• Le sexe et la voiture, l'itinéraire du plaisir

    Comme moyen de transport prisé par les amants en quête de changement ou de tranquillité....., la voiture est un terrain de jeux érotiques où plus de deux Français sur trois se seraient déjà amusés. La voiture représente également un espace certes public mais qui offre un certain abri du regard extérieur en fonction des lieux. A chacun sa façon de choisir et doser son goût du risque.

    La voiture est un lieu neutre et mobile pratique pour briser la routine et jouer avec l'ivresse de l'interdit. Attention, la voiture même garée dans un endroit discret ne vous mettra pas complètement à l'abri de la patrouille de police ou du badaud passant par là...

    La voiture est un lieu idéal pour quelques jeux de rôle coquins de type « l'autostoppeur et la conductrice entreprenante », ou encore pour rejouer le fameux « coup de la panne ». Avec un peu d'imagination et de pratique, on peut en exploiter toutes les ressources et adapter positions et plaisirs en fonction de la partie de voiture choisie.

    Les exhibitions simples

    Faire d exhibitions sur l'autoroute à faible vitesse en doublant les camions est quelque chose d'assez fréquent mais attention, est-ce bien prudent de détourner l'attention d'un chauffeur conduisant un 38 tonnes ? Allez acheter une glace à Mac-Do par exemple ou mettre de l'essence ou passer par les péages avec un guichet permet de jouer plus ou moins avec le regard des autres.

    Véhicule à l'arrêt :

    A l'extérieur, parmi les positions les plus pratiquées, on y trouve madame penchée ou couchée sur le capot de la voiture ou penchée par la fenêtre ouverte fesses à l'extérieur, une manière de goûter aux plaisirs de la levrette à l'air libre ! Couchée sur le dos sur le capot de la voiture est aussi très sympathique mais attention, les tôles deviennent si fines que le capot risque de se creuser et de conserver une forme « indélicate ». L'attelage attire certaines gourmandes, pensez au préservatif à mettre sur la boule pour préserver la santé de madame. La tête dans le coffre le capot maintenu fermé par une corde est parfois utilisé par les adeptes du BDSM ....

    A l'intérieur du véhicule c'est plus étriqué et sportif bien que certaines voitures permettent d'abattre la banquette arrière et d'offrir un espace proche d'un lit. Si ce n'est pas le cas, la banquette arrière offre des possibilités multiples y compris en ouvrant une des vitres arrières.

    Les précautions

    Il est important de rappeler les quelques règles à suivre lorsqu'il s'agit de s'ébattre dans un lieu public, de surcroît lorsque ce lieu public est capable d'être lancé à plus de 90 km/h... La voiture doit être à l'arrêt si vous câliner, n'oubliez pas que des vies sont en jeu.

    Afin d'éviter de mettre votre vie et celles des autres en danger, prenez toujours le temps de vous garer et de couper le contact avant de commencer toute caresse. Certains n'ont pas eu cette patience et en ont payé les frais...

    Choisissez l'endroit et le moment

    En pleine campagne à la lisière d'une forêt de jour comme de nuit ou si vous habitez une zone plus peuplée, choisissez un endroit relativement désert mais qui n'éveille pas l'attention. Si vous êtes la seule voiture garée dans ce parking abandonné, une patrouille de police sera tentée de mettre son nez. Garez-vous au milieu d'autres voitures, la nuit, et pas juste en dessous d'un lampadaire. Les parkings souterrains vous offriront également une tranquillité assez sûre !

    Au regard des autres et de la loi

    Article 222-32 du Code pénal : « L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public est puni d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende ». Il s'agit cependant d'une peine maximale rarement appliquée à moins que vous ne vous ne soyez des multirécidivistes. Des excuses accompagnées de « si ma femme l'apprend je suis dans la merde.... » sont 100 fois mieux que « on ne fait rien de mal ».

    Une petite idée de jeu ?

