• Week-end dans les pures traditions BDSM


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    Fessestivites avait annoncé un Week-end dans les pures traditions BDSM ce qui signifie que les protocoles du BDSM seront respectés. Aucun dérapage ne sera toléré pendant la soirée avant minuit.

    Pour les soumis et soumises, le silence est d'or, la parole non demandée est punition.

    Préparer les lieux avec des bougies, la musique, les carcans et accessoires sadiques est grisant. J'avoue humblement vibrer par avance, non pas des actes BDSM physiques que nous réalisons déjà mais de cette ambiance feutrée si particulière où même une mouche hésite à voler pour ne pas troubler les participants.

    Nous ne sommes point ce soir dans les ambiances festives des pique-niques de rencontres de Fessestivites où se pratiquent souvent des initiations dans une logiques décontractée, mais dans un cercle constitué de puristes sachant aussi, en d'autres moment être décontractés.

    Ce soir nous serons en immersion totale dans ce monde magique de l'abandon où les chuchotements sont à peine troublés par les cris et gémissements des soumis et soumises. Le but ? Le but de cette soirée est de s'immerger pendant six heures dans un monde où les règles sociétales ne sont plus.

    Les soumis et soumises n'auront plus l'image de leur carte d'identité ou carte sécu, non, ce soir, ils et elles se donneront corps et âme à leur Maître et Maîtresse sans peur, sans aucun tabou verbal ou physique avec une seule volonté : les satisfaire, subvenir à leurs bien être en non stop.

    Que le lecteur ne s'y trompe pas, le BDSM n'est pas violence ou boucherie, non, les soumis, soumises et l'esclave présents ce soir seront physiquement préservés, protégés et aimés mais dans une toute autre logique que les règles sociétales.

    Nos buts en tant que Maîtres et Maîtresses sont multiples, nous faire plaisir certes, mais aussi que les soumis et soumises vivent leur soumission en son entier avec le bonheur que représente l'abandon total.

    Préparer les lieux et une telle soirée en mon logis dont les murs sont ont vu tant de rencontres BDSM est vraiment grisant car ce soir, sera une soirée d'exception.

    Une pensée particulière est adressée à ceux et celles qui désiraient y participer mais que nous n'avons pu recevoir pour cause de manque de place.

    Bon week-end à toutes et à tous

    SMement votre

    Maître TSM

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  • Rencontres BDSM


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    Le jour où j’ai cliqué sur un lien intitulé Rencontres BDSM en bas d’une histoire érotique un peu corsée que je lisais sur un blog, ce n’était que pour vibrer un peu intérieurement en allant voir ce qu’il se passe réellement dans le monde des rencontres BDSM. En arrivant sur Fessestivites, je ne pouvais pas savoir que ma vie allait changer. Les discussions dans le forum BDSM m’ont permis de comprendre que ce n’est pas de la violence, bien au contraire, les posts portaient sur les limites, le don se soi et ce qu’une soumise peut faire par amour du Maître. Les témoignages m’ont alors motivé à sauter le pas, oser rencontrer un Maître pour voir ce qu’il se passe réellement. Au pire, il me baiserait après m’avoir attachée, j’en rêve parfois en me touchant timidement en secret sous ma couette.

    Après quelques échanges via le chat, Maître Master ayant su me rassurer de par le respect et la politesse se dégageant de ses écrits, j’ai donc osé lui téléphoner. Déjà parler de ces choses si intimes à quelqu’un fut une étape difficile à franchir mais sa voix chaude et douce tout comme son savoir-faire ont eu raison de ma pudeur. Celle-ci n’allait pas tarder s’envoler.

    Lors de la première rencontre à son domicile, c’est dans la pénombre de son jardin faiblement éclairé que je me suis laissée attacher les poignets sous le chant des grillons en me traitant de folle. Il sentait que j’étais tendue et répétait plusieurs fois qu’il pouvait tout arrêter à la moindre demande. Lorsqu’il s’est levé et a tiré sur la corde tenant mes poignets, ma tête bourdonnait, une partie de mon cerveau me criait de fuir, l’autre de m’abandonner et que je ne risquais rien. Il me souriait en tirant sur la corde jetée par dessus une grosse branche de son arbre, son sourire et sa patience me rassuraient pendant que mes bras montaient au-dessus de ma tête. Son calme apaisait mes craintes même si j’étais en train de m’offrir à un inconnu et sans possibilité de fuite hormis sa parole.

    Il s’est placé derrière-moi pour le premier réel contact physique, mes yeux se sont fermés comme s’ils ne voulaient voir la suite. Il ne s’est pas jeté sur mon intimité, non il a fait pire. Ses mains ont commencé à glisser doucement sur la peau frémissante de mes avant bras pour y glisser lentement en descendant lentement sur mes épaules, j’avais des frissons malgré la chaleur de l’été. Avec le vice de sa douceur, il a ensuite laissé courir ses doigts sur ma poitrine encore vêtue sans attraper ni chercher à me tripoter ou pincer les tétons comme dans les vidéos BDSM que j’avais pu voir. Non il ne me touchait pas, il m’allumait que dis-je il cherchait à enflammer mes sens car de mes seins il est allé vers mon intimité pour s’arrêter à la lisière de mon entrejambe à travers le fin rempart des tissus. Et là, il m’a tuée ou plutôt, il a tué ma résistance et mes craintes avec une roulette à picot qu’il faisait courir sur mes bras et mon cou en déclenchant sur son passage des myriades de sensations pendant que les doigts de sa main gauches entreprenaient de détacher le nœud en haut de ma robe.

