon ne l’a pas éclairée du tout mais elle est habituée à mes surprises et histoire d’ajouter un peu de pression, je lui ai accordé la cigarette du « condamné ». Hé hé hé (Rire sadique) La tige de 8mm consumée, elle s’est dévêtue à ma demande et mise à genou sur ma table roulante avec la tête au-dessus de la chaise uro.

    - Met ta tête dans le trou ! Lui ai-je dit en m’éclatant de son regard plein de questions.

    Quand j’ai commencé à l’entraver avec des cordes de shibari, la belle a compris et m’a traité de sadique ce qui lui a valu une claque appuyée sur ses délicieuses fesses grandement exposées. Ainsi attachée à quatre pattes avec la tête coincée dans le trou de la chaise percée, son regard pointait sur son intimité que j’allais aussi martyriser, chose que je lui ai évidement indiqué ! Hé hé hé (Rire sadique) Le temps qu’elle cogite…. J’ai rejoint le tchat et allumé la cam avant de lancer la musique et le camescope. Dans un cérémonial très classe, la table à roulette et son « chargement » furent emmenés sur le théâtre des opérations sadiques.

    ET LA, la tête bloquée dans le trou de la chaise et dirigée vers la partie la plus tendre de son anatomie, elle a vu arriver l’arme fatale : le vibromasseur magic wand auquel mes pauvres victimes ne peuvent résister à la montée du plaisir qu'il procure.

    Au menu en plus des vibrations intenses et du bondage, j’ai abordé la bougie BDSM (basse température) X 3 histoire de… avant de les poser sur le fessier exposé à de multiples instruments comme les cravaches, les martinets, les petites bottes d’osier puis les fouets histoire que je ne me fasse pas mal aux mains pour la fessée finale. Etant musicien, tout cela fut fait en rythme en fonction des titres défilant sur le CD dans une ambiance sonore des plus agréables à mes oreilles : musique + bruits de coup + petites plaintes + gémissements de plaisir surtout dans la dernière ligne droite quand j’ai décidé qu’il était temps de l’achever ! (Traduire « achever » par la faire jouir)

    Après quelques échanges avec les « responsables » du plaisir de ma soumise (et du mien) nous avons mis un terme à cette soirée épuisante et riche en terme d’échanges. Ce matin, dans ma messagerie, il y avait un message de remerciement très joli et très agréable qui nous a fait chaud au cœur car il semble que ce moment de partage a débloqué des craintes et fait des émules en BDSM. Nous très contents HUG.

    TSM

    Notre vidéo est ICI

    Les photos tirées de la vidéos sont ICI

    Le petit chat webcam intime est ici

    Le grand chat webcam pour rigoler et se détendre est ici



    BOUGIE SPECIAL BDSM

     

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  • Le cellophane accessoire coquin de bondage

     

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    Devant les réactions sur l'histoire érotique du Kiné sadique, l'idée m'est venu d'ouvrir un post sur le cellophane.

    Le cellophane a de multiples usages autrse que de servir de film alimentaire ou pour maintenir des colis sur une palette. Ci-dessous quelques idées :

    BDSM

    Poser des pinces à seins et les recouvrir avec du cellophane en faisant plusieurs fois le tour du buste permet de bien les maintenir....

    Entourer une personne les bras croisés OU le long du corps avec du cellophane permet de faire un bondage sérieux qui, accessoirement, donne chaud. (Et fait transpirer)

    Faire une culotte de cellophane à un soumis ou une soumise avant d'aller au restaurent par exemple, génère des sensations originales. Là où cela devient amusant c'est quand l'envie de faire pipi pointe son nez.....

    Faire rentrer le ventre d'une personne et entourer son buste avec du cellophane permet de faire un corset à petit prix.

    Entourez le buste d'une personne, découper avec précaution des ronds au niveau des seins puis.... (sourire sadique) insérer des branches d'orties pour faire un bouquet ou remplissez de cire de bougie achetée évidemment sur ABCplaisir Peut également être réalisé sur d'autres parties du corps.

    Sur le visage, pour jouer à affecter les sens MAIS attention, il faut penser à faire de gros trous pour la respiration.