    Mettez des pinces aux lèvres intimes de madame nue sous sa jupe ou sa robe et sur ces pinces, faites un crochet avec un trombone. Allez faire des courses. Arrivés sur le parking du supermarché accrochez les clés de la voiture aux pinces. Elles doivent y rester pendant toute la durée des courses.

    Et si vous nous racontiez vos aventures en voiture sur le forum des libertins ici ?

    http://www.fessestivites.com/phpBB3/exhibitionnisme-et-voyeurisme/le-sexe-et-la-voiture-l-itineraire-du-plaisir-t1913.html


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  • La chienne soumise de l’hôtel

    Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

    chienne soumise BDSM sexe« Je suis toutes à vous, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi » répète souvent Clara, soumise à son Maître rencontré sur Fessestivites. S’il est respectueux de la femme, Maître T est dur et ferme dans sa domination. Il ne laisse rien passer, rebondit souvent sur les mots de sa soumise la faire évoluer et l’aider à s’épanouir en BDSM.

    Ils sont touts les deux issus du monde libertin où pendant quelques années ils ont vécu chacun de leur côté les plaisirs inavouables avant de s’en lasser. Maître T est aujourd’hui depuis 10 ans dans le monde du BDSM, il se forge avec le temps au contact d’autres Maîtres puis de lectures sur lesquelles il médite avant d’adapter leur contenu à ses idées. Clara a toujours été coquine, elle s’est désintéressée progressivement du libertinage et des clubs libertins qui, malgré le plaisir physique éprouvé, laissent un goût de solitude le lendemain.

    - Clara, tu me dis souvent : « Je suis toutes à vous, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi » jusqu’où irais-tu dans ton abandon ?

    - Jusqu’à ce que vous déciderez Maître. Répond Clara

    - Alors tu vas exécuter mes ordres sans discuter, que tu pleures ou non n’y changera rien, nous allons bien voir si tu es la soumise que tu décris dans tes envolés lyriques sur le forum BDSM. Demain je te loue à des hommes. Tu te rendras au Formule 1 de …… avec un sac, tu prendras une chambre puis tu m’adresseras par texto le numéro de la chambre puis le code. Je te confirmerai réception, à la suite de quoi, dans la chambre tu te mettras nue et tu ouvriras ce sac, à l’intérieur il y aura une enveloppe avec les instructions que je veux que tu suives à la lettre.

    Le mot « louer » fait très mal au cœur de Clara et lui fait horriblement peur. Son Maître serait-il un proxénète sans cœur ? Son cœur lui crie « non » son esprit lui hurle « attention », dans ce duel de l’amour contre la raison, le cœur prend l’avantage, elle fera ce qu’il lui demande.

    Il est 16h45 quand elle introduit sa carte de paiement dans le dispositif de réservation et de paiement des chambres du formule 1. Sa tête bourdonne, elle a l’impression d’être ivre alors qu’elle n’a pas bu une goutte d’alcool. La gorge serrée, elle entre dans l’hôtel, trouve la chambre et s’y enferme avant d’adresser le numéro de chambre et le code par texto à son Maître. Même si elle est seule, se mettre nue la perturbe, elle a confiance en son Maîtres mais la peur la submerge. Pour essayer de savoir ce qu’il l’attend, elle ouvre rapidement se sac, ce qu’elle y découvre n’apaise en rien l’angoisse qui la ronge maintenant. Sous l’enveloppe, des menottes, une cagoule, des cordes et bracelets de cuir ainsi qu’un bâillon percé, une boite neuve de préservatif puis un énorme martinet lui sautent aux yeux. La gorge serrée elle ouvre l’enveloppe et se met à lire.

    ……………………………….

