• Martinet entraves BDSM des bras et avant-bras pour une soumise

    Avec ce dispositif d’ABCplaisir.com ma soumise n’a plus d’échappatoire possible. Ses bras et avant-bras sont bloqués.

    Son prix en décembre 2013 ?  Moins de 32 euros alors pourquoi s'en priver ?


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  • Bondage le self en couple

    Bondage entravesLe bondage et les jeux de contrainte sont assez fréquents dans le BDSM.

    Etre attaché ou attacher quelqu'un, génère d'agréables sensations pour les adeptes tout comme le fait d'être à la merci de l'autre ou d'avoir une personne soumise bondagée à qui l'on peut « « « « imposer » » » » certaines choses SM ou sexuelles.

    Ci-dessous quelques conseils et idées de jeux + un truc très vicieux....

    Note de l'auteur : ce texte est au féminin mais peut l'être au masculin.

    Avez-vous déjà pensé à laisser votre soumise entravée plus ou moins « « « équipée » » » d'accessoires coquins ou SM en quittant la maison ?

    Si c'est grisant, inquiétant, excitant il faut prévoir des solutions de sortie et des sécurités.

    SOLUTIONS DE SORTIE ET D'AUTO LIBERATION

    Il faut toujours prévoir une solution d'auto libération car s'il arrive un accident à celui qui attache, la vie de l'attachée peut être menacée.

    La plus sure des solutions est simple, discrète et gratuite. Elle consiste à congeler les clés des menottes et ou des cadenas dans un récipient plus ou moins grand. Une fois que le bloc de glace a fondu, les clés sont accessibles et la personne peut se libérer.

    Toujours mettre deux ficelles reliant les clés aux cadenas ou aux menottes afin que la personne entravée puisse récupérer les clés si le bloc de glace glisse ou tombe.

    SECURITE

    Lorsque on laisse une personne seule attachée, il faut absolument :

    1°) Eviter les bâillons. En cas de malaise ou vomissement la personne doit avoir les voix aériennes libres.

    2°) Eviter les entraves pouvant coulisser. Elles peuvent devenir extrêmement douloureuses et se transformer en garrot.

    3°) Rien autour du cou SAUF ce qui ne peut pas se serrer tout seul, exemple un collier de soumise, de chien ou une chaîne cadenassée.

    4°) Un téléphone à portée de main en cas de souci.

    5°) Eviter tout ce qui peut générer un incendie. Exemple, ne pas vider le cendrier dans la poubelle, la cheminée est éteinte, il n'y a pas de bougie d'allumée, .......

    6°) Choisir une position sécurisante et pas trop difficile pour éviter les soucis comme les crampes ou qu'elle s'étrangle ou.... en cas de malaise.

    EXEMPLES DE JEUX

    Entraver sa soumise comme une chienne par le cou avec une chaîne fixée aux pieds du lit, au WC ou autre. Mains menottées dans le dos ou fixées à la chaîne. Tenue et accessoires à votre convenance.

    Entraver sa soumise vêtue dans la baignoire après lui avoir fait boire un litre d'eau. Si la chaîne fixée aux robinets et à ses poignets est relativement courte, elle finira par se mouiller..... Tenue et accessoires à votre convenance.

    Entraver sa soumise à quatre pattes sous la table en ajoutant une sangle qui passe sur la table et sous la soumise pour la forcer à rester à quatre pattes. Avec le ice-timer entre les « « « « pattes avant » » » elle sera tentée de lécher la glace dans sa gamelle pour la faire fondre plus vite.... Si ses fesses dépassent de la table, n'hésitez pas à écrire dessus : « libre service ».

    Autres idées à votre convenance....

    Un petit truc très vicieux ?

    Si vous l'entravez les yeux bandés revenez et jouez le cambrioleur qui a des envies de viol. En ce cas pensez à changer votre parfum, changer ou acheter des cigarettes qui puent même si vous ne fumez pas, histoire de tromper son odora. Vous avez bien une vielle assiette à casser, pensez que le bruit que vous allez générer augmente la pression.... Et bien entendu, surtout ne parlez pas !

    RAPPEL : Fessestivites ne vous incite pas à faire ce qui est ci-dessus indiqué. Comme certaines personnes le font, nous avons pensé utile de donner des conseils de sécurité. Si vous réaliser quelque chose, c'est sous votre entière responsabilité.