    ABDL

    Il est possible avec du cellophane de fabriquer une culotte en plastique ou un body de la taille désirée et qui plus est, peut être particulièrement serré.

    FESSEE SPANKING

    Faire une culotte de cellophane après la fessée permet de maintenir la chaleur et de prolonger les picotements....

     

    SELFBONDAGE

     

    La difficulté réside dans le fait de faire un dévidoir vertical. Ensuite il n'y a plus qu'à s'enrouler et à essayer de ne pas s'assommer en tombant. Prévoir des ciseaux ou autre pour se libérer.

     

    Voir un exemple de bondage au cellophane en vidéo
    http://www.fessestivites.com/f/videos/210669-Le-Kine-Sadique

     

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    GENERAL

    Faire une culotte de cellophane permet de bien maintenir des objets......

    Et vous ?

    Avez-vous déjà testé le cellophane ?

    Avez-vous d'autres idées ?

    Pour en parler, rendez-vous sur le forum Bondage et contrainte ici

    http://forums.fessestivites.com/bondage-et-contraintes/

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  • Le Kiné Sadique


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    Le kiné du village a mauvaise réputation
    Qu'il se démène ou qu'il reste coi,
    Il pass’ pour un je-ne-sais-quoi.
    Il ne fait pourtant de tort à personne,
    Sauf aux maris jaloux, cela va de soi.

    Après cette légère distorsion sur les paroles d'une chanson très connue, je m'en vais de ce pas, vous raconter l'histoire d'une des patientes de ce Kiné particulier. Lorsqu'elle se doit d'aller chez le kinésithérapeute, elle jubile de joie tout en ayant quelques craintes pour sa réputation, les murs du Kiné sont si minces.....

    Max accueille pourtant les femmes avec respect, ne fait jamais d'attouchements inutiles mais sa façon de procéder est bien pire et totalement hors normes bien que remboursée par la sécurité sociale. La pauvre soumise Ginou, trop heureuse d'avoir obtenu un rendez-vous, se rend donc chez le docteur Max un vendredi soir vers 20h30 pour une séance de massage ayant pour objectif, de décontracter les muscles abdominaux.

    A peine entrée dans le cabinet, le docteur Max lui demande de se dévêtir et de passer un sorte de string en cuir avec des anneau sur le devant puis une cagoule sur sa tête.

    - Une cagoule, mais pour quoi faire ? Demande Ginou.

    - La culotte de cuir est pour maintenir un appareil, la cagoule c'est juste une précaution d'usage pour votre visage et vos yeux dans le cadre des produits que je vais utiliser. Lui répond Max.

    Dépitée, Ginou s'exécute enfile le string de cuir bizarre puis la cagoule. Max s'approche d'elle puis la conduit au centre de la pièce pour entreprendre de la recouvrir de cellophane. Au plus il tourne autour d'elle, au plus elle est immobilisée. Totalement entravée, Ginou ne peut plus bouger les bras, hormis bouger ses pieds de quelques centimètres elle ne peut pas marcher non plus ! Et là, mesdames et messieurs les jurés, Max approche une table sur laquelle il la pousse sans plus d'explication. Elle a peur, certes les massages et ses instruments sont dès plus agréables mais là, quelque chose ne va pas.

    Dans le gros creux de la culotte de cuir, Max installe un vibromasseur Magic Wand de chez ABCplaisir qu'il branche à une rallonge électrique, coincées sans aucune gêne entre les orteils de sa patiente ! Ginou est très gênée, une grosse boule appuie sur sa plus tendre intimité. Elle demande pourquoi il l'a enroulé dans tout ce plastique, la réponse de Max la surprend au plus haut point.

    - Attachée oui et non, disons que je vous ai enroulée dans du cellophane, le truc que vous avez contre votre intimité est un appareil de massage médical qui va vous faire grimper au plafond. Plutôt que vous masser pendant une heure, je vais vous faire jouir avec cet appareil. Vous allez avoir très chaud, transpirer à grosses gouttes, monter dans des sphères de plaisir orgasmiques que vous ne devez pas connaître, votre ventre va s'auto masser. Le cellophane vous permettra de ne pas tomber de la table, c'est juste par sécurité.