    Clara

    Je te veux liée à quatre pattes sur le lit comme une chienne prête à se faire saillir.
    Par ordre tu vas attacher les cordes aux pieds du lit, cordes que tu relieras aux bracelets que tu poseras à tes chevilles.
    Une fois tes jambes bloquées, tu mettras une paire de menottes à chacun de tes poignets.
    Tu mettras le bâillon boule percé, les multiples trous du bâillon te permettront de respirer sans problème.
    Tu passeras ensuite la cagoule que tu fermeras derrière ta tête avec les boucles.
    A ce moment là, tu devras donc être à quatre pattes sur le lit, les chevilles entravées de telle façon que tu ne pourras pas resserrer les jambes.
    A l’aveugle, tu fermeras les menottes de tes poignets aux barres du lit qui sont sur le côté.
    Si tu as bien fait ce que je te dis tu devrais être à genoux, fesses en l’air, les bras étirés sur les côtés du lit.

    Des gens vont venir s’occuper de toi, essaye de ne pas trop crier pour ne pas ameuter les occupants des chambres voisines, les murs sont minces dans ces hôtels.

    Ton Maître

    ……………………………….

    Etre livrée sexuellement à des hommes en club libertin, Clara l’a déjà vécu et en garde un assez bon souvenir, être attachée et un peu malmenée aussi, mais seule dans cet hôtel, la situation est bien différente. Sans sa tête le chaos des émotions, sensations et contradictions s’installe. Une fièvre indescriptible s’empare de son corps quand elle commence à attacher les cordes aux pieds du lit. Comme pour chasser ses sombres pensées, elle se concentre sur les nœuds avant de poser les bracelets à ses chevilles. A quatre pattes, la tête posée sur le lit, elle affine les réglages des entraves de ses jambes pour satisfaire les exigences de son Maître.

    Le papier posé près d’elle, elle suit les instructions à la lettre, enfin presque, elle a oublié de prendre les autres affaires dans le sac. Clara se libère un instant pour tout mettre sur le lit, un geste instinctif la conduit à se gratter entre les jambes, ses doigts découvrent un « marécage ». Elle se traite de folle. Pour mettre un terme rapidement à ses hésitations et ne pas s’enfuir, elle s’active, pose entre ses dents le bâillon, attache à nouveau ses chevilles et pose une paire de menottes à chacun de ses poignets. Le contact du métal froid la fait transpirer, c’est antinomique mais son cerveau chamboulé semble avoir perdu le contrôle de la logique et de la sagesse. Lorsqu’elle enfile la cagoule, Clara se sent isolée du monde, le cuir froid sur son visage se ligue avec sa respiration saccadée pour accroître ses angoisses.

    A cet instant, elle est bloquée, savoir que si elle ferme les menottes sur les barres métalliques du lit, lui retirera toute possibilité de fuite, l’angoisse. Clara essaie de se reprendre, de se raisonner, son Maître ne peut pas lui avoir fait un mauvais, coup, non ce n’est pas possible. Cette pensée lui donne la force de bloquer son bras gauche en fermant la menotte sur la barre en métal qu’elle trouve à l’aveugle. Dans un état second, à la fois excitée et tremblante de peur, elle tend sa main droite vers la barre pour bloquer la dernière menotte qui lui retirera toute possibilité de fuir, mais ne parvient pas à la fermer. Ces pensées se focalisent sur Maître T, elle le voit lui sourire, l’apaiser quand elle avait peur à ses débuts sur la croix, elle repense à tous ces plaisirs enivrants qu’il lui a fait connaître jusqu’à présent. « Oh mon maître des plaisirs, si vous saviez à quel point je vous aime » pour faire ce que je fais pour vous, pense Clara en refermant prestement pour ne plus hésiter la dernière menotte sur la barre en fer.

    L’attente cruelle s’installe avec sa kyrielle de pensées érotiques ou totalement contraires, pendant que Maître T attend dans sa voiture dans le parking de l’hôtel en regardant sa montre. A 17h30, il pénètre dans l’hôtel avec une petite valise à la main comme un commercial venant prendre sa chambre. Il saisit les chiffres du code à la porte qu’il pousse en espérant trouver sa soumise comme il lui a ordonné. Lorsqu’il l’aperçoit totalement offert, un sentiment de fierté le submerge, sa soumise lui a vraiment fait confiance et a réussi cette épreuve.