    Partager vos aventures sur le forum BDSM ici serait sympa !

    http://www.fessestivites.com/phpBB3/bondage-et-contraintes/

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  • Elle pratique le selfbondage, son patron la piège


    Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

    Selfbondage auto bondage Marc, le patron d’une petite entreprise de fabrication de pompes à chaleur a découvert les passions de sa secrétaire pour le bondage et le BDSM sur son ordinateur où elle décrivait ses délires de selfbondage réalisés dans l’entreprise lorsqu’elle était seule le soir. Sous de faux prétextes il annonce depuis quelques jours à Martine qu’il doit partir plus tôt pour des rendez-vous de l’autre côté de la région et la laisse seule. Par trois fois il passe le soir pour la piéger mais ne trouve personne.
    ….
    Lorsqu’il arrive vers 21 heures, la voiture de son employée est encore sur le parking…..
    ….

    Ce qui attire Martine dans l’entreprise dont les ateliers sont aussi propres qu’une cuisine, ce sont les treuils électriques, les grands rouleaux de cellophane dans lesquels elle s’enroule nue avant d’attraper comme elle le peut un couteau qu’elle laisse sur le sol de plus en plus loin pour se libérer. Avec le treuil électrique de l’atelier n°2, elle s’est amusée à se suspendre en passant les sangles entre ses jambes pour qu’elles la soulèvent en douceur en enfonçant des godes dans son intimité gourmande. Pour se libérer, elle est obligée de se balancer pour parvenir à attraper de ses mains menottées la commande électrique pendant un mètre plus loin.

    Ce soir, elle a décidé de pousser plus encore son jeu en ajoutant pour sa suspension un bandeau à ses yeux. Après s’être mise nue et s’être sévèrement bâillonnée elle a fait descendre les sangles pour les enjamber avant d’entraver ses chevilles d’une simple ceinture. Ces deux godes vibrants favoris trouvent leur place dans l’intimité féminine avant qu’elle n’actionne le treuil. Lorsqu’elle commence à perdre pieds, Martine passe son bandeau en se demandant si elle ne fait pas des folies mais l’appel de l’aventure et ses essais réussis en fermant simplement les yeux la poussent à tenter cette expérience qui ne peut qu’être extrêmement jouissive. Lentement elle fait remonter le treuil, ses pieds sont maintenant dans le vide et les godes profondément maintenus la comblent au sens propre comme au sens figuré.

    Martine lâche la télécommande filaire qui se balance un instant avant de s’immobiliser à un mètre d’elle. Ses poignets trouvent leur place comme à chaque fois dans les menottes bloquées dans le crochet et quand elle les ferme, les clics magiques génèrent en elle à chaque fois de sourdes émotions…. La machine à fantasmes se met aussitôt en route, son corps s’agite sur les sangles passées entre ses jambes en lui générant la sensation d’être prise par deux personnes en même temps. Ses amants imaginaires usent et abusent d’elle jusqu’à l’implosion fulgurante générée par le cumul des sensations. En pleine jouissance Martine tire sur ses menottes en vain avec ses petits bras tendus au-dessus de sa tête lorsque deux mains s’emparent de ses tétons. Pendant une fraction de seconde ce contact est magique puis lui vrille le ventre en générant une peur aussi indicible que le sentiment de honte la submergeant.

    Pour Martine, outre la honte, la personne qui l’a surprise va sûrement abuser d’elle voir même la tuer. Le bâillon freine considérablement les suppliques désespérées auxquelles Marc ne prête aucune attention. Lentement et en pinçant légèrement il fait rouler sous ses doigts les tétons turgescents de sa secrétaire. Le jeu muet dure un petit moment, arrachant des gémissements de principe à la fille piégée par son propre piège. Le fait que les attouchements semblent « respectueux » apaise un peu la peur de Martine. Les mains abandonnent sa poitrine pour faire balancer le charmant « colis » désespéré.

    Quelques claques de principe s’abattent sur les fesses nues et les sangles. Martine se tord dans ses liens plus de peur que de douleur car les coups sont particulièrement légers. Le rythme de la fessée s’intensifie progressivement, le « colis » s’agite de plus en plus quand soudain Marc se plaque contre son dos et saisit à nouveau les tétons délaissés pour les faire rouler sous ses doigts en donnant de petits coups de genoux au fessier offert. Pour l’aventurière le fantasme d’être prise par un inconnu se transforme en une peur monstrueuse. Chaque coup de genoux se répercute dans le gode anal arrachant des gémissements à la propriétaire du délicat fessier. Le simulacre de viol dure quelques minutes, Martine ne sait plus où elle en est, l’homme ne semble pas décidé à la violer mais plutôt à jouer avec son plaisir et son malaise.