    Lorsque Max enclenche le vibromasseur Magic Wand, Ginou fait un bon sur la table en poussant un long aouhouuuuuuuuu ! Effectivement cet appareil est démentiel mais l'idée de jouir devant le kiné ne l'emballe pas, ce genre de chose c'est plutôt "intime".

    Oui mais comment résister à ce truc diabolique répond Ginou à sa conscience très perturbée lors d'un débat en chat privé avec elle même ? La machine en forme de micro poursuit inlassablement son ouvrage en vibrant sur le clitoris de la belle ne pouvant absolument rien faire pour se soustraire à ces divines sensations. Profitant qu'elle ne voit pas ce qu'il fait grâce à la cagoule, Max sort deux martinets lourds qualité plus de chez ABCplaisir pour entreprendre de flageller son ventre par dessus le cellophane. Ginou crie mais il la rassure en lui indiquant que c'est une forme de massage très ancienne appelée MSDB. (BDSM à l'envers pour le lecteur qui n'aurait pas compris)

    Entre le "massage" et le clitoris atteint par une forme de maladie de Parkinson sous la boule magique, Ginou ne parvient pas à résister à la vague sourde et perverse montant en elle. Elle la sens arriver, elle la voit arriver dans ses paupières devenues des écrans d'ordinateur connectés sur Fessestivites. Tel un tsunami balayant tout sur son passage, la vague déferlante lamine sa retenue. Emportée comme une plume par la vague d'une jouissance qui ne s'arrête pas, elle crie, tremble, s'agite pour échapper à la boule vibrante devenant trop forte pendant au moins deux minutes.

    - Allez on fait une pause, je dois maintenant m'occuper des huiles essentielles nécessaires à la suite de votre traitement. Indique Max à sa patiente "décomposée" tant elle a joui.

    Tel un rustre, Max allume une cigarette, tire deux goulées puis s'en sert pour faire des trous dans le cellophane avec la braise. "C'est chaud, c'est chaud" crie Ginou, mais non, ce n'est rien, vous n'allez pas commencer à faire la chochotte à votre âge ! En guise d'huiles essentielles, Max allume une des bougies BDSM qu'il vient d'acheter sur ABCplaisir.

    Il remet en route le vibromasseur Magic Wand, histoire de détourner l'attention de sa patiente avant d'entreprendre de recouvrir son abdomen en faisant couler la cire par les trous réalisés à la cigarette. Comme Ginou n'arrête pas de bouger et pour cause....., le micro magique a fini par glisser. N'ayant pas de cendrier sous la main, sans aucune gêne il demande à sa patiente d'ouvrir la bouche, pour y introduire sa clop !

    - Serrez les dents mais pas trop fort pour ne pas casser cette tige de 8mm qui est assez fragile. Par contre ne la lâchez pas, vous pourriez vous brûler. Lui indique MAx en se retenant de rire.

    Comme le lecteur peut le constater, ce Kiné est sans aucune gêne, mais pour apaiser l'inquiétude de ses patientes, il a affiché un passage des paroles de Brassens sur le mur de la salle d'attente.

    "Le jour du quatorze-Juillet,
    Je reste dans mon lit douillet ;
    La musique qui marche au pas,
    Cela ne me regarde pas".

    Sa patiente ayant trempée la table (de partout) Max décide de suspendre la séance en la félicitant pour son courage..... Il prend les ciseaux et découpe le cellophane avant d'aller chercher un grand couteau de cuisine et une fourchette. Pourquoi faire se demandera le lecteur ?????

    Tout simplement pour retirer la cire de bougie sans que ses mains ne touchent les zones intimes de sa patiente, il ne tient pas à avoir mauvaise réputation.

    Ecrivaillon (En plein délire)

    La vidéo du Kiné sadique est ici
    Les photos du Kiné sadique sont ici
    Le chat BDSM sur lequel cette histoire c'est réalisée en webcam est ici (réel)

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  • Femme phallique ou femme chatique ?