    Lorsque ma robe a chu sur mes chevilles en dévoilant à ses yeux de sadique ma poitrine relevée de par la position, tous les pores de ma peau sont devenus des capteurs sensoriels. Si à cet instant je me sentais déjà nue et offerte, j’étais loin d’imaginer que dans les mois qui suivirent j’allais faire mille fois plus de folies pour ce pervers. Il m’a demandé de tenir la roulette avec les dents le temps de retirer mon soutien-gorge qu’il a bloqué dans la corde de mes poignets. Mes tétons pointant fièrement sont devenus sa cible, de ma poitrine il ne touchait que mes ergots sensibles qu’il faisait rouler entre ses doigts en les pinçant légèrement. J’avais envie qu’il attrape mes seins à pleine main, qu’il les malaxe un peu mais non, monsieur en avait décidé autrement, monsieur voulait s’amuser avec mes sens, mes envies de plus consistant en terme charnel.

    Au lieu de me tripoter, (et de me faire du bien) il est allé chercher un martinet en m’indiquant que si je faisais tomber la roulette je serai punie. Punie, quel vilain mot ai-je pensé avec l’envie de lui dire que je n’étais plus une enfant, alors qu’aujourd’hui j’accepte totalement ses punitions et celles des autres à qui il me confie parfois.

    A son retour il portait un sac, un sac à malice bourré de chose méconnues pour moi et dont il allait se servir pour me « dresser » au sens propre du terme. Le martinet qu’il a extrait de son sac n’a rien d’un accessoire de supermarché, il est gros, noir avec de longues lanières, à sa vue ma peur est revenue. Au lieu de me frapper les fesses, monsieur a recommencé ses infernales machinations pour les sens en commençant par les faire glisser lentement sur mes épaules et mon dos, sensations agréables avant les désagréables et douloureuses ai-je pensé.

    - Je serai doux sauf si tu fais tomber la roulette que tu as entre les dents ! M’a indiquée Maître Master.

    La danse des lanières a commencé, elles frottaient mon épiderme dorsal plus qu’elles ne les percutaient, cela ne faisait pas mal du tout, bien au contraire, c’était bon. Elles sont descendues sur mes fesses, l’ordre est tombé d’écarter les jambes. Je me suis immédiatement exécutée sans réfléchir quand soudain elles sont passées entre mes cuisses pour finir leur course sur mon sexe encore protégé par mon string. J’ai eu peur et j’ai serré aussitôt les jambes, je me suis faite gronder et traiter de « chochotte ». Il a insisté sur le fait que je n’avais pas eu mal du tout et que c’était une simple caresse, comme il avait raison je n’ai rien pu dire hormis approuver de la tête et écarter les jambes.

    Ces « putains » de lanières ont fini par mettre le feu à ma libido, elles sont passées partout sur mon corps y compris sur ma poitrine pour laisser sur leur passage une envie de plus. C’était divin ! J’avais envie qu’il appuie un peu plus ses coups mais il s’amusait à m’allumer. Il ne frappait jamais deux fois au même endroit et me tournait autour comme un chat s’amusant avec une souris, je devenais folle. Alors dans ma folie, pour en avoir encore et plus fort j’ai lâché la roulette !

    La réaction ne s’est pas faite attendre, mais pas comme j’imaginais du tout, mais alors pas du tout. Il s’est arrêté pour aller chercher quelque chose dans son sac à malice. Et là, en revenant vers moi avec son sourire sadique il m’a fait voir des pinces à sein avec des grelots. Après avoir tiré mes tétons sans douceur il les a posées en dosant la puissance des mâchoires avant de me remettre la roulette entre les dents. Monsieur a repris son martinet pour appuyer un peu plus fortement les coups et là, je me suis mise à tinter comme le chariot du père Noël. J’ai commencé à percevoir que je n’étais plus que son jouet et le pire c’est que j’aimais ça.

    Trouvant que je ne bougeais pas assez à son goût, il m’a indiqué que nous allions passer à l’étape supérieure en allant chercher un véritable fouet dans son sac. Lorsqu’il l’a fait claquer, j’ai vraiment eu très peur. Au lieu de me lacérer, il a repris son jeu sadique en jouant avec la lanière pour qu’elle me caresse à chacun de ses passages. Soudain son fouet s’est enroulé autour de mon corps en passant sur mon ventre, c’est devenu un peu plus « mordant » mais dans les secondes qui suivaient chaque coup c’était bon. La danse de la lanière et de mon corps a duré un long moment, je ne savais plus où j’étais, je planais littéralement, cela devenait divin. Monsieur a décidé que cela suffisait alors que j’en voulais encore, je l’ai détesté un peu, ce n’était qu’un début….