    - Vous allez vous libérer seule puisque tel est votre désir, puis nous irons discuter un moment dans mon bureau ma très chère et surprenante Martine.

    « Mmm mmmm » est la seule réponse que peut donner la secrétaire dont le sang vient de se glacer dans ses veines en reconnaissant la voix de son patron.

    Martine désespérée commence à se mouvoir comme si elle était sur une balançoire en remontant les jambes en avant pour essayer de trouver la télécommande filaire pendant près d’elle. Si les yeux fermés elle y était arrivé facilement, en se sentant observée Martine se loupe plusieurs fois avant de parvenir à attirer le fil électrique contre elle. Ses mains parviennent enfin à faire remonter le boitier puis à appuyer sur le bouton « liberté ». Lorsque ses pieds touchent le sol, elle peut soulever les gros crochets des sangles et faire sortir la chaînette de ses menottes. Son premier réflexe est de retirer tout ce qu’elle a sur elle, dans sa précipitation, elle écarte les jambes, les godes s’échappent et tombe sur le sol.

    Son patron est sorti de l’atelier, ce qui préserve un peu sa pudeur, être vue nue et entravée et une chose, se promener à poil devant lui l’aurait bien plus gênée. Martine se précipite vers la table pour récupérer ses affaires, se libérer et surtout se vêtir avant d’aller affronter son patron. Les clés de ses menottes ne sont plus là ! Folle de rage et d’inquiétude, elle passe sa culotte et son jean avant de se bagarrer tant bien que mal mettre son soutien-gorge en prenant des postures obscènes car mettre un soutien les mains attachées est plutôt difficile. C’est donc avec son sac et son chemisier à la main qu’elle se rend au bureau sans trop savoir ce qu’il l’attend.

    Il est là où elle craignait, assis devant son ordinateur. Morte de honte, elle commence à se confondre en excuses mais il la coupe en désignant une chaise. Assise elle assiste impuissante au diaporama de photos de filles bondagées.

    - Rassurez-vous, je ne vais pas abuser de vous et peut-être pas vous licencier, mais vous me devez des explications. Depuis combien de temps jouez-vous la nuit dans l’entreprise ?

    - Un an monsieur, mais pardonnez-moi, promis je ne le ferai plus.

    - Nous avons une passion commune pour le bondage. J’aime autant entraver une femme qu’être entravé. La mienne n’appréciait pas vraiment et ne s’y prêtait que rarement pour me faire plaisir. Beaucoup de gens confondent shibari, entraves et plan sexe, qu’en pensez-vous ?

    - Oui monsieur. Répond Martine très étonnée et inquiète de la tournure de l’entretien.

    - Est-ce que vous avez testé le shibari ?

    - Non monsieur.

    - C’est grisant, vous devriez essayer. Si vous voulez, je vous le ferai découvrir en tout bien tout honneur évidement. Vous savez maintenant que je ne suis pas un violeur, car si j’avais voulu abuser de cette situation particulièrement érotique, je n’avais qu’à me servir. Il n’y avait que nous dans l’entreprise, personne ne l’aurait su. Personne, sommes-nous d’accord ?

    - Oui monsieur.

    - Les clés de menottes sont à côté de la cafetière, je souhaite que vous nous apportiez deux cafés et que vous veniez vous asseoir à côté de moi, nous allons parler bondage en surfant. Vous pouvez finir de vous habiller.

    Martine est totalement déconcertée par la tournure des évènements. Son patron n’a pas abusé d’elle et ne la pas sermonnée ou licenciée, bien au contraire. Il semble lui pardonner ses escapades nocturnes et vouloir parler de leur passion commune. Si trouver un complice ne lui déplait pas, la relation hiérarchique est très gênante. Pendant plus d’une heure, ils surfent côte à côte en commentant les photos et les sites comme deux amis. Marc s’arrête sur une série de photos exposant une très belle fille suspendue et saucissonnée dans un shibari très artistique.

    - Comment trouvez-vous ce bondage ? Demande soudain Marc.

    - Sublime, je rêve de vivre au moins une fois un bondage comme ça.