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    Si le mot phallique existe bel et bien le mot "chatique" manque au dictionnaire.

    Léa est une femme très dominante de caractère, avec elle au lit les hommes ne font pas la loi. Si par le passé elle a connu les câlins conventionnels, elle a pour dire les choses naturellement fait des fellations complètes à ses petits copains, elle s'est découvert une autre nature le jour où elle a rencontré un soumis sur Fessestivites.

    Ce denier rêvait de soumission, d'une Maîtresse impitoyable qui le forcerait à lui lécher la minette. Par de multiples approches, il a essayé de la guider dans sa domination en allant même jusqu'à lui proposer de lui mettre une fessée s'il n'arrivait pas à la faire jouir de sa langue ou à lui imposer une cage de chasteté. Le seul problème dans les requêtes de ce soumis, c'est qu'il ne parlait que de son plaisir, jamais de celui de la belle, d'un naturel gourmand. Juste avant de se faire virer, ce brave soumis très sympathique mais trop dirigiste pour Léa lui a offert un gode ceinture avant de la supplier de le sodomiser comme une petite chienne. En clair, c'est ce cadeau pour lui et non pas pour elle qui a mis le feu aux poudres et l'a raccompagné vers la sortie.

    Entre être dominante au lit et être une Maîtresse, il y a une différence fondamentale que ce pauvre soumis n'avait pas compris dans ses tentatives de manipulations. Malgré tout, Léa fut chagrinée de son départ, non pas de l'homme mais de son jouet et surtout de sa langue avouons-le "experte". De fils en aiguilles, l'idée d'imposer des cunnilingus à ses partenaires s'est imposée dans ses songes érotiques solitaires. Elle rechercha donc un nouveau soumis sur Fessestivites tout en lisant quelques articles traitant de bondage et de contraintes sur les forums BDSM.

    Soumis Louis, un homme respectueux dans son approche des dominatrices parvint à décrocher la "timbale". Comme un bienheureux, il prit une chambre au formule 1 de Compiègne le jour convenu en espérant ne pas s'être fait planter par un faux profil et surtout, en espérant ne pas avoir pris une journée de congés pur rien. A 16 heures, son téléphone portable sonna. Si en d'autres temps il ne répondait pas aux numéros masqués, ce jour là, il fit une exception. La belle venait à lui pour avoir le numéro de chambre et le code.

    - As-tu mis ta cage de chasteté ?

    - Oui Madame.

    - As-tu pris une douche comme demandé ?

    - Oui Madame.

    - Quel est le numéro de la chambre et le code ?

    - La chambre 115 est au premier étage, couloir de gauche, le code 3785.

    - Couche-toi nu sur le lit, j'arrive.

    C'était la première fois que Léa allait dominer un homme dans un hôtel, elle était aussi anxieuse qu'excitée mais bien décidée à vivre l'expérience et surtout, à s'éclater. Quinze minutes plus tard, lorsqu'elle entre dans la chambre, dans la cage de chasteté, le Popaul gorgé de désir subissait une sérieuse crise du logement. Léa lui fit signe de se taire avant de poser sa petite valise sur la table pour en extraire des cordes. Elle commença par lier les chevilles de Louis avant de lui demander de soulever ses fesses pour passer deux cordes sous son dos. La première lui servit à attacher les mains de chaque côté des hanches et aux cuisses de Louis, la seconde pour lui lier les bras afin d'obtenir un blocage total d'éventuelles tentatives de rébellions. La chose faite, elle lui posa un bandeau sur les yeux avant de se dévêtir. Ses doigts fins, parfaitement manucurés s'aventurèrent un instant entre ses cuisses fuselées. Le rencontre d'un index taquin et d'une perle clitoridienne exacerbée généra en elle une sorte de décharge électrique des plus délicieuse. Contempler son sextoy sur pattes en poursuivant un léger mouvement rotatif sur cette perle finit de mettre le feu aux poudre.