    Clara a entendu le bruit de la porte malgré la cagoule, il le sait et, pour rajouter encore de la pression psychologique à sa soumise, il sort et entre encore deux fois pour qu’elle imagine qu’ils sont trois. Pour tromper encore plus les sens de Clara, il s’est acheté des cigares, l’odeur dégagée va lui faire penser que c’est vraiment quelqu’un d’autre, Maître T ne fume pas le cigare. Sa main flatte soudain assez rudement l’intimité offerte avant de la fouiller sans douceur pendant que de sa main droite gantée, il caresse les fesses offertes.

    Elle sait qu’ils sont trois, elle n’aime pas les attouchements des deux hommes qui lui semblent brutaux. Les mains l’abandonnent, Clara ne sait si elle doit s’en réjouir ou avoir peur, de toute façon, ils vont la baiser c’est sûr. Pourvu qu’il ne fassent que ça. Lorsque le martinet s’abat sur son sexe offert, elle bondit dans ses entraves mais il est trop tard maintenant pour fuir. Sous la douleur plus imaginaire qu’autre chose, les coups étant de simples caresses, elle se tord pour les esquiver. Maître T ne se prive pas de ses déhanchements terriblement sensuels et en rajoute encore allant de son sexe à ses fesses.

    Bien décidé à faire durer le plaisir, il ouvre son pantalon, passe deux préservatifs l’un sur l’autre avant de se positionner derrière « la chienne offerte » pour la posséder cash sans plus de précautions. Hormis tirer dans ses entraves pour fuir la pénétration sauvage, Clara de peut rien faire, l’homme la tient par les hanches et se sert sur la bête. Maître T se retire au bout d’un moment avant d’entreprendre de lui tanner les fesses à grand coup de martinet. Le charmant fessier prend de la couleur, les cris étouffés sortant de la cagoule laissent à penser que la raclée qu’il lui donne avec un martinet en latex qui ne fait absolument pas mal, est vraiment vécue comme une agression.

    Pour la posséder une seconde fois en trompant « l’ennemie », il retire son pantalon pour que le contact de ses jambes nues lui laisse à penser que c’est un autre homme qui va la prendre. Le contact d’un doigt chargé de lubrifiant la fait bondir, elle essaye de le fuir mais il la tient et force son anus. Clara ne s’est jamais aussi sentie offerte, possédée, abusée. Maître T passe la ceinture de son pantalon atour de la taille de la chienne offerte, pour l’empêcher de fuir d’une main, pendant que de l’autre il guide son sexe et commence à forcer le petit orifice étoilé. N’étant plus vierge de ce côté-là, la pénétration n’est pas trop difficile à vivre, mais le mouvement de va et vient sauvage qui s’en suit est plus hard à vivre, même pour une adepte de la sodomie.

    Encore une fois, il se bloque en elle un instant, comme s’il avait jouis, puis se retire en claquant les fesses offertes. Maître T retire les préservatifs puis vient prendre place derrière sa soumise qu’il pénètre cette fois avec douceur. Après quelques mouvements en elle, il fait une pose pour ouvrir les sangles de la cagoule de Clara.

    Tout en la baisant avec douceur, il fait tomber la cagoule, mais Clara n’ose pas ouvrir les yeux et se laisse prendre n’ayant pas d’autre choix que de subir.

    - Alors petite chienne, on s’éclate ! Lui demande Maître T

    Reconnaissant la voix de son Maître, elle ouvre aussitôt les yeux et découvre qu’ils ne sont que deux. Un véritable sentiment de soulagement l’envahit, cette fois elle ne subit plus la verge, elle s’y offre totalement, même quand elle change de destination avant de la conduire à une jouissance paroxystique. Maître T lui retire son bâillon puis, sans la délivrer va s’asseoir devant sa soumise.

    - Au travail ma chienne ! Lui ordonne Maître T en s’adossant au mur.

    Ecrivaillon

    Réagisser sur cette histoire sur le forum  ICI

    http://www.fessestivites.com/phpBB3/post6233.html#p6233

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  • Jolies jambes jolis pieds d'une soumise

     

    Les jolies jambes jolis pieds d'une femme ronde soumise qui décoiffe !