    - Votre rêve se réalisera demain soir, si vous l’acceptez bien sûr car rien ne vous y oblige même si vous avez fauté. Cela me ferait très plaisir que nous soyons complices de jeux. Attention, je ne parle pas d’être amants, je parle bien d’être complices de jeux, la nuance est grande.

    - Je suis très gênée monsieur.

    - Et moi donc. Je ne vous fais en aucun cas un harcèlement sexuel, je vous propose seulement de partager nos jeux, le reste du temps, nous fonctionnerons comme nous l’avons fait jusqu’à présent. Je vous attends demain vers 21 heures, cela vous convient ?

    - Oui monsieur ! Répond Martine très gênée en ne se sentant pas de refuser la complicité de cet homme finalement charmant et compréhensif qui aurait pu abuser d’elle ou la virer.

    Ecrivaillon

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  • Un selfbondage d'enfer plug et couche

    Auteur : écrivaillon avec l'aide de L membre du réseau Fessestivites

    selfbondage icetimer

    Exemple de ice-timer pour du selfbondage

    Quand j'ai reçu un superbe plug de dilatation avec trois boules, de la plus petite à la plus grosse. Avec ses six centimètres, la plus grosse m'a paru un peu excessive par rapport à ce que je peux prendre. La tentation fut grande de l'essayer et comme je m'en doutais, mon petit cul n'est arrivé à prendre que les deux premières. En toute honnêteté je me suis éclaté au sens propre comme au sens figuré, car la dilatation anale génère en moi beaucoup de plaisir et cette satanée troisième boule et devenu un objectif toutefois raisonnable. Pour y parvenir et vibrer plus encore m'est venue l'idée de me faire une séance de selfbondage.

    J'ai donc j'ai fabriqué un gros ice-timer avec les clés des menottes et commencé à préparer le matériel. J'allais m'asseoir sur le gros plug en m'entravant sur une chaise. Afin de multiplier les sensations, deux pinces à linge titilleraient mes tétons. Pour m'interdire le retrait des pinces avant la fin, une fois posées et orientées vers le bas, j'ai prévu un soutien-gorge et un body féminin avec des coussinets en mousse à la poitrine, le tout serait protégé de mes mains par une grenouillère se fermant dans le dos.

    La chaise posée devant la table, fut équipée de quatre sangles, une par cheville, une pour bloquer mes jambe en position assise, une pour me maintenir plaqué contre le dossier de la chaise.

    Au niveau des mains, les menottes bien sur et pour que mes mains ne puissent pas parvenir aux sangle j'ai mis une chaînette par-dessus la table. Pour le réglage, il fallait qu'une fois assis, je mette mes poignets en avant et que la chaîne bloquant les menottes soit assez longue pour que je puisse bouger les mains mais m'empêche de me libérer. Une fois les réglages effectués, sur cette table j'ai posé mon ordinateur portable et mon téléphone sans fil en cas d'urgence puis quelques bières. Cette préparation m'a mis dans un état d'excitation monstrueux. Le temps que le glaçon se fasse mes surfs sur Fessestivites n'ont rien arrangé à mon envie de folies......

    Trois heures d'excitation plus tard

    J'ai commencé par jouer avec le plug en m'interdisant de toucher à Popaul. Une fois partiellement en place, traduire les deux premières boules logées dans mon fondement, j'ai isolé la zone prohibée de devant avec une grosse couche bien serrée. Mon sexe orienté vers le bas était furieux, il désirait monter..... Après avoir mis une culotte en plastique, j'ai donc mis une pince à linge sur mes tétons et le soutien-gorge qui m'empêcherait de les retirer avant la fin de mon selfbondage. Par-dessus le tout, j'ai enfilé le body faisant une épaisseur supplémentaire au niveau des seins puis la grenouillère fermant dans le dos. Chaque mouvement fait agissait sur mes tétons et mon anus en cours de dilatation. Hum et aie car à certains moment cela faisait un peu mal.