    Elle enjamba aussitôt le visage de Louis pour plaque ses lèvres intimes gorgées de désirs en lui ordonnant de laper. Si pour un soumis, cela peut être une situation de rêve, son nez logé au centre les fesses finement taillées mais musclées de Léa ne disposait guère d'espace au soumis pour respirer. "Ta langue, sort bien ta langue" criait la belle savourant ce petit appendice s'agitant du mieux qu'il pouvait en cette vallée très humide, humidification entretenue par un index atteint de la maladie de Parkinson.

    En d'autres temps, en d'autres circonstances, il faut un certains temps à Léa pour que le plaisir pointe son nez, cette situation aussi exceptionnelle qu'originale en raccourcit considérablement les délais. Emportée par une vague montante, elle se mit à chevaucher gaiement les deux appendices, le nasal en son fondement et le lingual en ses profondeurs gourmandes. A deux doigts de s'étouffer, Louis lutait à chaque mouvement pour essayer de happer de l'air pour avoir une petite réserve de survie en ses poumons. La conjonction des actions avant/ arrière / index en une zone féminine ciblée ne laissa pas la belle ne marbre, si bien qu'elle connut un orgasme foudroyant terriblement généreux en sécrétions.
    "Je vais mourir noyer ou étouffé", pensa un instant soumis Louis avant de ruer dans ses liens pour désarçonner la cavalière s'endormant sur ses lauriers, pardon, sur son visage.

    - Oh on se calme ! Cria Léa en plantant ses ongles dans les tétons de l'agité.

    - J'étouffe, Madame, je m'étouffe !

    - Oh ça, va, tu ne vas pas commencer à râler pour si peu. Alors comme ça tu t'étouffes, c'est amusant ça, on va jouer un peu tous les deux ! Répondit Léa en faisant vole face. Tire la langue !

    Léa prit place sur le visage de Louis en prenant soin qua sa langue toujours tendue pénètre bien au centre de ses pétales épanouis. Dans un geste de grande bonté elle retira le bandeau des yeux de sa victime pour mieux en apprécier les expressions futures.

    - A nous deux maintenant ! Lui dit-elle en affichant un sourire sadique.

    Le jeu de Léa consista à se servir de ses lèvres intimes pour obstruer les narines du soumis en appuyant fortement sa minette sur la bouche pour faire "étanchéité". Voyant le soumis changer de couleur, elle écarta ses délicieuses lèvres pour lui permettre de respirer un minimum avant de reprendre son jeu d'étouffement pendant quelques minutes. Quand il fut à deux doigts de l'apoplexie, elle lui ordonna d'ouvrir la bouche pour lui faire un petit cadeau. Et là, sans même le prévenir, elle s'abandonna totalement à une envie devenue très pressante.

    Pour en avoir gâché, sous prétexte de ne pas se noyer, soumis Louis prit quelques gifles et un coup de genou dans les précieuses ridicules sous le tube de métal contenant à présent un appendice totalement recroquevillé de peur.

    - Allez, je te libère, tu as été un bon sextoy mais tu ne bouges pas tant que je ne suis pas partie ! Lui indiqua Léa.

    Deux minutes plus tard, elle quittait les lieux en embarquant ses cordes de bondage et les clés de la cage de chasteté d'un soumis épuisé peu enclin à se lever pour cause de manque de force.

    Ecrivaillon

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  • SM ultra hard à la grecque


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    Laurie avait connu le BDSM avec un ami rencontré sur Fessestivites. A cause de ses sentiments affectifs très forts, il ne parvenait pas à la dominer réellement. C'est d'ailleurs souvent le cas dans des couples adeptes du BDSM. Oh ce n'est pas qu'il n'était pas attentionné et un brin pervers, non, c'est juste qu'il ne voulait pas lui faire mal ou aller trop loin dans l'humiliation. Leur vie de couple devenant « vanille » elle commença à s'ennuyer, faire des fellations sur commande ne l'amusait plus, il lui fallait quelque chose de plus fort, de plus hard que Gérard ne pouvait lui donner. Elle l'avait quitté trois mois auparavant.