    Cette femme ronde et soumise est magnifique, elle ferait fondre un régiment de militaire rien qu'avec son sourire.

    Elle s'est offert pour vaincre ses complexes, (qui n'en a pas) un shouting avec des photos très étoriques. Une forme de thérapie orchestrée par une autre femme soumise qui l'adore et cela se voit aux photos.

    A la suite de quoi, un débat à l'attention des femmes rondes a été lancé sur le forum de Fessestivites histoire de partager cette piste pour être mieux dans sa peau.

    Le débat du forum est ici :

    http://www.fessestivites.com/phpBB3/mode-de-vie-libertin/vaincre-ses-complexes-de-poids-t1882.html

     

    La série de photos est ici

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/84_Femmes-rondes/trucs-infos-astuces/5200_Vaincre-ses-complexes-de-poids.html

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  • Femme seule plaisir solitaire

    Auteur : Ecrivaillon

    Après avoir pris mon premier café et fumé ma première cigarette, j'ai eu besoin d’une bonne douche pour me réveiller. Une fois séchée, je m'enduisais le corps de crème hydratante tout en réfléchissant à ce que j'allais porter. Mes mouvements se faisaient plus lent, plus langoureux, s'attardant sur un téton ou dans le creux d'une cuisse.
    Je me forçais à reprendre mes esprits mais n’y parvenais pas, mes mains devenaient de plus en plus entreprenantes. Comme ce n'était pas le moment, j’ai choisis une culotte de coton noir et un soutien gorge assorti bordé de quelques dentelles soulignant parfaitement la rondeur de mon 90C.

    Je choisis une jupe légère en coton noir parsemée de quelques dessins rouges qui m'arrivait au genou et un tee-shirt rouge sans manche car les températures annoncées promettaient d'être estivales ! En passant par ma chambre que j'entrepris de ranger, à la vue des vêtements jonchant le sol en direction du lit, le souvenir de nos ébats de la veille acheva ma sagesse.
    Cette pensée m'émoustilla et me remémora la nuit, ses mains sur moi puis quand il était en moi en me parlant avec des mots crus. Ses souvenirs réveillaient en moi une certaine excitation en me faisant regretter son absence.

    J'entrepris alors de me satisfaire seule en m'allongeant sur notre lit défait. Il était parfumé de l'odeur de notre étreinte ce qui me permit d'imaginer qu'il était là, que c'était ses mains et non les miennes qui passaient sur mon corps et caressaient mes seins en pinçant mes tétons. La danse de mes mains m'arrachait des soupirs et ma respiration s'accéléra. J'écartais ma culotte et me caressait plus franchement alors qu'un doigt pénétrait mon vagin m’arrachant un gémissement de plaisir.

    Mes pensées vagabondaient, voyaient le corps nu de mon homme quand soudain il me parla en m’ordonnant de lui offrir une danse du cul. Le petit gode dans le tiroir de la table de nuit a rejoint mes mains naturellement, mon corps mue comme par enchantement se leva pour se rendre à la commode située aux pieds du lit.
    Après avoir léché le gode un instant, j’ai mouillé mon petit anneau pour l’introduire en moi. Il est passé tout seul ou presque, signe d’un désir de folies sodomites peut-être. Mes fesses se sont posées sur a commode, enfonçant en moi le gode jusqu’au plus profond de mes reins. Et là, jambes écartées face au lit pour qu’il me voit bien, je me suis caressée en l’allumant, mes mains devenaient folles.

    Je commençais à haleter franchement lorsqu’une vague de chaleur m'envahit. J'ondulais et remuais les fesses au rythme de la pression de mes doigts sur mon clitoris tout en malaxant ma poitrine.