    Arrivé à la cuisine j'ai sorti mon saladier d'eau congelée contenant les clés des menottes et la ficelle de sécurité que j'ai attaché aux menottes pour la sécurité de mon selfbondage. J'ai ensuite pris place en douceur sur la chaise maudite sans pouvoir m'asseoir totalement pour cause de plug, la troisième boule et mon anus étant en conflit. Sans tarder et tout en ayant chaud, tout cela me donnant chaud et m'excitant, j'ai serré les sangles maintenant mes chevilles aux pieds de la chaise, puis celle passant sur mes cuisses pour m'interdire de me relever. Une fois bien serrée, j'ai fait de même avec celle qui allait me maintenir trois heure assis le dos bien droit plaqué contre le dossier. Je n'avais pas encore finit mes réglages que le plug profondément enfoncé dans mon cul commença à faire ses effets douleurs / plaisir. La maison étant fermée à clé, mon téléphone accessible en cas d'urgence, fermer les menottes sur mes poignets fut fait comme une urgence. Les clics métalliques me donnèrent encore plus chaud.... à la tête.

    Les bières me firent de l'œil, satisfaire les envies d'être bue de l'une d'entre elle me parut une bonne idée pendant que l'ordinateur s'allumait. Les muscles de mes cuisses essayant de limiter mon assise commencèrent à me faire mal, les relâcher avant d'avoir une crampe fut une nécessité qui se répercuta sur mon anus résistant toujours à la troisième boule du plug pourtant ultra lubrifié. Ouf ouf ouf..... Pendant un moment, j'ai eu l'impression que ma rosette prenait feu pour causse d'importante dilatation. Pour atténuer cette sensation, je ne pouvais rien faire hormis bouger des fesses comme une chienne en chaleur se frottant le cul sur le sol. Et là, j'ai réellement commencé à transpirer puis à me dire que j'avais été présomptueux sur la taille du plug !

    A bout de souffle et à moitié bourré pour cause de suroxygénation due à la respiration trop rapide et avec de plus en plus mal aux muscles des cuisses, m'asseoir totalement fut une obligation. La partie évasée du plug ne passait pas totalement mon anus, la douleur intense me poussa à donner un coup de reins pour la faire passer, chose que je fis courageusement et surtout parce que je n'avais plus le choix. J'ai crié tout seul au moment du coup de feu dans mon cul, avant de savourer d'immenses plaisirs liés au soulagement de mon anus glissant vers la partie moins large du plug et à la sensation d'être totalement comblé. Ma vessie a rendu l'âme, là aussi pendant que je m'abandonnais dans ma couche, agiter les fesses comme une chienne en chaleur généra de sublimes sensations.

    Bien que mon anus me fasse encore un peu mal, j'étais vraiment bien, cette impression d'être « plein » était dès plus grisante. Pour tuer le temps en savourant ces effets aussi magiques que pervers, je me suis mis à surfer. Les histoires et vidéos allumèrent plus encore ses nonnes de malade mental pendant une heure malgré les douleurs commençant à pointer leur nez au niveau de mes tétons. La glace emprisonnant les clés de mes menottes commençait à peine à fondre, j'ai essayé de retirer les pinces à seins mais en vain, longueur de la chaîne me permettait à peine de toucher ma poitrine du bout d'un doigt.

    La deuxième bière me fit de l'œil, j'ai cédé à ses appels en en vidant un peu sur le glaçon contenant les clés des menottes pour le motiver dans sa fonte. La révolte du trou du cul se faisait sentir, pour la mater, hormis faire la petite chienne en bougeant les fesses, je n'avais aucune échappatoire si ce n'est que de prendre la dernière bière que j'ai encore partagée avec le glaçon une heure plus tard.

    Bien plus tard, avec d'énormes précautions, mes doigts gelés finirent par arracher la clé des griffes de la glace. Si libérer mes cuisses fut facile, me contorsionner pour ouvrir la sangle me maintenant assis généra des douleurs au niveau de mes tétons et des « émotions » anales.... Une impression de chaleur me submergea à nouveau, impression partagée avec la couche par un pipi généreux mais contrôlé afin de ne pas tout lâcher d'un coup et générer des fuites. Hummmm. Me pencher sur le côté pour libérer mes chevilles engendra là aussi son lot d'émotions anales, pour cause de variations du poids de mon corps assis sur le plug.

    Une fois libéré des entraves, je me suis levé avant de me tenir au buffet pour cause d'étourdissements. Avec prudence j'ai pris la direction de la chambre pour qu'en cas de malaise je puisse m'étendre rapidement sur le lit. Marcher produisit de drôle de chose dans mon petit trou devenu grand ! Attraper dans mon dos la fermeture éclair de la grenouillère fit un mal de chien à mes tétons, ma poitrine se tendant dans le geste quand mes mains atteignirent ma nuque. La grenouillère retirée, le body me posa un gros souci. Après l'avoir détaché entre les jambes, il me fallait soit le faire passer par-dessus ma tête, soit agiter mes épaules pour en extraire mes bras.