    Ce que Laurie voulait c'était vivre des séances comme sur les vidéos avec du fouet, du pony-girl, de vraies fessées, pas de petites claques sur les fesses avant de faire l'amour. Non ce qu'elle voulait c'était du hard, jamais Gérard ne lui avait donné ce qu'elle désirait vivre. Elle avait donc refait son annonce pour trouver Le Maître capable de l'amener vers des sommets jamais atteints. Sauf que des Maîtres il y en avait des tonnes, mais les bons étaient tous pris ou trop loin de chez elle. Et puis il y avait ceux qui se disaient Maître mais qui en fin de compte n'avaient qu'une envie : la sauter.


    Elle sympathisa sur Fessestivites avec un couple adorable, ils correspondaient par email ou en chat privé. Un jour, ils partagèrent avec elle une soirée en cam privée sur le chat. Ce qu'elle vit la mit tellement en émoi que ses mains se dirigèrent naturellement vers son entrejambe. Il y avait depuis une tache sur le fauteuil de son bureau, c'est dire.....


    Ce couple lui proposa de les rejoindre en Grèce où ils passaient leurs vacances chaque année dans une propriété de rêve comportant sur son terrain les ruines d'un ancien temple et une plage privée. Laurie accepta avec plaisir puis cassa sa tirelire pour s'offrir ce voyage au pays des merveilles coquines.


    Lors de son arrivée, la jalousie de Lise était palpable. L'atmosphère était pesante et malgré ses efforts pour rester distante de Paul, le mari pour qu'il n'y ait pas de tension à cause d'elle, rien n'y fit.


    Le soir même, Paul entrava Lise bras et jambes en croix sur la plage avec des pieux plantés dans le sable pour lui donner le fouet en l'obligeant à lécher sa minette. Assise sur une serviette elle lui offrit son intimité à lécher comme le souhaitait Paul. Aux premières loges pour cette séance de fouet et avec une langue aussi habile que celle de Lise, elle s'envola au paradis des plaisirs. La belle soumise fouettée atteignit le subespace et fut laminée par des jouissances paroxystiques très émouvantes pour les yeux de Laurie.


    Le lendemain, ils discutèrent de cette séance, c'est lors de cette discussion que Laurie appris ce qu'est le subespace. Elle avait bien entendu parler de cette histoire de plaisir si intense dans la douleur que les personnes ne désirent pas que cela s'arrête. Elle n'y croyait pas trop mais là, elle venait de voir que ce n'était pas une histoire, c'était bien réel. De fait, elle leur demanda s'ils lui feraient découvrir le fouet et le subespace. A cause de la jalousie de Lise, l'ambiance devint rapidement tendue. Paul trouva la solution pour concilier les femmes : c'est Lise qui fouetterait Laurie demain dans les ruines, lui ne ferait que la vidéo de cette découverte.


    ....................................


    Lise étant rassurée, les tensions s'apaisèrent, elles déjeunèrent toutes les deux tranquillement sur la terrasse en regardant la mer des sensations éprouvées par Lise la veille.


    - Tu sais, j'ai confiance en vous, j'aimerais vraiment vivre une réelle séance de fouet et que tu me pousses jusqu'aux jouissances extrême que tu as vécues hier soir.


    - De toi à moi, c'est quand même assez hard et pour arriver à jouir sous le fouet il faut quand même forcer un peu. Tu risques d'avoir de sacrées marques sur le corps pendant quelques jours. Lui répond Lise.


    - Je m'en moque des marques, elles partiront et puis qui les verra ? Tu sais j'aimerai vraiment le vivre au moins une fois et si je crie stop, ne t'arrête pas, fait-moi vivre ça au moins une fois dans ma vie.


    - Sache que je vais te faire mal pour de vrai surtout au début, tu ne m'en voudras pas ?


    - Je t'en donne ma parole et je te l'écris si tu veux. Comment puis-je t'en vouloir si tu me donnes ce que je désire ?


    - Ok comme tu voudras mais tu le répèteras à Paul quand il se lèvera car je ne voudrais pas qu'il pense que je me venge, l'addition serait trop lourde car ses punitions sont terribles.