    Après avoir posé son fouet il a retiré délicatement les pinces de mes tétons, là c’était moins amusant car assez douloureux puis il a retiré la roulette de mes dents en me demandant si j’avais aimé. Quand je lui ai répondu oui avant de lui demander pourquoi il s’était arrêté, sa réponse ma surprise. « Quand tu verras l’état de ton corps tu comprendras pourquoi !

    Nos visages étaient proches pendant cet échange, ses lèvres m’attiraient alors que j’avais précisé « pas de sexe » lors de nos échanges. L’appel de sa bouche fut plus fort que ma raison, je l’ai embrassé en me serrant contre lui. Quand sa main s’est insinuée dans mon string, il n’a pas eu à me demander d’écarter les jambes, j’en avais envie, j’avais envie de lui. Ses doigts taquins se sont aventurés en moi, ma minette trempée fut très accueillante et ravie d’être visitée, ma pudeur s’était envolée, je me sentais déjà sienne. Pendant qu’il me fouillait nos langues s’entrelaçaient comme des serpents, une de mes jambes s’est enroulée derrière les siennes, Maître Master a compris dans mon attitude totalement instinctive et non calculée que mon corps lui était offert.

    Deux minutes plus tard j’étais penchée en avant fesses offertes avec les mains cette fois attachées aux pieds d’une solide table de jardin. Et là il a eut une attitude de Maître, Maître de sa personne, Maître d’une femme qu’il respectait en la dominant et en vérifiant par ses mots que j’étais bien consentante.

    - Demande-moi de te baiser comme une chienne ! Si tu ne me le demandes pas je ne le ferai pas, nous avions un accord.

    - Oui prenez-moi j’en ai envie.

    Une claque très appuyée est tombée sur mes fesses.

    - Est-ce comme ça que tu dois me le demander, la phrase magique est baisez-moi comme une chienne s’il vous plait monsieur.

    J’ai répondu sans aucune honte en répétant la phrase demandée, une phrase et des mots que je n’aurais jamais imaginé prononcer un jour. Ce fut divin, magique, extraordinaire d’être prise comme ça, cet acte charnel pourtant si commun ne ressemblait en rien à ce que j’avais pu vivre auparavant. Une jouissance paroxystique m’a emportée, j’ai eu l’impression de jouir des heures tant elle était violente. Après avoir joui lui aussi il m’a libérée puis imposée de me mettre à genou pour remercier la « bite » du Maître de ma bouche. Un homme m’aurait demandé ça ainsi je l’aurai giflé mais là, c’était différent, il m’avait conquise.

    Maître Master m’a offert un rosebud ce soir là et il me l’a placé dans l’anus en m’indiquant que je ne devais pas le retirer avant le lendemain. J’étais un peu gênée, pour moi c’était nouveau et un peu comme s’il me mettait un suppositoire.

    Cela fait maintenant un an que cette aventure a commencé, je garderai à jamais en mémoire cette rencontre BDSM hors norme qui a changé ma vie. Depuis cette soirée je suis devenue sa soumise, Maître Master étant particulièrement pervers et sadique il me pousse tout les jours un peu plus loin.

    Je vous raconterai dans mon prochain récit comment il est arrivé à faire que je sois fière d’aller chez d’autres Maîtres, chez d’autres hommes où je suis prêtée comme un jouet, peut-être aurez-vous le droit de me fouetter ou de me baiser vous aussi mais seulement si Maître Master me l’ordonne.

    A suivre avec Rencontres BDSM 2 une soirée démoniaque

    Ecrivaillon

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  • Week-end de rencontre dans les pures traditions BDSM Octobre 2014



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    Pures traditions BDSM : s'il y a 6 couples il n'y a que 6 chaises à table de 18h à minuit / on lève le doigt pour parler / postures / positions...... punitions libres au choix des couples

    DATE : Samedi 18 octobre et dimanche 19 octobre

    PRINCIPES / PRIX / HORAIRES

    Arrivée entre 17h et 18 heures
    Apéro / repas /soirée
    Possibilité de planter la tente
    Dimanche : petit déjeuner / discussions / jeux et pratiques libre
    Photos : interdites sauf l'appareil de fessestivites peut être utilisé les photos sont flouttées

    PRIX : Gratuit mais contribution en bouteilles et nourriture

    LIEUX : Vauvert 30 chez TSM et sa soumise

    PUBLIC : couple uniquement

    Il reste deux places couples

    Réservation : adressez un email AVEC votre numéro de téléphone à contact@fessestivites.com

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  • Attachée par les seins

    Il l'attache pas les pinces à seins et l'abandonne avec comme seule solution de libération d'arracher les pinces.

    Encore une vidéo réalisée par les membres du réseau de rencontres Fessestivites

     


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