    La jouissance était sur le point de me submerger lorsque la sonnette de la porte retentit et m'interrompit un instant en plein élan. Mon homme a crié « entre » et m’a ordonné de continuer. Un de ses amis est entré silencieusement dans la chambre, malgré ma gêne j’ai continué, la situation gênante m’excitait. La sonnette a retenti une seconde fois, c’était un autre ami venu assister à mon humiliante exhibition. J’ai implosé, explosé, j’ai fait fontaine en soulevant totalement les pieds du sol pour m’empaler plus encore.
    La sonnette maudite ramena mes pieds sur terre au sens propre comme au sens figuré. Je me suis levé d'un bond, le petit gode se dissimula dans mes vêtements jetés sur le sol, j’arrangeait ma jupe et m'avançait jusqu'à la fenêtre pour voir partir mon homme, il avait oublié ses clés.

    Le soir même je lui ai tout avoué, il m’a obligée en guise punition à recommencer, se fut bien plus dur que la matin même mais quand il a décidé de prendre la place de gode, je suis devenue chienne.

    Et vous, allez-vous oser avouer vos plaisirs solitaires sur le forum ?


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  • La doraphilie fétichisme de la fourrure

    La Doraphilie ne signifie pas être excité sexuellement tous les matins en regardant Dora l'exploratrice à la télévision. Non la Doraphilie est le mot savant pour le fétichisme de la fourrure.

    Glorifié dans « La Vénus à la fourrure » de Leopold von Sacher-Masoch, le fétichisme de la fourrure compte de nombreux d'adeptes qui se cachent souvent pour éviter les foudres de la SPA ou des écolos. Que l'on se rassure il y en a aussi des synthétiques.

    doraphilie fétichisme de la fourrure

    Ce fétiche n'est ni une partie du corps féminin, ni une partie des vêtements de la femme, mais une étoffe déterminée qui par elle-même, en tant que matière peut faire naître ou accentuer les sentiments sexuels.

    Ces cas se distinguent des faits précédents de fétichisme érotique du vêtement par le fait que ces étoffes ne sont pas, comme le linge, en rapports étroits avec le corps féminin et n'ont pas, comme les souliers ou les gants, une corrélation avec des parties déterminées du corps féminin ou ne sont pas une signification symbolique quelconque de ces parties.

    Certaines sensations tactiles comme la douceur puis une sorte de chatouillement qui a une parenté éloignée avec les sensations voluptueuses, sont, chez des individus hyperesthésiques, la cause première de ce genre de fétichisme.

    Pour la femme, outre la beauté et l'élégance, il y a le bonheur, la sensation excitante d'être en tenue légère sous un manteau de fourrure... en chemin pour une soirée libertine. Sachez toutefois mesdames qu'un véritable manteau de vison est lourd à porter.

    Outre le fameux manteau de vison, le renard ou le lapin sont d'excellentes peaux qui séduisent, les peaux de lapin cousue étant plus accessible financièrement.

    La doraphilie se caractérise par la recherche de bien-être procuré par la chaleur et la douceur. La fourrure offre au doraphile à la fois un retour à la nature et au naturel et une réponse à son besoin de douceur. Ainsi donc, ne sont pas considérés comme doraphile les gens qui portent de la fourrure dans un but social (afficher sa réussite, suivre la mode, etc...). Le doraphile a clairement un besoin tactile et irrépressible d'être au contact quasi permanent de la fourrure.

    La fourrure sera principalement naturelle, celle-ci offrant un bien meilleur toucher, mais il n'est pas exclus que le doraphile retrouve son plaisir dans la fourrure artificielle. Ce fétichisme est proche et comparable à celui de la laine angora ou éventuellement du satin et de la soie. Ces dernières matières offrant toutes douceur au toucher. Bien que souvent liée à la sexualité, le doraphilie peut se limiter à la sensualité.

    La fourrure n'est pas à la hauteur de toutes les bourses, mais voici tout de même quelques trucs pour acheter un manteau de fourrure le moins cher possible.

    • Magasiner dans les friperies
    • Les vides grenier.
    • Les sites de petites annonces classées.
    • Ebay
    • Acheter un manteau de fourrure synthétique.
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