    Dans les deux cas, ma poitrine allait se tendre et mes tétons en faire les frais. Mes prévisions furent juste question tension, j'en ai profité pour retirer en même temps les bretelles du soutien-gorge que je n'ai pas tardé déplacer sur mon ventre puis à faire tourner sur mon corps malgré les douleurs pour le détacher. Avec patience et longueur de temps, bien mieux que la force et la rage, j'ai ouvert le plus lentement possible les pinces à linge pour libérer mes tétons. La patience en ces moments délicats est recommandée.

    Etendu sur le dos dans mon lit, j'ai baissé la culotte en plastique et ouvert la couche pour retirer le plug. Collé ! Il était collé ! Encore une fois avec patience et lubrifiant, (cela change ta phrase si connue, désolé Jean de la Fontaine mais pas le choix) je suis parvenu à le faire tourner sur lui-même puis à l'expulser. AHOUUUUUUUUUUU ! Une fois libéré, mon anus s'est mis à se contracter comme un vagin en pleine jouissance. Mon sexe commençant à couler tout seul, je n'ai pas eu d'autres choix que de l'aider......

    La jouissance m'ayant terrassé, j'ai refermé la couche, remis la culotte en plastique pour m'endormir comme un bien heureux.

    FIN

    Ecrivaillon

    Note de l'auteur : merci à L de ses conseils éclairés, sans lui ce texte serait bourré de choses illogiques et manquerait cruellement de réalité.

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  • Selfbondage en couple j'aime me sentir prisonnière

    Selfbondage J'aime me sentir prisonnière, pourquoi je ne sais pas mais j'aime ça. Peut-être est-ce à cause des livres d'Histoire de l'école ou des photos et vidéos de selfbondage que j'ai vu sur le site du réseau Fessestivites.

    Mon mari qui n'est pas très branché BDSM est parfois ravi, parfois furieux quand je vais trop loin. Mes plus grands plaisirs sont quand il profite de la situation quand il rentre et me découvre entravée et offerte. Il y a des fois où il me prend comme un rustre avant de me laisser toute pantelante de désir dans mes entraves si je n'ai pas atteints l'orgasme pendant son « viol ». Le mot « viol » n'est pas adapté parce que nous sommes mari et femme et c'est pour moi la réalisation partielle de mes fantasmes que d'être baisée ainsi soi-disant de force.

    Une fois je suis allée bien trop loin dans mon selfbondage, j'aurai pu mourir étouffée car je m'étais mise une corde autour du cou. Dans mes mouvements elle s'est serrée et là j'ai eu vraiment très peur. Je pense que s'il était rentré une heure plus tard, je serai morte. Quand il est rentrée et s'est rendu compte de la situation, il était furieux. Une fois libérée, en guise de câlin je me suis prise une fessée, c'était la première fois qu'il me fessait et il n'y est pas allé de main morte. Je ne lui en ai jamais voulu car il n'aime pas trop mes selfbondage et a eu très peur. J'aimerai bien qu'il me fesse ou me fasse du SM quand je suis entravée, mais ce n'est vraiment pas son truc. Il tolère mes folies parce qu'il a compris que pour moi c'est comme une drogue, j'aime vraiment me sentir prisonnière et à sa merci.

    Jusqu'à la semaine dernière, j'ai toujours refusé la sodomie et quand j'ai lu sur Fessestivites qu'il y a beaucoup d'hommes qui aiment ça, j'ai décidé de lui offrir ce plaisir. Dans l'entrée de la maison, un message original l'attendait devant la porte. En entrant il ne pouvait pas le louper, la chaise étant en plein milieu du couloir.

    « Mon chéri, ce soir je t'offre la petite porte que je t'ai toujours refusée. Je t'en prie, va doucement parce que j'ai peur d'avoir mal. Ta victime ne peut plus t'échapper, elle est entravée sur le lit ».