    DEUX HEURES PLUS TARD DANS LES RUINES


    Laurie confirma une seconde fois à ses amis qu'elle désirait vraiment aller jusqu'au bout pendant qu'ils l'attachait debout bras et jambes écartées entre deux colonnes de pierre. Elle insista même en disant que même si elle les suppliait, ils devraient aller jusqu'au bout. En leur tenant ce discours, Laurie lutta aussi contre sa peur, elle en avait envie mais une inquiétude sourde montait petit à petit en elle.


    Lorsqu'elle fut totalement entravée, pendant qu'ils installaient le caméscope sur pied, elle se traitait de folle, elle était autant inquiète qu'excitée. Lise s'approcha d'elle avec un long fouet noir à la main. Elle lui caressa le visage d'une main douce avant de l'embrasser tendrement sur la bouche.


    Lise prit le recul nécessaire, lui adressa un baiser du bout des lèvres puis envoya le fouet qui s'enroula autour de la taille de Laurie avant de finir sa course sur ses fesses. Laurie bondit de douleur. « Oh putain » pensa t-elle en constatant que cela n'a aucun rapport avec les jouets BDSM de son ex. Elle se tordit de douleur sous le fouet qui s'enroulait régulièrement autour de son corps. Si quand il passait sur ses seins cela n'est pas réellement douloureux, la fin de sa course dans son dos ou sur ses fesses, c'était vraiment hard. Elle criait et se débattait mais ne demandait pas grâce, elle voulait vraiment vivre la séance jusqu'au bout. Cela en devint un défi pour elle que de connaître cette jouissance quel qu'en soit le prix à payer. Par trois fois, le fouet fini sa course sur les cuisses, et si cela était très douloureux sur le corps, la douleur sur cette zone extrêmement sensible lui paraissait insurmontable.


    Paradoxalement, lorsque Lise fit une pause, elle regretta presque que cela soit terminé.


    Mais ce n'était pas vraiment une pause. En fait, il vinrent la tourner pour qu'elle vive la suite qui comme l'indiqua Lise « va devenir intéressante ». Elle l'embrassa à nouveau sur la bouche et lui murmura à l'oreille : « Accroche-toi ma belle, c'est maintenant que tout va se jouer ».


    Entravée bras et jambe en croix, face à la mer et à Lise, Laurie se traita mentalement de folle. Le premier coup enroulé finit sa course sur son sein gauche. Sous la douleur saisissante, elle se vrilla dans ses entraves avant de pousser un hurlement de bête que l'on égorge. Sans lui laisser le temps de se remettre, Lise continua de la fouetter sans relâche en laissant maintenant des stries rouges sur sa poitrine et son ventre plat. Au bout d'un moment, elle eut l'impression de perdre la tête, elle souffrait oui, mais cela devenait bon. Sous les coups suivants, elle se mit à convulser, son corps agité de tremblements insurmontables. Son sexe se mit à couler mais elle ne put ni le voir ni le sentir, elle était à présent dans une autre dimension.


    Paul s'approcha et fit signe à Lise de lever le pied, Laurie était partie, ce n'était plus la peine d'appuyer les coups. Quand elle commença à s'effondrer, à ne tenir debout que par ses entraves, Paul intervint pour la soutenir en ordonnant à Lise de la délivrer. Il la prit sur son épaule pour aller l'étendre sur une serviette de plage ou il l'allongea avec douceur.


    Tout en reprenant son souffle, elle les remercia, puis se mit à pleureur. Ses nerfs lâchaient, son corps encore agité de tremblements. Quelques minutes plus tard, Lise se glissa entre ses cuisses pour venir titiller de sa langue la perle clitoridienne cachée au cœur de son écrin. Lise poussa presque aussitôt un hurlement et serra les cuisses en repartant une nouvelle fois au paradis des plaisirs. Cela devint trop fort, trop puissant, elle repoussa son amie en criant « Stop, stop, je n'en peux plus, s'il te plaittttttttttttttttttttt ! »


    EPILOGUE


    Une heure plus tard, quand elle fit l'état des lieux dans la salle de bain, elle se traita de givrée, de malade mentale en voyant les marques sur son corps. Laurie ne regretta rien bien au contraire........


    Ecrivaillon


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