    Rien que de lui écrire ça et d'imaginer qu'il allait abuser de moi, je mouillais comme jamais malgré une pointe d'inquiétude. Pour me rassurer, j'ai callé mon gros vibro entre mes jambes de manière à ce qu'il enflamme mes sens et me rende folle avant son arrivée. Si j'étais super excitée, ma première sodomie se passerait sûrement mieux. Pour m'offrir à lui, j'ai mis mes cordes à chaque angle du lit avec un noeud coulant dans lequel une fois que mes mains ou me chevilles passées, en tirant sur les cordes, j'allais vraiment être à sa merci. Comme presque tous mes rituels je me suis bâillonnée avec une petite culotte roulée en boule dans ma bouche puis plusieurs morceaux de gros scotch pour m'interdire de la recracher.

    Pour que mon gros gode vibrant ne puisse glisser et me priver de plaisir, je l'ai aussi attaché. Après avoir testé mes réglages, j'ai entravé mes chevilles et allumé le gode vibrant et je me suis allongée. Mon état d'excitation était tel, que j'étais à deux doigts de jouir quand il est entré en contact avec mon sexe. Sans tarder j'ai rapidement passé mes poignets dans les cordes attachées aux coins du lit et j'ai tiré dessus.

    Etendue sur le ventre, fesses offertes avec les membres en croix attachés très courts, je ne pouvais que très peu bouger et donc échapper à mon bourreau. Avec toutes ces idées dans la tête, attachée et le vibro en bonne place, j'ai rapidement atteint le plaisir. Le premier orgasme m'a terrassée, laminée par la vague titanesque, j'aurai bien fait une petite pose mais le vibro n'en savait rien..... En tirant sur mes poignets j'arrivais à peine à en limiter les effets. Soumise au plaisir divin, j'y suis rapidement retournée pour d'autres moments tout aussi jouissifs. Le temps me paraissant long, trop long, j'ai essayé d'attraper le téléphone qui me sert aussi de sécurité et là, j'ai pris peur en constatant mon erreur : il était trop loin pour que je l'atteigne.

    Mon mari est rentré plus tard que d'habitude, j'étais épuisée, les lèvres de mon sexe et mon clitoris étaient en feu. Je n'étais plus vraiment dans le trip ni le souhait de mes fantasmes fous. Il est venu me voir, vérifier comme à son habitude que je ne m'étais pas trop exposée au danger mais avec une attention particulière qui m'a fait chaud au cœur quand il murmuré à mon oreille : « je t'aime » avant de me laisser plantée là. J'aurai aimé lui crier que je souhaitais reporter mon cadeau, mais le bâillon me l'interdisait.

    Une demi-heure plus tard environ, il est entré dans la chambre et m'a sourie avant de monter sur le lit. Avec patience il a lubrifié mon anus en essayant de le détendre, quand un peu de lubrifiant a coulé sur mon sexe, cela m'a soulagée car un vibro trop longtemps posé au même endroit cela irrite. Malgré mes tentatives de réfutation et mes muettes plaintes, il a joué mon jeu et mon fantasme avec conviction. J'ai même eu droit à quelques claques et les fesses et insultes qui comme chacun sait, n'en sont pas dans ces moments de complicité.

    J'ai clairement bien compris « que la salope allait se faire enculer » et autres quolibets tout aussi romantiques..... Quand il a commencé à forcer ma petite porte j'avais mal et l'impression que mon anus s'enflammait. Etendu sur moi et rivé au plus profond des mes reins, il s'est amusé à me tirer les cheveux, à me bousculer comme les autres fois en me disant des mots crus.

    Est-ce d'être attachée et réellement sans aucune possibilité de fuite ou une fougue que je ne lui connaissais pas qui m'a faite décoller mais passé quelques moments difficiles, j'ai fini par entrer dans la bulle secrète et mes fantasmes inavouables. Quand il a senti que mon anus se décontractait, il m'a carrément défoncée. Je ne savais plus où j'étais, je perdais la tête, j'étais emportée par ces moments de plaisir qui sont si forts qu'ils font presque mal.

    Pour la première fois j'avais vécu de réelles sensations de viol quand il a commencé à me sodomiser mais sans la peur avant de sombrer dans un état second où plus rien ne compte que le coït sauvage et contre nature. J'ai eu mal à l'anus pendant presque deux jours mais je garde un souvenir impérissable de cette aventure et si j'ai bien compris ces mots, cela ne sera pas la dernière si je continue de prendre le risque de m'offrir à lui ainsi.

    Il est seize heures, écrire cette confession m'a excitée comme une puce, j'ai deux heures devant moi, l'appel des cordes est très fort.

    Patricia

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